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LE TOTALITARISME IMPOSE AUX ENFANTS ET THEORIE DU GENRE OCT 2023
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LE TOTALITARISME IMPOSE AUX ENFANTS ET THEORIE DU GENRE OCT 2023
« « Si vous n’avez qu’une injection n’en prenez pas deux. Si vous en avez deux, n’en prenez pas trois. Si vous en avez trois, n’en prenez pas quatre. Si vous n’en avez jamais eu, s’il vous plaît, n’en prenez pas », a exhorté le Dr Cole. ALLEZ LIRE L’ ARTICLE RECENT DU DR COLE un des tous premiers à avoir dès 2021 attiré l’attention sur le danger des injections expérimentales anticovid
« Turbo-cancer » est un terme de langage courant, populaire, non réellement scientifique, pour évoquer l’émergence récente de cancers très agressifs qui se développent très rapidement ». Il est apparu au cours de l’année 2021 après que l’injection covid 19 se soit répandue comme une trainée de poudre dans une majeure partie du monde occidental… Coïncidence ou causalité ?
L’attention des médecins cliniciens – ceux qui voient de vrais malades en consultation, les interrogent et les examinent- avait été très tôt attirée par des modifications de l’évolution clinique de certains patients dans les quelques mois suivant les débuts de la campagne d’injections anticovid. Initialement ce furent des rechutes brutales, et résistantes, de patients apparemment guéris de cancer depuis plus de dix, quinze ans voire plus, en rémission complète, qui sidérèrent les généralistes et les cancérologues (qui ne l’avouèrent que sous le manteau…).
Un exemple typique a été celui de monsieur Axel Kahn, président de la ligue contre le cancer, qui s’était fait remarquer par ses positions extrémistes pro vaccins covid1 et dont le cancer d’évolution jusqu’ici lente a explosé après sa vaccination l’emportant en quelques mois.
De nombreuses malades en rémission de cancer du sein rechutèrent contre toute attente après une si longue durée.
Parallèlement les médecins virent arriver dans leurs cabinets de très jeunes gens d’une vingtaine d’années ou moins atteints de maladies hématologiques, telles des lymphomes, des glioblastomes etc. d’apparition jusqu’ici exceptionnelle chez les jeunes, d’évolution particulièrement rapide et résistant trop souvent à toute espèce de traitement.
Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontres, réseaux sociaux, groupes sur telegram etc.. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.
Un des autres cancers les plus rapportés dans nos contacts récents est le lymphome chez de jeunes adultes…
Et tous ces articles qui fusent et disparaissent rapidement sous l’effet de la censure féroce sur internet.
« En tant qu’oncologue, je vois des personnes atteintes d’un cancer stable [qui a] progressé rapidement après avoir été forcées de recevoir un rappel ».
En mars 2021, le Dr Ryan Cole 2a signalé une « hausse » massive de diverses maladies auto-immunes et cancers chez les patients vaccinés contre la COVID. « Depuis le 1er janvier 2021, en laboratoire, je constate une multiplication par 20 des cancers de l’endomètre par rapport à ce que je vois sur une base annuelle ».
Bref de quoi étonner les cancérologues qui ne firent que chuchoter au début, puis s’exprimèrent enfin entre eux. Pourquoi ce silence ? C’est un autre versant des conséquences psychiatriques de cette plandémie.
Etant donné la concomitance des campagnes d’injection, les médecins du monde entier constatèrent les mêmes phénomènes en même temps, rendant la coïncidence moins crédible que la causalité. Les prétendus « sites de vérification » des médias officiels (les fameux fact checkers largement rémunérés par Bill Gates entre autres ) s’empressèrent de nier toute possibilité d’une responsabilité des vaccins et certains collègues défenseurs du crédo officiel diffamèrent en les traitant de fous les lanceurs d’alerte , à commencer par Mme le Pr Alexandra Henrion- Caude qui expliquait ce qu’est l’ARNm dans son best -seller « les apprentis sorciers »3.. )
Pour camoufler la triste réalité de la flambée des cancers post injection expérimentale, que la population commençait à découvrir seule, on vit fleurir des papiers sur l’augmentation de cancers depuis trente ans.4 Une étude publiée dans BMJ Oncology intitulée « Tendances mondiales de l’incidence, de la mort, du fardeau et des facteurs de risque du cancer précoce de 1990 à 2019 » a signalé une augmentation de 79,1% de l’incidence du cancer chez les personnes de moins de 50 ans au cours des trente dernières années . Mais une analyse objective du phénomène, aurait souligné les différences de pratique médicale sur ces décennies et tout particulièrement la pratique de dépistage à outrance des cancers du sein, de la prostate, du colon, de la thyroïde qui a conduit à traiter des patients dont le cancer n’aurait sans doute jamais évolué, contribuant ainsi à accroitre artificiellement le nombre réel de cancer, à en augmenter les taux de guérison apparents tout en administrant inutilement aux patients des traitements dangereux.5 6
Au total plus de 350 organes de presse à travers le monde ont publié des articles rapportant les résultats des cancers avant 2019 et leur dramatique augmentation, alors qu’après trois ans de plandémie covid et des milliers de victimes des injections, le sujet est soigneusement évité dans les journaux mainstream, sauf récemment dans les quotidiens ou hebdomadaires allemands ou suisses, anglais, accompagnés parfois d’excuses aux lecteurs de ne les pas avoir informés plus tôt…
L’Institut du Cancer ne donne pas les chiffres de cancers des cinq dernières années, (depuis 2018) et en particulier les mortalités, prétextant qu’: « En raison d’un changement de méthode de codage d’enregistrement des cas, les données de mortalité actualisées ne sont pas disponibles. ».
Les données n’étant pas accessibles en France, on se réfèrera aux rares données publiées dans les pays anglophones.
Phinance Technologies, une société spécialisée dans l’exploration de données indépendantes et la consultation, a publié une analyse des demandes d’invalidité au Royaume-Uni au cours des sept dernières années (https://phinancetechnologies.com/HumanityProjects/PIP Analysis-Systems.htm). Ainsi, indirectement, via le biais des nouvelles invalidités, on peut déduire le nombre global de malades et celui par pathologies sur ces dernières années. Mieux que rien.
