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dysphorie de genre^J éducation sexuelle et transhumanise NICE 24 F2VRIER 24

 

l’éducation sexuelle et la théorie du genre : manipulation et  dangers psychiques pour  les enfants !

 

 

 

Par le docteur N Delépine pédiatre cancérologue

 

Si le désir de changer de sexe (rebaptisé transition de genre) a toujours existé chez les adultes, l’irruption du phénomène contagieux et exponentiel de la dysphorie de genre chez les enfants et les adolescents appelle à une extrême vigilance, car elle s’intègre dans une volonté de destruction de la famille traditionnelle pour aller vers le transhumanisme et la disparition de l’homme normal.

On change de registre. Sous prétexte d’écouter les enfants ou adultes pour leur confort, c’est toute une société qu’on veut changer subrepticement par petites touches  (comme l’avait exprimé clairement le ministre de l’ éducation nationale en 2014 avec les abc de l’égalité…) Peu importe les victimes sur le chemin.

Comment admettre, en effet, qu’un mineur, qui n’est pas assez mature pour voter ou avoir des relations sexuelles, puisse consentir à des traitements qui supprimeront sa fertilité et modifieront son corps de manière irréversible ?

Que peut savoir un enfant de six ans interrogé à six ans sur ses choix futurs d’être un homme, une femme ou encore bien autre chose ? Manipulation diffuse.

Quelles sont les conséquences médicales des hormones, et quelles en sont les conséquences psychologiques et psychiatriques ? Pourquoi une prise en charge totale du cout des traitements et opérations par la Sécurité Sociale, alors que l’OMS déclare que la dysphorie de genre n’est plus classée parmi les maladies ? Pourquoi la détransition reste-t-elle un phénomène tabou ? Comment le transgenrisme est-il entré dans le débat politique ?

Autant de questions et de réponses pour tenter d’ éclairer les risques et les dérives de la transition de genre chez les mineurs que nous avons abordé dans notre récent livre dans l’ambition d’aider les parents, enseignants et citoyens soumis à des rencontres avec des enfants ou jeunes taraudés par cette nouvelle « mode » dérivée du wokisme, doublée de la marchandisation du corps.

Aider familles et tous citoyens concernés afin qu’ils puissent disposer de quelques informations objectives, sans tabou, ni jugement, pour tenter d’aider ces jeunes manipulés, le plus souvent par des réseaux sociaux où fleurissent les influenceurs grassement subventionnés par les marchands de rêve. Ces derniers les conduisent le plus souvent, à la place du paradis promis, vers un enfer quotidien à travers les médicaments, les mutilations irréversibles, les échecs des rapports sexuels et le rejet qu’ils subissent s’ils osent faire le chemin inverse de la détransition Idéologie LGBTQ+[1]

Ce sont singulièrement ceux qui souhaitent prendre le chemin inverse, revenir à leur genre initial conforme à leur sexe de naissance, qui sont alors diffamés, critiqués, abandonnés par les nouveaux amis et comble du ridicule, traités de transphobes ! [2]

Un scandale médical aussi horrible que les lobotomies[3]

Ainsi pour certains psychiatres, la transition de genre à travers la médicalisation à outrance (pour une situation rappelons-le -la dysphorie de genre- considérée comme non médicale, mais remboursée à 100 % en France), il s’agirait d’un scandale médical comparable aux lobotomies.

Le Dr Grossman explique ce que tous les parents devraient savoir sur ce que l’on appelle les « soins d’affirmation du genre » et une série de mesures que les parents peuvent prendre à la maison et à l’école pour protéger leurs enfants.

« Ces enfants qui reçoivent des soins d’affirmation du genre deviennent des patients à vie. Ils deviennent des consommateurs de produits pharmaceutiques à vie », [4]

 

Les parents aussi appellent au secours !

Des parents se révoltent devant la manipulation qu’a subi leur enfant, souvent à leur insu, particulièrement pendant ces périodes de confinement plus ou moins longues selon les pays. Les enfants et adolescents se sont penchés sur leur ordinateur 24/24 et se sont trouvés de nouveaux amis.

 

« Elle est encore ma fille, elle restera à jamais ma fille »[5] : une mère se fraye un chemin à travers le mouvement transgenre « Pourquoi prendre un corps sain et en faire un patient médical à vie ? »

Telle est la question qu’Amy s’est retrouvée à poser à sa fille adolescente, aux communautés médicales et scientifiques, et à la société dans son ensemble. Pour une mère qui n’a pas pu empêcher la transition de genre de sa fille, c’est plus qu’une question : c’est un cri de détresse. Amy, comptable à Long Island, menait une vie normale avec son mari et ses enfants. Sa vie a basculé.

Leur appel de détresse donne à réfléchir au sort des enfants manipulés par la mode du wokisme qui casse les familles et n’autorise plus les parents à interférer dans la vie de leur enfant qui risquent de se retrouver devant les tribunaux s’ils osent ouvrir la bouche. C’est la loi du tout affirmatif : l’enfant décide, même à huit ans, et tout le monde doit accepter, singulièrement à l’école sous l’égide de la circulaire Blanquer de septembre 21. Les résistants à l’ukase seront traités de transphobes, licenciés pour certains enseignants, et risquent d’être démis de leurs droits parentaux par les juges.

Les transgenres sont avant tout des victimes manipulées par quelques-uns qui se servent des minorités pour accéder à des hauts postes de pouvoir. Victimes abusées par un rêve inaccessible : on peut changer de genre, mais jamais de sexe, on ne peut que tromper son corps, tromper les autres, mais jamais ses chromosomes.  Ces personnes sont des victimes car elles étaient bien portantes[6], et on les transforme en malades chroniques à vie.

 

Et pourtant que de victimes sous prétexte de vouloir soi-disant les aider [7]

Une adolescente ex-trans poursuit les médecins qui l’ont mutilée alors qu’elle était mineure[8]. Chloé Cole a reçu des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles, et subi une ablation de la poitrine à l’âge de 15 ans. Elle a décidé de poursuivre le groupe médical et l’hôpital qui ont facilité sa transition de genre sans lui donner toutes les informations ni le temps nécessaire à un consentement éclairé alors qu’elle était mineure. Car aujourd’hui elle regrette profondément ses choix.

Même plainte en justice de Jay Langadinos en Australie[9] .

La première chose, oubliée en ce nouveau siècle, est que ces personnes devraient bénéficier d’un consentement véritablement éclairé et non d’une propagande reposant sur l’idéologie wokiste et transhumaniste parfois doublée du « business is business ».

Les étapes de la transition de genre (assistée par des traitements hormonaux et gestes chirurgicaux) comprenaient d’abord la préparation psychologique qui visait à éliminer les psychoses, les dépressions, et à tenter d’expliquer aux candidats trans les conséquences des interventions médicochirurgicales. Cette phase durait en général de deux ans, mais elle tend à se raccourcir sous l’influence des lobbies du genre (business du genre ?)[10].

La réassignation génitale se traduit par un long et pénible parcours pour obtenir les apparences de ce changement de sexe et ce n’est qu’après ces longs mois, voire années qu’ils peuvent enfin bénéficier de prises en charge psychologiques ou psychiatriques. Et cela ne fait pas diminuer le drame des suicides qui touche finalement 40% des transgenres (20 fois plus que la population hétéro sexuelle). Leur éviter un suicide est l’argument, le mensonge utilisé pour convaincre les parents (lorsqu’ils sont informés) alors que les transgenres ont ce triste record.[11]

 

 

 

La théorie du genre  aurait-elle transformé nos sociétés occidentales ?

De fait, non !

 Seule une extrême minorité qui se croit l’élite a prospéré et surfé sur ces nouvelles affirmations pseudo progressistes et fait croire que c’est généralisé .

Le lobby trans affirmatif a de gigantesques moyens et ceci explique cela !

Soutenu notamment par la fondation Thomson Reuters, la société mondiale de services d’information, et par l’un des plus gros cabinets internationaux d’avocats, Dentons.

Se demande-t-on alors pourquoi les pouvoirs publics accordent une telle importance aux militants trans-affirmatifs qui ne représentent que très peu de personnes. Pourquoi leur ouvre-t-on les portes des ministères (en premier lieu santé, éducation, etc.), des collectivités locales qui financent abondamment leurs projets  ou d’ autorités administratives ?

 

A couts de subventions obtenues par les cinéastes, les directeurs de club de sport, ou de sociétés privées, on a trompé la grande majorité de la population

Et cette publicité outrancière a aggravé le rejet des homosexuels et les transgenres qui, comme la plupart des gens, souhaitent vivre tranquillement, selon leurs désirs, loin des caméras.

 

Les échecs récents de Disney[12] ou de la bière Budweiser[13] qui ont vu chuté leurs actions boursières à la suite de modifications carrément wokistes et transgenres de leurs spectacles et publicités démontrent bien que les populations occidentales ne sont pas consentantes à ces tentatives de transformations radicales de nos sociétés millénaires.

 

S’il est désormais de notoriété médiatique officielle que considérer qu’un homme est un homme et une femme est une femme est conservateur, combien de citoyens sont-ils tombés dans cette folie et ce fantasme ?

