Maître Jacques Schroeter: Vaccins Covid — Un peuple gravement trompé par ses autorités

Par Maître Jacques Schroeter     Mondialisation.ca, 03 novembre 2022

covidhub.ch      Région : L’Europe  Thème: Loi et JusticeScience et médecine

Analyses: COVID-19    

TOUT EST DIT ET BIEN DIT

A PARTAGER  A ENVOYER A TOUS LES DEPUTES ET SENATEURS FRANCAIS ET A TOUS ELUS

Lettre de l’avocat Jacques Schroeter au Conseil fédéral. Il accuse les autorités de déni face aux dégâts des mesures et des vaccins Covid. Et annonce des suites judiciaires possibles – notamment pour lésions corporelles et homicide.

Voici le texte intégral de la lettre adressée le 25 octobre 2022 au nom de 700 mandants par l’avocat valaisan au gouvernement. Intertitres de Covidhub.

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Maître Jacques Schroeter

Mesdames les Conseillères fédérales, Messieurs les Conseillers fédéraux,

Dans ma lettre du 24 août 2022, je vous demandais si le fait d’inoculer vos sujets d’une substance expérimentale pour laquelle vous n’aviez aucune connaissance sur les conséquences à long terme vous avait causé un cas de conscience et, si oui, ce que vous aviez fait de ce sentiment ?

A ce jour, je ne connais toujours pas votre point de vue sur le sujet. Mais nous y reviendrons plus loin.

Votre mensonge des «vaccins efficaces et sûrs à 95%»

Dans ma lettre suivante du 8 septembre 2022, je vous demandais si le fait d’avoir affirmé à vos sujets que vos pseudo « vaccins » étaient efficaces et sûrs à 95 %, alors que cela est un mensonge, et même un mensonge d’envergure, vous pose également un cas de conscience et, dans l’affirmative, si vous nourrissez quelques regrets d’avoir trompé vos administrés ?

Je n’ai pas plus de réponse de votre part à ce sujet.

L’absence de réponse serait-elle à mettre en rapport avec celle de la bonne conscience ? La question peut pour l’instant rester ouverte.

Comment avez-vous pu vous laisser embarquer… ?

Mais aujourd’hui, je me demande comment vous n’avez pas pu voir la réalité des choses? Comment le Conseil fédéral et les autorités cantonales ont pu se faire embarquer dans ce grand mensonge qu’est l’épidémie Covid ? Comment les autorités ont pu se laisser amener à instaurer toutes les mesures insensées prises au détriment du peuple ? Avec au final, l’espoir de voir ces autorités sortir de leur torpeur, prendre conscience de la gravité de la situation, changer de cap, œuvrer pour le bien des citoyens et assumer les responsabilités qui sont les leurs.

Et si je devais me tromper sur le fait que les autorités ont été manipulées et s’il devait s’avérer que c’est sciemment qu’elles ont agi, alors là, la situation atteindrait un niveau de gravité tel que ces autorités s’inscriraient malheureusement à jamais dans les pages les plus sombres de notre histoire.

Bref rappel historique

Mars 2020, l’épidémie Covid 19 débute en Europe. C’est la panique générale. Une campagne médiatique de peur hors du commun se met en place. Médias et gouvernements s’allient, probablement poussés par les entreprises pharmaceutiques aux mains des grands financiers de ce monde, pour faire passer à longueur de journée et sans relâche des images chocs et tenir des propos terrorisant la population et lui laissant croire que nous allions tous mourir.

Ce fut le point de départ d’une véritable dystopie. Des mesures exceptionnelles furent prises dans la précipitation, fermeture des commerces, fermeture des écoles, confinement, port du masque… mesures dont on n’a pas fini de payer le prix sur les plans économiques, psychologiques, sociétaux, médicaux etc., tout cela en balayant d’un revers de manche tous les droits fondamentaux des citoyens.

Climat anxiogène savamment entretenu

Le premier élément surprenant fut de voir gouvernants et responsables paniquer et perdre leur sang froid, contribuant ainsi fortement au climat de peur alors qu’il eût été de leur rôle de conserver calme et réflexion.

En effet, déjà à l’époque, soit en avril 2020, de nombreux spécialistes indiquaient que l’épidémie COVID 19 ne présentait pas de préoccupation particulière. Ce fut notamment le cas du Professeur John P. A. loannidis de l’université de Standford, considéré comme l’un des plus éminents scientifiques actuels dans le domaine médical. D’autres éminents spécialistes se sont exprimés en ce sens.

Mais toutes ces voix discordantes ont été tues au profit d’un climat anxiogène savamment entretenu, une terreur qui allait finalement permettre la mise en place d’une campagne mondiale de vaccination sans précédent. Par là, je fais référence à la censure des opinions divergentes, censure à l’encontre de laquelle vous n’avez malheureusement rien fait, permettant ainsi un grave déficit de démocratie.

Médicaments efficaces et bon marché interdits

Devant la maladie, les médecins se sont immédiatement mis à faire ce pourquoi ils avaient été formés, à savoir soigner les gens. Pour cela, ils ont utilisé les médicaments qu’ils connaissaient de longue date, tels que l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine, médicaments bien connus, bon marché et sûrs. Et ça fonctionnait… Mais soudain, ô surprise, ces médicaments ont été interdits ! Du jour au lendemain, ils furent déclarés dangereux.

La corruption était passée par là et nous verrons pourquoi plus loin. Les acteurs de cette corruption ont même réussi à faire publier dans le Lancet , la célèbre «bible scientifique à comité de lecture», un article affirmant que l’hydroxychloroquine était un médicament dangereux à ne pas utiliser, article se disant fondé sur des rapports scientifiques alors qu’il n’en était rien, article même contresigné par un professeur d’université de Zürich.

 

La corruption dans le domaine médical

Cet article, donc parfaitement mensonger puisque ne se reposant sur rien, donnera bien lieu à des excuses du Lancet, excuses dont les médias « mainstream » se sont bien gardés de faire état. Et pour cause, il fallait surtout ne rien changer au discrédit jeté sur le médicament bon marché et utile. Et le professeur d’université zurichoise de continuer sans souci à dispenser son bon savoir à ses braves étudiants…

A l’époque, personnellement surpris de constater que la corruption dans le domaine médical pouvait aller jusqu’à publier de fausses études dans un magazine aussi prestigieux que le Lancet, j’avais moi-même questionné un ami pharmacien sur la question de la dangerosité de l’hydroxychloroquine.

Sa réponse fut textuellement la suivante « Jacques, si tu avales une boîte entière d’hydroxychloroquine tu ne meurs pas, mais si tu avales une boîte entière de Dafalgan, tu meurs, c’est ça la dangerosité de l’hydroxychloroquine… ». Voilà ce que tout pharmacien et tout médecin savait, et ce qui était à la portée du savoir de tout individu quelque peu désireux de se renseigner !

 

Pourquoi a-t-on laissé mourir des gens ?

Pourquoi donc ces médicaments bon marché ont-ils été subitement interdits ou mis au ban ? Pourquoi a-t-on dit aux gens malades de rester chez eux et de ne venir à l’hôpital qu’en présence de détresse respiratoire ? Pourquoi n’a-t-on pas soigné les gens comme on aurait pu le faire avec les médicaments existants ? Pourquoi tant de gens non correctement soignés sont décédés seuls chez eux ? Pourquoi a-t-on laissé mourir tant de personnes âgées seules dans leur chambre en EMS, sans même la visite d’un proche ?

On le sait aujourd’hui. C’était pour permettre l’arrivée du « graal », les vaccins, présentés comme les sauveurs du monde. Les grands laboratoires pharmaceutiques avaient en effet flairé la bonne affaire. Ils sont arrivés sur le marché avec ce qu’ils annonçaient être «vaccins» mais qui en fait sont des produits expérimentaux de manipulation génique.

Des produits expérimentaux non testés correctement

Ces produits, fabriqués dans la précipitation et sans avoir passé tous les tests, furent autorisés au motif qu’il n’existait pas de médicaments. On comprend dès lors pourquoi les médicaments existants et sûrs devaient être soigneusement et préalablement discrédités !

Sont ainsi arrivés sur le marché (juteux) les vaccins, substances présentées par vous comme sûres et efficaces, vaccins dont les 2 fonctions ordinaires et essentielles auraient dû être :

  • de protéger l’individu
  • et d’empêcher la propagation de la maladie

Et c’est là que le déni de réalité a pris une ampleur considérable.

Le «vaccin Covid» comme protection de l’individu

Il est aujourd’hui clairement admis que le « vaccin Covid » ne protège pas de la maladie. C’est indiscutable. Tout un chacun a pu constater dans son entourage que les personnes vaccinées ont tout de même contracté la maladie.

Vous rétorquerez, et c’est votre « roue de secours actuelle », que le « vaccin Covid » protège contre les formes graves. C’est amusant de constater que par ces mots, vous reconnaissez tout d’abord expressément que le vaccin ne protège pas contre la maladie !

Ce fait avéré et reconnu devrait à lui seul vous faire stopper la vaccination, ce d’autant plus que vous ne savez rien sur les conséquences à long terme de cette dernière, conséquences qui sont de plus en plus catastrophiques comme nous le verrons plus loin.

Protection contre les formes graves ? C’est faux !

Mais ensuite, l’assertion selon laquelle le vaccin protégerait contre les formes graves est totalement fausse. Il n’existe aucun rapport sérieux le démontrant. Du reste, en toute logique, comment pourrait-on affirmer qu’une personne vaccinée tombant malade aurait eu une forme grave sans le vaccin puisqu’il n’est pas possible de lui ôter le vaccin pour voir quel en aurait été l’effet ?

Or, les dernières études indépendantes démontrent exactement le contraire, à savoir que les personnes vaccinées développent plus de formes graves que les personnes non vaccinées, et cela même chez les personnes de plus de 85 ans. Les chiffres de septembre 2022 de la DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) du gouvernement français indiquent clairement que la triple vaccination expose davantage les personnes aux formes graves du Covid et aux décès que les personnes non vaccinées.

Merveilleux monde que celui dans lequel on vaccine des personnes qui deviennent ainsi plus susceptibles de contracter la maladie et de mourir que les personnes non vaccinées !

Les pays les plus vaccinés comme Israël ont eu des pics d’infections

Très rapidement, il fut possible de se rendre compte que la protection annoncée n’existait pas.

Dès juillet 2021, vous pouviez constater que dans les pays qui avaient vacciné le plus, notamment Israël et d’autres encore, non seulement le vaccin n’avait pas stoppé la maladie, mais que c’était dans ces pays-là que l’on enregistrait les plus gros pics de personnes infectées, des pics encore plus forts que ceux enregistrés avant le vaccin !

Et vous pouviez également constater que la situation était bien meilleure dans les pays qui vaccinaient le moins ou qui n’avaient pas accès au vaccin. C’était visible par tout un chacun. De nombreux spécialistes l’ont relevé, spécialistes malheureusement immédiatement censurés et discrédités. Je vous avais moi-même rendus attentifs à cela dans mes premiers courriers. Cela fait donc longtemps que le vaccin n’avait déjà plus de sens. Du reste, on peut même raisonnablement se demander s’il en a eu un à un certain moment ?

Toujours est-il qu’aujourd’hui il est acquis que le « vaccin Covid » ne protège pas contre la maladie.

Le vaccin comme obstacle à la propagation

La 2ème qualité essentielle d’un vaccin est celle de faire obstacle à la propagation du virus et donc de casser les chaînes de transmission. Vous vous souvenez du slogan « tous vaccinés, tous protégés » et l’abondante propagande médiatique qui s’en est suivie, propagande à laquelle les gouvernements ont généreusement participé. Et bien cela est également un mensonge d’Etat.

Sauf à vouloir encore ignorer la réalité des choses, vous avez certainement vu ou entendu le récent témoignage devant la commission européenne de Mme J. Small, assistante de M. Bourla, PDG de Pfizer (qui s’était fait porter pâle et pour cause), laquelle a reconnu qu’il n’y avait pas d’études faites concernant la protection du vaccin contre la transmission du virus.

Cette audition parlementaire fait actuellement grand bruit, malgré la censure. Vous avez bien saisi, la question de la protection sociale du vaccin ou son effet collectif n’a tout simplement jamais été examinée. Et vous autorités, qu’avez-vous dit à votre population ? « Vaccine-toi pour protéger grand-mère », vaccine-toi par altruisme… alors que vous n’en saviez rien !

 

Certificat de la honte

Ce mensonge a permis au Conseil fédéral de mettre sur pied le certificat Covid, certificat qui a privé les citoyens non-vaccinés de leurs droits fondamentaux les plus élémentaires. Les parias non-vaccinés, citoyens irresponsables, n’ont eu ainsi qu’à rester chez eux. Ils ne méritaient pas d’accéder aux restaurants, aux cinémas, concerts, etc…

Par contre, il était juste de réserver ces agréments aux dociles citoyens trompés et soumis. Quelle belle réussite pour un gouvernement que celle de promouvoir un certificat qui discrimine une partie de sa population !

Obligation vaccinale déguisée

Par ce certificat Covid, le Conseil fédéral a mis en place une obligation vaccinale déguisée, obligation totalement interdite par différentes législations. Vous avez organisé à grands frais des concerts pour promouvoir le vaccin auprès de la jeunesse du pays et amener cette jeunesse à accepter une thérapie dont vous ne saviez rien sur ses conséquences à long terme.

Vous avez même été jusqu’au point d’envisager de payer les citoyens qui en amèneraient d’autres à se faire inoculer cette substance inutile et dangereuse. Comment ne pas avoir honte d’une idée aussi répugnante ?

«Vaccinés = altruistes, non vaccinés = égoïstes»

Pire encore, le Conseil fédéral a fait passer au sein de sa population le message selon lequel les vaccinés étaient des citoyens responsables et altruistes, au contraire des non-vaccinés qui eux étaient des citoyens égoïstes.

Vous avez ainsi créé au sein de votre population une scission entre les « bons » et les « mauvais » citoyens. Des familles se sont déchirées. Des amitiés se sont défaites. La peur de l’autre s’est installée au sein de votre population. Comment avez-vous pu mettre en place un terreau de division et de peur alors que l’histoire a si souvent montré les ravages et les exactions d’une telle chose ?

 

Le pire des maux : un gouvernement qui divise son peuple

Je vous pose la question : pensez-vous qu’il est possible pour un gouvernement de faire plus mal que de diviser son peuple ? Qui plus est sur la base d’arguments inexistants ? J’ai moi-même entendu un homme d’Etat valaisan dire de façon totalement irréfléchie qu’il n’était pas normal que l’économie soit l’otage de quelques irresponsables non-vaccinés. Et j’ai moi-même entendu dans mon entourage quelqu’un de très instruit dire qu’un non vacciné ne devait pas être soigné s’il tombait malade. C’est cela le résultat social de votre action politique : dissension et haine.

Je pourrai encore m’étendre sur l’ampleur des dégâts économiques, sociaux et psychiques de ces mesures, notamment sur notre jeunesse. Je m’arrête là pour ne pas allonger en vous signalant que vous trouverez la liste de ces dégâts et leurs détails auprès des différents spécialistes indépendants des domaines concernés. Je vous y renvoie.

Les effets indésirables du vaccin

Nous avons vu que le « vaccin Covid » ne protégeait pas l’individu contre la maladie et n’empêchait pas la transmission de la maladie, et donc qu’il ne remplissait aucune des 2 fonctions essentielles d’un vaccin. Au concours des mesures inutiles, ce vaccin occuperait donc une place de choix !

Si seulement l’inutilité était son seul défaut, ce ne serait pas trop dramatique. A cette inutilité s’ajoute cependant et malheureusement des effets indésirables nombreux et graves. Parmi ces effets indésirables figurent non seulement des maladies, mais également la mort.

Nous avons déjà vu plus avant sur la base des chiffres de septembre 2022 de la DREES que la triple vaccination expose davantage les personnes aux formes graves du Covid et aux décès que les personnes non vaccinées.

On n’a jamais vu autant d’effets secondaires

Selon les rapports du VAERS (système américain de suivi des effets secondaires des vaccins), on n’a jamais vu autant d’effets indésirables à la suite d’un vaccin. Nombre de vaccins ont été interdits avec des effets secondaires bien moins nombreux. Ces effets indésirables sont plus nombreux en proportion que n’importe quel autre vaccin, ceci dans un rapport conséquent de 1 à 100, voire de 1 à 200.

Selon les données américaines, le 99 % des signalements d’effets indésirables en 2021 et 2022 concernent les « vaccins Covid ». Il y a 1 myocardite toutes les 1 000 injections, une hospitalisation toutes les 1 000 injections et un décès toutes les 5 000 injections.

Les jeunes paient le prix fort

Selon les données européennes, 800 000 effets indésirables ont été signalés et 26 000 décès. Chez les 12-17 ans, on enregistre 15 000 effets graves déclarés, et chez les 5-11 ans 1 700 effets graves déclarés.

Ceci au sein d’une population qui ne meurt pas du Covid et que vos mentors veulent aujourd’hui vacciner. Chez les ados, on enregistre plus de 250 jeunes filles victimes d’aménorrhée, plus de 2 000 myocardites dont 900 avec hospitalisation, 45 thromboses, 25 arrêts cardiaques et environ 50 cécités et 1 myocardite tous les 1 500 vaccinés. Des jeunes en bonne santé et sans antécédents meurent.

Beaucoup de décès

Toutes classes d’âges confondues, c’est 1 effet grave tous les 100 vaccinés et 1 décès tous les 3000 vaccinés. Et il est statistiquement prouvé qu’au mieux seul le 10 % des effets indésirables remonte jusqu’aux agences de recensement. Vous pouvez imaginer la catastrophe.

Le risque de décéder du vaccin en cas de survenance d’un effet secondaire est plus grand que celui de décéder du Covid 19 en cas de symptômes, et cela même chez les personnes de plus de 85 ans. C’est cela la balance bénéfice/risque, balance bien négative.

En Angleterre et aux USA, des embaumeurs chargés de préparer les corps affirment avoir trouvé des caillots fibreux et caoutchouteux de grande taille à l’intérieur des cadavres. Le même cas m’a été rapporté de France.

La plus grande erreur médicale, la plus grande attaque contre la démocratie

Se basant sur des études israéliennes et américaines avec des données claires et précises, le célèbre cardiologue Assem Malhotra affirme qu’il y a une augmentation de 25 % des crises cardiaques et d’arrêts cardiaques associée au vaccin et non au Covid, que le vaccin est plus susceptible de causer des problèmes que de protéger, même pour les personnes au-delà de 60 ans, et qu’il faut arrêter immédiatement la vaccination.

 

Il est persuadé qu’avec le recul une enquête sera finalement menée afin de déterminer les responsables de ce qui constitue probablement la plus grande erreur de la science médicale jamais commise, la plus grande attaque contre la démocratie, dommage à la santé de la population et perte de confiance dans le système de santé. Il faut arrêter cela immédiatement pour éviter plus de dommages encore.

 

Tout cela n’est finalement pas étonnant si l’on sait que les fabricants de vaccins ont arrêté leurs tests sur les rats, après qu’ils soient tous morts, ceci pour faire les tests directement sur les hommes. Profits et rapidité obligent.

En conclusion, nous sommes en présence de vaccins qui ne protègent pas de la maladie, n’empêchent pas sa transmission et qui, de surcroît, entraînent de graves effets indésirables, dont la mort.

Les conséquences juridiques

Je reviens sur la seule chose que vous ayez reconnue jusqu’à maintenant, à savoir que vous n’aviez aucune connaissance sur les conséquences à long terme des « vaccins » Covid, ignorance qui, comme nous l’avons vu, n’a pas empêché un soutien massif de la campagne de vaccination.

Poussons maintenant le raisonnement un peu plus loin. Admettre que l’on ne connaît pas les conséquences d’une thérapie, c’est admettre en toute logique qu’elle puisse avoir du bon, mais également du mauvais.

Une thérapie génique autorisée sur la base d’études bâclées

Et si l’on sait que la thérapie en question est une thérapie génique nouvelle (ARNm) différente des vaccins ordinaires, qu’elle a été mise sur le marché dans la précipitation, sans passer par toutes les phases ordinaires de tests, qu’elle a été autorisée sur la base d’études bâclées faites uniquement par les fabricants du produit, fabricants plusieurs fois condamnés pour malversations et fraudes, si l’on sait également que ce pseudo-vaccin introduit dans le corps humain des éléments pour le moins surprenants (graphène,…) et dont la nature exacte n’a volontairement pas été révélée par lesdits fabricants, il était à la portée de toute personne sensée et non servile d’envisager que la substance en question puisse avoir des effets secondaires néfastes, notamment entraîner des maladies, des handicaps, et même la mort.

 

Effets à long terme: le Conseil fédéral aurait dû nous informer de son ignorance

Ceci d’autant plus lorsque l’on est dans l’ignorance des conséquences à long terme du produit ! La plus grande prudence s’imposait donc de toute évidence, prudence qui a fait défaut ! Le Conseil fédéral aurait dû informer la population de son ignorance et s’assurer de lui faire signer des consentements éclairés, consentements d’autant plus essentiels qu’il était concrètement demandé aux citoyens de participer à une expérience médicale.