Après les injections de nombreuses personnes sont fatiguées, vont d’arrêt de travail en tentative de reprise, et nouvel arrêt et il ne s’agit pas uniquement de dépressions.
Le nombre total de nouvelles demandes de prestations d’autonomie personnelle (RRP) pour tous les âges et toutes les causes présentées par des personnes ayant présenté une demande d’invalidité a très fortement augmenté. En 2022 le taux de nouvelles demandes a été supérieur de 71% au taux moyen de 2016-2019 et a suivi le déploiement du vaccin Covid.
Si l’augmentation du nombre total de personnes demandant des prestations d’invalidité au Royaume-Uni parce qu’elles sont devenues incapables de travailler- se répète dans le monde entier, en 2022, il y aura eu 31 millions de nouveaux cas d’invalidité.
Un drame qui est peut être en partie responsable des soucis des petits patrons pour trouver du personnel.
Phinance Technologies rapporte également les données distinctes pour les paiements versés aux personnes souffrant d’invalidité en raison de l’incidence du cancer. Le nombre des bénéficiaires de ces paiements a augmenté de 35 % en 2022 par rapport à la moyenne à long terme. Une augmentation de 12 271 cas.
Il est triste de constater qu’une augmentation de 79% d’apparition de cancers sur une période de trente ans a suscité une forte inquiétude et une publicité mondiales, alors qu’une augmentation de 35% de l’incidence du cancer en à peine plus d’un an après le début du déploiement du vaccin, un taux annuel 13 fois plus élevé, a été ignorée par les médias grand public. Si cette augmentation était reproduite dans le monde entier, cela équivaudrait à 1 million de cas de cancer supplémentaires.
L’analyste de données Edward Dowd a fait la lumière sur les autorisations indemnisations annuelles au Royaume-Uni accordées pour invalidité en utilisant différentes mesures pour 2020, 2021 et 2022. Et ce qu’il a constaté, c’est que les demandes pour maladies hématologiques cancéreuses(leucémies) étaient en 2022 en hausse stupéfiante de 522% au-dessus de la tendance des années précédentes.
L’enquête sur la population active auprès des ménages indique que 6600 personnes en âge de travailler (15-64 ans) ont quitté le marché du travail en raison d’un handicap au cours de l’année écoulée depuis juin 2021, date à laquelle la vaccination de ce groupe d’âge a commencé.
La fuite de données hospitalières de la région de Wellington a révélé une incidence croissante de cancers et en particulier des leucémies (+ 25%), des cancers du sein (+24%), des glioblastomes (+15%) et des cancers du pancréas (+15%).
Le financement continu par les gouvernements de « vérificateurs de faits » (fast checkers) qui se comportent en vrais experts en désinformation, niant les preuves scientifiques croissantes des dommages causés par les vaccins Covid, devient une affaire mondiale, non seulement morale mais politique, menaçant la science et la démocratie.
Le registre des déclarations des accidents vaccinaux VAERS a enregistré une hausse considérable (123%) des cancers survenus après vaccination covid lorsqu’on la compare aux années précédentes.
Cette augmentation des cancers post vaccinaux n’est pas due à une utilisation plus massive des vaccins covid par rapport aux autres vaccins; en effet durant les années précédentes qui servent de comparaison les vaccins anti grippaux ont été chaque année plus largement injectés que les vaccins covid en 2021.
En janvier 2022, trois militaires de haut rang, médecins responsables de la santé publique aux USA, ont déclaré sous serment qu’à la suite de l’adoption du vaccin COVID dans l’armée américaine ils avaient constaté une augmentation des cancers de 296 %4.
Certains scientifiques cherchent absolument à comprendre ce qui se passe au fin fond de nos cellules agressées, car semble-t-il certains ont du mal à croire la simple observation clinique s’ils n’en comprennent pas le mécanisme (pourtant souvent mystérieux en médecine).
« En raison de la dérégulation des réponses immunitaires et de la suppression du système immunitaire par ces injections génétiques … ces cancers qui seraient normalement contrôlés par le corps se développent de manière inattendue très rapidement », a déclaré le Dr Ryan Cole dans une interview avec Children’s Health Defense.7
Les protéines de pointe des vaccins à ARNm servent de carcinogène, nourrissant littéralement le cancer et le propulsant à se multiplier de manière exponentielle pour envahir le reste du corps. (ibid 1) Turner a également observé de plus en plus de tumeurs multiples dans plusieurs organes, ainsi que des récidives et des métastases incontrôlables ».
En ce qui concerne l’immunité adaptative globale, Cole décrit : « Après le vaccin, ce que nous voyons est une baisse des cellules T tueuses » qui « gardent tous les autres virus sous contrôle », laissant le patient vulnérable à une variété de maladies.
En octobre 2022, une étude suédoise a confirmé que la protéine de pointe associée à la maladie COVID-19 et ses vaccins expérimentaux pénètre dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages à l’ADN, compromettant l’immunité adaptative d’une personne et facilitant peut-être la formation de cellules cancéreuses.
Un post de la généticienne Alexandra Henrion- Caude auteur des « les apprentis …) pour sensibiliser les humains au risque de cancer après injection anticovid pourra -t-il sauver des enfants et adolescents de ces injections catastrophiques ?
« Je remarque que l’humain comprend mieux sur l’animal que sur lui-même. Alors je vous raconte l’histoire de Kimani, le petit gorille, né dans un zoo à Calgary. Il est né le 9 mars 2016 d’une mère Kioja, âgée de 15 ans (primipare) et d’un père illustre Kakinga, connu comme le « gentle giant » (le gentil géant), mort à 37 ans d’une déchirure de l’aorte.
Bénéficiant du nec plus ultra du traitement de l’humanité, le jeune Kimani âgé de 6 ans a été injecté début avril 2022 avec les premières doses anti-COVID19 disponibles au zoo.
En moins de 2 mois, l’état de santé de Kimani s’est profondément dégradé. Il est dans un état critique, et seuls les soins palliatifs sont désormais envisagés. Il a été diagnostiqué d’un cancer du foie ».8
Et une lettre du Dr Angus Dalgleish9, professeur d’oncologie à l’Université St George de Londres, au Dr Kamran Abbasi, rédacteur en chef du BMJ pour que le BMJ fasse du consentement libre et éclairé préalable pour la vaccination Covid un sujet prioritaire.