 

En tout cas, pas le premier ministre anglais actuel Rishi Sunak qui, lors du congrès annuel du Parti conservateur le mercredi 4 octobre 2023, a déclaré sous les applaudissements : : « Nous ne devrions pas nous laisser intimider par la croyance selon laquelle les gens peuvent avoir le sexe de leur choix », « Un homme est un homme et une femme est une femme, c’est juste du bon sens ! »

 

Et comme premier ministre, il a échappé à la poursuite en justice pour transphobie !

Contre disant ainsi les affirmations bientôt oubliées d’A Buzyn l’ancienne ministre de la santé : « un oncle peut être la mère… ».  Mais  c’est elle aussi qui a classé substance vénéneuse l’hydroxychloroquine sous prétexte que les Français prendraient trop de médicaments… Ne nous étonnons plus de rien.

 

Quant aux Polonais, Hongrois ou Russes, qui ne cautionnent pas cette théorie du genre et protègent nos acquis culturels, la littérature, la musique, les traditions familiales etc… ils ont déjà subi la même qualification de réactionnaire dans nos médias.

 

Il est probable que les professionnels de la santé qui prescrivent les hormones sexuelles croisées et les bloqueurs de la puberté chez les enfants seront un jour tenus responsables de maltraitance des enfants et de fautes professionnelles  [14] médicales, comme cela se passe dans les pays qui ont développé ces techniques bien avant la France et qui les abandonnent (comme la Suède et le Royaume Uni) ou les interdisent (comme la Russie, et beaucoup  d’états africains et américains).

 

Les professionnels de la santé qui pratiquent les chirurgies transgenres et les mutilations génitales sur leurs patients risquent d’être à terme l’objet d’une vague de poursuites judiciaires Tout n’est pas aussi simple que les séries télévisées voudraient le faire croire.

Pour les parents ou grands-parents que nous sommes le plus important est de communiquer des informations honnêtes sans jugement sur leurs choix pour les protéger de manipulations à motivation commerciale non négligeable.

Ensuite, à l’âge adulte, ce sera leur détermination qui devra compter et alors à nous de les accompagner et de les aider le mieux.

 

Laisserons-nous sans rien dire des enfants se faire martyriser, mutiler, transformer à un âge où la sexualité est silencieuse chez les plus jeunes, puis questionnable chez les adolescents, sans tenter de les protéger d’une idéologie mondialiste et d’un lobby extraordinairement puissant et lucratif…Les parents ont été dépouillés de leur droit de regard : nous devons le leur rendre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[1] Un Transgenre raconte sa détransition

[2] Voir sur telegram le canal des détransitionneurs.

[3] ttps://www.infotrad.fr/2023/08/28/un-scandale-medical-aussi-horrible-que-les-lobotomies-miriam-grossman-sur-les-soins-daffirmation-du-genre-et-ce-que-les-parents-doivent-savoir/

[4] Miriam Grossman , psychiatre pour enfants et adolescents et auteur de « Lost in Trans Nation: A Child Psychiatrist’s Guide Out of the Madness (Perdu dans la nation trans : Le guide d’un pédopsychiatre pour sortir de la folie) ».

[5] https://www.epochtimes.fr/elle-est-encore-ma-fille-elle-restera-a-jamais-ma-fille-une-mere-se-fraye-un-chemin-a-travers-le-mouvement-transgenre-2377749.html

[6] Parmi les candidats au changement de genre, il y a  néanmoins un certain nombre malades de formes d’autisme, de dépression ou autre trouble psychiatrique etc, qui devraient être dépistés avant toute intervention médicale ou chirurgicale pour bénéficier des traitements adaptés à leur pathologie

[7] Nouveau Monde — Transition de genre et chirurgie : un bien triste bilan (nouveau-monde.ca)

[8] https://www.juristespourlenfance.com/2023/07/28/temoignage-de-chloe-cole-detransitionneuse-lors-de-son-proces-contre-les-medecins-qui-lont-mutilee/

[9] ttps://www.smh.com.au/national/absolutely-devastating-woman-sues-psychiatrist-over-gender-transition-20220823-p5bbyr.html

[10] Nouveau Monde — Un marché d’un autre genre est né : celui du GENRE (nouveau-monde.ca)/

[11] Par rapport aux autres minorités sexuelles (homosexuels, lesbiennes et bisexuels), les transsexuels souffrent d’une tendance suicidaire beaucoup plus élevée (4 à 6 fois) qui constitue un vrai problème.   nouveau-monde.ca/devenir-trans-mene-trop-souvent-au-suicide-informez-familles-et-candidats-pour-leur-securite/

 

 

[12] https://hitek.fr/actualite/disney-detestee-pour-wokisme_42968

[13] https://www.journaldemontreal.com/2023/04/12/publicite-pour-bud-light-anheuser-busch-perd-de-5-g-us-apres-un-partenariat-avec-une-transgenre

[14] Vague de poursuites à l’encontre de psychiatres et de médecins qui ont approuvé les mutilations et les chirurgies transgenres

 

2 dysphorie de genre et enfance sacrifiee CHOISY LE ROI 8 fev 24

 

et version un peu plus courte  à la Mothe près de la Roche sur Yon

dysphorie de genre et enfance sacrifiee la roche sur yon 10 FEV 24

 

 

 

diaporamas en cliquant sur les liens

 

La casse du système de santé français 1 fev_

 

16H Ces médicaments qui ne servent à rien

il y a de nombreux mois que nous avertissons avec d’autres dont patrice Gibertie dont est l’ article de 2022  sur les dangers de la fertilité liés aux injections expérimentales anticovid est rerpoduit ci dessous , de même que sur l’allaitement maternel toxique des mères injectées.

 

même si d’autres causes étaient décelables avant 2020, le poison injecté a aggravé largement la dépopulation (selon un plan avoué et prévu par les adeptes de Davos

ALORS POURQUOI JOUER LES CANDIDES ET NE PARLER QUE DE PLACES DE CRECHES OU DE MERES CELIBATAIRES ?

 

IL EST GRAND TEMPS D’INTERDIRE L’INJECTION DE CE POISON A RISQUE MORTEL COMME LE SOULIGNE LE PR RAOULT

 

RAPPEL

 

Nouveau Monde — Baby crash : demain, un monde sans bébés ? (nouveau-monde.ca)

Baby crash : demain, un monde sans bébés ?

27/04/2023 (2023-04-27)

[Publication initiale :
https://www.sante-sans-filtre.com]

Par Nicole Delépine

Médecin hospitalier, pédiatre et oncologue, Nicole Delépine se bat, depuis 40 ans, pour une meilleure prise en charge des malades à l’hôpital. Reconnue au niveau international pour sa connaissance du cancer, elle a notamment dénoncé les paradoxes du Gardasil, le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Elle vient de publier Les Enfants sacrifiés du Covid (Fauves).

Alors que 30 % des Françaises en âge de procréer ne souhaitent pas avoir d’enfants pour « sauver la planète bleue », l’avenir de l’humanité ne serait-il pas déjà compromis par la baisse de la fertilité qui s’observe depuis plusieurs décennies ? Ajoutez à cela les effets des injections géniques anti-Covid 19, et vous pouvez sérieusement douter des statistiques annonçant 10 milliards d’êtres humains en 2050 !

La baisse de la concentration de spermatozoïdes chez l’humain est connue depuis de nombreuses années et la synthèse récente de la revue de référence Human Reproduction Update montre une chute encore plus vertigineuse depuis une quarantaine d’années1. Surtout, elle souligne le déclin rapide de la fertilité masculine. Cette publication, de grande ampleur, est fondée sur des centaines d’études publiées sur le sujet et rassemble les données couvrant la période 1973-2018 disponibles dans plus d’une cinquantaine de pays.

Ainsi, en 45 ans, la concentration moyenne de gamètes dans le sperme de la population masculine générale est passée de 101 millions par millilitre (M/ml) à 49 M/ml, soit moitié moins ! En outre, comme le rappelle l’urologue française Valentine Frydman, « 20 % de l’infertilité est d’origine masculine stricte ». Pas étonnant, rien qu’avecce premier constat, que la fécondité chute partout dans le monde.

En France, près de 3,3 millions de personnes, soit environ 1 couple sur 6, sont directement touchées par un problème d’infertilité. Un phénomène qui ne cesse d’augmenter depuis une vingtaine d’années selon les professionnels du secteur, comme le Pr Jean-Marc Ayoubi2.

Le canari dans la mine

Ce déclin rapide de la fertilité masculine ne concerne pas seulement les pays du Nord, mais le monde entier. Le pire, c’est que, loin de ralentir pour se stabiliser, le phénomène est en forte accélération.

« En incluant toutes les données postérieures à 1973, le taux moyen de la chute est de 1,16 % par an au niveau mondial. Ce rythme a plus que doublé depuis le début du XXIe siècle, passant à un déclin de 2,64 % par an sur la période 2000 -2018. » Une accélération qualifiée d’« alarmante » par les auteurs de cette étude. « Nos résultats sont comme le canari dans la mine, déclare M. Levine. Nous avons entre les mains un problème grave qui, s’il n’est pas maîtrisé, pourrait menacer la survie de l’humanité. » Ces tendances concernent également les pays d’Afrique et d’Amérique du Sud3, pays qui n’avaient jamais connu un tel phénomène jusqu’alors.