Vous savez parfaitement qu’en possession de cette information cruciale, nombre de citoyens ne vous auraient pas suivis. Mais en lieu et place d’une information correcte, le citoyen s’est retrouvé confronté à une publicité unidirectionnelle vers le vaccin. Vous avez soutenu une campagne vaccinale sans précédent, campagne menée avec les deniers publics, finalement au profit des bénéfices records des entreprises pharmaceutiques et de leurs actionnaires.

 

Infraction pénale

Ces rappels et précisions ne sont pas sans conséquences sur le plan juridique. En effet, une infraction pénale est commise non seulement lorsque son auteur a la volonté de commettre le résultat (causer des lésions corporelles, donner la mort etc.), mais aussi lorsque, sans vouloir directement le résultat délictuel (lésions corporelles, mort), une personne admet que ce résultat puisse survenir à la suite de ses actes, et que cette personne agit malgré tout.

 

C’est ce que le droit qualifie de « dol éventuel ». Le reproche qui est fait à l’auteur de tels actes c’est d’agir tout de même malgré qu’il ait connaissance du fait que ses actes puissent avoir des conséquences dommageables, et qu’il s’en accommode.

 

Autorités coupables de lésions corporelles et d’homicide

Ainsi, dans la mesure où les autorités sanitaires suisses avaient reconnu ne rien savoir sur les conséquences à long terme des vaccins et que ces autorités ne pouvaient pas exclure, compte tenu du fait qu’il s’agissait de toucher ni plus ni moins à l’intégrité physique des citoyens, que ces conséquences pouvaient être des lésions corporelles, voire la mort, et qu’elles ont agi malgré tout, elles se sont rendues coupables de lésions corporelles (art. 122 ss CP) et d’homicide (art. 111 CP) par dol éventuel.

 

Ainsi, toute personne ayant subi des conséquences du fait des vaccins Covid est en droit de réclamer justice et réparation de la part de toute autorité ayant activement participé à la campagne de vaccination Covid expérimentale. Les homicides et les lésions corporelles graves étant des infractions poursuivies d’office, les autorités pénales auraient même l’obligation d’ouvrir des enquêtes.

Je rappelle en outre que ce ne sont pas là les seules dispositions légales qui ont été enfreintes. Sur le plan constitutionnel, les dispositions suivantes ont été violées :

Huit violations de la Constitution

  • l’article 8 Cst qui garantit l’interdiction de discrimination des individus
  • l’article 10 Cst qui garantit à tout individu le droit à la liberté personnelle, notamment l’intégrité physique et psychique et à la liberté de mouvement
  • l’article 11 Cst qui garantit aux enfants et aux jeunes une protection particulière de leur intégrité
  • l’article 13 Cst qui garantit la sphère privéede toute personne, notamment la protection de ses données personnelles
  • l’article 19 Cst qui garantit la liberté d’enseignement
  • l’article 22 Cst qui garantit la liberté de réunion
  • l’article 27 Cst qui garantit la liberté économique, notamment le libre accès à une activité économique lucrative privée et son libre exercice
  • l’article 35 Cst qui garantit la réalisation des droits fondamentauxdans l’ensemble de l’ordre juridique

Sur le plan pénal, en plus des dispositions évoquées plus haut, les dispositions suivantes ont été enfreintes :

  • l’article 181 CP qui interdit la contrainte : contrainte de vaccination et contrainte des non-vaccinés privés des différentes libertés
  • l’article 258 CP qui interdit les menaces alarmant la population : c’est sans cesse, et même lorsque l’état sanitaire était bon, que la population a été apeurée et maintenue dans cet état
  • l’article 312 CP qui interdit l’abus d’autorité et l’abus de pouvoir : sous le couvert d’éléments scientifiques totalement absents, la population a été victime de graves atteintes aux libertés et maintenue dans une peur généralisée, notamment de l’autre, en procurant aux entreprises pharmaceutiques des profits colossaux, profits qui n’avaient pas de raison d’être.

Enfin, par rapport aux conventions internationales, les textes suivants ont été violés:

  • la résolution 2361 du Conseil de l’Europe qui interdit la vaccination obligatoireet qui interdit toute pression sociale, politique ou autre amenant une personne à se faire vacciner
  • La CEDH, Convention européenne des droits de l’homme, notamment son article 8 qui garantit le droit au respect de la vie privée et familialeet son article 14 qui interdit toute discrimination
  • le Code de Nurembergqui prévoit les conditions précises et minimales à remplir pour la conduite de la recherche sur des sujets humains, leur information complète et objective, leur liberté d’acceptation, et l’interdiction de la contrainte ou de la coercition
  • la Déclaration d’Helsinki,qui impose le respect des normes éthiques dans la recherche médicale
  • l’article 7 duPacte international de droits civils et politiques qui interdit de soumettre une personne à une expérience médicale sans son libre consentement éclairé
  • l’article 5 de la Convention d’Oviedo de 1997qui en fait de même et interdit de soumettre une personne à une expérience médicale sans son libre et éclairé consentement

Epilogue

Je vous ai présenté sans détour la réalité des faits et leurs conséquences dans l’espoir, comme indiqué initialement, de vous voir prendre conscience de l’extrême gravité de la situation dans laquelle nous nous trouvons tous du fait de la corruption à grande échelle de la science médicale, et dans l’espoir également de vous voir enfin prendre des chemins résultant de vos réflexions personnelles, chemins uniquement dictés par le bien-être de vos citoyens et par la cohésion sociale, ce pourquoi vous avez été élus.

Je souhaiterais vous voir sortir de la servitude imposée par le monde des puissants dont le seul objectif est de maximiser ses profits, même si cela doit se faire au prix de sacrifices humains.

A défaut, il vous appartiendra, tôt ou tard selon l’éveil des populations, de répondre des différentes dispositions légales enfreintes.

Corruption du monde médical : renseignez-vous !

 

Vous doutez encore de la corruption généralisée du monde médical ? Renseignez-vous. Elle existe depuis de nombreuses années. Des bibliothèques entières regorgent de livres sur le sujet. Et puis, posez-vous simplement la question usuelle dans de tels cas : « à qui profite le crime » ? Aux entreprises pharmaceutiques et à leurs actionnaires. Ils sont faciles à trouver puisqu’ils sont partout et non loin de vous.

Les privilèges colossaux de GAVI

Examinez notamment l’accord passé avec GAVI le 1er janvier 2009. Ne trouvez-vous pas étonnant que GAVI, entité créée par la famille Gates, ait reçu de la Confédération une série colossale d’avantages — inviolabilité des locaux — liberté totale d’action sur le territoire — exonération fiscale — inviolabilité des archives — immunité de juridiction — privilèges douaniers – droits de commercer toute valeur — immunité d’arrestation et de juridiction de ses membres etc., sans aucune contrepartie. GAVI pourrait même blanchir tout argent que la Confédération s’est interdite par avance de sanctionner. Et quel est le but de GAVI ? La promotion des vaccins et la vaccination du monde entier.

L’OMS derrière laquelle vous vous retranchez souvent a elle aussi pour objectif de vacciner le monde entier. Elle ne s’en cache pas et elle fait le forcing actuellement pour promouvoir les vaccins Covid. Et qui trouve-t-on parmi les principaux financiers privés de l’OMS ? La fondation Bill et Melinda Gates ainsi que GAVI.

L’opacité des commandes de vaccins par l’UE

Autre exemple récent : Mme Ursula Von der Leyen, Présidente de la  Commission européenne, a pris l’initiative de passer dans la plus grande opacité des commandes pour 4,5 milliards de doses de « vaccins Covid » pour le montant colossal de 71 milliards d’euros, chacune des doses ayant subitement passé de 4,50 euros, prix payés jusqu’ici, à 19,50 euros ! Cet accord généreux prévoit encore d’exonérer les pharmas de toute responsabilité pour leurs produits : il est même prévu que les frais et honoraires des avocats de ces pharmas soient à la charge des Etats acheteurs. L’opacité est telle (les courriels auraient subitement disparus !) qu’une plainte a été déposée par le procureur européen contre Mme Ursula Von der Leyen, Présidente de la commission européenne.

Si vous ne voyez aucun mal à tout cela, il vous faut, comme l’a récemment dit un complotiste éclairé, « retourner au pied du sapin en attendant que le père Noël vous fasse des cadeaux ».

 

La vérité va bientôt apparaître

La corruption et la vérité font peu à peu surface, ceci malgré la censure et les efforts colossaux faits pour les occulter. La vérité finira cependant par apparaître, c’est certain. Vos actions seront alors appréciées à l’aune de cette réalité. A vous donc de choisir maintenant dans quel camp vous souhaitez apparaître ? La première ministre de l’Alberta l’a bien compris, elle qui vient de présenter ses excuses à ses citoyens pour les discriminations infligées.

Si rien ne change nous n’éviterons pas que, dans quelques années et lorsque la vérité apparaîtra au grand jour, les citoyens de ce monde se demanderont comment une telle folie a pu s’installer, en disant jamais plus ça, de la même manière que récemment encore, nous nous posions la même question et émettions le même vœu lorsque nous examinions les éléments de la dernière guerre.

Je vous prie de croire, Mesdames les Conseillères fédérales, Messieurs les Conseillers fédéraux, à l’expression de ma considération distinguée.

Jacques Schroeter, avocat

Le 25 octobre 2022

La source originale de cet article est covidhub.ch

Copyright © Maître Jacques Schroetercovidhub.ch, 2022

 

Saintes V3 28 10 22

 

[Transféré de Bon Sens]
NOUS SOMMES ENTRAIN DE CHANGER DE MONDE………. MAIS CHUT ! C’EST UN SECRET.

3 ans après, quel bilan ? (https://t.me/vivrecorrectement/3954) Pour les plus téméraires, voici la conférence sur la crise sanitaire qui a eu lieu à Saintes, 3h35 d’interventions. Au programme de cette 1ère partie, Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur, membre fondateur de Réinfocovid : «Agonie, effondrement et renouveau du système de santé», Gérard Delépine, chirurgien orthopédiste oncologue : «Bilan catastrophique de la stratégie française anti-covid : rappel des faits», Vincent Pavan, maître de conférences et chercheur en mathématiques : «Quelles sont les nouvelles théories évolutionnistes qui sous-tendent le retour du totalitarisme ?», Nicole Delépine, pédiatre oncologue : «Le Covid et l’enfant : bilan sur les faits et résultats», Jean-Dominique Michel, anthropologue médical et expert en santé publique en Suisse : «L’évolution de notre société à travers la Covid», Emmanuelle Darles, enseignante-chercheuse en informatique : «Transhumanisme : révélations d’une dégénéescence programmée», Mehdi Belhaj-Kacem, philosophe : «Qu’est-ce que le
Concept de santé ?», Olivier Soulier, médecin homéopathe : «Dans quel contexte général s’inscrit la crise sanitaire actuelle au niveau médical, économique et politique. Quelles sont les solutions ?»

 

 

 

 

« Longue est encore la route, nombreux seront les obstacles, mais j’ai la certitude que rien n’est au dessus des forces de ceux qui ne renoncent pas » Jacques Eberhard

 

 

Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux !

31/10/2022 (2022-10-31)

Attention, les enfants restent menacés d’injections du faux vax anticovid inefficace et dangereux 1

 

Par Nicole Delépine

Malgré les révélations inattendues de Pfizer au parlement européen avouant publiquement que la transmission du virus n’a jamais été étudiée dans les essais, les mondialistes tentent rapidement de pérenniser la vente de milliards de dollars de vaccin, avant que la population ne soit complètement réveillée. On apprend que la commissaire européenne poursuivie pour manque de transparence dans les contrats avec les firmes tente de réintroduire le pass vaccinal. Course de vitesse !

En France lors du récent congrès de pédiatrie français début octobre 2022, le Pr Fischer a regretté que les petits Français aient échappé en grand nombre à l’injection toxique.

Selon le groupe Telegram, la présidente de la Société française de pédiatrie s’est dramatiquement trompée ou a volontairement menti dans le but d’encourager les injections du sérum de Pfizer sur les enfants français.2 3 Par exemple, concernant les risques d’effets secondaires, selon TF1, elle avait indiqué aux journalistes du Monde :

« Dans le cas de porteurs de maladies chroniques, le débat sur la balance bénéfices-risques chez l’enfant ne tient plus, puisque le bénéfice est largement supérieur aux effets secondaires du vaccin ». Et d’ajouter que « ces enfants ont été vaccinés sans hésitation ».

Comment pouvait-elle évaluer cette balance bénéfices-risques, alors que ces vaccinations n’ont commencé aux États-Unis que l’été dernier et que, selon Pfizer, les essais cliniques ne s’étaient faits que sur 8 souris ? 4

Et comment pouvait-elle évoquer un quelconque bénéfice alors que les enfants ne risquent presque rien du covid, et que ces faux vaccins sont incapables de protéger les injectés de la maladie et leurs contacts de la transmission ?

D’autre part, en décembre 2021, sur France-Inter (* à partir de la minute 31), elle a affirmé qu’on attendait les résultats de la pharmacovigilance américaine concernant les effets secondaires sur la tranche d’âge des 5-11 ans… alors que la France avait déjà fait injecter le sérum adulte de Pfizer sur plus de 22 490 enfants, dont plus de 4500 petits de moins de 5 ans !5

Aux USA comme en UE, les autorisations pour injecter les enfants de six mois à 5 ans viennent d’être accordées. Nous devons absolument nous opposer à la pseudo vaccination inutile et dangereuse. Combien de complications graves ou de morts pour rien ? Ou plutôt pour les bénéfices des entreprises, de leurs actionnaires et de leurs complices (médecins, journalistes et politiques corrompus) et la manipulation des populations en vue de leur réduction.

Covid : l’EMA autorise la vaccination des enfants d’au moins 6 mois avec Moderna et Pfizer (Leparisien.fr)6 7

Onze mois après avoir autorisé la vaccination pour les 5-11 ans, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a recommandé d’étendre l’utilisation des vaccins Comirnaty (de Pfizer) et de Spikevax (de Moderna) contre le coronavirus.

Une première en Europe. Ils pourront désormais être utilisés chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ans pour le produit de Pfizer, et pour ceux âgés de 6 mois à 5 ans pour celui de Moderna.

Un comité d’experts convoqué par l’agence américaine des médicaments avait donné son accord, en juin, à la vaccination des très jeunes enfants. En Europe, les doses des deux vaccins dans ces nouvelles tranches d’âge plus jeunes « seront plus faibles », prévient l’EMA dans un communiqué publié ce mercredi. « Chez les enfants de 6 mois à 4 ans, Comirnaty peut être administré en primo-vaccination consistant en trois doses, les deux premières doses sont administrées à trois semaines d’intervalle, suivies d’une troisième dose administrée au moins 8 semaines après la deuxième dose », explique le comité d’experts.

En ce qui concerne le vaccin de Moderna, « chez les enfants de 6 mois à 5 ans, il peut être administré en primo-vaccination consistant en deux doses à quatre semaines d’intervalle », détaillent-ils. L’EMA s’appuie sur une étude menée chez des enfants de 6 mois à 4 ans qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible de Pfizer « était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 16 à 25 ans ». De même pour une étude du vaccin Moderna « qui a montré que la réponse immunitaire à la dose la plus faible chez les plus jeunes était comparable à celle observée avec la dose la plus élevée chez les 18 à 25 ans ».

Des effets secondaires comparables aux adultes

Selon l’EMA les effets secondaires les plus courants pour les deux vaccins, chez les enfants âgés de 6 mois à 4 ou 5 ans, sont « comparables à ceux observés dans les groupes d’âge plus âgés ». L’EMA précise que « l’irritabilité, la somnolence, la perte d’appétit, les éruptions cutanées et la sensibilité au site d’injection sont des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 23 mois avec Pfizer, tandis que l’irritabilité, les pleurs, la perte d’appétit et la somnolence étaient des effets indésirables fréquents chez les enfants âgés de 6 à 36 mois avec Moderna ». Pour les deux vaccins, les effets secondaires se dissipent plusieurs jours après la vaccination. l’EMA considère donc que « les bénéfices l’emportent sur les risques ». Ces vaccins sont jugés « efficaces pour prévenir les maladies graves, les hospitalisations et les décès associés au Covid-19 ».

Mais comment l’EMA peut-elle énoncer de pareils mensonges alors que les données de l’OMS montrent que loin de diminuer la mortalité les faux vaccins paraissent l’augmenter ?

L’EMA prévient que « conformément au plan de surveillance de la sécurité de l’UE pour les vaccins coronavirus », ces deux produits sont « étroitement surveillés » et soumis à plusieurs activités qui s’appliquent spécifiquement aux vaccins Covid-19.

Les recommandations de l’EMA seront désormais transmises à la Commission européenne, qui rendra des décisions finales applicables dans tous les États membres de l’UE, précise le communiqué. L’EMA a averti le mois dernier que la pandémie de Covid-19 était « toujours en cours » et a exhorté les pays à instaurer des programmes de rappels de vaccins avant l’hiver.

L’EMA ment en prétendant que la pandémie est toujours en cours alors qu’elle n’est responsable que de 3 % de la mortalité européenne quotidienne globale.

UNE HISTOIRE DE GROS SOUS #LesPierresCrieront

Quelques heures seulement après que le vaccin ait été ajouté au calendrier de vaccination des enfants aux USA, le tarif de la dose de vaccin #Pfizer est passé à 130 $. Prix de vente en augmentation de 500 % par rapport au prix initial de 20 $. Pfizer réalise ainsi une marge de 10 000 % sur le coût de fabrication.

« De quoi stimuler les revenus pendant des années malgré une demande plus faible. »8 9

LE PASS VACCINAL BASE SUR UN MENSONGE, ARNAQUE MONDIALE 10

Auditionnée au Parlement européen ce 10 octobre 2022, Janine Small, chargée auprès de Pfizer des marchés internationaux du laboratoire, a été interrogée par le député néerlandais Rob Roos :

« Le vaccin Covid de Pfizer a-t-il été testé sur l’arrêt de la transmission du virus avant d’être mis sur le marché ? Si non, veuillez le dire clairement. Si oui, êtes-vous prêt à partager les données avec ce comité ? Et je veux vraiment une réponse franche, oui ou non, et j’ai hâte de la recevoir. »

« Un seul but : forcer les gens »

« Savions-nous l’effet sur l’arrêt de l’immunisation [lapsus avec le mot “transmission”, ndlr] avant la mise sur le marché ? Non », a répondu Small, expliquant que Pfizer avait « vraiment dû avancer à la vitesse de la science ». Elle a ensuite mis en avant les investissements risqués — à hauteur de 2 milliards — pour la recherche et le développement du vaccin. »

En réalité Pfizer avait avancé à la vitesse du commerce pour être le premier sur le marché à proposer quelque chose sous le nom de vaccin !

Rob Roos a médiatisé cette « révélation », diffusant sur les réseaux sociaux le message suivant :

« Lors de l’audience sur le Covid, le directeur de Pfizer admet : le vaccin n’a jamais été testé sur la prévention de la transmission. “Se faire vacciner pour les autres” a toujours été un mensonge. Le seul but du passeport Covid : forcer les gens à se faire vacciner. Le monde doit savoir. Partagez cette vidéo ! »

Dans la vidéo, M. Roos ajoute : Je trouve que c’est choquant et même criminel.

En un peu plus de 24 heures, la vidéo a été vue près de 10 millions de fois sur Twitter. D’innombrables articles, vidéos et publications sur tous les réseaux sociaux ont relayé cette information dans de nombreuses langues.

Évidemment cette autorisation d’injecter les enfants de six mois à 5 ans, en plus des plus grands, désespèrent tous les citoyens protecteurs des enfants en commençant par tous ceux qui depuis deux ans et demi tentent d’avertir le peuple des dangers majeurs des injections ARNm.

Selon le Pr Henrion-Caude, ce qui s’est passé aux USA : DES MOUTONS DE PANURGE ?

«  Ce soir 15/15 médecins-experts ont transformé leur serment d’Hippocrate en serment d’hypocrites Sans la moindre contestation, ils ont enchaîné les “yes” au CDC pour ajouter le vax COVID au calendrier de vaccination des 5-11 ans A écouter PATHÉTICODRAMATIQUE 11

Par quelle sidération collective, ont-ils pu zapper le fait que ce vax n’empêche pas la transmission ? Que les risques pour les enfants sont dans ces produits et non dans le COVID, car ils ont une immunité naturelle ? Et que les expériences du faux vaccin au Costa Rica saturent d’enfants les hôpitaux ? »

ALEXANDRA HENRION-CAUDE EXPOSE LES ÉVÉNEMENTS RÉCENTS DU COSTA RICA

Les autorités rapportent une centaine d’enfants hospitalisés avec fermeture nationale de toutes les écoles pour virus respiratoire 12 ainsi qu’une comparaison inquiétante entre août 2021-juillet 2022 et août 2020-juillet 2021 :

  • – une baisse des naissances : -452
  • – une hausse des décès de nourrissons : +90
  • – une hausse des décès d’enfants pour mille naissances : 9,8 contre 7,5613

« Pourtant » voici la réalité du Costa Rica en matière de vaccination :

  • pour les adultes : 87 % une dose, 81 % 2 doses (50 % 3 doses, 9 % 4 doses) 14
  • Pour les jeunes : Une incitation qui a commencé dès janvier 2022 15
  • Une relance faite pour les 190 000 enfants vaccinés entre 5 et 11 ans (20/04)
  • Une arrivée massive de 300 000 doses pédiatriques Pfizer (8/09).