« Cher Kamran Abbasi,
Covid n’a plus besoin d’un programme de vaccination étant donné que l’âge moyen de décès de Covid au Royaume-Uni est de 82 ans et alors que pour toutes les autres causes il est de 81 ans et en baisse.
La responsabilité des injections anti covid avec les caillots, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est maintenant bien acceptée, tout comme le lien avec la myélite et les neuropathies. (Nous avons prédit ces effets secondaires dans notre article de juin 2020 Sorensenet al. 2020, l’analyse de l’explosion ayant révélé 79% d’homologies avec les épitopes humains, en particulier PF4 et la myéline.)
Cependant, il y a maintenant une autre raison d’arrêter tous les programmes de vaccination. En tant qu’oncologue praticien, je vois des personnes atteintes d’une maladie stable progresser rapidement après avoir été forcées de prendre un rappel, généralement pour pouvoir voyager.
Même au sein de mes contacts personnels, je vois une maladie à base de cellules B après les rappels. Ils décrivent être nettement malades quelques jours à quelques semaines après le rappel – une leucémie en développement, deux collègues de travail lymphome non hodgkinien et un vieil ami qui a eu l’impression d’avoir eu le Covid long depuis qu’il a reçu son rappel et qui, après avoir eu une douleur osseuse intense, a été diagnostiqué comme ayant de multiples métastases d’une maladie rare des cellules B.
J’ai suffisamment d’expérience pour savoir que ce ne sont pas les anecdotes fortuites que beaucoup suggèrent, d’autant plus que le même schéma est observé en Allemagne, en Australie et aux États-Unis. Les rapports d’immunosuppression innée après ARNm pendant plusieurs semaines conviendraient, car tous ces patients à ce jour ont un mélanome ou des cancers à base de cellules B, qui sont très sensibles au contrôle immunitaire – et c’est avant les rapports de suppression du gène suppresseur par ARNm dans les expériences de laboratoire Cela doit être diffusé et débattu immédiatement ».
Angus Dalgleish
Selon le vaccinologue Geert Vanden Bossche, DVM, Ph.D., la poursuite de la vaccination de masse contre la COVID-19 suscite de nouvelles souches virales10 (les variants) plus infectieuses et potentiellement dangereuses, augmentant le risque de COVID-19 grave, tout en entraînant une augmentation de cancers agressifs et de maladies auto-immunes dans les populations vaccinées. Dans son article récent en cet été 23, Vanden Bossche envoie un «avertissement sévère à ceux qui envisagent de se faire vacciner contre la COVID-19 plus tard cette année, alors que nous nous dirigeons vers l’hiver de l’hémisphère nord. »
Il explique en détail comment et pourquoi les populations fortement vaccinées contre la COVID-19 vont : faire apparaître des variants toujours plus infectieux et potentiellement dangereux11 dérivées d’Omicron, par échappées immunitaire, tout en étant plus à risque de contracter une forme grave de COVID-19 que les populations moins ou non vaccinées.
Comment les risques d’autres affections chez les populations fortement vaccinées, y compris les cancers agressifs, précoces, les cancers « turbo » et les poussées auto-immunes, augmenteront probablement considérablement par rapport à ceux qui, prudents, choisissent d’éviter une injection supplémentaire contre la COVID-19.
La base de preuves pointant dans cette direction devient de plus en plus forte (avec de nombreuses références à d’autres publications dans le rapport de Vanden Bossche). »
La relation possible avec les cancers du sang et les vaccins COVID-19 et les mécanismes scientifiques avérés peuvent l’expliquer… mais l’essentiel est d’entendre que la hausse d’incidence des cancers depuis 2021 a moins d’une chance sur 1000 d’être due au hasard.
L’argument selon lequel l’épidémie de cancer serait due au retard dans les dépistages ne tient pas, car l’arrêt des dépistages et le retard aux traitements aboutissent à des formes plus évoluées de cancers et peut en augmenter la mortalité, mais est incapable d’en augmenter significativement l’incidence.
De plus si c’était le cas il s’agirait des cancers classiques. Or ici ce sont de nouveaux types de cancer, à des âges inhabituels avec des comportements particuliers tels leur vitesse majeure de développement et leur résistance à tous les traitements habituels.
« Nous voyons des cancers rares/bizarres et des augmentations hors saison. Les dépistages différés ne déclenchent pas une augmentation des cancers en une seule semaine. Il s’agit d’une intervention spécifique, intense et inédite ». As an Oncologist I Am Seeing People With Stable Cancer Rapidly Progress After Being Forced to Have a Booster », The Daily Sceptic
On comprend pourquoi les injections suivant la première sont plus toxiques :
« Lorsqu’il y a une stimulation du système immunitaire, la microglie ramifiée passe au stade de la microglie amorcée. Les pseudopodes sont rétractés et cela devient une cellule plus arrondie. À l’intérieur de la microglie amorcée, il y a une intense régulation à la hausse de la production de cytokines, de chimiokines et d’excitotoxines — mais elles ne sont pas libérées de la cellule, il peut donc y avoir une réaction immunitaire mineure, mais sinon il n’y a pas beaucoup de signes de réaction. C’est ce qui se passerait avec la première injection de cet injectable qu’ils appellent un ‘vaccin’ », a déclaré le Dr Blaylock.12
Il est important de noter que les chimiokines attirent les macrophages, ou globules blancs, vers le cerveau. Un macrophage dans le cerveau ressemble exactement à la microglie et peut également subir un amorçage.
« Avec la deuxième stimulation immunitaire, [qui serait la deuxième injection et] qui peut être des mois plus tard, cette microglie amorcée devient complètement activée. Et lorsque cela se produit, il libère tous ces composants toxiques… vous obtenez une microglie activée de manière chronique, [un] état suractivé et il y a une réaction inflammatoire 3 fois plus élevée que celle que vous obtiendriez normalement avec l’activation microgliale. »
Le Dr Blaylock insiste sur les dangers sur les fœtus et les risques prévisibles à long terme :
« Je pense que comme conséquence des injections de Covid Nous allons assister à une augmentation considérable des troubles du spectre autistique. L’autre trouble dont on ne parle jamais est la schizophrénie. Ce que nous voyons, c’est que si nous stimulons le système immunitaire au cours du troisième trimestre, l’incidence de la schizophrénie augmente d’environ 6 fois. Mais ça n’arrive qu’à l’adolescence donc ça va être long avant qu’on le voie.