Avant 2020, d’autres causes

Face à des changements inédits, comme la féminisation du sexe des poissons, de nombreuses études ont occupé des unités de recherche dans le monde.

Les experts évoquent, pêle-mêle, de possibles facteurs : d’abord les causes individuelles liées au mode de vie (tabagisme, sédentarité, alimentation, surconsommation médicamenteuse, etc.), mais aussi les causes globales, notamment environnementales (pesticides et produits de synthèse, pollution, etc.).

Tous les perturbateurs endocriniens4, 5 contenus dans le moindre de nos cosmétiques ou aliments industriels sont des molécules qui agissent directement sur notre système hormonal et qui peuvent engendrer, du fait de leur accumulation (le fameux « effet cocktail »), divers dysfonctionnements : insuffisance ovarienne, spermatogenèse défectueuse, fausses couches, grossesses pathologiques…

La donne change avec le Covid

L’arrivée du Covid a rebattu un peu les cartes. Si les premières mesures coercitives ont conduit certains à évoquer un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, sous l’effet de la consolation de la couette, manifestement, il n’en fut rien.

La dépression collective induite par la succession de peurs inoculées, répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée, n’y est sûrement pas étrangère. La terreur d’une guerre nucléaire potentielle, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries bien organisées (pas d’huile ni de moutarde en France et les rayons pleins en Italie), l’explosion du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité : bref le pouvoir passe son temps à nous menacer du pire… Ajoutez à cela la dépendance aux écrans, qui remplacent de plus en plus les relations humaines. Et vous comprenez assez aisément pourquoi le baby-boom tant annoncé n’a pas eu lieu.

La vaccination a-t-elle accéléré le déclin ?

En France, l’Insee confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudo-vaccination.

« En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance, qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte de taux de vaccination de 85 % dans la population, s’est aggravée depuis le mois d’août, c’est-à-dire après la troisième dose. Pour l’instant, l’Insee ne donne aucune explication à cette baisse inquiétante pour l’avenir démographique du pays6. »

Les naissances repartaient en effet à la baisse dès mars 2022, avec un peu moins de naissances entre mars et juillet 2022 qu’entre mars et juillet 2020. En août 2022, il y a eu en revanche un peu plus de naissances qu’en août 2020. Mais en septembre 2022, les naissances repartent à la baisse, avec 4 % de bébés en moins qu’en septembre 2020, quand l’évolution des naissances n’était pas encore affectée par la pandémie de Covid-19.

La baisse s’intensifie en octobre, avec 6 % de bébés en moins qu’en octobre 2020. Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2 100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de Covid. Ils n’ont été que 2 000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Le phénomène est très inquiétant…

Ailleurs dans le monde, même refrain ?

L’Australie a elle aussi enregistré une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés78. D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. Le mois suivant, de novembre à décembre, le nombre de naissances a diminué de 63 %.

« Décembre tombait environ neuf mois après le lancement des vaccins Covid », note D. James de Life-SiteNews à propos de cette période charnière qu’est la grossesse.

Le Dr L. McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patientes après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed9, le taux de fausses couches chez les patientes de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes vaccinées, il a atteint 74 %.

Taïwan a également connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.

Aux États-Unis, ces 3 phénomènes inédits

Selon Brighteon.TV, les chercheurs N. Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins, au-delà même du simple échec de la reproduction.

Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme et la fonction prostatique, et de fertilité féminine. La Food and Drug Administration a même été informée à ce sujet dès le 1er avril 2021, sans aucune réaction. Des échographies ont révélé une inflammation et des calcifications anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection, de même que des anomalies du pénis reconnues par Pfizer dans ses documents internes. Un taux actuel de 87,5 % de fausses couches a été révélé sur le VAERS10. La FOIA (agence américaine pour la liberté d’information11) révèle que Pfizer et les agences de régulation ont caché (ou en tout cas largement minoré) les dangers réels de l’injection contre le Covid pendant la grossesse, alors qu’ils avaient conscience que cela augmentait le risque de malformations congénitales et d’infertilité.

Cette fraude et cette tromperie auraient causé au moins 4 113 décès fœtaux dus à la vaccination contre le Covid-19 rien qu’aux États-Unis contre 2 239 décès fœtaux signalés au VAERS au cours des 30 années précédant les injections contre le Covid-19…12 Rappelons que le VAERS ne représente que 1, 2 ou 3 % des cas réels — en raison des non ou sous-déclarations. Si l’on multiplie le chiffre officiel par 40, qui est le facteur de sous-déclaration le plus souvent utilisé, il s’agirait probablement de 140 000 morts fœtales13.

Quant à l’allaitement des bébés par des mères vaccinées, il pourrait également aggraver le risque de mortalité périnatale. « De faibles niveaux transitoires d’ARNm du vaccin ont été détectés dans le sérum des mères vaccinées avec un transfert occasionnel dans leur lait maternel14. » Or, depuis au moins 2015, la FDA sait que les produits géniques sont excrétés15.

Pfizer et les agences savaient également que l’étude limitée sur les animaux montrait un risque important pour le fœtus en développement, mais ils ont activement choisi de supprimer cette information des documents publics.

Cette information a été révélée grâce à une demande d’accès à l’information américaine (FOI) adressée au Government Department of Health par la Therapeutic Goods Administration (TGA) du gouvernement australien.

Alors corrélation, causalité ou simple coïncidence ?

Bien sûr, les premières interprétations furent traitées de « complotistes » — comme si on pouvait légitimement faire confiance aveuglément à ces castes corrompues. Une analyse plus fine des données semble malheureusement conforter l’idée du rôle causal des injections géniques dans la baisse de la natalité des pays injectés et singulièrement en Suisse.

« Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. » Ensuite, en comparant entre les régions, « on constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %)16. »

Un avocat suisse demande d’ailleurs la suspension définitive de cette injection génique au regard des dégâts notoires chez les enfants17.

Et maintenant ?

Le rôle de la pseudo-vaccination anti-Covid dans la baisse de la natalité et la mortalité néonatale semble statistiquement démontré à travers cette analyse qui ne saurait être exhaustive pour les besoins d’un court article. Toutefois, une analyse des données sur les taux de natalité dans les pays européens montre une baisse significative (pouvant atteindre 19 %) des naissances vivantes chez les 18-49 ans neuf mois après le début des vaccinations Covid, tout particulièrement dans les pays à taux de vaccination élevés.

En tant que pédiatre, permettez-moi d’être particulièrement inquiète. Il faut stopper toutes ces injections au plus vite, non seulement celles contre le Covid, mais aussi celles contre la rougeole, la grippe ou le cancer qui seraient basées sur la technologie ARNm.


 

ET L’ANALYSE DE L EXCELLENT PATRICE GIBERTIE dès 2022

 

Nouveau Monde — La « vaccination » c’est bon pour les affaires, mais pas pour les bébés : effondrement de la natalité 9 mois après le début des injections (nouveau-monde.ca)

La « vaccination » c’est bon pour les affaires, mais pas pour les bébés : effondrement de la natalité 9 mois après le début des injections

INJECTIONS GENIQUES CHEZ LES ENFANTS 24 NOV 22 PDF

03/09/2022 (2022-09-03)

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Sandrine Rousseau sera heureuse, les injections mettent à mal la virilité et la fertilité !

Encore une excellente analyse de nos amis suisses Data Héros, retransmise par le collectif de médecins suisses

Collectif Sauver la Science

@GabinJean3

Situation au 25.08.2022
Analyse complète des taux de natalité dans 18 (23) pays européens avec des preuves significatives du lien entre la vaccination et la baisse du taux de natalité

Natalité :

« Une baisse significative des naissances caractérise le premier semestre 2022. Dans 15 pays, cette baisse est supérieure à 4 %, et dans 7 pays, supérieure à 10 %. »

Est-elle liée aux campagnes de vaccination covid ?

« Une corrélation négative significative entre la baisse des taux de natalité et la fréquence des vaccinations est constatée dans 14 des 18 pays. »

Attention: rho de Spearman = basé sur le rang, pas sur les données chiffrées.

Le cas de la Suisse est l’une des plus spectaculaires. La baisse de la natalité y est massive, et intervient dans une période qui correspond très bien à la vaccination des femmes en âge de procréer avec un décalage de 9 mois.

Si l’on prend du recul historique, la baisse reste absolument spectaculaire en Suisse. En temps ordinaire, médecins, statisticiens, psychologues, sociologues devraient tous être sur le coup pour comprendre ce qui explique cette baisse de la natalité en Suisse et en Europe.