Une nouvelle explication pédagogique (19/09) suivi, il y a 1 semaine, d’une mise en œuvre chez les tout-petits 6mois-5ans (3/10)16.

Et commentaire terrible :

les enfants peuvent être injectés sans la nécessité d’un consentement écrit des parents au Costa Rica. Juste un adulte (n’importe lequel), un carnet de santé et une carte d’identité.17 Des réactions locales ? Alexandra Henrion nous invite à les aider

OUI ! AIDEZ-LES SVP ! un appel à solidarité internationale de médecins, car ils campent 24 h/7 jours/7 devant le Président LIEN : https://t.me/wch_org/1859 18

ET un appel à sauver les enfants aujourd’hui :

https://t.me/alexandrahenrioncaude

UNE COURSE DE VITESSE ENTRE LES MONDIALISTES QUI ACCÉLÈRENT L’AGENDA ET LE MONDE QUI SE RÉVEILLE

En UE, l’injection toxique est autorisée chez les plus de six mois en même temps que la commissaire est de plus en plus acculée en justice pour les contrats abusifs passés en secret avec Pfizer.

AINSI CRISTIAN TERHES APPELLE À LA DESTITUTION D’URSULA VAN DER LEYEN POUR CORRUPTION AGGRAVÉE

Commentaire du YouTube le 19 oct. 2022 :

La vérité va exploser dans quelques jours sur les contrats entre Pfizer et la Présidente de la commission européenne Ursula van der layen qui espèrerait un conflit nucléaire avec la Russie pour éviter de parler de la corruption la plus importante de toute l’histoire de l’humanité.

Ursula von der Leyen doit être destituée immédiatement sans condition de toutes ses fonctions comme présidente de la Commission européenne » en raison de l’enquête ouverte pour se présenter aux interrogatoires, fournir les SMS et les documents de négociations. Elle doit préparer son procès et son passeport doit lui être retirée pour éviter qu’elle s’échappe dans un paradis fiscal qui n’extrade pas. (https://www.eppo.europa.eu/en/news/on…»

le Bureau du procureur européen , l’EPPO, a lancé le 17 octobre l’eurodéputé roumain au Parlement de l’UE :

Les contrats entre Pfizer et la commission européenne aux clauses abusives et secrètes sont inacceptables :

  • Commande ferme avec paiement en avance pour 4 milliards de doses
  • Commande obligatoire non annulable d’un montant de 70 milliards dont 35 milliards « négocié » directement par un échange de SMS entre Ursula van der layen et Albert Bourla
  • Augmentation du prix de la dose de 15 à 20 EUR totalement injustifiée
  • Non responsabilité des effets secondaires de Pfizer
  • En cas de versement d’indemnité, l’Union Européenne versera seule
  • En cas de procès contre Pfizer, l’Union Européenne paiera les avocats de Pfizer
  • une probable commission estimée en milliards pour Ursula, sa famille et les fonctionnaires qui ont validé le contrat.

Cristian Terhes met en garde contre un crédit social à la chinoise en Europe (https://t.me/kompromatmedia/1434) Ursula a bel et bien mené des négociations avec son grand ami Albert Bourla (https://t.me/kompromatmedia/1486), en infraction des règles mêmes de la Commission dont elle est présidente, a relevé l’eurodéputée Virginie Joron (https://twitter.com/v_joron/status/1570339024128315393), qui a fouillé le rapport de la Cour des comptes de l’UE (https://www.eca.europa.eu/Lists/ECADocuments/).

Mais ce n’est pas tout. L’entre-soi oligarchique de Bruxelles est étonnant : Entre autres, Heiko, époux d’Ursula, est directeur médical de la biotech Orgenesis (https://fr.wikipedia.org/wiki/Orgenesis), avec le même actionnaire que Pfizer : Vanguard Group.

Demande de destitution immédiate.

Christine Cotton biostatisticienne depuis 1995, ayant pratiqué 23 ans dans l’industrie pharmaceutique insiste sur le fait que la plus grosse arnaque de l’essai Pfizer n’est pas l’absence d’étude de la transmission (car c’est USUEL), mais qu’il n’y ait PAS mesure des ANTICORPS à 3 mois post dose 2… pour ne pas montrer que ça CHUTE 19 20

CHUTE à 56 jours post DOSE 2 !

Et comme Pfizer savait que les anticorps baissaient, dès décembre 2020, ils étudiaient déjà un BOOST !?!?! comme indiqué dans l’avis de la HAS de décembre 2020.21

Donc on ne mesure pas ce qu’on ne veut pas voir, on prépare 1 BOOST et on le vend 6 mois après !

D’AUTRES VOIX S’ÉLÈVENT AU PARLEMENT EUROPÉEN

EXCLUSIF — TOUT EST BASÉ SUR UN GIGANTESQUE MENSONGE !

Christine Anderson

le 21 oct. 2022 :

« Révélation sur la réalité de la situation et sur les produits injectables expérimentaux. Christine Anderson, Député européen et membre de l’équipe d’investigation sur les contrats signés entre Ursula von der Layen et Pfizer pour 70 milliards qui permet une augmentation des prix de 15 à 150 EUR la dose. La plus grande escroquerie de l’histoire de l’humanité et un empoisonnement encouragé. À partager ! »

Partout les citoyens s’inquiètent

22

Des mamans, des collectifs, des papas s’inquiètent et se mettent en lien 23

« Nous venons de créer l’Union pour la santé et la protection des enfants24, regroupant

– collectif de santé pédiatrique
– collectif des psys
– collectif des orthophonistes
– SOS éducation
– mamans louves
– enfance et liberte

Nous sommes en lien +++ avec beaucoup de parlementaires. Pour mettre au point des actions.

Voici une nouvelle explication des raisons qui poussent les pédiatres à promouvoir les injections géniques anti-Covid sur les enfants… »

Martine Leonard [23/10/2022 15 h 54]

[Transféré de Stock infos PEC]

⬆️ Les Collectifs des Parents En Colère de France entrent en action et en appellent aux associations, collectifs, parents, grands-parents, personnels médico sociaux, enseignants ou toutes personnes soucieuses du bien-être des enfants, à se joindre à cette action nationale auprès des établissements scolaires de toute la France afin d’affirmer notre détermination de refus de l’éventuelle réitération de mesures sanitaires et notamment le port du masque.

Nous avons constaté et sommes intervenus auprès de plusieurs établissements déjà qui ont fait appliquer en leur sein différentes mesures, se basant sur un protocole, qui n’a pas de valeur juridique et contrevient à la loi.

Nous en appelons à la solidarité pour faire cesser cette maltraitance !

Cette action vise à montrer notre détermination à protéger nos enfants, la force que nous représentons dans notre union pour cette action et notre étendue sur tout le territoire français.

Nous organisons deux réunions en visioconférences les mardi 25 et mercredi 26 octobre afin de répondre à vos questions.

« Pour nos enfants et parce que de l’union de chacun de nous donnera la puissance à cette action : rejoignez-nous dès maintenant pour entrer dans l’action sur le fil Telegram dédié : https://t.me/PECACTIONMASQUES2022 ou contactez-nous ici 👉pec.collectifs.actions@proton.me »

Les enfants comptent sur nous…

Ils sont notre avenir. Protégeons-les !

ESPOIR

L’État d’Alberta s’excuse auprès des non-vax et tance le WEF alors que New York doit réhabiliter ses salariés non vaccinés. 25 26

C’est au niveau local que les batailles contre la doxa officielle du Covid modifient petit à petit les rapports de force. Après la Floride, l’État d’Alberta au Canada prend une position claire contre la discrimination des non-vaccinés par la voix de sa nouvelle première ministre Danielle Smith.

Et L’Italie va réintégrer les suspendus et rembourser les amendes chez les non-vaccinés de plus de cinquante ans qui avaient résisté.27

LE MONDE SE RÉVEILLE : INFORMONS, PROTÉGEONS LES ENFANTS !


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31/10/2022 (2022-10-31)

Pourquoi les patients posent-ils tant de lapins 1 2 aux médecins ?

Par Gérard Delépine

Les lapins sont devenus le fléau numéro un des cabinets médicaux, si l’on en croit certains médecins. Les lapins, ces rendez-vous médicaux auxquels les patients ne se présentent pas sans prévenir, se seraient multipliés ces dernières années.

Désorganisation du cabinet, perte de chance pour les patients… les conséquences sont majeures sur l’organisation des soins, estime l’URPS Médecins libéraux Île-de-France qui pointe du doigt le comportement des usagers, accusés de multiplier les rendez-vous sur les plateformes en ligne.

Une thèse (« Rendez-vous manqués en médecine générale par les patients précaires : quels sont les motifs ? »), soutenue par le Dr Francis Gatier, donne un autre son de cloche. Le point de départ de cette analyse : une grande majorité des rendez-vous manqués le seraient par des patients en tiers-payant social, bénéficiaires de la couverture maladie universelle.

« Les patients en situation de précarité sont susceptibles de manquer plus de rendez-vous que la population générale avec leur médecin généraliste » (…)

Conséquence, ces rendez-vous manqués devraient être pris « comme signaux d’alerte et, au minimum, être explorés à la consultation suivante », estime le généraliste qui suggère d’intégrer la situation sociale des patients précaires dans les dossiers médicaux. (…)

Près de 5 % de rendez-vous non honorés (…)

Pourquoi les lapins se multiplient-ils ?

Sans surprise, la raison principale du rendez-vous manqué par le patient est l’oubli, non pas par désinvolture, mais parce qu’il est souvent « le dernier maillon d’une chaîne d’événement, les causes d’absences étant multifactorielles ». Les difficultés de la vie courante, principalement la précarité du travail (horaires imposés, heures supplémentaires au dernier moment), sont une cause d’absence fréquente, relève l’auteur. (..°

Autre explication invoquée : la charge mentale. « Les patients sont souvent isolés, avec peu de moyens et peu d’aide extérieure. Ils doivent gérer de multiples rendez-vous nécessaires à leur qualité de vie ».

Le moral et les troubles de l’humeur, la dépression, un sentiment de lassitude, jouent également un rôle important dans les absences, sans qu’il puisse être établi un lien de causalité avec la précarité des patients…

Si l’auteur de cette enquête reconnaît que les médecins ont peu de moyens d’agir, il invite ses confrères à ne pas stigmatiser ces patients, mais à s’interroger sur les motifs d’une absence, qu’elle peut être parfois perçue comme « un signal d’alarme pouvant cacher une aggravation de la situation sociale et de la santé du patient ». Les sanctionner « serait vécu comme une double peine et une forme d’abandon », par des médecins pourtant considérés souvent comme protecteurs. »

Le colloque singulier médecin-patient si fondamental, si estimé, respecté des patients a disparu au fil des nombreuses réformes destructrices depuis des décennies, transformant l’acte médical en acte marchand banal avec conclu le plus souvent avec un anonyme, comme on achète une salade au commerçant du coin, ou un coca au distributeur.

Avec la disparition de la nature si singulière de l’acte médical auquel était accroché le secret médical absolu, inviolable, permettant de tout dire, l’estime, le respect, la considération du médecin ont disparu. Comment s’étonner que le niveau des lapins ne fasse qu’augmenter ? Les mondialistes tentent de faire croire qu’on peut remplacer un médecin formé sur de longues années par l’étude, le compagnonnage et l’expérience, par des cabines téléphoniques reliées à des robots parfois aidés d’un praticien anonyme qui par définition ne connaît pas vos spécificités.

Si on adhère à ce scénario qui vise à faire disparaître les vrais médecins, 3 y compris les psychiatres par une virtuelle intelligence artificielle, il ne faut pas s’étonner que les malades oublient ce qu’est un « docteur », un médecin de famille qui vous connaît sur plusieurs générations et dont on n’aurait jamais pu oublier la visite tant attendue. Il vous avait fait naître et parfois accoucher de votre enfant, et fermer les yeux de votre grand-mère dans un accompagnement respectueux, sans seringue de Rivotril. Le passé, c’est notre histoire et il faut la connaître pour défendre notre avenir.

L’abandon des patients par une partie du corps médical sur ordre de Veran et de Salomon

Obéissant petit doigt sur la couture du pantalon. Ces deux dernières années de lâcheté, de soumission, d’abandon des principes hippocratiques de notre métier, foulant au pied ce serment qui place le patient avant toute autre considération font perdurer ce phénomène. Où sont passés les « docteurs » au sens où votre voisine vous parlait de son docteur et de ses « petits soins » ?

Ils se sont cachés, ont accepté d’être dévalorisés pendant la crise du covid et n’ont pas réagi collectivement contre l’ordre aberrant du gouvernement de ne pas consulter son médecin traitant en cas de troubles respiratoires, ou SOS médecin, mais d’appeler le 15 et de rester chez soi jusqu’à aggravation. INIMAGINABLE. Comment les patients pourraient oublier cette désertion ?

Certes, certains médecins ont été héroïques4 et ont tenté de soigner leurs patients, encourant multiples sanctions qui tombent actuellement.5 Quelques milliers ou centaines, ils sont en tous cas très minoritaires. Trop de médecins sont restés silencieux, acceptant cette désertion sur ordre, et n’ont pas dénoncé les persécutions des collègues courageux. Les milliers de soignants suspendus, sans droit au chômage ou RSA sont largement oubliés par leurs propres collègues et leurs patients. Pas de grève des soignants envisagée pour exiger que cesse ce scandale médical et politique ; une grève qui, si elle était effective, résoudrait le problème en quelques jours. Et le soutien des patients aux soignants suspendus est tout aussi timide. Le déni continue et cela arrange bien le pouvoir.

Collectivement les dizaines de milliers de médecins français sur les plus de 200 000 inscrits au conseil de l’ordre auraient pu réagir sur la disparition de fait de leur métier, dès mars 2020. Les Guadeloupéens n’ont pas cédé. Ils ont partiellement gagné. Que ne nous les avons pas imité en métropole ?

En 2022, 99 941 médecins généralistes exercent en France.6

Le nombre de médecins en activité s’élevait à 218 296 au 1er janvier 2013. Ce chiffre inclut les médecins militaires et les fonctionnaires, lesquels ne sont pas tous inscrits au tableau de l’Ordre des médecins. l’article L 412-6 du Code de la santé publique stipule en effet que « L’inscription à un tableau de l’ordre ne s’applique pas aux médecins, chirurgiens-dentistes et sages-femmes appartenant aux cadres actifs du service de santé des armées. Elle ne s’applique pas non plus à ceux des médecins, chirurgiens-dentistes ou sages-femmes qui ayant la qualité de fonctionnaire de l’État ou d’agent titulaire d’une collectivité locale ne sont pas appelés, dans l’exercice de leurs fonctions, à exercer la médecine ou l’art dentaire ou à pratiquer les actes entrant dans la définition de la profession de sage-femme. »

Un âge moyen de 51,3 ans. L’âge moyen des praticiens, qui comptent 41,9 % de femmes, est de 51,3 ans. Les médecins en activité sont ceux qui sont en exercice et ont au moins une activité en France.

On compte ainsi 333 médecins pour 100 000 habitants (199 libéraux pour 100 000 habitants), mais cette densité cache d’importantes disparités géographiques. Les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Île-de-France sont sans surprise mieux dotées.

Dans le détail, on compte 101 803 généralistes, les autres étant des spécialistes (14 619 psychiatres, 10 841 anesthésistes, 8 392 radiologues, etc.). Par ailleurs, 130 106 médecins ont une activité libérale ou mixte et près d’un médecin sur cinq exerce plus d’une activité.7

LES MÉDECINS SILENCIEUX SE SONT-ILS DÉSHONORÉS AUX YEUX DES CITOYENS ?

Combien de personnes autour de vous ont-elles accepté l’injection sur le conseil de leur médecin, les yeux fermés ? Nous aimions ce rapport de confiance au début de nos études dans les années 70, mais il fallait en être dignes comme les médecins de famille que j’évoquais plus haut, comme les médecins qui ne comptaient pas leurs heures à l’hôpital enchaînant gardes (non payées) travail du jour, consultations. Et de surcroît nous en étions heureux.

La société des loisirs, du commerce, de l’abrutissement voulue par l’ordre mondial qui avançait masqué, advint au début des années 80 en même temps que de l’arrivée du Président Mitterand et de Mme Thatcher, tentant de nous transformer en esclaves avec des jeux et du pain… Et les médecins sont tombés dans le panneau des 35 heures, des RTT, des réunions multiples et variées censées améliorer la qualité (en même temps qu’elles vous détournaient de votre métier), etc. L’hôpital devint une entreprise dont la finalité n’était plus le soin des malades, mais la rentabilité et le médecin libéral de plus en plus un commercial.

Ils ont perdu leur âme en acceptant le flicage des secrétaires par le badge, puis celui des soignants dévoués et finalement le leur. Ceux qui restaient facilement si besoin une heure ou deux de plus (quitte à partir plutôt un autre jour) se sont mis à compter des heures durant les minutes à récupérer.

D’humains auprès des patients, beaucoup sont devenus des robots, acceptant l’idée que la machine avec les algorithmes, les logiciels, les recommandations devenues injonctions imposées, bref la pseudo-intelligence, vraiment artificielle (l’IA) allait les soulager, comme l’avènement des cabines machines tentent de le faire dans les supermarchés en attendant de les remplacer. Et comme le symbole met trente ans à se modifier, aujourd’hui les plus jeunes n’y voient pas malice…

ILS ONT FERMÉ LES YEUX

Ils n’ont pas hurlé collectivement au décret Rivotril 8de fin mars 2020 donnant l’injonction de prescrire une injection létale disponible dans la chambre du résident d’EHPAD et de malades en hospitalisation à domicile, et même aux jeunes handicapés. Injection à appliquer en cas de symptômes compatibles avec le covid19. ILS N’ONT PAS HURLE, pire ils ont appliqué. Comme en leur temps les médecins allemands de l’Aktion T49 10

On sait maintenant qu’environ dix mille personnes ont été ainsi euthanasiées, pour la grande majorité d’entre eux sans leur consentement, ni celui de leur famille entre fin mars et avril 2020. Quels furent les prescripteurs initiaux, sinon des médecins, laissant trop souvent au soignant présent — infirmier ou aide-soignant — la terrible tâche de l’injection après accord téléphonique ? Beaucoup racontent ne pas s’en remettre11.

Ils ont accepté que le pouvoir interdise aux familles d’entourer leur patient dans ces moments terribles de la peur de la mort, de leur tenir la main, de leur parler. Et ils les ont laissé mettre nus dans de grands sacs plastiques sans que leurs proches ne puissent les revoir avant leur incinération. Ils ont laissé priver les familles d’obsèques libres avec nombre de personnes limité au cimetière. L’inhumanité a émaillé ces deux ans et demi et plane encore violemment.

Il me semble que peu de médecins ont réagi collectivement pour tenter de protester contre l’aberration de l’obligation du masque et ses dangers chez les enfants, du dépistage fallacieux par des tests PCR répétés chez des personnes saines et le pire, les injections à ARNm, sans essais thérapeutiques terminés et analysés, et faisant écho aux allégations mensongères gouvernementales sur la protection conférée par le pseudo vax.

En cet automne 2022, trop d’entre eux ont masqué et masquent encore la responsabilité de l’injection dans les complications dont souffrent les patients qui les consultent… Coïncidence, coïncidence. Tant de familles ont compris le lien, surtout quand les coïncidences s’accumulent, mais le médecin traitant continue souvent à nier le lien de causalité, quand il ne prend pas de haut la question du patient, ou ne le vire pas manu militari pour « insulte à la science !

Les témoignages s’accumulent par téléphone, par mail sans besoin de réseaux sociaux, d’où ce papier. Et ils voudraient qu’on leur fasse confiance, que l’on continue à les respecter, comme avant, à l’époque où la parole du médecin de famille était sacrée, à juste raison car celui-ci faisait le maximum pour son malade qui le savait.

On ne peut pas impunément trahir les patients et s’étonner des “lapins” irrespectueux…

Certes cela ne date pas du covid, mais le changement de comportement de certains médecins non plus. Il reste heureusement encore beaucoup de docteurs formidables et humains, et on les traite de héros, alors qu’ils ne font qu’exercer leur métier et en tirent plus de bonheurs que leurs collègues devenus marchands.

Certains médecins semblent tomber des nues sur le comportement de trop de patients envers eux. La multiplication des “lapins” comme ils disent si bien que l’illustre Dr Marty bien connu des téléspectateurs accros aux émissions TV voudraient leur faire payer les rendez-vous manqués…

LA CULPABILISATION DES CITOYENS NON INJECTÉS A CREUSÉ LE TROU ET AUGMENTÉ LA PERTE DE CONFIANCE

Les horreurs entendues ou lues sur les non-vaccinés par des représentants du milieu médical sont légion et ont sali la profession entière, de même que les calomnies et les insultes de certains d’entre eux contre nos collègues célèbres comme le Pr Raoult ou le Pr Perronne.

