Cancer du col utérin et Gardasil : effet paradoxal, le vaccin augmente le taux de cancer chez les femmes vaccinées
Effet paradoxal du Gardasil, accélérateur de l’apparition de cancers du col utérin chez les jeunes femmes
en résumé :
Période pré-vaccinale et dépistage par frottis : diminution nette du nombre de cancers du col
Dans tous les pays qui ont pratiqué le dépistage par frottis, la période pré vaccinale de 1989 à 2007 a été marquée par une diminution très significative du taux standardisé d’incidence du cancer du col de l’utérus, avec un taux moyen de décroissance de 2.5 % entre 1989 et 2000 et un ralentissement de cette baisse à 1% (mais toujours significative) entre 2000 et 2007.
Période post-vaccinale : inversion de la tendance : depuis la vaccination, on observe, dans les pays qui ont mis en œuvre un programme de vaccination, un retournement de tendance avec augmentation significative de la fréquence des cancers invasifs dans les groupes les plus vaccinés.
Taux de vaccination élevé corrélé statistiquement à l’augmentation rapide du nombre de femmes atteintes de cancer du col.
Ainsi dans tous les pays qui ont atteint un taux de couverture vaccinale anti HPV élevée, les registres officiels du cancer révèlent une augmentation de l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus, qui apparaît 3 à 5 ans après le début de la campagne de vaccination et qui affecte exclusivement les groupes d’âge qui ont été les plus vaccinés.