Nos biologistes et profs de médecine préférés (Tatianna et Papanours) en rajoutent : la protéine spike ce n’est pas bon du tout pour les spermatozoïdes et la reproduction :

Bioweapon : Preuves solides de la capacité à infecter le sperme humain in vitro, l’expression de molécules telles que ACE2, BSG, CTSL et TMPRSS2 et leur rôle dans l’entrée virale dans les cellules hôtes des testicules humains tout comme le sperme éjaculé :
https://mdpi.com/2073-4409/11/17/2631

Papanours

Ces ACE2 existent aussi (Douglas et al., 2004) : — sur les ¢ de Sertoli (¢ de soutien à rôle nourricier vis-à-vis des futurs spermatozoïdes, tapissant la paroi des tubes séminifères du testicule, elles sont l’équivalent chez la femme des ¢ folliculaires=cellules de la granulosa)

 

@papanours60

– sur les ¢ de Leydig (=¢ interstitielles qui par le biais de la sécrétion de 85 % de la testostérone — reste provenant des surrénales —, contrôlent dév. + maintien des caractères sexuels 1aires et 2aires + fonctionnement de l’appareil repro. masculin + comportement sexuel.)

 

for true and humane medicin
@tatiann69922625  nous annonce en prime la présence d’un toxique fortement cancérigène dans le Moderna, l’Antimoine…

MAIS REVENONS À LA NATALITÉ

Il y aurait de l’antimoine dans le  Moderna covid :
https://documentcloud.org/documents/22140176-report-from-working-group-of-vaccine-analysis-in-germany…

« Les découvertes sont importantes, car l’antimoine est un élément toxique et il faut clarifier quelle est sa fonction dans le vaccin COVID-19 de Moderna ou s’il s’agit d’un contaminant indésirable. »

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2023 12 8 la resistance paye nouveau monde

Les Français doutent du Gardasil, le refusent largement : il faut continuer à informer !

12/12/2023 (2023-12-12)

Par Dr Delépine

Le gardasil n’a jamais démontré son utilité contre les cancers du col ou de l’anus, qui se développent lentement sur des décennies. Son efficacité contre les infections à papillomavirus (HPV) n’a que peu d’intérêt contre une contamination qui guérit spontanément chez 90 % des gens. Ses potentielles complications (perte de la fertilité, accidents neurologiques, etc.) et son énorme coût financier plaident pour un abandon de cette vaccination et surtout un renoncement à toute obligation et/ou pression sur les familles.

Mise à jour :

Gardasil 2023-24: Alertes et Responsabilités

(…)

Depuis le début de la campagne généralisée avec le Gardasil-9, des associations et des médecins alertent les parents, les personnels de l’éducation nationale, les personnels et organismes de santé et leurs Ministères de tutelle, ainsi que les élus sur un grave manque d’informations claires et loyales concernant ce vaccin et ses conséquences:

Quelle est l’efficacité connue de ce vaccin Gardasil-9 contre le cancer du col de l’utérus ?
Quels sont ses bénéfices en regard des risques possibles d’effets secondaires graves, voire de décès, comme cela est indiqué dans la notice américaine du vaccin ou encore d’après les notifications dans les bases de pharmacovigilance ?
N’est-il pas légalement obligatoire d’informer chaque parent de ces risques ?
Le déroulement de la campagne dans les collèges respecte-t-il cette obligation d’informer les parents de façon appropriée  (notamment sur les pertes de connaissances et autres conséquences indésirables possibles ) ?
Des consignes de surveillance et de sécurité suffisantes en « per injection » sont-elles respectées pour les collégiens ?
Ces questions et de nombreuses autres se posent. Certaines ne sont pas nouvelles et font suite au travail d’associations de victimes et de médecins de terrain qui informent et alertent depuis plus de 15 ans. Dans de nombreux pays, les données des registres des cancers sont publiques et permettent d’analyser s’il y a un bénéfice réel à vacciner en masse des enfants et jeunes adultes.

Devant le silence assourdissant des médias officiels et des autorités de santé, nous avons essayé de répondre à une quinzaine de questions afin que tous les parents puissent s’informer de façon libre et éclairée et ainsi puissent exercer, en toute connaissance de cause, leur consentement ou leur refus que l’on vaccine leur enfant en milieu scolaire. (…)

 

 

Depuis le coup de Jarnac, où le président s’est transformé en représentant de commerce du Gardasil, toutes les agences de l’État, les médias et même la sécurité sociale font la propagande de ce vaccin en n’hésitant pas à mentir, sans limites.

L’une des « désinformations » les plus diffusées par ces propagandistes concerne l’Australie où ils prétendent : en Australie, le succès de la campagne de vaccination contre les HPV, associée au dépistage du cancer du col de l’utérus, ouvre la perspective d’une éradication du cancer du col de l’utérus d’ici une quinzaine d’années.

Pour vérifier qu’il s’agit d’une fake news, il suffit d’interroger l’agence sanitaire australienne en demandant sur internet « https://www.canceraustralia.gov.au/cancer-types/cervical-cancer/statistics » et en précisant comme langue « français ». On obtient alors le nombre de cancers du col (942 en 2022 contre 727 en 2006) et la courbe d’incidence de ce cancer qui montre que depuis la vaccination, l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus n’a plus baissé depuis la vaccination alors qu’elle avait diminué de plus de 50 % à l’ère du dépistage seul entre 1987 et 2006 (de 14,2 à 7,1).

Et surtout dans le groupe d’âge le plus vacciné on observe une augmentation d’incidence de 15 % entre 2006 (7,9/100 000) et 2019 (9,1), dernière date analysée par groupe d’âge en décembre 2023.

Comment tous ces médias et agences peuvent-ils être aussi ignorants ?

Mentent-ils volontairement ?

Et ils diffusent bien d’autres fausses informations sur d’autres pays pour faire croire à l’efficacité anticancéreuse du Gardasil, alors que les faits publiés par les agences officielles et les registres du cancer démontrent le contraire.

Le Royaume-Uni a été le second pays à généraliser la vaccination des jeunes filles à l’école en 2008. Un article mensonger récent mélangeant allègrement vrais cancers invasifs et dysplasies bénignes, très largement diffusé par les médias, proclame fièrement : « vaccin anti-HPV: quasi-élimination du cancer du col utérin en Angleterre ». Mais fin 2022, l’agence officielle « Cancer research UK » (CRUK) affirme sur son site : « dans la dernière décennie, l’incidence du cancer du col est restée stable » et annonce une incidence standardisée de cancer invasif de 9,6/100 000 (supérieure de 50 % au taux français actuel) ainsi que l’illustre ce graphique.

L’analyse par groupe d’âge objective une diminution franche d’incidence chez les femmes âgées, non vaccinées qui ont globalement poursuivi le dépistage cytologique.

À l’opposé, le groupe des 25-34 ans, le plus vacciné, souffre d’une augmentation d’incidence des cancers invasifs passée de 16/100 000 en 2007 à 19/100 000 en 2016 – 2018, dernière période publiée.

 

Cette inefficacité anticancéreuse du Gardasil est également observée dans les pays scandinaves. Elle est dénoncée depuis maintenant plus de cinq ans.1

En Suède, grâce au dépistage cytologique une diminution de 66 % de l’incidence standardisée des cancers invasifs avait été observée de 24/100 000 (en 1965) à 8/100 000 (en 2011). La généralisation de la vaccination à l’école, au contraire, a été suivie d’une augmentation de l’incidence standardisée globale des cancers invasifs de 7 en 2006 – 2009 à 11,5 en 2014–2015 (p <0.03),et même 13 en 2021 y compris dans le groupe d’âge le plus vacciné celui des 25-34 ans.

En Norvège, la vaccination scolaire a été commencée en automne 2009 pour les Norvégiennes. Contrairement aux articles écrits par des auteurs trop liés aux labos, qui claironnent les bénéfices supposés de la vaccination anti HPV, la consultation du registre norvégien du cancer2 montre que l’incidence standardisée sur l’ensemble de la population de ce cancer est passée de 12,1/100 000 en 2007-2011 à 13,5 en 2017-2021 et surtout qu’elle a augmenté de 30 % dans le groupe de femmes les plus vaccinées.

En Finlande même phénomène

Globalement, dans tous les pays qui l’ont instauré, la vaccination anti-HPV s’est révélée efficace sur les souches de virus visées, les verrues et les dysplasies cytologiques, mais avec 16 ans de recul s’est jusqu’ici révélée inefficace sur les cancers invasifs.

Même si elle était totalement efficace contre le cancer et sans danger la vaccination anti hpv ne serait pas justifiée !

En particulier chez les garçons où le cancer anal est rarissime (350 cas annuels en France d’après l’INSERM3), bénéficie de traitements efficaces et ne touche dans la quasi-totalité des cas que des homosexuels passifs et surtout lorsqu’ils sont atteints du SIDA.

Cette vaccination inefficace contre le cancer expose de plus à des complications !

Les brûlures cutanées dont ont tout récemment souffert 7 élèves d’Agde

Et Le décès d’un collégien à Nantes vient de rappeler qu’aucune vaccination ni qu’aucun médicament n’est dénué de risque4. Cette mort après Gardasil n’est pas unique : fin décembre 2019, aux USA le VAERS recensait 523 décès et une quantité d’effets secondaires qui ont motivé plus de 100 plaintes en justice aux USA et des manifestations dans de nombreux pays.