Une tribune signée d’une quinzaine de médecins est parue fin décembre dans Le Monde posait déjà la question honteuse12 de “la prise en compte du statut vaccinal dans la priorisation des patients Covid-19 en réanimation”.

un post sur Telegram résumait ce qu’iI serait souhaitable de rappeler à tous ces propagandistes aux ordres du gouvernement : “ils peuvent être poursuivis pour :

✓ “discrimination en raison de l’état de santé” et qu’ils ne peuvent pas bénéficier du fait justificatif “d’état de nécessité” : 13

✓ Non-assistance à personne en danger : Article 223-6, alinéa 2 du Code pénal

quiconque s’abstient volontairement de porter à une personne en péril l’assistance que, sans risque pour lui ou pour les tiers, il pouvait lui prêter soit par son action personnelle, soit en provoquant un secours”14

Et aux vues des propos tenus par les membres du gouvernement, notamment Véran et Castex, quant au fait de “rendre la vie impossible pour les non -vaccinés”

✓ Article 211-1 du Code pénal :

Constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle….. d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants :

— atteinte volontaire à la vie ;

— atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;

— soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;

Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité”

✓ Article 211-2 du Code pénal : “La provocation publique et directe, par tous moyens, à commettre un génocide est punie de la réclusion criminelle à perpétuité si cette provocation a été suivie d’effet. Si la provocation n’a pas été suivie d’effet, les faits sont punis de 7 ans d’emprisonnement et de 100 000 € d’amende”. 15

LES TÉMOIGNAGES MULTIPLES DÉMONTRENT LA PERTE DE CONFIANCE EN LA CONFRÉRIE MÉDICALE

Malheureusement les vrais médecins sont souvent aussi victimes de la méfiance, car il est difficile pour un patient de les reconnaître.

Le corps médical a perdu son prestige par sa Soumission aux ordres du gouvernement et à la peur des sanctions ordinales.

Beaucoup trop de médecins qui n’ont pas pris le temps d’étudier les articles scientifiques et ont conseillé l’injection à leur patient.

Ce Renoncement est ancien et progressif depuis les Références médicales opposables de 1993, les recommandations, puis des protocoles obligatoires.

Ils ont bafoué le serment d’Hippocrate et la corruption par l’argent, les honneurs ou le désir de rester dans le groupe a achevé le tableau.

Le Courrier du Soir 16avait déjà fait cette révélation en mars dernier. Cependant, en raison du contexte actuel et à la suite de ce grand cirque auquel nous avons eu droit au Parlement européen lors de l’audition de la représentante de Pfizer, notre rédaction a jugé bon de republier cet article afin que les citoyens français et du monde sachent que la plupart des ‘experts sanitaires’ qui défilent sur les plateaux de télé ne sont rien d’autre que des crétins grassement payés par Big Pharma pour manipuler l’opinion publique et faire taire les vrais scientifiques qui, eux, n’agissent qu’au nom de la Science et dont le seul tort est d’avoir l’âme trop pure pour troquer leur dignité contre milliers d’euros (idem au Canada et aux USA »).

Les KOL (Key Opinion Leaders) ou l’arme redoutable utilisée par Big Pharma pour tromper les médecins et se remplir les proches 17

D’après une étude relayée par Le Quotidien du Médecin, l’industrie pharmaceutique accorde d’importants cadeaux (financiers) à des médecins KOL pour vendre ses produits.

Les montants débloqués sont faramineux., entre 2014 et 2019, les industriels ont fléché 6 milliards d’euros (au niveau mondial) vers les médecins dont notamment 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature.

D’après le même journal médical, 548 médecins influenceurs sont en France :

« Sans surprise, les KOL sont plus gâtés que les autres. Alors que les leaders d’opinion ne représentent que 0,24 % des praticiens en France, ils concentrent à eux seuls 0,68 % du nombre total de cadeaux et 1,5 % de la valeur totale de ces avantages en nature et 99 % des associations médicales comptaient au moins un membre de son conseil d’administration pour lequel un cadeau avait été déclaré. »

Les chiffres dévoilés sont hallucinants. Ainsi, de 2017 à 2019, 1,67 million d’accords contractuels ont été déclarés pour un montant 125 millions d’euros. Et rien qu’en France, entre 2014 et 2019, 7 354 492 cadeaux ont été déclarés pour un montant de 818 millions d’euros. Les cadeaux accordés aux KOL ont été estimés à 12,3 millions d’euros, soit 3700 euros de cadeau par an pour chaque médecin influenceur.

Comment à ce jour un malade peut — il penser que son médecin a raison quand il lui refuse un antibiotique pour un mal de gorge traînant ou de la vitamine D dont chacun connaît les multiples bienfaits. Et quand encore maintenant le médecin et le pharmacien refusent ivermectine, hydroxychloroquine sous prétexte d’ukases politiques, quand ils ne poussent pas encore à injecter leurs enfants avec un produit génique toxique ou à vacciner même les garçons contre le HPV dont ils ne risquent quasiment rien.

En cancérologie l’application quasi aveugle des protocoles imposés par la HAS et l’INCa via les contrôles des ARS désespère les patients qui ne sont plus dupes après les scandales de la crise covid19. Les refus de soins probablement illégaux en l’absence d’injections morbides ont conduit au fond de l’horreur. La perte de confiance est généralisée sans solution de rechange néanmoins. Le désespoir, pas la meilleure chance d’aider à guérir leur cancer !

En conclusion, il faudra du temps avant que les médecins retrouvent leur virginité, dans un monde qui devra globalement revenir à de vraies valeurs humaines.

UNE PARTIE DE LA SOLUTION : LE RETOUR DES MÉDECINS SUSPENDUS ET DES SOIGNANTS SUSPENDUS

Une solution sera bien sûr le retour des médecins suspendus qui l’ont été parce qu’ils étaient particulièrement intègres, qu’ils savaient les injections dangereuses et inutiles et qu’ils refusaient d’utiliser de faux certificats de vaccination qu’ils pouvaient pourtant facilement se délivrer.

Les patients les attendent avec impatience. Les citoyens éveillés pourront alors trouver en cas de besoin un médecin éveillé et retrouver alors la confiance si indispensable au dialogue singulier.

Espérons que la relaxe du PR Perronne pourra faire jurisprudence et limiter les sanctions des médecins qui n’ont fait que leur devoir en traitant leurs malades ou en les avertissant de l’absence de recul sur les injections covid19.


Les procès américains contre le Gardasil rappellent les dangers du vaccin contre le papillomavirus, de plus en plus « imposé » en France

Les lobbies de l’industrie des vaccins s’efforcent, via les médecins généralistes (1), pédiatres,  infirmiers, pharmaciens etc.. de convaincre les parents de faire vacciner garçons et filles contre les HPV en agitant le spectre du cancer (2, 3, 4, 5) (col de l’utérus pour les filles, anus et ORL pour les garçons). Ils prétendent que ces vaccins sont efficaces contre les cancers et sans risque, et nous avons déjà démontré depuis plusieurs années le caractère fallacieux de ces informations. (6 ,7, 8, 9)

Les procès Gardasil (10, 11) qui s’ouvrent aux USA prouvent que ces vaccins ne sont pas dénués de complications graves.

Les complications post Gardasil ont déjà motivé des manifestations de victimes et de leurs familles dans de nombreux pays : Japon (12), Danemark (13), Irlande (14), Colombie (15) alors qu’on ne peut pas accuser ces familles d’être des antivax puisqu’elles ont fait vacciner leurs enfants !

En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin anti-VPH Gardasil. 

Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin.  La commission n’a pas été « convaincue » par l’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins.

Les poursuites intentées comprennent des recherches en responsabilité des produits, des actions en rupture de garantie, en fraude, en négligence et, dans certains cas, en violation des lois étatiques de protection des consommateurs.

« La consolidation de tous les cas de blessures liées au Gardasil aux Etats-Unis dans une seule salle d’audience signifie que chaque enfant et chaque adulte victime du vaccin Gardasil peuvent maintenant plaider leur cause devant un seul juge fédéral », a déclaré Kennedy.

Baum Hedlund et Kennedy ont intenté de nombreuses actions en justice contre Merck, accusant la société de dissimuler sciemment les effets indésirables associés à son vaccin Gardasil. Les victimes viennent de nombreux états notamment : Victoria Trevisan (Californie) Merrick Brunker (Californie) Emma Sullivan (New Jersey) Ashley Dalton (Michigan) Abigail Stratton (Caroline du Sud) Savannah Flores (Nevada) Korrine Herlth (Connecticut) Kayla Carrillo (Californie) Michael Colbath (Californie) Sahara Walker (Wisconsin) Zachariah Otto (Californie) Julia Balasco (Rhode Island) 

Bien que chaque cas soit unique, tous les plaignants s’accordent à dire que si Merck avait dit la vérité sur les dangers connus associés à Gardasil, ils n’auraient jamais consenti au vaccin contre le VPH.

 En France plusieurs plaintes ont été déposées pour complications graves en rapport avec le Gardasil (une cinquantaine de familles). A ce jour, le combat de la jeune Océane  et de ses parents se poursuit depuis 2013 (16). Plus de 700 familles seraient concernées.

Aux Etats-Unis (17), la justice est moins dépendante du pouvoir politique qu’en France

En France le premier alinéa de l’article 64 de la Constitution du 4 octobre 1958 dispose que « le Président de la République est garant de l’indépendance de l’autorité judiciaire » rappelant un peu trop qu’avant 1789 la justice était rendue « au nom du roi ». Comme l’a indiqué le professeur Guy Carcassonne (18), « autant proclamer que le loup est garant de la sécurité de la bergerie ». De fait l’indépendance des magistrats du parquet, dont découle le libre exercice de leur action devant les juridictions, (…) doit être conciliée avec les prérogatives du Gouvernement et (…) n’est pas assurée par les mêmes garanties que celles applicables aux magistrats du siège ». Leur carrière dépend considérablement du pouvoir et du Conseil supérieur de la magistrature.

Cela explique les discordances fréquentes entre les sentences rendues contre le pouvoir ou ses protégés jugées trop tardives et/ou trop faibles par la population en particulier dans les scandales sanitaires (sang contaminé, médiator, hormone de croissance..)

Aux USA beaucoup de juges sont élus par le peuple (19) au lieu d’être nommés par des puissants corruptibles. Les avocats ont le droit d’enquêter, de parler aux témoins, de réunir les preuves, et de parler en public de leur affaire (20). On peut donc attendre de cette série de procès américains des preuves supplémentaires solides de l’ingérence de Merck dans la décision de la FDA d’autoriser la mise sur le marché du Gardasil sans aucune preuve d’efficacité anticancer et dans la responsabilité du Gardasil dans les complications constatées.

Il faut espérer que les médias français rendront compte objectivement des procès et que les preuves qu’ils apporteront permettront de relancer un débat démocratique sur la réelle balance avantages/risques de ce vaccin inefficace, dangereux et hors de prix.

Un vaccin inefficace sur les cancers invasifs du col de l’utérus

Nous avons à maintes reprises (21, 22, 23, 24) rappelé que si ces vaccins sont efficaces contre les virus cibles, leur prétention à prévenir les cancers du col de l’utérus, des organes génitaux, de l’anus ou de la gorge n’ont jamais été prouvées et ne reposent pas sur les faits avérés publiés dans les registres des cancers, mais seulement sur des simulations fausses basées sur des hypothèses incertaines. 

Les médias proclament partout que l’Australie, qui a été la première à généraliser cette vaccination à l’école, serait en train d’éradiquer le cancer du col de l’utérus (25, 26, 27), mais les publications officielles(28) démontrent le contraire : le nombre global des cancers invasifs qui avait fortement diminué grâce aux frottis cytologiques systématiques (tous les trois ans)  augmente depuis la vaccination. 

« En 2018, 936 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus ont été diagnostiqués en Australie. En 2022, on estime que 942 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus seront diagnostiqués en Australie »

Et l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus, qui avait fortement diminué jusqu’en 2000 grâce aux frottis cytologiques, reste stable malgré les annonces publicitaires fracassantes sur l’efficacité supposée du Gardasil contre le cancer invasif.

En 2017, le taux d’incidence normalisé selon l’âge était de 6,6 cas pour 100 000 femmes. En 2021, on estime que le taux d’incidence standardisé selon l’âge restera à 6,8 cas pour 100 000 femmes

La Grande-Bretagne a été le second pays à généraliser le Gardasil en milieu scolaire et là aussi fleurissent des simulations publicitaires (29) relayées par des articles dithyrambiques annonçant la disparition prochaine du cancer invasif.

Mais là encore les publications officielles (30) affirment que depuis la vaccination l’incidence standardisée globale ne diminue plus. Au cours de la dernière décennie, les taux d’incidence du cancer du col de l’utérus sont restés stables chez les femmes au Royaume-Uni (2016-2018)

Et dans la classe d’âge 20-24 ans, vaccinée à plus de 80%, l’incidence des cancers invasifs a commencé à augmenter trois ans après le début de la campagne de vaccination.

En Grande-Bretagne comme en Australie les faits avérés dans le monde réel démentent totalement la propagande publicitaire des simulations réalisés par des auteurs liés aux fabricants de vaccin ou aux organismes réalisant les campagnes de vaccinations.

D’ailleurs les prévisions de cancer-research UK sont très inquiétantes :

On observe la même évolution paradoxale et les mêmes campagnes permanentes de propagande marchande dans tous les pays assez riches pour payer ces vaccins hors de prix. 

En France métropolitaine la couverture vaccinale anti HPV faible fait le désespoir des marchands de vaccins et de leurs actionnaires, mais permet de considérer notre pays comme un pays témoin.

En France, depuis la pratique du dépistage par frottis l’incidence du cancer du col de l’utérus a constamment diminué passant de 15/100000 en 1995 à 7,5 en 2007, 6,7 en 2012, et est estimée en dessous de 6/100000 en 2018 (31), seuil définissant les maladies rares d’après l’OMS. Cette diminution de l’incidence s’est accompagnée d’une diminution de la mortalité. Il n’y a donc aucune urgence à utiliser un vaccin au résultat cancérologique incertain et potentiellement dangereux.

La comparaison des incidences du cancer invasif du col de l’utérus en France et dans les pays très vaccinés est très démonstrative : Le taux français relativement faible de vaccinées (37% de la population cible) va de pair avec une incidence standardisée plus faible (6/100000) que dans les pays apôtres du vaccin, que ce soit en Australie (6,8/100000 [32] pour 83% de vaccinées), en Grande -Bretagne (9,7/200000 pour 85% de vaccinées) , en Suède (10,4/100000 pour 83% de vaccinées), en Norvège (15/100000 pour 90% de vaccinées) ou au Portugal (16,1/100000 pour 76% de vaccinées) (34).

Manifestement l’efficacité du Gardasil contre les cancers invasifs du col n’a toujours pas fait ses preuves contrairement au dépistage cytologique qui a partout réduit l’incidence de plus de 50% en quelques années. 

Pourquoi devrions-nous prendre modèle sur des pays dont la stratégie vaccinale aboutit à un risque de cancer invasif du col de l’utérus supérieur au nôtre ? Ce qui compte, ce ne sont pas les mirages des simulations, mais les résultats avérés en population réelle.

 

Dès 2010, Diane Harper dans « Cervical cancer incidence can increase despite  HPV vaccination », (35) craignait que la propagande prétendant que « le vaccin ferait disparaître le cancer » dissuade trop de femmes de continuer le dépistage cytologique et aboutisse ainsi à perdre une partie des considérables progrès (diminution de 50 à 70% du nombre de cancers du col utérin dans tous les pays qui l’ont pratiqué) accomplis depuis les années 1960. Les résultats actuels des registres des cancer lui donnent malheureusement raison.

Un Vaccin hors de prix et un projet délirant d’obligation vaccinale

Ce vaccin est vendu à un prix astronomique. C‘est d’ailleurs peut-être la raison de l’intensité de la propagande en sa faveur. Une dose de vaccin contre la fièvre jaune coute actuellement 60 euros et vous protège à vie contre cette maladie mortelle dans 20 à 60% des cas selon les épidémies (37)et une dose d’Hexyon, le vaccin hexavalent de Sanofi, est vendu 37,49 euros.

La vaccination par Gardasil nécessite trois doses, pour un prix d’achat de 370,32 euros avec un reste à charge de 129,61 euros sans compter le reste à charge des 4 consultations nécessaires (en moyenne 120 euros). Et personne ne connait la durée de protection contre les souches virales ciblées, et encore moins si cela préviendra vraiment un seul cancer ! 

Certains députés ont proposé à deux reprises un projet de loi rendant obligatoire la vaccination par Gardasil. Ont-ils seulement mesuré le cout exorbitant d’une telle mesure ? Si l’on tient compte du prix des vaccins et des consultations nécessaires, la vaccination d’une classe d’âge couterait en effet environ 500 euros par personne, soit environ 350 millions d’euros chaque année. Et en acceptant les hypothèses les plus invraisemblables d’une durée de protection illimitée et d’une efficacité anti cancer totale cette dépense permettrait d’éviter moins de 1000 décès par cancer du col et moins de 400 décès par  cancers de l’anus, soit plus de 200000 euros par décès théorique évité, soit vingt fois plus que couramment admis en France pour estimer rentable une action sanitaire. Ces députés croient-ils encore qu’il existe de l’argent magique ? Sont-ils incapables de compter, ignares ou corrompus ?

Une mesure sanitaire ne doit pas reposer sur la foi dans une vaccination ou des conflits d’intérêts cachés, mais sur des faits avérés, vérifiables par chaque citoyenOr les faits établis par les relevés officiels des registres du cancer montrent que la vaccination anti HPV ne protège pas contre le cancer invasif du col de l’utérus, mais parait plutôt maintenir sa fréquence à un niveau élevé, voire parfois même l’augmenter. Il n’existe aucune preuve même minime que le vaccin anti HPV puisse protéger contre les cancers de l’anus et ORL.

Ne vaccinez pas vos enfants par Gardasil avant qu’il n’ait été prouvé en population réelle son hypothétique efficacité anti-cancer. Nous en sommes très loin. Cependant les complications sont reconnues.

Dr Gérard Delépine

 

Notes :

1 https://nouveau-monde.ca/ne-vaccinons-pas-non-plus-les-garcons-par-le-gardasil/ 

2 https://www.lemonde.fr/sciences/article/2022/10/17/prevention-du-cancer-du-col-de-l-uterus-itineraire-d-un-echec_6146187_1650684.html 

3 https://www.leprogres.fr/sante/2022/04/27/la-vaccination-contre-les-hpv-concerne-autant-les-filles-que-les-garcons 

4 https://www.sciencesetavenir.fr/sante/cancer/faut-il-vacciner-les-garcons-contre-le-papillomavirus_131256 

5 https://www.lefigaro.fr/sciences/pourquoi-faire-vacciner-son-garcon-contre-le-hpv-20210111 

6 Hystérie vaccinale Gardasil et cancer un paradoxe   n et g Delépine    et  Faith and propaganda versus hard evidence, Gardasil, Nicole Delépine, Gérard Delépine, Fauves Ed ». .

7 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-augmentation-du-taux-de-218354

8 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-alerte-risque-imminent-d-206314 

9 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-societe-sante/gardasil-resultats-cancerologiques-actuels-des-vaccins-anti-hpv

10  https://t /defender/un-proces-intente-recemment-contre-le-vaccin-gardasil-hpv-de-merck-pour-cause-dinfertilite-et-de-crises-depilepsie/?lang=fr 

11 https://childrenshealthdefense.org/defender/premier-proces-pour-deces-injustifie-lie-au-gardasil-alleguant-que-le-vaccin-contre-le-vph-a-cause-la-mort-dun-adolescent-de-13-ans/?lang=fr 

12 HPV: le Japon ne recommande plus les vaccins Gardasil et Cervarix contre le cancer de l’utérus https://www.slate.fr/life/74167/vaccin-japon-hpv 

13 http://initiativecitoyenne.be/2015/05/desastre-du-vaccin-gardasil-au-danemark-le-documentaire.html 

14 https://thenewamerican.com/irish-nurse-seeks-withdrawal-of-license-for-gardasil/ 

15 https://sanevax.org/hpv-vaccine-damaged-girls-colombia-stir-international-quest-justice/ 

16 Gardasil in France: Marie-Océane Bourguignon’s Experience – SaneVax, Inc.

17  https://www.legislationlab.org/election-juge-usa/ 

18 https://www.conseil-constitutionnel.fr/la-constitution/l-independance-de-l-autorite-judiciaire#ii_la_consecration_pretorienne_de_l’independance_des_juridicti 

19 http://loiseaumoqueur.com/?p=1652 

20 https://www.ladepeche.fr/article/2011/07/01/1119967-juges-jures-avocats-qui-fait-quoi-aux-etats-unis-et-en-france.html  

21 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/gardasil-augmentation-du-taux-de-218354 

22 https://www.auchan.fr/hysterie-vaccinale-vaccin-gardasil-et-cancer-un-paradoxe-delepine-nicole/pr-62adb0ad-a7de-44cb-b45c-7f73b2af1bd7 

23 https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/vaccin-gardasil-augmente-t-il-le-204313 

24 https://atlantico.fr/article/decryptage/pourquoi-les-predictions-sur-la-disparition-du-cancer-du-col-de-l-uterus-grace-a-la-vaccination-sont-a-prendre-avec-beaucoup-de-pincettes-nicole-delepine 

25 https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/politique-etrangere-de-la-france/diplomatie-scientifique-et-universitaire/veille-scientifique-et-technologique/australie/article/l-australie-sur-la-voie-de-l-eradication-du-cancer-du-col-de-l-uterus 

26 https://www.gyneco-online.com/gynecologie/elimination-du-cancer-du-col-en-australie-une-projection-pour-lavenir 

27 Hall MT , Simms, Lew, Smith, Brotherton, Saville, Frazer, Canfell  The projected timeframe until cervical cancer elimination in Australia: a modelling study. Lancet Public Health. 2018 Oct 1. pii: S2468-2667(18)30183-X. doi: 10.1016/S2468-2667(18)30183-X. [Epub ahead of print

28 https://ncci.canceraustralia.gov.au/diagnosis/cancer-incidence/cancer-incidence 

29 Falcaro M, Castañon A, Ndlela B, et al. The effects of the national HPV vaccination programme in England, UK, on cervical cancer and grade 3 cervical intraepithelial neoplasia incidence: a register-based observational study. Lancet 2021;398(10316) :2084-2092.