« Mais je pense que tout — les malformations augmentent déjà de 300 à 400 %, les fausses couches — nous allons voir des choses que nous n’avons jamais vues auparavant. C’est la tragédie de tout cela.
Que les organisations pédiatriques approuvent les injections de Covid est monstrueux. »
Le Dr Ryan Cole a remarqué qu’il y avait une augmentation considérable des cancers agressifs après le déploiement de l’injection de Covid. Il a également remarqué que les personnes qui avaient des cancers bien contrôlés développaient des cancers incontrôlables et mouraient très rapidement.
De longues publications abordent maintenant ce sujet. L’important en urgence est de stopper ces injections et de les éviter à vos proches en attendant une suppression mondiale.
« L’idée qu’un nouveau produit comme les vaccins [COVID] pourrait causer le cancer n’est pas quelque chose qui sera observable du jour au lendemain », a expliqué le Dr Risch dans une interview passionnante 13
« Le cancer en tant que maladie prend beaucoup de temps à se manifester à partir du moment où il commence, des premières cellules qui se détraquent jusqu’à ce qu’elles deviennent assez grandes pour être diagnostiquées ou symptomatiques, peut prendre de deux ou trois ans pour les cancers du sang, comme les leucémies et les lymphomes, à cinq ans pour le cancer du poumon. à 20 ans pour le cancer de la vessie, ou 30, 35 ans pour le cancer du côlon, et ainsi de suite.
« Ce sont donc des événements à long terme, et si vous introduisez soudainement un nouveau produit comme les vaccins, la première chose que vous pourriez vous attendre à voir serait les cancers du sang que j’ai mentionnés, mais pas les autres types de cancers. »
Mais il ne s’agit pas seulement de troubles hématologiques
Les cancers qui prennent normalement dix, vingt ou trente ans à se développer, théoriquement accélérés par les vaccins immunosuppresseurs contre la COVID, pourraient apparaître à des taux accrus à long terme, a laissé entendre le Dr Risch.
Mais à moyen terme nous voyons déjà des signes de cela se produire alors que les jeunes, dans la fleur de l’âge, souffrent du cancer à des taux sans précédent.
Colby Brock, un YouTuber de 26 ans, a partagé son diagnostic de cancer des testicules avec ses abonnés le 9 juillet 2023. Le Dr William Makis a fait une plongée profonde dans les jeunes influenceurs des médias sociaux qui contractent le cancer sur sa page Substack.
Selon le Dr Risch, si une personne de 25 ans développe un cancer du côlon sans antécédents familiaux de la maladie, « c’est fondamentalement impossible selon le paradigme connu du fonctionnement du cancer du côlon ». Il a ajouté que d’autres cancers à longue latence font surface chez les très jeunes. « Ce n’est tout simplement pas l’occurrence normale du fonctionnement du cancer. »
« Parce que ces cancers se sont produits chez des personnes trop jeunes pour les avoir, par rapport à la façon normale de survenue, ils ont été désignés comme des turbo-cancers », a ajouté le Dr Risch.
« Certains de ces cancers sont si agressifs qu’entre le moment où ils sont vus pour la première fois et le moment où ils viennent pour le traitement après quelques semaines, ils ont considérablement augmenté par rapport à ce à quoi les oncologues s’attendaient. »
« Il doit y avoir un stimulus initiateur », a-t-il déclaré. Comme déjà mentionné, « les vaccins contre la COVID ont causé divers degrés de dommages au système immunitaire chez une fraction des personnes qui les ont pris. » « si vous endommagez le système immunitaire d’une manière qui limite la capacité de reconnaître ou de désactiver les cellules cancéreuses dérangées en croissance naissante, cela ouvre la porte à leur multiplication au point où il est au-delà du système immunitaire de faire face. Et c’est le mécanisme, je pense, qui est le plus probable ici. »
Des exemples se multiplient dans la littérature institutionnelle aussi bien que sur les réseaux sociaux citons cette observation à propos d’enseignants 14Makis 15
Il faut refuser tout nouveau booster car toutes les études montrent une augmentation extrême de certaines maladies associées au déploiement de l’inoculation de l’ARNm et l’inefficacité de ces injections à protéger du covid ceux qui les reçoivent.
En particulier, nous pouvons observer que les maladies hématologiques malignes ont connu une augmentation extraordinaire par rapport au début de 2021, presque coïncidant avec le déploiement du vaccin Covid-19.
Nous observons également l’augmentation des réclamations liées aux maladies cardiovasculaires et des réclamations liées au système musculo-squelettique, qui sont probablement dues à une inflammation. Nous observons également que l’augmentation des cancers a, jusqu’à présent, été modérée, mais nous sommes préoccupés par le fait que ces résultats sont de nature à plus long terme et devraient donc continuer à augmenter dans les années à venir.16
Les appels internationaux à stopper cette catastrophe sanitaire sont nombreux. En décembre 22, nous diffusions cet appel à protéger vos proches, et qu’il est impératif de refaire à nouveau, devant la volonté du ministre de la Santé de reprendre les injections à partir du 2 octobre 23, en « favorisant les plus fragiles » en sachant (mais le sait-il ?) que ce sont ceux-là même qui sont le plus à risque de complications de l’injection-expérimentale.
Et les EHPAD vont continuer à se vider, les établissements privés ayant de plus en plus de difficultés à trouver des candidats pour les remplir…Si vous aimez vos proches injectés (par confiance mal placée aux médias menteurs, ou par nécessité vitale pour vivre), protégez-les du booster proposé, car les effets s’accumulent avec les doses successives, d’autant que le contenu de ces nouveaux pseudovax paraît de plus en plus riche en substances toxiques. Les premières doses contenaient beaucoup de placebos, mais les suivantes sont de plus en plus riches en ARNm et en graphène, d’ou une multiplication des complications que chacun peut constater dans son entourage s’il ne se voile pas la face.
Alors si vous tenez à vos proches et amis, informez -les pour qu’ils sachent à quoi ils s’exposent.