L’inefficacité du Gardasil contre les cancers, voire sa nocivité paradoxale et ses nombreuses complications dont certaines très graves témoignent d’une balance avantage/risque franchement défavorable qui justifie d’arrêter cette vaccination, et au minimum de ne pas l’imposer via des campagnes scolaires et de laisser à chaque famille le loisir d’en discuter avec son médecin personnel afin d’obtenir une information claire et objective d’où un possible consentement éclairé.

Mais depuis la crise covid durant laquelle nos gouvernants, toutes leurs agences et les médias ont menti sans arrêt pour nous imposer des injections expérimentales qualifiées abusivement de vaccins dont chacun a pu constater autour de soi l’inefficacité et la toxicité, les Français sont devenus moins crédules. Ils se renseignent au lieu de se précipiter lorsqu’on leur annonce qu’un vaccin est nécessaire, sûr et efficace.

Et les informations que les résistants, les collectifs de parents, soignants, etc. ont su transmettre autour d’eux ont été efficaces : au 31 octobre 2023, après deux mois de campagne de vaccination scolaire, seulement 20 000 collégiens (2,5 % de la population ciblée) ont été vaccinés en France.

Ce n’est qu’un début, continuons sans relâche le combat contre la propagande mensongère du Gardasil, car l’information via des conférences, mais surtout des tracts distribués individuellement à la sortie des écoles, des marchés, des magasins est efficace ! Ne nous décourageons pas, car la campagne mensongère continue comme en témoignent des invitations à des conférences par les officiels pour tenter d’imposer ce vaccin inutile aux enfants.

 


 

 

2024 01 10 Le parisien et elsa marie mentent

 

 

12/01/2024 (2024-01-12)

[Publication initiale : francesoir.fr]

Par Gérard Delépine

Dans un article récemment publié dans Le Parisien, l’absence de neutralité de la journaliste Elsa Mari est évidente dans son analyse de l’actuel échec de la campagne scolaire de vaccination par Gardasil. Elle se contente de répéter les déclarations trompeuses d’experts étroitement liés à l’industrie pharmaceutique.

Elle cite en exemple « l’Australie, qui table sur une quasi-disparition du cancer du col de l’utérus d’ici 2035 » sans préciser que l’article qui le prétend n’est qu’une simulation publicitaire établie sur des hypothèses fausses, et elle ne consulte pas non plus les données de l’agence officielle australienne.

Dans le monde réel, depuis la campagne de vaccination scolaire, le nombre annuel de cancers invasifs a augmenté de 25 % passant de 756 en 2007 à 942 en 2022 :

Et l’incidence globale standardisée, qui corrige les modifications liées au vieillissement et à l’augmentation de la population, ne diminue plus, se stabilisant autour de 7,2/100 000 :

Même dans le groupe d’âge des 25-34 ans, le plus vacciné, l’incidence des cancers invasifs est passé de 7,9/100 000 à 9,1 :

Sur la base de ces données, comment peut-on y voir une « quasi-disparition du cancer du col de l’utérus » ?

La journaliste prétend aussi que « l’annonce du président de vacciner les collégiens contre le papillomavirus à la rentrée avait fait briller les yeux des médecins »alors qu’elle ne réjouissait que les médecins liés au laboratoire et ceux qui vivent des vaccinations (pédiatres et gynécologues).

Cet article du Parisien prétend encore que « l’Australie fait rêver l’Hexagone » et nous décerne « un bonnet d’âne » pour notre réticence à cette vaccination qui nous placerait loin derrière l’Angleterre, l’Italie, le Portugal, l’Espagne, la Suède, les Pays-Bas.

Mais elle cache que l’incidence du cancer invasif du col dans tous ces pays apôtres du Gardasil dépasse celle de France (6/100000) : 7,1/100 000 en Australie, 6,4 en Italie (en 2017)1, 6,9 aux Pays-Bas.

Il est invraisemblable de la voir citer des pays où le risque de cancer invasif du col est de 67 % à 170 % supérieur au nôtre, tel que le Royaume-Uni (10/100000), la Suède (10,4/100 000), ou le Portugal, champion du Gardasil, mais aussi du cancer du col avec une couverture vaccinale dépassant les 80 % et une incidence de cancer du col atteignant 16,2/100 000.

Tout comme les lobbys pro-Gardasil et les médecins trop liés à l’industrie pharmaceutique, la journaliste préfère prendre comme critère d’efficacité d’une campagne de vaccination le pourcentage de vaccinées à l’incidence du cancer du col dans la population !

Elle rapporte encore les regrets de Xavier Carcopino2 qui accuse « l’autorisation des deux parents d’avoir complexifié l’accès de leur enfant à la piqûre » sans rappeler qu’il ne s’agit que de l’application de l’autorité parentale qui instituent les parents coresponsables du bien-être de leur enfant mineur.

L’article répète mot pour mot le slogan des injections Covid : « Ce vaccin est efficace et sûr, on a un excellent recul » alors que le Gardasil, efficace contre les infections aux souches de HPV du vaccin (9 sur plus de 150 !), n’a toujours pas prouvé son efficacité contre le cancer 17 ans après sa mise sur le marché, et que de nombreuses manifestations dénonçant ses graves complications ont eu lieu dans de nombreux pays :

Et enfin que des procès en class action dénonçant les mensonges de Merck se tiennent actuellement aux USA, rassemblant les plaintes de centaines de victimes.

La parole est donnée à Daniel Floret 3 qui tente d’innocenter le vaccin anti-hépatite B des complications neurologiques marquées par une augmentation de 65 % de SEP après le pic de vaccination contre l’hépatite B en 1994. Vaccin dont la responsabilité a été reconnue par la justice française et européenne par les arrêts de la cour administrative d’appel de Lyon (du 4 mai 2016), de la Cour de cassation (9 Juillet 2009) et le pourvoi n° 08-11.073 de la Cour de justice de l’Union européenne du 21 juin 2017.

Sans compter que ce vaccin anti-hépatite B, présenté comme moyen d’éviter le cancer du foie, a été suivi dans tous les pays occidentaux qui l’ont rendu obligatoire, du triplement (voire plus) de l’incidence du cancer qu’il était censé prévenir, comme en France :

Le dramatique résultat de la première vaccination présentée comme anti-cancéreuse justifie donc la plus grande prudence !

L’échec de la campagne de vaccination Gardasil ne provient pas de l’ignorance de la population mais, depuis la catastrophe Covid, de sa prise de conscience que les autorités sanitaires mentent fréquemment pour nous imposer par tous les moyens des vaccins et traitements aux bénéfices incertains et aux complications nombreuses qu’elles nient ensuite opiniâtrement.

La soi-disant « malédiction française » contre le Gardasil est la conséquence de la prise de conscience croissante des mensonges du gouvernement et de la presse.

Redonner confiance à la population nécessite une transparence complète. Créer des pseudo-comités scientifiques protégés par le secret-défense, refuser de rendre publics les contrats d’achat des vaccins et nier les complications reconnues dans les pays étrangers décrédibilise totalement la parole de l’État et la confiance dans les vaccins.

De même le plaidoyer pro-Gardasil d’Elsa Mari qui ne donne la parole qu’à des témoins pro-vax et ne se réfère pas aux faits établis, comme les chiffres publiés par l’OMS, décrédibilise le Parisien et participe à la chute des ventes.

Comme l’aurait affirmé le président Abraham Lincoln : « On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. »


1 National burden of cancer in Italy, 1990–2017: a systematic analysis for the global burden of disease study 2017.2 Présid2024 01 10 Le parisien et elsa marie mentent2024 01 10 Le parisien et elsa marie mententent de la société française de colposcopie et de pathologie cervico-vaginale dont les membres vivent en partie de l’administration du vaccin.

3 Qui a touché près de 80 000 euros, d’Alliance Healthcare, 43 900 euros, d’UTIP, 33 650 euros, du Collège des hautes études de Médecine 1600 euros, mais aussi de IP SC : BioMERIEUX, Sanofi, Pasteur MSD, Cemka Eval, Abbott Synagis…

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dysphorie de genre et enfance sacrifiee DIJON 13 JANVIER 24

 

merci à réaction19 et reinfobourgogne pour cette conférence à 4 mains  qui nous a permis de parler à nouveau du danger qui guette tous les enfants français de la maternelle au collège via les séances obligatoires d’éducation sexuelle, incluant la théorie du genre,

puisqu’il s’agit de lutter contre les « stéréotypes » c’est à dire contre l’évidence de bon sens qu’il existe deux sexes depuis des millénaires

 

le diaporama est visible en cliquant sur le lien ci-dessus

INFORMEZ VOS PROCHES  VOS ASSOCIATIONS VOS AMIS ET RELATIONS

ON NE PEUT PAS LAISSE CASSER LES CERVEAUX DES ENFANTS PAR DES DISCOURS ET DES IMAGES PROCHES DE LA PEDOPHILIE

 

 

 

distribuez des tracts comme ceux ci-dessous  surtout à ceux qui ne fréquentent pas les réseaux sociaux et peuvent ignorer ces horreurs  MERCI A TOUS  PROTEGEZ NOS ENFANTS

Flyer Ed Sexualité recto Flyer Ed Sexualité verso

 

Ces violences psychiques entrainent des stress traumatiques peu curables  et compromettent l’avenir des enfants soumis à ces « séances d’éducation sexuelle »

 

 

 

 

 

 

Couv Dysphorie de genre

L’idéologie contre la science et la médecine

23/12/2023 (2023-12-23)

[Source : Chaîne officielle TVL]

Nicole Delépine est pédiatre et oncologue en retraite, Gérard Delépine est chirurgien orthopédiste et oncologue en retraite. Après une vie professionnelle marquée par un engagement total au service des malades et tout particulièrement des enfants, ils poursuivent inlassablement leur mission pour alerter le plus grand nombre sur les dangers qui menacent tous les pans de la santé publique.