30 https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence#heading-Two 

31 F. F. HAMER Cancer du col de l’utérus en France : tendances de l’incidence et de la

mortalité jusqu’en 2018 Revue de Biologie Médicale/N° 353 – MARS-AVRIL 2020

32 https://cdn.who.int/media/docs/default-source/country-profiles/cervical-cancer/cervical-cancer-swe-2021-country-profile-fr.pdf?sfvrsn=df523911_1 

33 https://www.kreftregisteret.no/globalassets/cancer-in-norway/2019/cin_report.pdf 

34 https://hpvcentre.net/statistics/reports/PRT_FS.pdf 

35 https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S1473-3099%2810%2970182 

36 https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/fievre-jaune 

37 contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la poliomyélite et les maladies invasives à Haemophilus influenzae type b (Hib).


 


 

 

     

16/10/2022 (2022-10-16)

Par Nicole Delépine

En écho à l’appel des appels de Roland Gori, ici une suggestion pour le lire, l’écouter, puis penser, et aller mieux.

Roland Gori1, comme d’autres veilleurs, est-il l’équivalent du canari dans les mines qui guettait le danger comme il le raconte ? L’écouter fait toujours du bien, car il nous rappelle déjà la nécessité pour soi-même et son équilibre de penser, de lire, de réfléchir et ensuite de confronter ses idées avec d’autres. Et si l’on est en désaccord avec certaines positions, qu’importe, l’essentiel est de discuter avec les autres, avec soi-même, de redevenir humain et non machine obéissante et soumise.

 

Écoutez cette vidéo de 2020 sur son livre : «  et si l’effondrement avait déjà eu lieu »2

Prenez le temps, il sera gagné !

Et si l’effondrement avait déjà eu lieu : l’étrange défaite de nos croyances3

S’adapter à l’époque, à ses rythmes et mutations, s’impose comme un impératif dans nos sociétés contemporaines.

Dans ces adaptations sociétales, néolibéralisme et scientisme œuvrent au service d’une idéologie du progrès qui semble sans limites. Pris dans une logique du court terme faisant abstraction du temps et de l’espace, le sujet contemporain se trouve contraint à l’adaptabilité, entravé dans sa capacité à penser, à projeter, à créer…

Les crises écologiques et sanitaires actuelles interrogent tout particulièrement ce rapport au monde et à l’humain. S’y associent des discours sur l’effondrement qui ne sont pas sans effet.

Dans son ouvrage intitulé : « Et si l’effondrement avait déjà eu lieu ? L’étrange défaite de nos croyances », Roland Gori nous invite à appréhender et penser l’effondrement, dans une nécessaire articulation entre passé, présent et futur. Relancer la pensée… vers de nouvelles utopies…

Et je dirai pour chacun d’entre nous… Prenons le temps de lire, d’écouter, de réfléchir, il ne sera pas perdu… Sans oublier de lire « la fabrique des imposteurs ».

Appréhendons l’univers de Roland Gori à travers quelques interviews.

Roland Gori : « Il faut rêver le monde pour pouvoir le transformer »4

De « l’Appel des appels » en 20095, à son dernier ouvrage, Un monde sans esprit. La fabrique des terrorismes, en passant par La dignité de penser, La folie évaluation (Les nouvelles fabriques de la servitude) ou L’individu ingouvernable, Roland Gori, apporte sa contribution à l’agora politique.

Question : Vous avez récemment affirmé que plus personne ne croit que le libéralisme puisse réduire les inégalités. Est-ce à dire que le libéralisme est moribond et que la question du « progrès social » par exemple va pouvoir être posée dans de nouvelles conditions ?

R. G. :

« Depuis le début, le libéralisme fait fausse route sur sa conception de l’Homme, il fait l’impasse sur le besoin de reconnaissance sociale, symbolique. Après l’effondrement du Mur de Berlin et l’effondrement du discours révolutionnaire, il y a eu une autoroute pour l’ultralibéralisme ou le néo-libéralisme qui, aujourd’hui, est en train de se discréditer.

Le discours sous la forme du néo-libéralisme des années 1980-1990 n’est plus crédible et on aboutit à une crise qui rappelle la phrase de Gramsci, « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître, et dans ce clair-obscur surgissent les monstres ».

Toutes les affaires qui sortent aujourd’hui mettent en évidence l’état d’un système qui se révèle hypocrite. On fait l’impasse sur le besoin de partager une expérience sensible, une certaine conception de la liberté.

La crise des valeurs libérales de la fin du XIXe siècle a débouché sur la Première Guerre mondiale, dans l’entre-deux-guerres, elle a débouché sur l’émergence de partis totalitaires, qui n’ont pas tenu leurs promesses par rapport à des populations humiliées. On voit comment ces partis ont récolté toutes les colères, les frustrations.

Aujourd’hui, on assiste à l’émergence de nouveaux fruits de cette crise avec Daech, Al-Qaïda, mais aussi le regain des nationalismes avec Trump, le Brexit d’une certaine façon, la montée de l’extrême droite en Autriche, certains gouvernements d’Europe centrale. Nous ne sommes pas dans une situation identique à celle des années 30, mais cela lui ressemble étrangement. D’où l’urgence de proposer une autre conception philosophique, une autre conception de la vie en société. On peut parier sur le progrès social, sur d’autres manières de travailler, de vivre ensemble.

La révolution numérique peut être une chance pour se parler, pour innover, même s’il y a aussi un risque de confiscation du monde, du savoir-faire et du savoir de l’artisan et de l’ouvrier, par le mode d’emploi de la machine.

C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de lancer le « Manifeste des oeuvriers » avec le journaliste Charles Silvestre et le musicien Bernard Lubat. Il s’agit de restituer cette dimension d’œuvre alors que le travail est taylorisé, même chez les médecins, les infirmières, les enseignants, les magistrats où les activités sont de plus en plus semblables à des actes standardisés.

: Vous avez été l’initiateur de « l’Appel des appels » il y a huit ans. Quel chemin a été parcouru depuis selon vous ?

“Aujourd’hui, on voit bien avec « Nuit debout » et les tentatives de culture alternative qu’il y a un peu partout une remise en cause de cette civilisation néo-libérale qui, de mon point de vue, est à l’agonie, Macron relevant de la bulle politique spéculative. Il y a un discrédit du modèle, on y croit de moins en moins. L’échec du gouvernement a été de continuer avec un logiciel à peu près identique. En somme, on veut nous obliger à être pratiquants alors que nous ne sommes plus croyants (…)

L’idéologie libérale a réussi à dévaloriser le mot même d’utopie. Est-ce que ce n’est pas la source du problème ?

« C’est un mot traité de manière péjorative, non pas comme une fiction romanesque. Il y a une interdiction de rêver. Orsi un homme ne peut pas rêver, il crève. Il faut rêver le monde pour pouvoir le transformer. Je crois qu’un des mérites de la ligne de Pierre Laurent est d’inviter à des débats pour construire des projets. Il faut remettre l’utopie au cœur du discours politique. »

[NDLR : à propos d’utopies,
voir Manifeste pour un nouveau monde]

Réflexions de Jalil Bennani — extraits

L’effondrement dont il s’agit dans cet ouvrage6 est celui de nos catégories de pensée et de notre rapport au temps, du lien entre passé, présent et futur. (..) Il nous montre avec une grande érudition, en s’appuyant sur de nombreux exemples historiques, que les crises résultent d’une rencontre entre un événement et des conditions sociales. Il dénonce avec force l’impréparation de nos sociétés face à un facteur environnemental.

… « l’idée de catastrophe, la catégorie de l’effondrement, constituent le retour du refoulé qui se glisse dans le discours d’une civilisation de l’instant, l’irruption d’une temporalité que l’on veut méconnaître à la hauteur de l’oubli de la mort ». Les causes des catastrophes sont bien les inégalités sociales, l’atteinte à la dignité humaine, la dérégulation de la planète, la course à la rentabilité, les exigences toujours plus grandes de productivité et d’utilitarisme.

Parmi les questions qui m’ont fortement interpellé dans ce livre, je retiens celle relative à « l’homme machine ». Tout au long de ses recherches, Roland Gori a été fasciné par le texte de Tausk7, « La genèse de la machine à influencer au cours de la schizophrénie ».

La construction délirante est la véritable machine qui persécute le schizophrène et elle est isomorphe au corps, plus précisément au fantôme d’une totalité du corps à même de contenir et de donner un sens à ses cénesthopathies. J’avais dans les années quatre-vingt montré dans mon ouvrage Le corps suspect, à quel point l’ouvrier, dont le destin était brisé à la suite d’un accident du travail, s’exprimait comme si son corps était une machine.

La subjectivité est cachée et profondément réprimée. Le patient en appelle à une solution technique.

Ce corps sans plaisir interroge l’imaginaire du corps médical qui a montré bien des résistances aux notions freudiennes. Un corps auquel il n’a été demandé que d’être corps-machine a accepté ce contrat. En cela, il a rejoint la machine industrielle et la machine médicale.

Une machine objectivante et normalisante.8

Robert Linhart a vécu cette expérience en devenant ouvrier spécialisé dans l’usine Citroën de la Porte de Choisy à Paris, en 1968. Il a fait partie des centaines de militants intellectuels qui s’embauchaient dans les usines. Il raconte les rythmes, les méthodes de surveillance et de répression. L’auteur rapporte qu’il n’a jamais autant perçu le sens du mot « économie ». Économie de gestes, de paroles, de désirs. Il faut s’être frotté à cette réalité matérielle pour prendre conscience de sa dureté, des souffrances, des risques et de la mise à disposition du corps au profit de la machine.

Roland Gori rappelle bien dans son ouvrage le « spectre » qui hante nos sociétés, la situation des plus pauvres, des plus vulnérables parmi lesquels figurent les migrants. Ils « viennent de notre futur pour hanter notre présent », écrit-il. Sa réflexion sur le temps s’avère ici essentielle : ‘Penser la catastrophe supposerait que nous puissions changer notre rapport au temps.  Nous sommes aujourd’hui dans un paradoxe : en même temps que l’on nous enjoint de penser à l’avenir, nous nous trouvons contraints par « l’actualisme technique » de la civilisation des machinesIl dénonce « la religion positiviste » qui vient au service de l’industrie et dont nous sommes les héritiers : « C’est sur les ruines de cette révolution symbolique avec ses exigences de productivité, d’utilitarisme, de positivisme et d’efficacité louant la force et la raison instrumentale que se profilent les risques d’effondrement ».

Roland Gori relève très justement que le sujet de la psychanalyse a « besoin des normes de son époque pour pouvoir se les réapproprier et les trahir ». Comme l’artiste, le psychanalyste est témoin et acteur de son époque.9

… L’art, comme la vie, est une réparation par les émotions qu’il produit et des juxtapositions des images, des représentations, des installations… Alors que dans les cultures occidentales modernes, la réparation vise à revenir à l’état original, dans les cultures extra-occidentales traditionnelles la réparation procède de l’inverse. Roland Gori écrit très justement : « La vie moderne est une invitation à effacer les traces ». Cacher, masquer la suture d’un objet réparé est une prétention à revenir à l’identique, ce qui est impossible ou pure illusion…

Roland Gori articule avec brio les notions d’individuel et de collectif, en évitant toute confusion entre l’agent social et le sujet de la psychanalyse.

Et la référence à Winnicott apporte un étayage essentiel à l’ouvrage : « Le traumatisme a bien eu lieu, mais à un moment où, pour une raison ou pour une autre, le patient n’était pas en mesure de l’éprouver… à ce moment de son histoire, il n’avait pas la possibilité d’intégrer le traumatisme qui surgissait», la crainte de l’effondrement devenant alors une tentative de donner au traumatisme une existence psychique et sociale.

(…) Le traumatique est déjà là, avant qu’un événement ne lui permette de se révéler. Roland Gori s’appuie sur Winnicott pour poser cette hypothèse : les effondrements que nous craignons voir advenir dans le futur ou le présent ont déjà eu lieu. Ce qui s’est effondré c’est notre cadre mental, symbolique, psychique pour penser le monde, pour nous penser, ce qui justifie le sous-titre de l’ouvrage L’étrange défaite de nos croyances.

Et si l’effondrement avait déjà eu lieu est un ouvrage fort, psychanalytique, philosophique, sociologique, politique. L’auteur, initiateur de l’Appel des appels, un collectif national « pour résister à la destruction volontaire de tout ce qui tisse le lien social », nous invite à une réflexion riche et incontournable pour inventer de nouvelles catégories de pensée, repenser notre rapport au temps, le lien entre passé, présent et futur, nos oublis, nos croyances.

Sandre Evrard nous livre une autre approche de la pensée de Roland Gori et son analyse de la gestion de la crise du Covid :

« Face à des pouvoirs qui vident le peuple de sa dimension politique, il faut la rétablir » – Le Comptoir 10

Le Comptoir : Vous avez longtemps traité de la question de l’importance du rapport au patient, du dialogue et des affects mis à mal par un type de modernité asséchante et scientiste. Est-ce que ces mesures autoritaires prises pour lutter contre la covid-19 ne viennent pas justement mettre en place une biopolitique qui renforce la négation du citoyen en tant que sujet — et partant porte atteinte à la démocratie, qui est certes un ordre politique, mais aussi quelque chose qui s’ancre dans les mœurs de l’individu ?

Roland Gori :

Notre modernité accroît une hégémonie culturelle, celle de la rationalité instrumentale qui tend à exploiter les individus et le vivant comme un stock d’énergie à exploiter à l’infini.

D’où les problèmes actuels dont on ne dit pas suffisamment quelle part est la nôtre dans l’émergence des épidémies par nos modes de vie et nos industries qui modifient notre biotope. Nous sommes prisonniers de valeurs et d’un système de pensée qui datent du début des sociétés thermo-industriellesCes astres morts continuent à nous éclairer et les normes qu’ils prescrivent contribuent à la catastrophe dans laquelle nous nous trouvons.

Alors, plutôt que de remettre en cause ces normes dont le système de pensée s’effondre, les pouvoirs préfèrent gérer la crise sanitaire avec les moyens traditionnels de la biopolitique des populations.(..).

Mais le problème demeure, d’abord parce que cette prise en charge concerne le court terme et méconnaît que nous sommes actuellement dans ce que l’on appelle une « transition épidémique », c’est-à-dire une transition culturelle qui s’accompagne toujours de l’émergence des épidémies. Ensuite, au lieu de mobiliser les communautés, les peuples, pour lutter contre la pandémie, les pouvoirs politiques gèrent bureaucratiquement et algorithmiquement les populations avec l’arsenal des moyens de la santé publique, de l’épidémiologie et des nouvelles technologies.

C’est la même langue technocratique qui tend à se mondialiser avec des dialectes différents selon les pays et les régimes politiques. Il n’y a pas de représentants des sciences sociales et humaines dans les Conseils de crise, ce qui est significatif d’un déni du caractère social, culturel et psychologique de la crise.

Ce qui passe à la trappe dans cette approche de la pandémie, c’est le sujet singulier du colloque médical comme le concept de peuple, un peuple souverain de ses responsabilités politiques et sociales, un sujet responsable et solidaire.

À la place vous avez la notion de population qui fait de chaque individu un « segment de population statistique » et du peuple une « collection de catégories statistiques » dépourvue de toute dimension politique. Là est la vraie atteinte à la démocratie et pas dans les « gestes barrières », il faut prendre un peu de recul.

« L’extension sociale de la médecine appelée à jouer un rôle de contrôle et de normalisation ne doit pas être confondue avec les services véritables que ses savoirs et ses pratiques rendent. »

À cette défaite de la solidarité sociale et de la responsabilité subjective s’ajoute la notion d’opinion publique, notion qui témoigne de la dégénérescence des concepts et des moyens de penser le collectif.

Cette façon de faire appel aux experts pour justifier tout et son contraire, ces discours contradictoires, mais surtout ces appels au civisme et ces consignes comme « se laver les mains » ou « bien aérer la fenêtre »… Sans parler de ces lois qui semblent impossibles à respecter – et poussent ainsi à leur irrespect. Ne peut-on pas parler ici d’infantilisation ? Le cas échéant, quelles pourraient être les conséquences d’une telle infantilisation ?

… Depuis le XIXe siècle, l’hygiène publique joue deux rôles au moins qu’il ne faut surtout pas confondre. D’une part elle tend à éviter aux humains de tomber malades grâce à un dépistage et à une prévention des facteurs de risques des maladies.

Et, d’autre part elle tend à se transformer en « bible » des conduites, en « orthographe » des comportements en « pathologisant » les moindres des anomalies de comportement.

La notion « molle » de « troubles du comportement » arrive à point nommé pour séquestrer le plus de monde possible dans des dispositifs de contrôle et de normalisation des citoyens.

La néo-psychiatrie est devenue une hygiène du corps social en vue de contrôler et de normaliser, ce n’est pas la même chose que de dépister les facteurs de risques des épidémies et les moyens de s’en protéger. Ce serait une grave erreur. L’extension sociale de la médecine appelée à jouer un rôle de contrôle et de normalisation ne doit pas être confondue avec les services véritables que ses savoirs et ses pratiques rendent, au contraire.

Le politique s’est réduit toujours davantage à une « conduite de conduites » rationalisées en vue d’une production économique et industrielle, un « déblocage épistémologique » comme dit Michel Foucault, qui a permis à la médecine d’étendre à l’infini son pouvoir et son champ de compétence en se mettant au service des pouvoirs. C’est cette « médicalisation de l’existence » que Michel Foucault appelle biopolitique, bio-histoire, somatocratie, dans son essai Naissance de la biopolitique. Cet usage social des savoirs médicaux ne doit pas être confondu avec les découvertes et les soins des praticiens.

« Cette médicalisation du politique et cette politisation du champ de la santé expliquent la dramaturgie de l’“expertise” à laquelle les “experts” se sont livrés au moment de la pandémie. »

L’impression d’infantilisation dont vous parlez est davantage une réaction morale qu’une action politique à la perversion sociale et politique des savoirs médicaux. Ce serait se tromper de cible que de s’en prendre aux mesures sanitaires plutôt qu’au pouvoir en place. Bien au contraire les savoirs médico-biologiques peuvent contribuer à la résistance politique en interrogeant les pouvoirs sur leurs choix décisionnels : pourquoi laisser les grandes surfaces ouvertes et fermer les lieux culturels ? Pourquoi entasser les gens dans des transports en commun et fermer les amphithéâtres ? Pourquoi avoir externalisé la fabrication du matériel sanitaire (masques, tests, respirateurs, médicaments…) en faisant prévaloir les intérêts privés sur le Bien Public ?

L’hygiène publique a aussi, dès la fin du XIXe siècle, servi les intérêts du peuple en obligeant les puissants à reconnaître le rôle des facteurs environnementaux dans la fabrique de maladies (professionnelles en particulier ou le mal-logement).

Cette médicalisation du politique et cette politisation du champ de la santé expliquent la dramaturgie de l’« expertise » à laquelle les « experts » se sont livrés au moment de la pandémie. Ils n’étaient plus savants, mais « experts » et se sont trouvés associés à la crise d’autorité des politiques. Politiques et experts ont ainsi pris les vices de la « société du spectacle » pour reprendre le concept de Guy Debord. Les informations que les politiques et les scientifiques nous ont offertes se sont transformées en « marchandises » vendues à l’opinion publique à la cantonade des réseaux sociaux et des médias afin d’en capter des parts de marché.

Vous avez beaucoup travaillé sur la question de la normalisation des comportements notamment par l’usage abusif de la raison scientifique, mais aussi par celui des statistiques. Que vous inspire cette façon de faire la politique gouvernée par les statistiques et les modèles ? Peut-on voir là aussi une façon de « nous faire taire » pour reprendre vos mots, de fabriquer du consentement et de l’adhésion, car ce qui a été fait serait fait « pour notre bien » ?