1https://www.humanite.fr/en-debat/covid-19/grand-entretien-avec-axel-kahn-contre-le-covid-19-une-couverture-vaccinale-de-60-ferait-la-difference-697120
3 Les apprentis sorciers éditions Albin Michel – paru le 8 mars 2023
4 Les cancers augmentent considérablement en tandem avec les vaccinations Covid (2ndsmartestguyintheworld.com) Vanden Bossche envoie un avertissement sévère à ceux qui envisagent de se faire vacciner contre la COVID-19 plus tard cette année, alors que nous nous dirigeons vers l’hiver de l’hémisphère nord.
Il explique en détail comment et pourquoi les populations fortement vaccinées contre la COVID-19 :
Servir à conduire des variantes toujours plus infectieuses et potentiellement dangereuses, échappées immunitaires, dérivées d’Omicron.
Être plus à risque de contracter une forme grave de COVID-19 que les populations moins vaccinées ou non vaccinées.
Comment le risque d’autres affections chez les populations fortement vaccinées, y compris les cancers agressifs, précoces, les cancers « turbo » et les poussées auto-immunes, augmentera probablement considérablement par rapport à ceux qui choisissent d’éviter une vaccination supplémentaire contre la COVID-19.
5 L’arnaque du dépistage du cancer de la prostate – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)
6 Un article français à lire absolument si on désire subir le dépistage organisé du cancer du sein – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)
7 https://childrenshealthdefense.org/defender/dr-ryan-cole-shots-hooker/
8 Ref in ibid 5 https://t.me/alexandrahenrioncaude
Naissance : https://calgaryherald.com/calgary-zoos-baby-gorilla-finally-has-a-name
Antécédents : https://calgaryherald.com/zoos-gentle-giant-gorilla-kakinga-dead-at-37
Injection : https://globalnews.ca/calgary-zoo-animals-first-dose-covid-19-vaccine
Soin palliatif comme seule solution : https://www.cbc.ca/gorilla-kimani-calgary-zoo-cancer
9 Angus Dalgleish Rapid Response:Re: Covid-19: Fourth vaccine doses—who needs them and why? BMJ 2022; 376 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.o30 (Published 07 January 2022) Cite this as: BMJ 2022;376:o30
10 https://www.linkedin.com/pulse/inescapable-immune-escape-pandemic-geert-vanden-bossche?trk=public_post
11 Geert Vanden Bossche, Robert Rennebohm The Inescapable Immune Escape Pandemic Kindle Edition
12 Dr Russell Blaylock : Comment les protéines de pointe induites par les vaccins endommagent le cerveau et causent le cancer, par Rhoda Wilson 22 novembre 2022
13 L’interview complète du Dr Risch avec The Epoch Times est disponible via le lien ci-dessous:
Dr Harvey Risch: Augmentation des « cancers turbo » agressifs – et en particulier chez les jeunes
septembre 2023
14TURBO CANCER – Les enseignants sont décimés par des cancers agressifs et métastatiques après les obligations de vaccin à ARNm COVID-19 – 34 cas tragiques récents aux États-Unis! (substack.com) 6 SEPT. 2023
15 Makismd.substack.com/p/turbo-cancer- teachers- are- being- decimated
16 Royaume-Uni – Analyse PIP – Systèmes de carrosserie (phinancetechnologies.com)
17 Flambée de cancers sous pseudovax : conseils aux naïfs tentés par un nième booster – Profession Gendarme (profession-gendarme.com)
18 Alliance for Natural Health International initialement et Children’s Health Defense
19 www.anhinternational.org/news/feature-the-scientific-case-for-an-immediate-halt-to-covid-vaccination-of-children
EXIGEONS LA PRÉSENCE D’UN ACCOMPAGNANT AUX URGENCES QUEL QUE SOIT L’AGE DU MALADE
Le mammouth de la santé coule tel le Titanic, et les patients, seuls, n’ont même pas droit à la moindre humanité d’une présence familière. Aux urgences, vous resterez seuls, sans amie, sans famille, sans vieux copain, sans petit ami, sans compassion, sans une main dans la vôtre pour supporter ces longues heures d’attente et ces douleurs non soulagées, cette angoisse d’un diagnostic qui ne vient pas et que vous imaginez forcément le pire, et ce saut dans l’inconnu de la machine appelée IRM qui fait du bruit et semble vous enfermer à vie dans son tunnel.
Si vous avez 18 ans et deux jours, trop tard vous êtes adulte (depuis Giscard d’Estaing des années 74 qui voulut récupérer les voies des « jeunes » abaissant la majorité de 21 à 18 ans, rien de neuf ..). Et la petite fille de deux jours trop vieille déjà, n’aura pas sa maman à côté d’elle pour affronter l’aide-soignante revêche (« vous ne voyez pas que je suis occupée ! » ) ou le médecin arrogant qui a droit de vie ou de mort sur vous (c’est en tous cas l’impression qu’il donne). Cette jeune infirmière, pas encore rodée à l’inhumanité de rigueur, qui reste un peu trop longtemps près de vous se fera tancer par son ainée de trois ans qui sait tout sur tout « tu ne vois pas que Mme X doit partir et qu’il faut enlever sa perfusion ? ». D’ailleurs pourquoi ne l’a- t -elle pas fait elle -même, ce geste libérateur qui va permettre à cette vieille dame arrivée la veille pour des douleurs abdominales de sortir « sur demande » en signant sa pancarte ?
Cette vielle « mamie » à laquelle on ne dit plus « madame » mais qu’on infantilise (de quel droit ?), avait très mal à l’estomac et vomissait depuis deux jours la décidant à consulter dans l’hôpital proche de chez elle, autrefois efficace et humain.. (autrefois ? il y a encore un an, on s’occupait de vous dans cet établissement rescapé, mais c’est terminé). La chute libre accélérée de notre système de santé dont le ministre dit qu’ « il se porte bien ».
Et on lui proposa à cette dame âgée mais consciente, très intelligente, ayant toute sa tête comme on dit, une rectoscopie pour faire le point sur des hémorroïdes connues et explorées quelques jours plutôt en ville. Pour le savoir, le médecin aurait dû l’écouter, mais pas le temps, jamais le temps (sauf parfois pour commander une pizza avec l’équipe) comme le « pas de vague » des écoles.