Leur dernier ouvrage, Dysphorie de genre, publié aux Éditions Fauves, (disponible ici 📖 https://boutiquetvl.fr/notre-selection/nicole-et-gerard-delepine-dysphorie-de-genre) n’échappe pas à la règle. Il est un manuel pour comprendre, décrypter et résister à la propagande woke qui contamine les écoles et déboussole les enfants jusqu’à leur nuire dans leur être profond.

À l’heure du relativisme, de la corruption généralisée, des études tronquées et caviardées, d’une science idéologisée et d’une médecine mise en coupe réglée par l’État, ils publient un livre édifiant sur les ravages de la promotion de la dysphorie de genre.

Nicole Delépine et Gérard Delépine expliquent combien le seul souci fondamental d’un bon médecin doit être la prise en charge du patient dans sa singularité, dans une atmosphère de confiance totale, seul principe lui permettant ensuite de donner son consentement éclairé.

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Nouveau Monde — Conférence Dr Nicole Delépine : STOP au sabotage de l’école et à la sexualisation de l’enseignement (nouveau-monde.ca) juillet 23

 

Il est question dans cette intervention de la dangereuse dérive de l’Éducation nationale, de l’école publique, qui perd le nord, qui ne remplit plus sa mission d’instruction publique auprès des nouvelles générations. C’est un véritable sabotage du pilier central de toute civilisation, l’enseignement des enfants, avec une chute spectaculaire du niveau scolaire et du classement international de l’école française. Et comme ce n’est pas suffisant, il fallait que les autorités politiques introduisent dans cette école en perdition l’enseignement de la sexualité aux plus jeunes ! Le Dr Nicole Delépine tente de sensibiliser la population sur le danger de cette dérive en l’informant et en la poussant à réagir.

(Vidéo 47 min)

 

 

 

 

 

 

 

 

LE TOTALITARISME IMPOSE AUX ENFANTS ET THEORIE DU GENRE OCT 2023

 

dysphorie de genre et enfance sacrifiee ANTIBES 4 NOV 23

 

 

 

Carta ao Presidente LULA e aos cidadãos brasileiros alertando sobre os perigos das injeções de Covid-19 em crianças

Prezado Sr. Presidente

Ficamos chocados e muito tristes ao saber que o senhor pretende impor a injeção experimental de Covid em crianças de um a cinco anos de idade a partir de 2024.

Portanto, parece muito provável que o senhor tenha sido mal informado, pois, independentemente de suas convicções políticas, não se pode injetar injeções em crianças para nada (a Covid as expõe a menos complicações do que a gripe) e, assim, colocá-las em risco de doenças cardíacas, câncer ou outras patologias, ou até mesmo a morte.

Portanto, gostaríamos de lhe fornecer alguns detalhes que provavelmente foram ocultados e que esperamos que lhe permitam reverter essa decisão desastrosa.

1) A infecção por Covid-19 não é perigosa para crianças. Isso tem sido regularmente demonstrado em todos os artigos médicos publicados em revistas especializadas, reiterado pela imprensa internacional e pela OMS, e ilustrado por este gráfico da Santé Publique France:

Portanto, a criança não pode esperar nenhum benefício pessoal dessa injeção anticovid.

2) As injeções anticovid são ineficazes: elas não protegem contra doenças, transmissão ou morte.

Os dados globais da OMS sobre esse assunto são demonstrativos, uma vez que o uso generalizado de pseudovacinas foi seguido por um aumento de 6 vezes na taxa mensal de infecção.

No Brasil, a falha das vacinas em evitar a contaminação é óbvia se compararmos a evolução da epidemia no Brasil com as da Argélia, Madagascar e África, onde o tratamento precoce com antimaláricos foi utilizado e as injeções foram muito pouco usadas.

A política de “todas as vacinas” e a incapacidade das vacinas de proteger contra as formas graves da doença levaram o Brasil à 12ª maior taxa de mortalidade por milhão de pessoas no mundo (3.260 por milhão em 13/12/2023), no mesmo nível da Itália (3.267 por milhão) e do Reino Unido (3.438 por milhão), e de 20 a 100 vezes mais alta do que as taxas observadas na Argélia (153 por milhão), Costa do Marfim (29 por milhão) e Madagascar (48 por milhão), onde os níveis de vacinação são muito baixos.

As pseudovacinas contra a covid-19 se mostraram dramaticamente ineficazes contra a transmissão e a mortalidade da covid-19. A injeção em crianças não pode, portanto, reduzir a contaminação na população nem proteger as pessoas vulneráveis.

3) As injeções experimentais são prejudiciais a muitas crianças que não corriam o risco de contrair a covid-19.

Em 2021, o VAERS informou que, entre 3 de novembro e 19 de dezembro, foram recebidas 4.249 notificações de eventos adversos após a vacina da Pfizer em crianças com idade entre 5 e 11 anos.

Até 24 de junho de 2022, quando as injeções não foram autorizadas para crianças menores de 5 anos, o VAERS já havia registrado quase 60.000 efeitos colaterais das injeções da Pfizer em crianças menores de 17 anos, incluindo mais de 1.500 reações alérgicas graves, quase 4.000 internações hospitalares, 1.335 infartos do miocárdio e 125 mortes:

Em 6 de maio de 2021, perante o Senado do Texas, a Dra. Angelina Farella declarou sob juramento:

“Nunca vimos esse nível de efeitos colaterais em uma vacina sem que a FDA tomasse providências”…” A vacina contra o rotavírus foi retirada por 15 casos de efeitos colaterais não letais e a vacina contra a gripe suína foi retirada por 25 mortes.

Mas agora, de acordo com os próprios dados do CDC, estamos vendo um aumento de 12.000% nas mortes com essas vacinas e eles ainda estão falando em administrá-las a nossos filhos… Devemos interromper sua administração imediatamente para salvar nossos filhos”.

Em 28 de novembro de 2023, durante um debate sobre o fornecimento de medicamentos na Primeira Comissão do Senado, o novo Ministro da Saúde e Proteção Social da Colômbia, Guillermo Alfonso Jaramillo, disse.

“Todos os colombianos vacinados [contra a covid-19] foram usados no maior experimento já realizado na história da humanidade. “Não podemos continuar a fazer experimentos com a comunidade colombiana.”

No Brasil, após o uso generalizado de vacinas anti-Covid, houve um aumento significativo na mortalidade por todas as causas, cronologicamente ligado às vacinas de reforço, suspeito de refletir sua toxicidade tardia.

Com praticamente nenhum risco de crianças morrerem de COVID-19 e um aumento significativo de mortes após essas vacinas, não há justificativa para essas injeções em crianças e muito menos para impô-las.

Ficamos à sua disposição, Senhor Presidente e caros cidadãos brasileiros, caso necessite de mais informações.

Dra. Nicole Delépine, oncologista

Dr. Gérard Delépine, oncologista

The original source of this article is Global Research

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Micheline Ladouceur

Vice-présidente du CRM, Rédactrice de Mondialisation.ca
Rédactrice des pages en italien et en portugais

Lettre au Président LULA et aux citoyens brésiliens pour les alerter sur des dangers de l’injection Covid-19 pour l’enfant

 

 

7 1 4 13

Monsieur le Président, 

Nous avons appris avec stupeur et grande tristesse que vous comptiez imposer l’injection expérimentale contre le Covid aux enfants âgés d’un à cinq ans à partir de 2024.

 Il semble donc hautement probable que vous ayez été désinformé, car quelles que soient vos convictions politiques, vous ne pouvez pas faire injecter les enfants pour rien (le Covid les expose à moins de complications que la grippe) et leur faire ainsi courir les risques de pathologies cardiaques, cancéreuses ou autres ou même de décès.

Nous nous permettons donc de vous adresser quelques précisions qui vous ont probablement été cachées et qui nous l’espérons vous permettront d’annuler cette funeste décision.

1) L’infection Covid 19 n’est pas dangereuse pour l’enfant. Cela a été régulièrement démontré dans tous les articles médicaux publiés dans des revues à comité de lecture, rappelé par la presse internationale et l’OMS  et illustré par ce graphique de Santé Publique France :

Un enfant ne peut donc espérer aucun bénéfice personnel de cette injection anti-Covid.

2) Les injections anti-covid sont inefficaces : elles ne protègent ni de la maladie et ni des transmissions ni de la mort. 