Depuis le début du libéralisme, les pouvoirs politiques ont joué sur deux leviers pour conduire la conduite des citoyens : l’économie et l’opinion au nom desquelles ils rationalisent les comportements et fabriquent des habitus, au sens de Pierre Bourdieu, des schémas de pensée et d’action. La rationalité technoscientifique et les statistiques (qui signifient étymologiquement « en rapport à l’État ») sont au premier plan dans cette manière de gouverner au sein d’un univers désacralisé, désenchanté. De fait, les prescriptions d’hygiène publique apparaissent comme un ensemble de règles établies et codifiées par le savoir médical et scientifique qui sert à réguler socialement la société et à conformer les comportements par une soumission sociale librement consentie, car scientifiquement incontournable. C’est le nouage diabolique qui s’est alors historiquement établi entre le capitalisme (néo)— libéral et les savoirs et les pratiques biopolitiques.

… Il s’agit pour les citoyens de se réapproprier une démocratie confisquée par la technocratie et la propagande de la com’ qui fait de l’information une marchandise. Il faut donc décider, mais pas décider dans un individualisme de masse assassin et suicidaire, non, décider démocratiquement par plus de science, plus de parole et plus de responsabilité.

Face à des pouvoirs qui vident le peuple de sa dimension politique, il faut la rétablir. La population c’est le peuple moins la politique, un capital humain sans humanité, il faut rétablir l’humanité.

L’opinion publique, c’est le peuple transformé en marchandise, transformé en consommateurs, il faut remettre du politique et dénoncer un pouvoir qui prend ses décisions aux sondages d’opinion !

… La résistance à cette normalisation sociale insidieuse, à cette infantilisation, elle passe par la restitution de la vérité en sciences et en politique, vérité adultérée par le capitalisme néolibéral. Face aux virus et aux épidémies, c’est la fraternité et la solidarité qui prévalent. On ne s’en sortira pas autrement, car nous entrons dans une ère de turbulences, une période de « transition épidémique » dont la pandémie de covid-19 est la sentinelle.11

Avec Roland Gori, relancer la pensée vers de nouvelles utopies – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)


1 Roland Gori est psychanalyste et professeur émérite de psychopathologie à l’université d’Aix Marseille.« Un monde sans esprit. La fabrique du terrorisme », « L’individu ingouvernable », « La dignité de penser », « La santé totalitaire, essai sur la médicalisation de l’existence ».Engagé dans les débats d’actualité de notre société, il plaide notamment pour « des sciences encore humaines » et s’oppose aux « dérives du scientisme » notamment en psychiatrie et plus largement à « l’instrumentalisation de l’humain ».
2 Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu. L’étrange défaite de nos croyances, Les liens qui libèrent, été 2020, 304 pages, 20 €, ISBN : 979-10-209-0864-3.
3  Visioconférence de Roland Gori autour de son dernier livre (appeldesappels.org)4 LA MARSEILLAISE / MARSEILLE / 13/02/2017 | et Jean-François Arnichand

« Politis », n° 1438, du 26 janvier au 1er février 2017.

5 L’Appel des Appels

Nous, professionnels du soin, du travail social, de la justice, de l’éducation, de la recherche, de l’information, de la culture et de tous les secteurs dédiés au bien public, avons décidé de nous constituer en collectif national pour résister à la destruction volontaire et systématique de tout ce qui tisse le lien social.

Réunis sous le nom d’Appel des appels, nous affirmons la nécessité de nous réapproprier une liberté de parole et de pensée bafouée par une société du mépris.

6 [Chronique] Roland Gori, Et si l’effondrement avait déjà eu lieu, par Jalil Bennani (appeldesappels.org)

7

8 Lire l’ouvrage L’établi de Robert Linhart bouleversant qui raconte ce que représente, pour un Français ou un immigré, d’être ouvrier dans une grande entreprise parisienne. Il montre de manière étincelante le rapport que les hommes entretiennent entre eux par l’intermédiaire des objets, ce que Marx appelait les rapports de production.

9 Lire Kader Attia, un artiste de son temps qui a reçu le Prix Marcel Duchamp en 2016. Ses recherches socioculturelles l’ont conduit à la notion de réparation, un concept qu’il a développé philosophiquement dans ses écrits et symboliquement dans son œuvre.

10 PAR GALAAD WILGOS LE 18 MARS 2022

11 Voir aussi Podcast de France Inter où Roland Gori affirme que « le Progrès est un mirage » et une « doctrine de paresseux »

Tribune de Roland Gori dans L’Humanité : « Je suis en colère »

“Attention au relâchement” : l’infantilisation de masse comme stratégie politique, sur la revue Frustration

Roland Gori et Marie José Del Volgo, 2005, La santé totalitaire. Essai sur la médicalisation de l’existence, Paris, Flammarion, 2008.

R. Gori, De la société d’imposture au courage de la vérité, Conférence à Bordeaux, Colloque 24 février 2021.

Max Weber, 1904-1905, L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, Paris, Pocket, 1991.

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04/09/2022 (2022-09-04)

Par Gérard Delépine

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les alliés, pour juger les criminels nazis, ont instauré une juridiction spéciale, le tribunal de Nuremberg, qui a défini le « crime contre l’humanité », posé les bases de l’éthique médicale moderne et les a utilisées pour la première fois en droit international. La ville de Nuremberg avait été symboliquement choisie, car elle représentait la capitale idéologique du troisième Reich et le lieu préféré de la glorification du nazisme.

Ce tribunal a jugé séparément les politiques et les médecins.

La nécessité d’un code international sur les expérimentations humaines a fait l’objet de deux réunions préparatoires dans les mois qui ont précédé l’ouverture du procès (9 décembre 1946) à Francfort (mai 1946) et à l’Institut Pasteur de Paris (31 juillet et 1er août 1946).

Le code est finalement élaboré par les deux experts du tribunal, surtout Leo Alexander (en) (1905-1985), et les quatre juges, surtout Harold Sebring (en) (1898-1968). Inscrit dans les attendus du jugement selon la common law, il comporte dix articles sur la légalité de l’expérimentation humaine ;

Ce code s’inspire de quatre sources historiques :

C’est un code légal JURIDIQUE de droits humains et pas seulement un code de déontologie médicale destinée uniquement à des médecins.

Le Procès des médecins à Nuremberg[1][2]

Les 3 membres du tribunal des médecins étaient qualifiés par leurs antécédents professionnels : Walter Beals (président de la Cour Suprême de l’État de Washington), Harold Sebring (juge à la Cour Suprême de Floride), Johnson Crawford (ancien juge d’un tribunal de district d’Oklahoma). L’accusation fut dirigée par le procureur James Mac Harney, assisté de deux conseils, Alexandre Hardy et Arnost Hochwald. Le long travail de documentation et d’interrogatoires requis pour la préparation du procès des médecins occupa plus de cent juristes. Chaque accusé fut représenté par un ou plusieurs avocats de son choix. Ainsi, il y eut 19 avocats de la défense, dont 13 avaient été membres du parti national-socialiste, et un également de la SS.

Le procès des 23 médecins a débuté le 21 novembre 1946 par la signification des actes d’accusation, puis se déroula du 9 décembre 1946 au 19 juillet 1947 dans la grande salle d’audience du palais de Justice de Nuremberg.

Les accusés et les recherches médicales inhumaines

En poste dans les camps de concentration du Reich, les prévenus avaient pratiqué sur des civils ou des militaires, et sans le consentement de ceux-ci, des expériences au cours desquelles ils avaient commis « meurtres, brutalités, cruautés, tortures, atrocités et autres actes inhumains d’une « cruauté indicible », d’après le réquisitoire du procureur général Telford Taylor.

Les recherches initiées par l’armée allemande visaient entre autres à mettre au point et à tester des médicaments et des méthodes de traitement de blessures et de maladies que les soldats allemands pouvaient subir ou contracter au combat.

La plupart avaient été planifiées lors de conférences réunissant de nombreux responsables des services de santé[3]. Si l’on se réfère aux pratiques scientifiques de l’époque, la principale différence était l’utilisation d’êtres humains à la place d’animaux. C’était une différence insignifiante pour les médecins nazis, puisque le cobaye était déshumanisé à leurs yeux par sa condition de détenu, son origine ou son statut social.

Beaucoup de ces essais, réalisés dans des bâtiments construits à cet effet, concernaient les maladies infectieuses et leurs traitements et en particulier les vaccins : expériences sur le paludisme conduites à Dachau de février 1942 à avril 1945, essai sur le typhus, réalisé à Buchenwald et à Natzwzeiler de décembre 1941 à février 1945, recherches sur la fièvre jaune, la variole, la typhoïde, le choléra et la diphtérie effectuées à Natzweiler, sur l’hépatite virale à Sachsenhausen et Natzweiler…

Comme ces essais étaient réalisés pour bénéficier aux soldats allemands, les victimes étaient habituellement sélectionnées pour être proches du « sang allemand » selon les critères raciaux nazis : droits communs, « asociaux » (homosexuels, opposants politiques tziganes), prisonniers de guerre. Seuls les expériences de stérilisations ou les assassinats pour récupérer les squelettes concernaient essentiellement les juifs.

Les arguments de la défense

La défense ne nia pas la réalité des expériences décrites dans l’acte d’accusation, mais prétendit qu’elles n’étaient pas si dangereuses que l’accusation l’affirmait, qu’elles étaient justifiées par la nécessité de trouver en urgence des solutions aux graves maladies étudiées et qu’elles n’étaient guère différentes d’essais en cours dans d’autres pays, dont les États-Unis.

Les hommes qui commirent ces crimes n’étaient pas des savants fous ou des SS fanatiques, mais les représentants d’une médecine allemande pervertie par l’idéologie nazie illustrant la banalité du mal décrite par Hannah Arendt[4] (à l’occasion du procès Eichmann en 1961 et 62).

Durant la guerre, 70 % des médecins allemands étaient membres du parti nazi (et déjà de nombreux, dès les années 30). À partir de 1933, l’éthique médicale « s’était inversée, l’individu n’était rien. Le peuple était tout ». Ils croyaient comme une majorité des Allemands de l’époque les théories de l’hygiène raciale et ont saisi l’opportunité de les mettre en pratique.

La défense soutint aussi que ses clients n’étaient pas responsables puisqu’ils avaient obéi à des ordres auxquels ils ne pouvaient pas se soustraire et opéré dans les limites admises de l’expérimentation de l’époque.

Le jugement fut rendu les 20 et 21 août 1947 et le verdict prononcé le 21 août. Des 23 accusés, 15 furent jugés coupables et condamnés : 7 à la pendaison, 5 à l’emprisonnement à vie et 3 à des peines de prison.

La justice ne frappa que des exécutants, tandis que beaucoup d’autres médecins qui avaient participé aux essais incriminés parvinrent à préserver leur position sociale et leur influence. Car, tandis que le gouvernement militaire de la zone américaine d’occupation préparait la tenue d’autres procès contre des responsables nazis, d’autres organes de l’armée et du gouvernement américains récupéraient près de 1 500 scientifiques allemands issus du complexe militaro-industriel de l’Allemagne nazie dans le cadre de l’opération Paperclip[5] afin de les recruter et récupérer les armes secrètes du Troisième Reich pour lutter contre l’URSS.

Définir l’éthique des expérimentations sur l’homme

Le procès de Nuremberg ne jugea pas seulement le nazisme et les médecins nazis, mais aussi les concepts qui inspirent l’art d’être médecin : la compassion devant la souffrance, la bonne utilisation des connaissances reçues, le respect de l’être humain, de sa pensée, de son corps, de sa santé et de sa vie.

Ce procès tranche l’éternel dilemme de la priorité de la science et de la nécessité médicale sur le respect de l’éthique. Les nazis prétextant l’urgence de la guerre choisirent de tout faire pour tenter de protéger le soldat allemand aux dépens du respect des droits de l’être humain.

Ce procès permit de rappeler les principes élémentaires qui régissent les rapports entre les hommes dans le monde démocratique, les droits fondamentaux qui avaient été gravement violés par les accusés.

Il ne s’agissait pas de discuter l’utilité éventuelle des expériences réalisées[6], mais de constater que des médecins qui ont juré d’apaiser la souffrance de leurs semblables les ont fait souffrir et ont entraîné la mort de beaucoup d’entre eux (plus de 7000).

Constatant que la soumission à l’autorité et au mirage de la science pouvait transformer en bourreau une personne jusqu’alors censée et douée de compassion, les juges estimèrent qu’il fallait fournir à tous les médecins un système de protection éthique solide et indiscutable afin de leur permettre de résister aux pressions éventuelles du pouvoir. Il était nécessaire de fixer des limites, et tout particulièrement celles de l’expérimentation sur l’Homme.

C’est pour ces raisons que les juges ont élaboré le Code de Nuremberg, ensemble des principes qui constituent les bases de la bioéthique moderne et de ce qui est tolérable en matière d’expérimentation sur l’homme.

Les 10 principes qui forment le code de Nuremberg

Tribunal militaire américain, Nuremberg, 1947[7]

1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentielCela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir, qu’elle doit être laissée libre de décider sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contrainte ou de coercition. Il faut aussi qu’elle soit suffisamment renseignée et connaisse toute la portée de l’expérience pratiquée sur elle afin d’être capable de mesurer l’effet de sa décision. Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée et le but de l’expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus et les conséquences pour sa santé ou sa personne qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.

L’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent à la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expériences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à cette personne qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivie.

2. L’expérience doit avoir des résultats pratiques pour le bien de la société impossibles à obtenir par d’autres moyens ; elle ne doit pas être pratiquée au hasard et sans nécessité.

3. Les fondements de l’expérience doivent résider dans les résultats d’expériences antérieures faites sur des animaux et dans la connaissance de la genèse de la maladie ou des questions à l’étude, de façon à justifier par les résultats attendus, l’exécution de l’expérience.

4. L’expérience doit être pratiquée de façon à éviter toute souffrance et tout dommage physique ou mental non nécessaire.

5. L’expérience ne doit pas être tentée lorsqu’il y a une raison a priori de croire qu’elle entraînera la mort ou l’invalidité du sujet, à l’exception des cas où les médecins qui effectuent les recherches servent eux-mêmes de sujets à l’expérience.

6. Les risques encourus ne devront jamais excéder l’importance humanitaire du problème que doit résoudre l’expérience envisagée.

7. On doit faire en sorte d’écarter du sujet expérimental toute éventualité, si mince soit-elle, susceptible de provoquer des blessures, l’invalidité ou la mort.

8. Les expériences ne doivent être pratiquées que par des personnes qualifiées. La plus grande aptitude et une extrême attention sont exigées tout au long de l’expérience, de tous ceux qui la dirigent ou y participent.

9. Le sujet humain doit être libre, pendant l’expérience, de faire interrompre l’expérience s’il estime avoir atteint le seuil de résistance mentale ou physique au-delà duquel il ne peut aller.

10. Le scientifique chargé de l’expérience doit être prêt à l’interrompre à tout moment s’il a une raison de croire que sa continuation pourrait entraîner des blessures, l’invalidité ou la mort pour le sujet expérimental.

Ces dix principes réunis sous le nom de code de Nuremberg constituent la référence majeure des textes ultérieurs — éthiques et juridiques — en matière d’expérimentation médicale, comme la déclaration d’Helsinki de l’Association médicale Mondiale[8]. Ils ont été repris par la convention d’Oviedo[9], seul instrument international juridiquement contraignant sur la protection des droits de l’homme dans le domaine biomédical, que la France a signée et s’est engagé à respecter et qu’elle a transposée dans son droit national.[10]

Le code de Nuremberg visait à refonder le monde sur des valeurs opposées à celles qui ont conduit à la construction des États totalitaires. Esprit qui a présidé également à la fondation de l’ONU et à l’adoption de la Déclaration universelle des droits de l’homme le 10 décembre 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies.

Il représente un des piliers de la démocratie. Par ce seul code, Walter Beals, Harold Sebringet et J Johnson Crawford sont déjà rentrés dans l’histoire.[11]

Les violations du code de Nuremberg à l’occasion du covid

Les prétendus vaccins anti-covid étaient (et sont toujours expérimentaux), car leurs essais phase 3 ne sont toujours pas terminés (ils le seront peut-être en 2023).

Toutes les stratégies sanitaires des gouvernements occidentaux visaient à obliger la population à se faire injecter ces traitements expérimentaux.

Les violations du premier principe du code (consentement libre et éclairé) sont multiples et majeures

Fraude sur la nature réelle des produits injectés qui ne sont pas des vaccins, car ils ne contiennent ni antigène ni anatoxine, mais des médicaments préventifs à base d’ARN comme l’a d’ailleurs récemment reconnu le professeur Delfraissy.[12]

Utilisation permanente de supercherie, de duperie sur l’efficacité des injections sur la prévention de la maladie (ils prétendaient 97 % !), de la transmission (ils affirmaient plus de 90 % !)[13], et sur la protection contre les formes graves alors que depuis la vaccination la mortalité n’a pas diminué, mais au contraire fortement augmenté.

Utilisation de contraintes majeures contre certains professionnels (soignants, pompiers, ambulanciers, militaires, personnels du transport aérien, sportifs) ont été exclus de leur métier s’ils refusaient le traitement expérimental alors que les pseudo vaccins n’empêchent nullement les transmissions.

Contrainte et coercition largement répandues contre toute la population avec la création des pass sanitaires, puis vaccinaux pourtant totalement inefficace contre la maladie

Mensonge la durée des traitements que les gouvernants veulent sans cesse prolonger (une dose, puis deux, puis trois, puis quatre puis tous les six mois[14]…)

Négation des risques encourus et les conséquences possibles pour sa santé même chez les femmes enceintes[15][16], même chez les allergiques[17] alors que les injections anticovid sont suivies du plus grand nombre de complications recensées par le VAERS américain et Eudravigilance depuis leur création, que l’incidence des réactions anaphylactiques provoquées par les deux vaccins anti-covid est supérieure à celle qui est observée pour la plupart des autres vaccins (de l’ordre de 1,31 par million de doses)[18] et que de nombreux décès par réaction allergique ont été signalés.

Rappelons enfin que le code de Nuremberg stipule textuellement que l’obligation et la responsabilité d’apprécier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent au médecin qui travaille à cette campagne d’injection expérimentale.

Cette obligation et cette responsabilité s’attachent à ce professionnel qui ne peut les transmettre à nulle autre sans être poursuivi. Les vaccinateurs ont gravement contrevenu à leur obligation et encourent de ce fait des risques pénaux qu’ils sous-estiment largement.

Les violations majeures du code de Nuremberg qu’ont réalisées certains gouvernants pour imposer des traitements expérimentaux manifestement inefficaces ont fait courir des risques inutiles aux populations manipulées par une propagande totalitaire souvent élaborée par McKinsey.

Faisons respecter les fondements éthiques et juridiques qui définissent nos démocraties. Il faut juger et condamner ces apprentis sorciers dont les agissements n’ont respecté le code de Nuremberg ni nos droits fondamentaux en imposant une dictature prétendument sanitaire.


  1. [1] Trials of War Criminals Before the Nürnberg Military Tribunals Under Control Council Law No. 10. October 1946—April 1949, Vol. II, Chap. XII Judgment, pp. 181-184. The Library of Congress[]
  2. [2] Le procès s’est déroulé dans le cadre de l’Accord de Londres du 8 août 1945 instaurant une structure juridique, le Tribunal Militaire International qui juge les crimes « non localisables » (celui des hauts dignitaires nazis ou procès de Nuremberg). Cet accord délègue compétence et pouvoir aux quatre puissances des zones d’occupation pour les autres crimes (article 10 de l’Accord de Londres) 20, qui font l’objet d’autres procès dont ceux tenus à Nuremberg pour des professions ou des corps particuliers.
    Code de Nuremberg — Wikipédia (wikipedia.org) []
  3. [3] https://www.cairn.info/revue-revue-d-histoire-de-la-shoah1-1997-2-page-10.htm[]
  4. [4]Tous ces gens incriminés pour des crimes d’une gravité exemplaire étaient d’une banalité si confondante, que cela rendait la question du génocide encore plus terrifiante.
    http://www.institut-ethique-contemporaine.org/article%2520ethique_arendt.htm[]
  5. [5] Linda Hunt : L’affaire Paperclip — La Récupération des Scientifiques Nazis par les Américains, 1945-1990[]
  6. [6] Les responsables américains de Paperclip se sont tout particulièrement intéressés aux expériences de l’Armée de l’Air allemande sur les hautes altitudes, le froid et l’eau de mer.[]
  7. [7] Nicole Delepine — Le code de Nuremberg. 1947
    Département d’Histoire et de Philosophie des sciences de la vie et de la Santé (D.H.V.S.). Conservation du Patrimoine et des Musées — 1947
    Le code de Nuremberg. 1947[]
  8. [8] https://www.wma.net/fr/ce-que-nous-faisons/ethique/declaration-dhelsinki/[]
  9. [9] https://www.coe.int/en/web/bioethics/oviedo-convention[]
  10. [10] https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000026151968/[]
  11. [11] https://guyboulianne.com/2019/09/11/le-code-de-nuremberg-et-le-consentement-eclaire-comme-prealable-absolu/[]
  12. [12] F Delfraissy « le vaccin est un peu un médicament. France info janvier 2022 https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-est-un-peu-un-medicament-avec-une-action-formidable-pour-jean-francois-delfraissy_4929057.html[]
  13. [13] Damien Mascret sur le plateau de France Info le vendredi 26 février 2021 prétendait. Les infections sont en effet réduites de 92 %. « Aujourd’hui, on en est à peu près sûr, pour plus de 90 % des cas, [une personne] ne transmettra pas, elle ne s’infectera pas
    https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-le-vaccin-pfizer-protege-contre-la-transmission-du-virus_4312241.html[]
  14. [14] https://www.dailymail.co.uk/news/article-10264927/Britain-buys-114m-extra-vaccine-doses-battle-Covid-19.html[]
  15. [15] https://www.allodocteurs.fr/covid-les-vaccins-a-arn-messager-sans-danger-pendant-la-grossesse-33204.html[]
  16. [16] Covid-19 : les vaccins sont « sans danger » pour les femmes enceintes, selon cette vaste étude. Selon l’ANSM
    https://www.huffingtonpost.fr/science/article/covid-19-les-vaccins-sont-sans-danger-pour-les-femmes-enceintes-selon-cette-vaste-etude_206523.html[]
  17. [17] https://www.santemagazine.fr/sante/maladies/allergies/allergie-peut-on-se-vacciner-sans-risque-contre-la-covid-19-895268[]
  18. [18] M.M. McNeil, E.S. Weintraub et coll. Risk of anaphylaxis after vaccination in children and adults. J Allergy Clin Immunol. 2016 Mar; 137(3): 868–878. doi: 10.1016/j.jaci.2015.07.048.[]

03/08/2022 (2022-08-03)

Par Nicole Delépine

Pourquoi ne se débarrassent-ils pas de la muselière ?