Le jeun imposé par les repas ratés les uns après les autres à coût de « vous devez rester à jeun » avait dû la guérir (un comble), puisque finalement elle avait moins mal au ventre et qu’une imagerie pratiquée à une heure du matin l’avait rassurée, car normale. Plus de raison de rester, surtout qu’elle avait soif, et faim : une aide -soignante passée à proximité avait refusé de lui donner une nouvelle bouteille d’eau, la sienne ayant disparue pendant son séjour en radiologie. Le déjeuner (après la collation du matin oubliée ) sauta aussi sans raison évidente, mais la cerise sur le gâteau fut le déni de l’infirmière affirmant au médecin que la malade et ses deux voisines mentaient, « elles avaient reçu leur plateau »!
Cette dame âgée en avait vu d’autres « pendant la guerre », et elle se dit que fuir était le mieux à faire, avant que, vu son grand âge, on ne lui injecte le fameux cocktail Rivotril autorisé (imposé ? ) par le décret Philippe en mars 20201, pour « soulager » les suspects de covid à la première toux et plus largement éviter à ces pauvres « vieux » en Ehpad une fin de vie difficile.
Pas question de vous plaindre encore aujourd’hui si vous êtes âgé ou handicapé, il faut toujours dire que vous êtes en forme car la seringue peut vite arriver. Beaucoup de vieillards en sont d’ailleurs très conscients et refusent à tout prix une hospitalisation. Ou alors mourant… car mourant pour mourant plus grand-chose à perdre…
Oui Madame, je vais vous apporter une bouteille d’eau, je vais ôter votre perfusion avec un sourire, je vais vous donner le bassin en vous racontant une belle histoire, je vais vous consoler, vous faire patienter avec un gant de toilette sur le front, et une main compatissante. Oui madame, était comme ça l’hôpital d’avant les restrictions progressives qui ont commencé avec Thatcher et Mitterand en 1983..
Pourquoi tant de mensonges inutiles des personnels, victimes aussi consentantes, car on le sait tous, l’hôpital craque, l’hôpital n’en peut plus, l’hôpital n’a plus de personnel et les toutes puissantes agences régionales de santé, bras armé du ministère refusent de libérer les nombreux personnels soignants qui courent dans les couloirs gris des magnifiques bâtiments administratifs s’occupant des audits et rapports, alors que leur rapprochement des lits hospitaliers soulagerait déjà le manque cruel d’hommes et de femmes en blanc dans les services.
Elles refusent aussi de payer correctement le personnel soignant qui déprime chaque jour un peu plus et dont les victimes de ces burn-out de plus en plus nombreux sont les patients.
Si on décrétait rapidement que le salaire des infirmiers est aligné sur ceux d’Allemagne ou de suisse, un grand nombre de diplômés rejoindrait l’hôpital et la carrière qui avait suscité leur enthousiasme dans leur jeunesse. Mais vous me direz qu’il n’y a pas d’argent dans les caisses, sauf pour le spectacle de la patrouille de France, le fastueux diner à Versailles et autres dépenses pour financer les yachts ukrainiens qui peuplent les ports méditerranéens etc.. Vaste sujet ..
Mr le Ministre de la Santé, Mrs les directeurs d’hôpitaux et chefs de service, une petite demande simple pour vous et si importante pour les patients. Un petit pas dans un bureau, un grand pas pour les malades dans les services !
AUTORISEZ LES ACCOMPAGNANTS !
Mais en attendant que faire contre ce Titanic de la santé ? Un peu de chaleur, d’humanité peuvent revenir dès demain matin si le nouveau ministre de la Santé envoie une circulaire à tous les hôpitaux autorisant, voire conseillant les accompagnants dans les services et singulièrement les urgences.
Car tel est le règlement actuel, inepte établi depuis le début du scénario plandémie du covid19 et que respecte scrupuleusement, et de façon incroyable, les cohortes de personnel soignants, médecins ou administratifs.
Pourquoi tant d’obéissance et de soumission à un ordre dépassé, imbécile, injustifié, toxique, parce que le « chef » n’a pas « cheffer , ou parce que disent de plus méchants que nous, ça évite d’être trop témoins de l’incurie actuelle.
Mais chers amis, tout le monde la connait, l’incurie. Il suffit d’ouvrir un réseau type Telegram twitter ou TikTok pour pouvoir publier chaque jour des témoignages nouveaux.
Les malades doivent pouvoir être accompagnés aux urgences par des proches :
un minimum d’humanité dans un système hospitalier en naufrage, qui, au passage, facilitera la vie du personnel, la maman ou l’amie pouvant rapporter de l’eau, allumer la lumière, ou relever le lit, passer le bassin ou le pistolet, fermer la fenêtre puis la rouvrir, et la refermer, aider à couper la viande (s’il y en a.. ) voire aider à boire ou à avaler une cuillerée.
Tous gestes qui existaient de tout temps avant la folie covid et qui ont été effacés par la grande déshumanisation organisée pour casser familles, personnels etc. Ils ont bien réussi, mais il nous faut réagir.
La soumission a assez duré, elle n’a aucune raison d’être, singulièrement sur ce sujet simple, si simple qu’on n’en parle pas, seulement quand on a un proche aux urgences qui a pu fuir ou qu’il arrive un drame insupportable comme cette jeune fille décédée dans la nuit, en l’absence de ses parents interdits d’être auprès d’elle. Elle devait avoir quelques mois de trop !
@Panda31808732 « Le parquet de Metz a ouvert une information judiciaire contre X pour « homicide involontaire » et « non-assistance à personne en danger » après le décès suspect d’une jeune fille de 19 ans aux urgences de l’hôpital Mercy [dans la nuit du 3 au 4 mars]. »
Et au-delà de l’horreur de perdre leur jeune fille d’un jour à l’autre ses parents n’auront pas pu l’assister, l’aider, appeler à l’aide plutôt éventuellement … Est-ce acceptable ? 2.3
Simple billet pour une chose simple, sans coût pour les services et qui pourrait redorer l’image du ministre qui fut, ne l’oublions pas, directeur général de l’ARS ile de France pendant toute la période covid (supervisant l’APHP qui ne brilla pas par ses résultats sur les malades atteints de covid19). Geste gratuit pour le budget de la santé, et énorme pour les malades qui racontent jour après jour leur solitude aux urgences.