Au niveau mondial, les données de l’OMS sont à cet égard démonstratives puisque la généralisation des pseudo vaccins a été suivie par une multiplication par 6 du rythme mensuel des contaminations. 

Au Brésil l’échec des vaccins contre les contaminations est évidente si on compare l’évolution de l’épidémie au Brésil à celles de l’Algérie, de Madagascar et de l’Afrique qui ont utilisé les traitements précoces par antipaludéns et infiniment peu les injections.

La politique du « tout vaccin » et l’incapacité de ceux-ci à protéger des formes graves a propulsé le Brésil au 12ème rang des mortalités par million les plus fortes du monde (3260/M au 13/12/2023), au même niveau que l’Italie (3267/M) ou le Royaume-Uni (3438/M) et 20 à 100 fois plus élevée que celles observées en Algérie (153/M), Cote d’Ivoire (29/M) ou Madagascar (48/M) très peu vaccinés. 

Les pseudo vaccins covid se sont révélés dramatiquement inefficaces contre la transmission du covid et sa mortalitéInjecter les enfants ne peut donc ni diminuer les contaminations dans la population ni protéger les personnes fragiles.

3) L’injection expérimentale est nocive pour de nombreux enfants qui ne risquaient rien du covid

Dès 2021 le VAERS avait signalé qu’entre le 3 novembre et le 19 décembre 4249 rapports d’évènements indésirables post vaccin Pfizer avaient été signalés chez des enfants âgés de 5 à 11 ans.

Au 24 juin 2022, alors que les injections n’étaient pas autorisées au moins de 5 ans, le VAERS recensait déjà près de 60000 effets secondaires des injections Pfizer chez les moins de 17 ans dont plus de 1500 réactions allergiques sévères, près de 4000 hospitalisations, 1335 myocardites et 125 décès : 

Le 6 mai 2021, devant le Sénat du Texas le Dr Angelina Farella, a déclaré sous serment  :

 « Nous n’avons jamais vu un tel niveau d’effets secondaires pour un vaccin sans que la FDA ne prenne des mesures »… « Le vaccin contre le rotavirus a été retiré pour 15 cas d’effets secondaires non létaux et le vaccin contre la grippe porcine a été retiré pour 25 décès. 

Mais maintenant, selon les propres données du CDC, nous constatons une augmentation de 12 000 % des décès avec ces vaccins et ils parlent toujours de le donner à nos enfantsIl faut stopper immédiatement son administration pour sauver nos enfants ».

Le 28 novembre 2023, lors d’un débat sur l’approvisionnement en médicaments au sein de la Première Commission du Sénat, le nouveau ministre colombien de la santé et de la Protection sociale, Guillermo Alfonso Jaramillo a déclaré 

« Tous les Colombiens vaccinés [contre le covid-19] ont servi à la plus grande expérience jamais réalisée dans toute l’histoire de l’humanité. « Nous ne pouvons pas continuer à expérimenter avec la communauté colombienne.»

Au Brésil, après la généralisation des vaccins anti-Covid est apparue une surmortalité toutes causes confondues, importante et chronologiquement liée aux rappels vaccinaux suspectée de traduire leur toxicité retardée. 

Avec un risque quasiment nul que les enfants meurent du COVID-19 et une augmentation importante des décès après ces vaccins et, il n’y a aucune justification pour de telles injections chez l’enfant et encore moins de leur imposer.  

Nous restons à votre disposition, Mr le Président et chers citoyens brésiliens pour tout complément d’information qui s’avèrerait nécessaire.

Dre Nicole Delépine, cancérologue

Dr Gérard Delépine, cancérologue


 


 

Emission spéciale : Doctothon, 2 ans déjà ! (youtube.com)

 

doctothon replay crowdbunker 2 ans deja – Bing video

 

 

 

 

A l’occasion du second anniversaire du premier doctothon,  sympathiques témoignages des organisateurs du premier doctothon et de quelques médecins comme la grande combattante belge, la gynécologue Laurence Kayser , le pédopsychiatre belge Frédéric Goaréguer, le médecin luxembourgeois Benoit Ochs  et aussi Alexandre Henrion-Caude

et moi-même intervenant sur les urgences en santé actuellement dont l’interdiction indispensable des injections ARNm, les pressions sur le Gardasil, l’épouvantable vaxx Beyforus pour prévenir les bronchiolites qui aggrave la mortalité des nouveaux-nés et effectivement à interdire aussi !

Il faut également refuser le vaccin Gardasil inefficace et parfois toxique

enfin le combat contre la loi de censure qui devrait être votée par les sénateurs le 19 décembre 23

voir le petit diaporama ci dessous :

2023 12 12 Feu doctothon anniversaire diaporama

 

 

sur le plan juridique un exemple luxembourgeois

A noter le  très intéressant témoignage du DR Benoit Ochs qui explique ses déboires avec les juges luxembourgeois

le juge luxembourgeois a été récusé

le juge avait refusé d’écouter le dr Ochs .

Mais il a maintenant des magistrats de son coté

il donne un témoignage optimiste, très positif

2 à l’occasion d’une conférence de Pfizer, il a pu raconter que le pseudovax tue et du public a applaudi  et pense que le terrain progressivement se met au courant

 

 

 

 

 

 

 

ENGLISH VERSION FOR EUROPEAN REPRESENTATIVES

Dear European elected representatives,

We, the French citizens, would like to bring to your attention the Open Letter sent on November 5 to the various French Medical, Pharmaceutical, Midwifery and Nursing Councils concerning the HPV vaccination campaign in secondary schools.

Our children are what we value most. Our duty is to protect them from any health scandal.

We refuse to rush to vaccinate our children with a product whose undesirable effects have already been confirmed, for a hypothetical benefit.

Numerous lawsuits are underway, so let’s be wise enough to wait for the verdicts.

We are counting on your support to stop this vaccine madness.

We would be deeply grateful if you would take note of the many points in this Open Letter and take action to protect and help all our children.

We look forward to hearing from you.

Thank you in advance for your help.

Respectfully yours

 

HPV vaccination with Gardasil 9 Open letter

To the President of the National médical Council (Conseil National de l’Ordre des Médecins), Doctor François ARNAULT,

To the Vice-Presidents, Drs Marie-Pierre GLAVIANO-CECCALDI, Jean-Marcel MOURGUES, Gilles MUNIER, Jacqueline ROSSANT-LUMBROSO,

to all members of the Departmental, Regional and National Medical Councils (L’Ordre de Médecins),

to the management of the French Health Authority (HAS) Professor Lionel COLLET, and the governance of the regional health agencies (ARS)

to the national and regional pharmacist’s association (Conseil de l’Ordre des Pharmaciens),

to the National and regional midwifery boards (Conseil de l’Ordre des Sage-Femmes National et Départementaux),

to national and regional nursing boards (Conseil de l’Ordre des Infirmiers National et Départementaux),

to all Ministers,

to all elected representatives, MEPs, Senators, MPs, General and Departmental Councillors and Mayors of France.

 

Ladies and Gentlemen,

As ordinary citizens, we are aware of the undesirable and sometimes serious effects of Gardasil, which have led to lawsuits in several countries. As healthcare professionals concerned with the « primum non nocere » principle, you cannot ignore these adverse effects, despite the fact that over 90% of infections caused by Human Papillomavirus (HPV) disappear spontaneously, and that mortality from cervical cancer has an annual incidence of 0.006%.1 2

To say nothing or to deny them, as the current Minister of Health and Prevention, Mr. Aurélien Rousseau, is doing for the many victims of anti-Covid vaccines, is to be complicit in the new drama that has already begun.

After the illness of 22 schoolchildren at a school in Morlanwels, Belgium, and other cases reported in Colombia, in France, a schoolboy from Saint-Herblain (44) was in turn hospitalized, the victim of post-injection malaise. The teenager died on October 27, 2023.

On the EudraVigilance website (European database of adverse drug reaction reports) consulted on October 30, 2023, 10,108 adverse reactions were reported, including 58 deaths. 3

 

More than ever, the health of our children is your responsibility.

 

The brochures distributed to families by the French Ministry of Health and Prevention and the National Cancer Institute (Institut National du Cancer (INCa)) are silent on the adverse effects of Gardasil 9. They mention only an « excellent safety profile » and claim that « no link between these vaccines and autoimmune diseases has been demonstrated ».

Yet how can we ignore the many healthy young people who have now died (Adriana, Elodie, Marion…) or whose lives have been shattered as a result of previous, already aggressive Gardasil 4 vaccination campaigns?

France’s National agency for drug safety ( Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM)) and the European Medicines Agency (EMA) are publishing the adverse effects of this product, while the official leaflet sent to secondary schools completely ignores them.

The ANSM, in its recommendations to healthcare professionals, merely warns of anaphylactic shock and specifies that « certain adverse reactions may be serious or unexpected… ». Why not provide parents with full information?

 

The EMA, in the minutes of the multidisciplinary consultation meetings (RCP) concerning the Gardasil 9 package insert, notes on page 7 numerous and potentially very severe adverse effects: Guillain-Barré syndrome, acute disseminated encephalomyelitis, thrombocytopenic purpura, etc. The list is long, and only short-term effects are mentioned.