Alors que la loi santé précise qu’une obligation généralisée n’est plus envisageable sans discussion préalable par les députés, le ministre se débrouille pour continuer à nous l’imposer alors que l’épidémie est terminée, les traitements précoces reconnus et l’inefficacité du masque de la population évidente ![1][2] SON RÔLE PROPRE EST DÉMASQUÉ.

Constamment réactivée, l’obligation du port du masque provoque un retour du traumatisme. Ce masque n’est pas seulement une fausse protection, mais bien une poursuite de la destruction de notre Humanité, vers le transhumanisme.

Plus grave encore qu’en première analyse :

« L’obligation du port généralisé du masque est emblématique de la gestion de la “pandémie”. Cette contrainte n’est pas de nature sanitaire et témoigne d’un hors sens. C’est un commandement se présentant, en même temps, comme une loi et la destruction de celle-ci. Elle est le passage à l’acte d’une sortie du Politique. 

Les raisons de l’obligation peuvent se résumer au fait que, sans elle, il n’y aurait aucun signe manifeste de “l’extrême gravité » supposée de la covid. La centralité du port du masque réside dans le fait, qu’en nous rappelant constamment la « pandémie », la contrainte nous place dans le regard du pouvoir nous confisquant notre intime ».[3]

« L’obligation devient alors une loi suprême conditionnant notre “liberté” et instituant un rapport négatif avec soi et avec l’autre. Elle nous enjointde renoncer à notre vie d’humain. Le réel de la mort n’étant plus canalisé par la culture, il recouvre la totalité de l’existence.

Ainsi, le masque corona n’est pas l’articulation du symbolique et du réel. Il n’est donc pas un masque, car il n’est pas voilement. »[4]

« Quelque chose du Réel est capturé : le désir de relation. Dès lors, les gens qui mettent le masque ne portent pas la parole, mais le cri de celui qui est devenu personne. Ils exhibent à la fois le rejet de l’autre et ce qui en résulte, leur propre anéantissement ».

« Le port du masque corona produit une perte de “l’appétence symbolique”, de ce désir de relation se manifestant en dehors de la satisfaction des besoins élémentaires de la survie. La “rencontre primordiale avec l’autre” est une poussée pulsionnelle, celle de la pulsion de vie, essentielle dans la mise en place d’un lien avec l’extérieur. »

Ce désir naturel, cette pulsion de vie, est aujourd’hui attaqué par le port du masque et sa pérennisation après la suppression de la loi d’urgence et de tout danger de ce petit virus témoigne clairement de son instrumentalisation par le pouvoir mondialisteeugéniste et transhumaniste. L’homme normal doit disparaître à leurs yeux et ils en utilisent leurs moyens.

« Le port du masque corona entraîne une indifférenciation du moi et du non-moi, du sujet et de l’objet. (…).  De cette indifférenciation, résulte une fusion avec les choses elles-mêmes. Le masque corona permet ainsi l’installation d’une structure schizophrénique, où l’individu s’identifie avec les objets du discours. Il devient son masque ». 

Ainsi le pouvoir médiatique des milliardaires prend prise sur l’Humain via l’outil MASQUE.

LE MASQUE, UN OUTIL DE POUVOIR SANITAIREMENT NUISIBLE[5]

La parution d’arrêtés (d’une légalité discutable, les juristes approfondissent) autorisant un pharmacien, médecin ou établissement de santé à l’imposer, dès le vote de la loi française supprimant l’état d’urgence le 26 juillet 22, le même jour, démontre la volonté certaine en tant qu’OUTIL du pouvoir pour poursuivre la mise en condition des populations.

Ne doutons pas que des prétextes tels que la pollution, l’ozone ou le monstre du Lockness serviront aux dirigeants pour ne pas lâcher son très efficace collaborateur, la muselière.

Ce ne serait que moyennement grave, si ce bout de tissu infecté et infectant de divers miasmes ne maintenait pas la population globale dans la peur et donc dans la soumission aux instances dirigeantes. Malgré les nombreuses preuves mondiales de l’inefficacité du masque contre les virus et son danger de diffusion des bactéries et champignons (en particulier chez les personnes fragiles, cancéreuses, immunodéprimées primaires ou secondaires aux injections géniques, etc.), l’attraction du chiffon perdure pour des raisons que les psychiatres éclaireront en nous aidant à comprendre le fonctionnement.

« Le monde à travers un masque n’est pas le même. Il est inconfortable, étrange et en décalage avec notre normalité. »[6]

Il peut être amusant et terrible à la fois de lire des réflexions de psychanalyste pendant le covid19 à propos du masque :

« Il se joue ainsi un étrange jeu autour du masque dans les cabinets et nous le savons le langage est aussi non verbal. Ce corps nous parle beaucoup avec l’objet masque ! Il y a ceux qui le portent facilement, ceux qui l’oublient, ceux qui ne viendront pas aussi et qui peut être prendront l’option de la ligne comme espace de liberté crée, ceux qui en parlent avec de la colère de se sentir enfermé, étouffé et objectivé et ceux qui le tordent dans tous les sens comme s’il voulait se l’arracher du visage comme si cette double peau les dérangeait. D’autres qui ne le voient plus.

Il y a aussi ceux qui, “par hasard” au moment d’ouvrir la porte du cabinet, viennent juste de casser leur masque en le mettant. Bel acte manqué non ?

C’était le cas de cette patiente, qui dans la vie, ne supportait plus le masque du simulacre. Devant la porte, son masque avait craqué. C’était donc une bonne chose et nous en avons parlé.

Et de cette autre qui réalise devant ma porte qu’elle “est partie sans”, lâchant prise pour la première fois sur tant d’interdits surmoïques.

Bravo ! Devant la porte du cabinet oui, les masques tombent comme les actes manqués se multiplient depuis toujours. Masqué(e) et démasqué(e) à la fois. »[7]

La peur est incrustée après ces mois de manipulation et il est difficile d’en sortir comme le navrant spectacle de conducteurs masqués seuls dans leur voiture, de jeunes gens qui courent sur une plage, masque collé par la sueur et la canicule, et pire encore : Pelosi qui affronte les avions chinois pour atterrir à Taiwan et sort masquée sur le tarmac de l’aéroport. De sa part peur ou manipulation ? Quelle tristesse !

ATTENTION ! MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID SÉRIEUX, LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS RÉIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement liée à l’existence commune ».

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité. Informons voisins et amis encore dans la peur du risque pour eux-mêmes de ce chiffon infectant et déshumanisant. Ne prenons pas à la légère sa prolongation au-delà des infections dont les antibiotiques viendront à bout, les troubles induits vers la schizophrénie et la psychose ne doivent pas être sous-estimés. Nous en voyons déjà les dégâts chez certaines personnes normales avant tout covid et devenues très « spéciales » et sourdes à tout raisonnement.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID[8][9]

« Les inconvénients et risques comprennent qu’un masque en tissu devient un milieu de culture pour une grande variété d’agents pathogènes bactériens et un collecteur d’agents pathogènes viraux ; étant donné l’environnement chaud et humide et la source constante, où les tissus pour la maison sont hydrophiles alors que les masques médicaux sont hydrophobes ».[10]

L’expérience mondiale a confirmé cette affirmation du Pr Rancourt de décembre 2020.

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Les pays non masqués sont moins infectés

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes ».[11]

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude prospective randomisée menée au Danemark auprès de 6 000 participants[12] a également révélé que :

« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

L’OMS A TRAHI LA SCIENCE

Un « faire voir »

C’est bien dans le cadre d’un « faire voir » que l’OMS recommande de porter le masque, alors qu’en même temps, il reconnaît que ce dispositif ne permet pas d’arrêter le virus et de protéger celui qui le porte. L’avantage que l’organisation voit dans cette incitation réside dans la modification des comportements des populations, qui sont encouragées à fabriquer elles-mêmes leur propre masque et de prendre ainsi activement part à leur destruction ».[1]

L’OMS,[13] dont le rôle pervers et toxique dans cette crise Covid est bien démontré, a annulé le 5 juin 2020 plus d’une décennie de décisions d’organismes de santé publique à travers le monde qui ne recommandait pas de masques pour la population en général.

L’OMS a fait sa recommandation 2020 sur l’intervention médicale préventive des masques faciaux pour l’ensemble de la population mondiale en reconnaissant :

« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité et il y a des avantages et des inconvénients potentiels à prendre en compte ».

L’OMS et les responsables locaux de la santé publique entravent le progrès scientifique, en promouvant des « études observationnelles » sans essais contrôlés, plutôt qu’en protégeant la santé publique. Il devrait être très préoccupant pour tous que le prétexte de l’OMS « d’un recueil croissant de données d’observation sur l’utilisation des masques par le grand public dans plusieurs pays » s’est transformé dans le mantra « un nombre croissant de preuves », qui se retrouve sur les lèvres de pratiquement tous les agents de santé publique et les maires des villes du pays. »

Ce mantra d’« un nombre croissant de preuves » est avancé comme la fausse justification miracle des lois de masquage draconiennes, dans des circonstances réelles dans lesquelles :

  • Il n’y a eu AUCUNE nouvelle étude randomisée soutenant le masquage
  • Toutes les nombreuses études randomisées passées ne soutiennent pas le masquage

Aucun des dommages connus du masquage n’a été étudié (application sur l’ensemble de la population générale).

C’est le contraire de la politique fondée sur la science.

Les politiciens et les responsables de la santé publique mettent en œuvre le pire modèle décision qui puisse être appliqué dans une société qui se prétend rationnelle et démocratique : des mesures préventives forcées sans fondement scientifique, tout en ignorant imprudemment les conséquences.

Denis Rancourt prouve dès 2020 qu’il n’y a aucune preuve scientifique pour soutenir le masquage forcé sur la population générale, et que toutes les études médicales de la dernière décennie indiquent le contraire : NE PAS recommander le masquage forcé de la population générale.

Rappelons en synthèse détaillée dans de nombreux articles que les obligations de masque facial pour toute la population provoquent :

  • – inconfort généralisé,
  • – troubles de la respiration,
  • – troubles de la vision (p. ex. buée sur les lunettes),
  • – communication altérée,
  • – distanciation sociale psychologique,
  • – irritation cutanée et infections,
  • – expression de soi altérée,
  • – exposition prolongée à des cultures bactériennes à proximité des yeux, du nez et de la bouche,
  • – la collecte et l’administration possibles d’agents pathogènes viraux qui, autrement, ne seraient pas inhalés, et
  • – amplification possible de la fraction granulométrique de l’aérosol expiré des particules infectieuses.

Le mantra « de plus en plus de preuves » est totalement mensonger[14]

Le port du masque est particulièrement nuisible chez l’enfant à risque de troubles d’apprentissage. Restons vigilants dans la crainte de mauvaises idées à la rentrée dans l’enseignement[15][16][17]. Protégeons-les de l’injection génique inutile et toxique, mais aussi du port du masque que voudraient possiblement nous imposer les enfermistes à la rentrée de septembre 2022.

Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! | FranceSoir rappel d’un article d’août 2020. Ils savaient ! Il est très illogique et extrêmement grave de réclamer des masques pour les enfants, car ils ne contaminent pas les autres. C’est totalement aberrant de réclamer des masques pour les enfants en classe alors que, contrairement aux épidémies de grippe, l’école ne constitue aucunement un lieu de propagation du Covid19 (9) et qu’en cas de grippe qui se transmet fréquemment par les enfants à l’école jamais ceux-ci n’ont été soumis à pareille obligation ni d’ailleurs aux vaccins antigrippal.

Sur les plus de 3700 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid répertoriés par PubMed le 17/8/2020 et les 70 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.[18]

Ces articles confirment tous, sans exception, que le Covid 19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, que les enfants de moins de 19 ans ne sont pas contaminés par les camarades d’école, mais habituellement par les parents à domicile, qu’ils ne contaminent pas les adultes et que le confinement des enfants et l’arrêt des activités scolaires sont responsables de troubles psychologiques comportementaux et sociaux fréquents, en plus d’une incidence évidente sur leur scolarité. TOUS CES ARTICLES ONT ÉTÉ CONFIRMÉS PAR L’EXPÉRIENCE MONDIALE.

N’oublions jamais : le masque est une technique d’enfermement

« Le traitement réservé actuellement à notre corps fait immédiatement penser à la technique d’enfermement utilisée au bagne de Guantanamo. Ce camp inaugure une nouvelle exhibition, non du corps, comme dans l’ancien régime ou dans la mise au travail du début du capitalisme, mais de son image, plus précisément une négation de l’image du corps.

Non seulement les yeux des prisonniers étaient masqués par des lunettes opaques, mais leur nez et leur bouche étaient recouverts par un masque chirurgical. Le corps du prisonnier est confisqué, non pas pour le soumettre, mais pour qu’il reste enfermé en lui-même. Rien ne doit détourner l’esprit du prisonnier d’un enfermement, devant être perçu comme n’ayant ni début et surtout ni fin ».

Par rapport à la réception, sans condamnation explicite, des images de Guantanamo, l’embrigadement dans la « guerre contre le coronavirus » est une étape supplémentaire dans le renoncement de notre humanité. (…)

Dans la « guerre contre le coronavirus » bien nommée par le président macron en mars 2020 et entérinée par le terme « commando » que devrait créer le nouveau ministre de la Santé, le langage militaire est omniprésent, et il n’y a plus de distinction intérieur/extérieur. Cette fusion d’ordre psychotique existe, non seulement au niveau individuel, mais aussi sociétal.

La fabrication de la psychose est depuis longtemps une préoccupation de nos dirigeants. Les techniques de privation sensorielles appliquées à Guantanamo permettaient de fabriquer des individus psychotiques en deux jours. Ces techniques étaient une application directe des recherches de psychologues comportementalistes, dont Donald O. Hebb de l’université McGill au Québec.[19]

Démasquer la pulsion de mort

Le principe d’identité se loge essentiellement sur le visage, le port du masque se présente comme une donnée originaire, porteur d’un trouble obsessionnel compulsif empêchant toute inscription de l’autre.

Si le visage rend possible le lien social, le masque corona est un dévoilement qui dérobe les traits de son porteur. Il « lève le verrou du moi et laisse libre cours au jaillissement de la pulsion ».

Le port du masque corona, comme support de l’appareillage pulsionnel, est au cœur du dispositif « sanitaire ». Il a pour fonction la décomposition du corps symbolique, l’annihilation de ce qui fait de nous des êtres humains.

Le port du masque empêche toute rupture avec le discours du pouvoir et permet l’éternel retour du traumatisme. Il est un fétiche se substituant à toute symbolisation.

Or symboliser, c’est déjà établir une distance avec l’injonction surmoïque et exister comme un « nous », c’est refuser d’être « pris un par un » dans cette guerre contre le genre humain et ainsi contrer une « attaque du collectif à travers les individus » par Jean-Claude PayeTülay Umay dont il faut lire l’article in extenso.

En conclusion, l’usage du masque, au-delà des multiples inconvénients physiques, sociétaux, éducatifs, etc., que nous avons rapidement perçus comme maltraitance tant chez les enfants que chez les adultes est bien plus que cela.

Il est l’outil de la perversité consciente des dirigeants qui nous persécutent, veulent nous déshumaniser et le font en pleine conscience.

L’arrêté autorisant sa poursuite dans les hôpitaux, publié le même jour que la suppression de la loi d’urgence covid le 26 juillet 2022 en est une tragique démonstration. Ils savaient, ils savent et devraient rapidement comprendre que nous savons aussi, et que leurs regrets, voire remords, récents tels ceux de JF Delfraissy et d’A Fischer ne suffiront pas à les absoudre de leurs gravissimes décisions qui ont ruiné de trop nombreuses vies et en gâcheront encore tant les effets délétères de toutes leurs décisions liberticides vont s’étaler sur des décennies, tant par leurs conséquences psychologiques que par les complications à long terme des injections géniques.


  1. [1] L’APHP ose imposer le masque après le 1er août : est-ce légal ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) [][]
  2. [2] Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle-Zélande — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) []
  3. [3] Coronavirus. Ceci n’est pas un masque ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation Par Jean-Claude Paye et Tülay Umay, 13 avril 2021[]
  4. [4] « La pulsion de mort est la structure même de la pandémie. Générique et universelle, elle se « fonde sur une détresse physiologique et sur la rage impuissante » de l’infans, de celui qui ne peut parler. Elle empêche tout libre arbitre et induit une acceptation généralisée du port du masque. Cette pulsion devient la revendication d’un idéal qui est d’échapper à la condition humaine et ainsi l’acceptation d’un passage vers le transhumanisme. » CQFD[]
  5. [5] Les masques sont inutiles et dangereux ! Stop aux mensonges médiatiques ! | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation mise à jour de la bibliographie internationale fin juin 2022[]
  6. [6] Le monde à travers un masque : l’impact psychologique — Nos Pensées (nospensees.fr) []
  7. [7] Masque et acte manqué — Psychologue.net[]
  8. [8] France – L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation[]
  9. [9] Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/
    L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com) []
  10. [10] Face Masks, Lies, Damn Lies, and Public Health Officinals: “A Growing Body of Evidence” | PDF | Randomized Controlled Trial | Infection (scribd.com) Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges et responsables de la santé publique : « Un nombre croissant de preuves »
    Un nouveau mantra vil est sur les lèvres de tous les responsables de la santé publique et de tous les politiciens de la campagne mondiale pour imposer un masquage universel au grand public :
    « il y a un nombre croissant de preuves ».
    Cette phrase propagandiste est un vecteur conçu pour atteindre cinq objectifs principaux :
    • Donner la fausse impression qu’un bilan des preuves prouve désormais que les masques réduisent la transmission du COVID-19 ;
    • Assimiler à tort les commentaires faits dans des lieux scientifiques avec des « preuves » ;
    • Masquer le fait qu’une décennie de preuves de niveau politique prouve le contraire : que les masques sont inefficaces contre les maladies respiratoires virales ;
    • Masquer le fait qu’il existe désormais une preuve d’observation directe que les masques en tissu n’empêchent pas l’exhalation de nuages ​​de particules d’aérosol en suspension (dessus, dessous et à travers les masques) ;
    • Détourner l’attention des méfaits et risques connus considérables dus aux masques faciaux, appliqués à des populations entières.[]
  11. [11] https://www.bbc.com/news/health-59895934[]
  12. [12] Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine
    https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/[]
  13. [13] Attention l’OMS veut manipuler à nouveau le monde via le moneypox (monkeypox) | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation[]
  14. [14] revue de la littérature scientifique par Denis Rancourt concernant l’(in)efficacité mesurée des masques pour réduire le risque de transmission des maladies respiratoires virales, article publié le 11 avril 2020 chez ResearchGate, intitulé « Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science pertinente à la politique sociale de COVID-19 ». lu quelque 400 000 fois sur ResearchGate, publié dans plusieurs lieux et objet de nombreux articles de commentaires et d’interviews. Ils ne peuvent pas dire qu’ils ne savaient pas.[]
  15. [15] Cavadini, T., Fort, M., Pascalis, O., & Gentaz, É. (2022). Quels sont les effets du port du masque sur la reconnaissance des visages et des émotions chez les enfants et les adultes ? Apports des recherches. A.N.A.E., 176, 113-125.[]
  16. [16] Discussions autour des effets du port du masque — Psychologie du Développement Sensori-Moteur, Affectif et Social — UNIGE[]
  17. [17] Impact of lip-reading on speech perception in French-speaking children at risk for reading failure assessed from age 5 to 7 | Cairn.info[]
  18. [18] • Weiyong Liu .et al: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
    • Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2
    • Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
    • Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. • JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648
    • Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars.
    • Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
    • Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23;35(11)
    • LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9
    • Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. 2020 Apr 7. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
    • Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
    • Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.
    • Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics
    • Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com[]
  19. [19] in « Un taxi pour l’enfer », fim documentaire américain réalisé par Alex Gibney, 2007[]
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Exclusion des soignants et pompiers non vaccinés, acte de censure dissimulée

L’exclusion des soignants et pompiers non vaccinés est aussi un acte de censure dissimulée – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

Comme l’a dit Marie Estelle Dupont, les pompiers ne risquent pas de contaminer les arbres, en feu de surcroit.  Et les pompiers qui arriveront de l’étranger ne sont probablement pas tous vaccinés ! Encore une nouvelle discrimination, mais le ridicule ne tue pas !
https://twitter.com/EnModeMacaron/status/1557652637528498176?s=20
@EnModeMacaron  « Le vaccin ne protège pas de l’infection et de la contamination mais Macron ne réintègre pas les pompiers suspendus! La sénatrice Sylviane Noël veut la réintégration des pompiers suspendus alors que la France brûle! RT si tu soutiens cette demande »!
@DelormeEric2  « Pour faire face aux incendies la France reçoit le renfort de pompiers allemands grecs roumains autrichiens… sans aucune vérification de leur statut vaccinal quand 5000 pompiers volontaires français  sont toujours suspendus! Mais quel est ce pays! #SoignantsSuspendus #incendies

10/08/2022 (2022-08-09)

Par Nicole et Gérard Delépine

Les soignants vaccino prudents ainsi que les pompiers, premiers témoins des désastres vaccinaux, ont été exclus du milieu médical, puis ostracisés parce que le ministre ne voulait pas qu’ils parlent, racontent leurs constatations, ni qu’ils servent d’exemple !