N’est-il pas utile que nous nous rassemblions tous d’un commun accord pour exiger ce premier geste qui améliorera le sort de milliers d’oubliés des hôpitaux ?
1 Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? – AgoraVox le média citoyen signé Edouard Philippe celui qu’on voudrait nous refourguer pour 2027
2 Metz. Décès suspect d’une jeune fille aux urgences de Mercy : enquête ouverte (republicain-lorrain.fr)
3 « Décès suspect d’une jeune fille aux urgences de Mercy : enquête ouverte : Une information judiciaire contre X pour « homicide involontaire » et « non-assistance à personne en danger » a été ouverte, ce jeudi 30 mars, par le parquet de Metz. Samedi 4 mars, une jeune fille de 19 ans était décédée au service des urgences de l’hôpital Mercy, transportée après avoir fait un malaise à l’issue d’une soirée festive. S. Issartel – 31 mars 2023
150923 -illegalite campagne vaccinale HPV – Reaction19.fr[103672]
L’avocat Carlo Alberto Brusa, de Reaction19, a accepté d’étudier en urgence les documents reçus par les parents de 5 iême pour les inciter à accepter l’injection d’un nouveau vaccin après les drames des injections covid et les nombreuses victimes d’enfants pour une injection prétendue » sûre et efficace »
une nouvelle fois il pointe l’illégalité du procédé et singulièrement l’absence d’information sur les supposés intérêts de l’injection pour leur enfant et les effets secondaires à craindre, pourtant connus depuis que ce vaccin est injecté de part le monde, depuis sa commercialisation
le gardasil ne sauve pas de vie car le cancer du col augmente plutôt chez les jeunes femmes vaccinées alors que ce cancer continue à diminuer chez les populations plus âgées non vaccinées et qui continuent le dépistage par frottis simple du col
il faut stopper ces mensonges
03/09/2023 (2023-09-03)
Par Gérard Delepine
Dès avril 2020, nous avions alerté sur l’inutilité des masques contre les virus, dont le covid 191, tandis que le gouvernement inventait à leur propos une série de déclarations les plus contradictoires de la décennie.
En mars 2020 Sibeth Ndiaye expliquait que « le masque était inutile et qu’elle était incapable de le mettre »2. Et quelques mois plus tard le ministre affirmait qu’il était « très efficace » et le rendait obligatoirepartout, même en extérieur et quand on se promène seul en forêt ou sur la plage.
Et depuis le Conseil national de l’ordre condamne, sans aucun respect des données de la science, tout médecin qui déclare comme Sibeth Ndiaye que le masque est inefficace !
L’étude Wu Lien Teh sur l’évolution de la peste de Mandchourie en 1910 a démontré que les masques sont efficaces dans le contrôle de la transmission des maladies respiratoires contagieuses à bactérie3. Son efficacité a également été prouvée contre la transmission de la tuberculose,4 5 mais les virus sont 10 à 20 fois plus petits que les bactéries (1 à 3 μm pour Yersinia pestis, 2 à 5 μm pour Tuberculosis contre 0,8 à 0,12 pour les virus grippaux et 0,06 à 0,1 μm pour les Coronavirus) ce qui leur permet de passer aisément au travers des tissus masques ou en papiers ordinaires dont la taille des pores avoisine les 3 μm. Les masques peuvent arrêter les postillons (grosses gouttelettes de 100 μm), mais comme la propagation virale dans les lieux clos se fait préférentiellement par aérosol6, elle ne peut donc pas être prévenue par les masques même correctement ajustés. C’est d’ailleurs ce qu’indiquaient les fabricants de masques pour se protéger légalement.
Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base de quelques études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre la transmission du virus grippal est très incertaine comme le montre la très grande majorité des études cliniques sur le sujet7 8 9 10 11 12 13 14 15.
Sur sept études randomisées distinctes analysées par MacIntyre et Chughtai, aucune d’entre elles ne montre un bénéfice du port du masque facial dans la communauté pour prévenir l’incidence des virus respiratoires.
La première revue méthodique (méta-analyse) portant sur l’efficacité des masques publiée par la Collaboration Cochrane en juin 201116 après trois pandémies, le SRAS en 2003, la grippe aviaire H5N1 en 2006, et la grippe porcine H1N1 en 2009 a conclu :
« Rien ne permet d’affirmer que le port du masque à lui seul permette de se protéger efficacement des virus respiratoires. »
« Les masques filtrants n’ont pas prouvé de supériorité aux masques chirurgicaux. La distanciation physique d’un mètre n’a pas non plus prouvé son efficacité. »
En 2020 une actualisation de la méta-analyse17 a confirmé les résultats de la précédente : « There was insufficient evidence to provide a recommendation on the use of facial barriers without other measures » et ses auteurs concluent sur l’urgence de réaliser par des essais cliniques rigoureux pour savoir si les masques portés par des personnes supposées infectées, permettent réellement d’éviter la propagation de l’infection virale respiratoire avant de recommander le port du masque.
La dernière métanalyse de la fondation Cochrane en 2023 18 confirme l’absence de preuve d’efficacité du masque contre la transmission virale :
« Nous avons inclus 15 essais randomisés (en clusters) étudiant l’effet des masques (14 essais) chez les professionnels de santé et dans la population générale et celui de la quarantaine (1 essai). Par rapport à l’absence de masque, il n’y a pas eu de réduction des cas de syndromes grippaux ou de grippe par les masques dans la population générale, comme chez les professionnels de santé. »
D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en reconnaissant le manque de preuves sur son efficacité19. Et lorsqu’elle a changé ses recommandations pour des raisons politiques, elle s’est appuyée sur de simples études observationnelles qui concluaient au conditionnel :
« L’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ».
L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 31/8/2023 résume l’état actuel de la science : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui et beaucoup rapportent des complications diverses du port prolongé du masque.
L’OMS, dans ses nouvelles directives pourtant en faveur du masque, 20 a rappelé qu’« une personne peut s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes ». De plus, elle s’inquiétait du « faux sentiment de sécurité lié au port du masque » amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique21.