However, it is recognized that a large proportion of the adverse effects of vaccines occur over the long term. 4

Children are our most precious asset: we look after them every day, and demand that families receive appropriate information about an irreversible medical act that requires their free and informed consent.

As claims about doing everything to protect young people are circulating, the suffering in schools has never been greater.

The precautionary principle must prevail: our children must not be exposed to real and proven risks, a fortiori when the risk of cancer attributable to HPV is so low. What’s more, since Pfizer itself has stated that it is unaware of any possible interactions with other vaccines, it seems very unwise to continue administering Gardasil 9 (or other immunizing therapies, whatever the brand or indication) to people injected against Covid without further scientific information.5

 

Extending vaccination to boys, on the pretext of non-discrimination and protection against transmission, can only multiply these adverse effects.

How can we be confident when the EMA and Food and Drug Administration (FDA) leaflets diverge so widely on adverse effects for Gardasil 9 alone? 6-7

The EPI-PHARE organization has recognized in a study an aggravated risk of Guillain-Barré syndrome for this vaccine.

Numerous lawsuits are pending against the manufacturer, including in France. In the United States, a case of narcolepsy has just been recognized, that of young Trey Cobb, aged 14 at the time of the third injection.

The responsibility of the Merck laboratory has been established.

« Cobb’s medical expert successfully argued to the Judge that there is a homology between orexin and certain parts of the Gardasil vaccine, leading to cross-reactions, causing the destruction of orexin-producing neurons » and causing auto-immune narcolepsy with cataplexy, concluding in compensation 8.

We have already witnessed too many health scandals: contaminated blood, growth hormone, H1N1, Distilbene, hepatitis B, Mediator, Depakine, Vioxx… with Gardasil are we once again faced with a new scandal?

At the start of the anti-Covid 19 vaccination campaign, the health authorities claimed that anti-Covid 19 injections were safe and effective… and ignored the warnings of many…

It is also unacceptable that the many adverse effects associated with Hepatitis B vaccination have not yet been reported.

 

It’s time to stop this campaign

We urge you, in the name of the precautionary principle and respect for families’ freedom of choice, to widely disseminate fair, clear and appropriate information, rather than using propaganda and harassment.

We must all assume our responsibilities.

In countries that have systematically vaccinated in previous years, a resurgence in cervical cancer has been observed. Added to this is the negligence of people who believe themselves to be protected. In France, where a number of vaccine accidents had led to a low injection rate, there has been no resurgence of these cancers.

In fact, regular screening is the best and least expensive way to protect yourself.

In this regard, we remind you of Article 121-3 of the French Penal Code:

 

« […]  persons who have not directly caused the damage, but who have created or contributed to creating the situation which allowed the damage to occur, or who have not taken measures to avoid it, are criminally liable if it is established that they have either manifestly and deliberately violated a particular obligation of prudence or safety laid down by law or regulation, or committed a characterized fault which exposed others to a particularly serious risk which they could not have been unaware of. »

 

and article L1111-2 of the French Public Health Code:

« Every person has the right to be informed about his or her state of health. This information concerns the different investigations, treatments or preventive actions which are proposed, their usefulness, their possible urgency, their consequences, the frequent or serious risks normally foreseeable which they entail, as well as the other possible solutions and the foreseeable consequences in the event of refusal […]. When, after the investigations, treatments or preventive actions have been carried out, new risks are identified, the person concerned must be informed, unless it is impossible to find him or her. All healthcare professionals are responsible for providing this information, within the scope of their competence and in compliance with the professional rules applicable to them. Only in cases of urgency or impossibility of providing information may they be exempted.

 

It is your duty to report the adverse effects of Gardasil 9.

Failure to do so is tantamount to accepting misinformation by omission about side effects

and to be guilty by complicity.

The right or duty of reserve ceases to be legitimate when children’s health is at stake.

We appeal to you, guardians of ethics and good practice, not to condone the current scandal.

Open debate is essential, and a moratorium is urgently needed.

With the hope of finally being heard.

 

Co-signatories

 AIMSIB – Alliance Citoyens Libres – Alliances Citoyennes 79 – Antenne Reinfo 01/Pays de Gex – Association NEC MERGITUR 17 – Association SOS Libertés – Basic 37 – BOL D’AIR –

Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens – Collectif Liberté 07 –

Collectif Saintais – Collectif santé 44 – Collectif Santé Mauges – Collectif Soignants Résistants 85 – Comité de Soutien aux Parents en Presqu’île de Crozon – Corse Humanis – Corse Unis – Eveil Citoyen 47 – l’Ordre Universel des Praticiens de Santé – Les Masques Blancs – Liberté 78 – SOS Objectif Santé – Ligue pour la Liberté Vaccinale – Nopass 24 – Police Pour La Vérité – Reinfo les Collectifs –

Pour la Liberté de Choix 01/Reinfo Bourg 01 – Reinfocitoyens 91 – Reinfo Paris – Reinfo 49 – REVAV – Sport Sur Ordonnance Carcassonne – STOPALAMASQUARADE 44 – UNIC 67 – VERITY France

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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response from DR C Siret

Subject: Gardasil vaccination

Dear Sir/Madam

Paris, November 10, 2023

 

We have taken note of your email in which you wish to draw the attention of our Institution and the national authorities to the risks of serious side effects linked to HPV vaccination.

 

In several countries, HPV vaccination has made it possible to practically eradicate cervical cancer in women (e.g. Australia)

 

The benefit/risk ratio of HPV vaccination has been confirmed by the French National Authority for Health (HAS), and it is now up to the French National Agency for Medicinal Products (ANSM) to establish the causal link between these side effects and serious adverse events attributed to the Gardasil vaccine.

 

In view of these statistical and scientific results, which demonstrate real public health progress in the prevention of a serious disease such as cancer, the National Medical Association (le Conseil National de l’Ordre des Médecins) supports this vaccination which truly benefits the population it is aimed at.

 

The organization of this vaccination campaign is the sole responsibility of the French Ministries of Health and Education, whose priority is to protect French citizens from extremely serious diseases.

Yours sincerely

Doctor Claire SIRET

 

 

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Open letter to Dr Claire Siret, President of the Public Health Section of the French Medical Association (Conseil National de l’Ordre des Médecins)   from DR G DELEPINE

 

November 12, 2023

My dear colleague,

I am surprised by the terms of your letter of November 10, 2023 addressed to concerned citizens, and truly astounded by your belief in « the near-eradication of cervical cancer in many countries (e.g. Australia)”, which testifies to your unawareness of the official AIHW (Australian Institute of Health and Welfare) data on cervical cancer in Australia. I would therefore like to send you the official data which you will see completely contradicts your belief in the anti-cancer efficacy of Gardasil.

 

If you type in « https://www.canceraustralia.gov.au/cancer-types/cervical-cancer/statistics », you can check that in 2022, the estimated number of invasive cervical cancers reached 942, which is a long way from the « near-eradication » claimed, as attested by this screenshot:

This figure corresponds to a 30% increase since the introduction of Gardasil (in 2007, only 727 cervical cancers were reported).

 

You can also check that the standardized incidence of cervical cancer (which eliminates the influences of Australian demographics) has not decreased since 2006, when school vaccination was introduced, and that this incidence has stabilized above 7/100,000 since Gardasil vaccination.

 

 

 

In France, where vaccination coverage is low, the worldwide standardized incidence of invasive cervical cancer is, according to Santé Publique France, less than 6/100,000 – and fits into the WHO’s definition of a rare disease.

 

I don’t doubt your good faith, which has obviously been misled by the fallacious press releases from INCA (the national cancer institute) and HAS (the health authorities) that you quote, but the medical and scientific approach requires us all to always analyze the opinions submitted to us and verify the raw, indisputable data.

 

This increase in the incidence of cervical cancer since the introduction of Gardasil has been observed in all countries where school vaccination has been introduced, and particularly among women aged 25-34 by 2022, the age group most likely to be vaccinated for cervical cancer.

 

This is also true in Great Britain (you can check this by typing in: https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence#heading-Two)

 

 

 

But also in Scandinavian countries (Norway, Finland and Sweden), where the incidence of invasive cervical cancer has been rising in the most-vaccinated age group (25-34 year-olds) since the school vaccination campaigns, as you can check by typing in: https://nordcan.iarc.fr/en/dataviz/trends?cancers=190&sexes=1_2&populations=578&key=asr&mode=cancer&multiple_populations=0&multiple_cancers=1&age_start=5&age_end=6&years=2009_2021

 

 

 

It’s extremely sad to see INCa and HAS denying established facts and thus misleading the many doctors who put their trust in them, like yourself.

 

In addition, I would like to draw your attention to the fact that the statement « Australia is on the way to eradicating cervical cancer » is blatant fake news and, I fear,  may undermine your credibility.

 

I am, of course, entirely at your disposal to provide any clarification you may require on the paradoxical results of this vaccination, which is effective against infection and benign dysplasia, but not against invasive cancers, as explained in our recent book:

 

Yours sincerely

 

Dr Gérard Delépine Cancer surgeon and statistician

 

Appendix: Dr Claire Siret’s response letter to citizens’ groups