Maintenant les hôpitaux, les cliniques obstétricales ferment tandis que les déserts médicaux se multiplient aux dépens des malades.

Il n’y avait aucune raison sanitaire d’exclure les soignants vaccino prudents

Avant la mise sur le marché des vaccins, lors de la première vague, aucune étude n’a prouvé que les soignants constituaient une source notable de dissémination de la maladie. Les 300 covids nosocomiaux répertoriés en France sont dus aux conditions d’attente aux urgences et à l’absence de ventilation efficace des services.

Au moment où le gouvernement a imposé cette obligation, il reconnaissait lui-même que les pseudo vaccins n’empêchaient ni d’attraper la maladie ni de la transmettre donc que les injections des soignants ne pouvaient pas protéger les malades au vu des courbes d’évolution de l’épidémie mondiale publiées par l’OMS.

On pouvait s’en douter depuis plus d’un an, au vu de la flambée épidémique dans les pays précocement et massivement vaccinés, Islande, Royaume-Uni, Gibraltar, Israël alors que l’Afrique et Madagascar peu vaccinés ont beaucoup moins souffert.

Les vaccinés sont aussi dangereux pour les personnes qu’ils approchent que les non-vaccinés.

Les données sur le mois de juin 2022 de la Direction de la recherche, des études, évaluations et statistiques du ministère de la Santé laisseraient même envisager que la vaccination avec rappel augmente le risque d’infection. La proportion de tests positifs se révèle plus faible chez les non-vaccinés que chez les vaccinés avec rappel (788/100 000 vs 846) dans la catégorie des 40-59 ans, comme dans celle des 60-79 ans (584 vs 757).

Le gouvernement se réfugiait derrière la prétendue protection des formes graves qui s’est depuis elle aussi révélée fausse et qui ne pouvait en aucune manière constituer un argument d’obligation vaccinale.

Alors pourquoi le gouvernement a-t-il imposé cette obligation ?

Il n’y a aucune raison sanitaire de maintenir l’exclusion des soignants vaccino prudents

L’académie de médecine s’est opposée à une éventuelle réintégration des soignants non vaccinés sans aucun argument scientifique. Lorsqu’elle prétend qu’un « revirement mettrait en péril les malades fragiles », elle est incapable d’apporter la moindre étude clinique à l’appui de son affirmation infondée. Et son affirmation est d’autant moins crédible qu’elle a accepté que les soignants covid positifs continuent leur activité auprès de ces malades fragiles…

Elle se réfugie derrière des motifs psychologiques en prétendant croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister entre soignants », alors que ceux qui travaillent encore n’attendent que d’être renforcés par leurs collègues et amis.

Elle fait aussi semblant de croire que la réintégration nuirait au « climat de confiance qui doit exister avec les patients » alors que ceux-ci préfèrent avoir des soignants expérimentés plutôt que des vigiles à l’entrée des hôpitaux et que la peur qui en paralyse encore beaucoup n’est pas la conséquence d’un danger réel, mais seulement de la propagande terrorisante qui se poursuit et qu’elle pourrait contribuer à calmer.

Lorsque les vieux retraités de la médecine qui constitue la majorité de l’académie prétendent que « la réintégration ne résoudrait pas les difficultés de l’hôpital », ils paraissent ignorer la réalité du terrain rappelée par les médecins en activité comme Gérald Kierzek[1], Jean-François Cibien, (président de l’intersyndicale Action Praticien Hôpital)[2], Yannick Neuder, Patrick Pelloux[3], Antoine Flahault[4] pourtant infatigable provax, le professeur Yonathan Freund, urgentiste à l’AP-HP…

« Outre la pénurie de soignants, il est dommage de se priver de compétences et de personnes qui ont donné parfois 20 ou 25 ans à leur métier. Aucune quantité n’est négligeable aujourd’hui. Dans une équipe à flux tendu, quand on enlève une ou deux personnes, c’est très compliqué… On a besoin de tout le monde pour assurer la qualité et la sécurité des soins. »

Quant à la HAS, on comprend mal la base scientifique de son avis, dont la conclusion est en contradiction avec l’exposé. Pour justifier le maintien de l’obligation vaccinale, les experts de la HAS prétendent en effet que « la protection vaccinale se situe entre 45 % et 55 % contre les infections symptomatiques dans les trois mois suivant l’injection » mais se contredisent plus loin en reconnaissant que « le niveau d’efficacité contre les infections après trois mois n’est pas précisément connu à ce jour ». L’absence d’indépendance de la HAS dont tous les membres sont nommés par les politiques a été démontrée ailleurs et fait peser bien des doutes sur la fiabilité de leurs avis.[5]

En réalité l’exclusion visait à empêcher que ces soignants et pompiers n’informent les patients avec des informations directes du vécu du terrain (qualifiées de complotistes)

La censure des médecins vaccino prudents, et leur diabolisation, ont commencé très tôt dans les médias excluants systématiquement ceux qui contredisaient les mensonges officiels (tels que l’utilité du confinement et d’autres mesures prétendument sanitaires telles que le masque ou la distanciation des écoliers [!], la qualification « vaccin » attribuée à des médicaments sans antigène ni anatoxine, la nature expérimentale des injections jusqu’en 2023, leur efficacité proclamée de 95 %, leur intérêt chez les enfants…).[6] Très vite après les premières injections, les ambulanciers, urgentistes, pompiers ont été frappés par les « accidents » type AVC, crise cardiaque qu’ils étaient amenés à prendre en charge. Et très rapidement ils ont été soumis au SILENCE imposé par leur hiérarchie sous peine de sanctions, voire de licenciement.

Les témoignages personnels et par les réseaux sociaux sont légion de ces personnes soumises à des pressions fortes et déstabilisatrices et dont l’état psychologique est aujourd’hui gravement perturbé, ajoutant à la peur vécue, un sentiment de culpabilité. Ils ont su tôt et n’ont rien dit, en dehors des plus « forts » qui ont osé refuser l’injection et se laisser suspendre et vilipender.

Cette censure des professionnels a été avouée et officialisée par la modification du code de la santé publique obligeant les médecins qui s’expriment à se conformer dorénavant à la propagande gouvernementale.[7]

Elle a été renforcée par le conseil de l’ordre qui a rétabli le délit d’opinion[8], poursuivi les médecins, et en a condamné pour la simple expression de vérités dérangeantes. Récemment une nouvelle charrette de médecins poursuivis est dénoncée d’autant qu’il s’agit de médecins ayant eu l’extrême audace de soigner et guérir leurs malades au nom du serment d’Hippocrate et contre l’interdiction du ministre Véran d’utiliser l’hydroxychloroquine et les antibiotiques contre ce petit virus (qui a l’outrecuidance de passer à travers les pores des masques imposés).

L’exclusion des soignants vaccino prudents et des pompiers est en réalité essentiellement un acte de censure visant à empêcher les professionnels du soin et de leur accompagnement, conscients de l’inefficacité et surtout des complications des injections rapidement apparues et constatées dans leur pratique quotidienne, d’en informer les patients. Les autres, demeurés dans le système, ont été soumis à la règle du silence absolu et du pseudo devoir de réserve. Demandez-leur !

Cette exclusion fait partie du plan de propagande pro vaccin mis au point avec un cabinet de conseil (McKinsey ?) utilisant la vieille technique des sociétés communistes d’exclure les opposants politiques de leur profession. Ont-ils pris des leçons auprès du PCC[9] ?

Cette haine contre les opposants à sa dictature sanitaire explique seule leur exclusion du chômage et de toute aide sociale visant à les transformer en SDF.

Seule cette haine contre les résistants peut justifier la persistance de l’obligation en France et en Italie alors que la quasi-totalité des pays européens voisins n’y a pas eu recours ou l’a supprimée

Traiter les soignants vaccino prudents d’antivax est une diffamation

Les soignants qui ont refusé les pseudo vaccins ne sont pas des anti vax : jusqu’à la mise sur le marché conditionnelle des injections expérimentales ils étaient à jour de leurs vaccinations et n’avaient jamais rechigné à administrer à leurs patients de vrais vaccins.

Les traiter d’antivax comme le font couramment ministère et médias constitue donc un mensonge et une injure destinés à les discréditer aux yeux de la population.

Les pouvoirs publics les ont désignés comme de dangereux irresponsables, des antisciences, un comble pour des médecins et infirmiers. L’équivalent, prétendaient-ils, « de matheux contestant les théorèmes les plus solides » alors qu’ils avaient scientifiquement raison.

Avec des vaccins qui empêchent mal la transmission contre Omicron, le refus de la réintégration des soignants vaccino prudents ne constitue donc pas une protection des patients contre le virus, mais une mesure de censure féroce contre la diffusion d’un prétendu « complotisme » dans les hôpitaux. Cette décision aggrave évidemment le vide hospitalier et l’incompréhension des équipes de plus en plus conscientes de la bêtise de cette exclusion sans argument scientifique, relevant d’un totalitarisme qu’ils devinent et ne voudraient pas voir.

Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale plaide pour l’apaisement :

« On est dans une société fragilisée, fracturée. On a besoin de retrouver de la cohésion, du lien social, du respect réciproque, de la responsabilisation, et je ne pense pas que cela se fasse en jetant le discrédit et l’anathème sur des personnes qui, au tout début de la crise, sont allées sur le terrain, dans les EHPAD, dans les services hospitaliers sans le moindre soutien, sans les moindres moyens. “Ces soignants ont été souvent considérés comme des héros. Et du jour au lendemain, les répudier d’une manière aussi rapide et brutale me pose problème”.

La réintégration des soignants non vaccinés, ainsi que d’ailleurs des pompiers réfractaires, qui seraient bien utiles sur le front des incendies de forêt, se révèle donc nécessaire. Le pragmatisme y rejoindrait la morale. Toutefois, pour calmer les craintes des patients ayant succombé à sa campagne de communication, il faudrait que les pouvoirs publics admettent avoir cloué au pilori pour rien de nombreux professionnels. Voire, via le pass sanitaire puis vaccinal, commis un chantage à l’emploi et à la vie sociale sur des millions de jeunes et piétiné allègrement leurs droits et libertés au prétexte de les empêcher de contaminer les personnes à risques… sans raison médicale valable ».

Il faut réintégrer immédiatement les soignants et les pompiers scandaleusement ostracisés et supprimer toutes les censures qui empêchent tout débat démocratique depuis plus de deux ans.

Heureusement des voix s’élèvent pour la réintégration des non-vaccinés y compris à l’Assemblée nationale !

La sénatrice Laurence Muller-Bronn prend la défense des soignants suspendus non vaccinés sur France Soir : « On les traite comme… — (les-republicains.net)


Quelques témoignages


 

  1. [1] émission Points de vue du 13 juillet 2022.
    https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/il-faut-reintegrer-les-soignants-non-vaccines-gerald-kierzek-pousse-un-coup-de-gueule_498050[]
  2. [2]« Ils ne sont pas des parias », s’insurge-t-il.
    https://www.midilibre.fr/2022/06/24/crise-a-lhopital-face-a-la-penurie-de-soignants-faut-il-reintegrer-le-personnel-non-vaccine-contre-le-covid-10394277.php[]
  3. [3] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/sante-publique/reintegrer-les-soignants-non-vaccines-5-medecins-repondent-sans-langue-de-bois[]
  4. [4] https://twitter.com/FLAHAULT/status/1549756425928327168[]
  5. [5] HONTE A LA HAS EMANATION DU POUVOIR DE REFUSER LA RÉINTÉGRATION DES SOIGNANTS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  6. [6] AUTOPSIE D’UN CONFINEMENT AVEUGLE, G ET N DELEPINE, ÉDITIONS FAUVES SEPT 2020[]
  7. [7] Le décret du 24 décembre 2020 modifiant l’Article R. 4127 — 19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle[]
  8. [8] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion[]
  9. [9] Parti communiste chinois. N’oublions pas que notre gouvernement a suivi à la lettre les règles aberrantes de confinement appliquées en Chine, avant toute épidémie avérée et dangereuse démontrée en France. E. Macron nous expliquait, quelques jours avant d’imposer le confinement strict, qu’il fallait aller au théâtre, vivre normalement. Qui l’a fait changer d’avis en quelques jours ?[]

25/07/2022 (2022-07-25)

 

Comment nier en juillet 2022 l’inefficacité des injections géniques et leurs dangers ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Comment le mensonge mondial a-t-il perverti les plus vigilants et leur a-t-il fait accepter ces injections toxiques aux effets divers et variés, en particulier cognitifs ?

Même Philippe Bas, sénateur dévoué à la cause vaccinale depuis longtemps (et qui a d’ailleurs participé à imposer le pass en août 2021), avoue lors de la commission paritaire préalable au second vote de la loi au Parlement, un effet vaccinal plutôt désagréable. Cela devrait en surprendre quelques-uns, lui qu’il est difficile de traiter de complotiste !

Changements de mentalité, quand le réel revient au galop

Les propos stupéfiants de Philippe Bas sur les vaccinés : à contre-courant de la doxa covid imposée par le pouvoir depuis plus de deux ans :

« Tous les jours, des personnes meurent encore en France de cette maladie, dont une grande partie est d’ailleurs vaccinée, mais vulnérable au virus ».[1]

Cette phrase inattendue de Philippe Bas en dit long sur le retournement de situation depuis l’introduction du vaccin :

« Mais à y regarder de plus près, j’ai constaté que le vaccin était de moins en moins efficace non pas pour prévenir les formes graves de la maladie, mais pour faire barrière aux contaminations. En France, ce sont aujourd’hui très majoritairement des personnes vaccinées qui contractent la maladie et la transmettent. Le vaccin fait barrage dans un tiers des cas. Le test présente donc actuellement une efficacité supérieure. C’est la raison — et la seule raison ! — pour laquelle la commission des lois du Sénat, puis le Sénat dans son ensemble ont décidé que, dans cette circonstance exceptionnelle, seul un test négatif soit exigé, plutôt qu’une preuve de vaccination à jour. La durée du test dépendra du nouveau variant — soixante‑douze heures, trente-six heures, vingt-quatre heures…

À y regarder de plus près”… Philippe Bas semble donc avoir découvert que la très abondante littérature jugée jusqu’ici complotiste sur l’inefficacité du vaccin n’était pas dénuée de fondement. Le vaccin ne ferait “barrage” que dans un tiers des cas à la contamination. Voilà pourquoi, officiellement, le Sénat s’oppose au rétablissement du certificat de vaccination (alors même que la Commission Européenne l’a institué et se bat pour l’imposer aux états)… »

TOUTES CES PERSONNES QUI AFFIRMENT EFFICACITÉ ET INNOCUITÉ DES INJECTIONS PEUVENT-ELLES S’AVOUER LEURS PROPRES ERREURS ?

Peut-être ne pouvons-nous rien pour elles, victimes du psychotraumatisme de la peur panique induite par l’intoxication quotidienne, comme les psychologues, telles Ariane Bilheran ou d’autres, nous l’ont démontré. L’expérience de l’attente des extraterrestres dans les années 1950 nous l’avait déjà fait découvrir.

Sauf le jour où…. Parfois semble — t-il un nouveau choc traumatisant qui inverse, annule ou atténue le précédent.. Laissons-les à leurs fausses certitudes, sans jugement, mais avec tristesse à leur choix erroné que nous respectons, même si nous les regrettons.

En tous cas, occupons-nous avec bonne conscience de ceux que l’on peut encore aider : les double vaccinés pour leur éviter la maléfique troisième dose (qui semble plus toxique par accumulation des doses probablement et peut-être modification du produit) ; ou sauver : leurs enfants non injectés, l’avenir de l’Humanité dont il faut sauvegarder la fertilité et le bon état général en ne leur infligeant pas une baisse de leur immunité, ou des atteintes cardiaques, cérébrales, hématologiques ou autres.

Que ceux qui traitent les vaccino prudents d’antivax alors qu’ils ne sont qu’anti-injection EXPÉRIMENTALE nous disent s’ils traitent aussi les agences internationales comme le VAERS pour les USA, EUDRAVIGILANCE pour l’agence européenne de l’UE, ou le MHRA pour les Anglo-saxons, de complotistes fous qui nieraient l’efficacité de l’injection et inventeraient les effets secondaires parfois dramatiques dont des décès.

Si les chiffres sont contestés (en plus comme en moins) rappelons que jusqu’au scénario covid, aucun nouveau médicament ni vaccin n’étaient laissés sur le marché après quelques dizaines de décès. Le nieront-ils aussi ? Jusqu’où l’aveuglement de la secte covid les a-t-il menés ?

Le Pr Montagnier lui aussi vilipendé avait prédit que les non-vaccinés sauveraient l’Humanité. Vu les propos délirants de personnes antérieurement intelligentes et clairvoyantes, la régression intellectuelle de proches après deux injections (avec perte de mémoire, d’orientation, voire de raisonnement), on peut malheureusement penser qu’il avait raison.

Pour ceux qui veulent encore savoir, faisons une nouvelle fois le point des effets secondaires de cette injection que même les sénateurs reconnaissent enfin comme inefficace[1] et au besoin envoyons ces dernières nouvelles aux sénateurs, députés, conseillers généraux, à tous les élus et à tous ceux que cela pourrait intéresser.[2]

Même sur le Site de L’ANSM ET EUDRAVIGILANCE

Les effets indésirables sont 20 fois plus importants en moins de deux ans qu’en 50 ans de statistiques sur tous les autres vaccins réunis. Pourquoi autant de soignants ont refusé celui-là, alors qu’ils ont accepté les autres ?

Jamais un vrai vaccin n’a entraîné un nombre comparable d’effets secondaires à l’injection expérimentale covid-19. Regardez les chiffres officiels fournis par le VAERS.

@YannBertin6 19 juil.

Plus de 1000 études et/ou rapports scientifiques sur les dangers associés aux injections Covid, liés à la coagulation du sang, la myocardite, la thrombose, l’anaphylaxie, la paralysie de Bell, les décès, etc. On peut débattre de tout sauf des chiffres

19 juil.

Des dizaines de milliers de victimes des « vaccins » COVID19 aux États-Unis appellent à l’aide alors que la communauté médicale leur tourne le dos !

rumble.com

Tens of Thousands of COVID-19 « Vaccine » Injured in the U.S. Begging for Help

From: https://www.vaxlonghaulers.com/
Testimonies from victims who need help because the medical community has turned their back on them.
https://healthimpactnews.com/2021/tens-of-thousands-of-covid-1

Yann Bertin — Anti-Fachos — Pro-humains

Les données du Vaers et d’Eudravigilance concordent parfaitement, un paquet de personnalités connues ont eu des problèmes, il paraît qu’on peut débattre de tout sauf des chiffres. Plus de 1000 études sur le danger des injections

https://resistance-mondiale.com/plus-de-1000-etudes-et-ou-rapports-scientifiques-sur-les-dangers-associes-aux-injections-covid

ici vous avez aussi les morts et blessés australiens que leur gouvernement a décidé d’indemniser au 6 juillet 2022

Et aussi l’évolutivité des myocardites

enfin une bonne conclusion d’un twittos :

Mercier @Art50Mercier20 juil.

Croire c’est pour les croyants
Devenez plutôt sachant
Allez creuser vérifier demander
Revérifier comparer…
Bref instruisez-vous 🧐
auprès des données officielles
VAERS CDC FDA Eudravigilance etc…
vous en êtes capable
La question étant 🤔
En avez-vous envie ?


  1. [1] Le sénateur Bas reconnaît que les vaccinés meurent massivement du virus… par Eric Verhaeghe – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) [][]
  2. [2] Base de données européenne des rapports sur les effets indésirables suspectés des médicaments — EudraVigilance
    https://adrreports.eu/fr/eudravigilance.html[]
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