En pratique, le port du masque paraît médicalement justifié lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades comme les soignants, car cela les rassure. Mais même, dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.
Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque ne se basent pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses fausses ou très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire ou sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle (comme le communiqué de l’Académie de Médecine).
Ce sont habituellement les mêmes qui récusent l’utilisation de la chloroquine, de l’Ivermectine ou de la vitamine D contre le covid sous le prétexte (faux) qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elles sont efficaces.
Or la seule étude prospective randomisée, Danmasq19 22 pourtant réalisée par des partisans du port du masque, menée au Danemark auprès de 6 000 participants en avril et en mai 2020 ne retrouve aucune diminution significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas, démontrant ainsi que le masque ne protège pas celui qui le porte.
L’Université d’Édimbourg résume un travail épidémiologique 23 sur l’efficacité des masques faciaux sur la propagation de l’infection par « Based on the epidemiological evidence, the effectiveness of face masks has not been demonstrated »
Boretti 24 constate :
« Si l’on compare les pays d’Europe de l’Ouest qui n’ont pas rendu obligatoire le port du masque, par exemple la Suède, la Finlande, la Norvège, le Danemark, l’Islande, à d’autres pays comme le Royaume-Uni, l’Irlande, la Belgique, l’Allemagne qui ont adopté des mesures généralisées de port du masque, il n’y a pas d’augmentation du nombre de cas,ni de décès dans les pays qui ne l’ont pas imposé. »
Au Texas, Schauer et ses coauteurs25 concluent :
« Nous n’avons pas été en mesure de détecter une réduction de la mortalité quotidienne par population, des lits d’hôpital, des lits de soins intensifs ou de l’occupation des ventilateurs attribuable à la mise en œuvre d’une obligation de masques. »
En Allemagne, une enquête26 n’a pas trouvé de bénéfice du port de masque dans les écoles et constaté beaucoup d’inconvénients pour les élèves
Dans le Wiscontin, une étude27 sur les athlètes de haut niveau confirme :
« Il n’y avait pas d’association significative entre l’incidence de COVID-19 et l’utilisation de masques faciaux pendant le jeu pour les sports avec plus de 50 écoles déclarant l’utilisation de masques faciaux (p> 0. 05 pour tous) ».
Beauchamps28 conclut l’analyse de l’évolution de la pandémie ainsi :
« l’absence de preuve scientifique d’efficacité du port généralisé du masque, la fréquence des inconvénients chez les porteurs et la pollution de l’environnement29 30rendent injustifiable l’obligation généralisée des masques dans la population et celle-ci doit être abandonnée lors des pandémies futures ».
Zacharias Fögen a analysé l’impact du port du masque dans l’État américain du Kansas au cours de la période du 1er août au 15 octobre 2020.
Cet État américain a laissé à chacun des comtés qui le composent la liberté de décider de mettre en place ou non une obligation de port du masque. Sur un total de 105 comtés, 81 ont refusé cette mesure permettant ainsi une comparaison des mortalités des 24 comtés qui ont imposé le masque aux autres. La conclusion de l’étude est sans appel :
« Contrairement à l’idée reçue selon laquelle le nombre de morts diminuerait grâce aux masques puisqu’ils permettraient de réduire les taux d’infection, les résultats de cette étude démontrent que ce n’est pas le cas et suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50 % ».
Le port généralisé du masque génère de l’anxiété32 33, du stress, des dépressions psychologiques, des frustrations en raison de troubles de la communication, ainsi que d’une irritabilité accrue et d’une détérioration de l’humeur, une agitation et un sommeil plus médiocre.
Il perturbe fortement l’expression des émotions34, gêne l’élocution et rend beaucoup plus difficile l’acquisition du langage par les jeunes enfants et le suivi des enseignements scolaires, et tout particulièrement et l’apprentissage des langues étrangères.
Les porteurs ressentent souvent un essoufflement, et une gêne au niveau des oreilles due aux élastiques.
Le port prolongé de masques augmente la gravité de l’acné (maskne)35 et de la rosacée36, des eczémas atopiques et séborrhéiques, des dermatites péri orificielles, de l’urticaire, de la rosacée, des folliculites et des prurits37 38 39, peuvent faciliter l’apparition de purpura40 de teigne41 retardent la cicatrisation des plaies chirurgicales42 et peuvent entraîner la nécrose de lambeaux faciaux de reconstruction même anciens43,
L’enquête allemande précédemment citée 44 rapporte des données sur 25 930 enfants dont la durée moyenne de port des masques atteignait 270 minutes par jour. Parmi les personnes interrogées, 68 % ont déclaré que les enfants se plaignaient de problèmes causés par le port du masque dont l’irritabilité (60 %), des maux de tête (53 %), des difficultés de concentration (50 %), un mal être (49 %), la réticence à aller à l’école/à la maternelle (44 %), un malaise (42 %), des difficultés d’apprentissage (38 %) et/ou somnolence/fatigue (37 %).
Didier Rancourt, dans son pamphlet de 202345 « Masques faciaux, mensonges, foutus mensonges et responsables de la santé publique », résume l’état des connaissances scientifiques après 3 ans de crise :
« Un nouveau mantra ignoble est sur les lèvres de tous les responsables de la santé publique et des hommes politiques dans la campagne mondiale visant à imposer le port du masque universel au grand public : “il existe un nombre croissant de preuves”. Cette phrase de propagande est un vecteur conçu pour atteindre cinq objectifs principaux :
— Donner la fausse impression qu’un équilibre de preuves prouve désormais que les masques réduisent la transmission du COVID-19
— Assimiler faussement les commentaires émis dans des lieux scientifiques avec des “preuves”
— Cacher le fait qu’une décennie de preuves politiques prouve le contraire : que les masques sont inefficaces contre les maladies respiratoires virales
— Cacher le fait qu’il existe désormais une preuve observationnelle directe que les masques en tissu n’empêchent pas l’expiration de nuages de particules d’aérosol en suspension ; au-dessus de, sous et à travers les masques
— Détourner l’attention des méfaits et des risques considérables connus dus aux masques faciaux, appliqués à des populations entières. Lesdits méfaits et risques incluent le fait qu’un masque en tissu devient un milieu de culture pour une grande variété d’agents pathogènes bactériens et un collecteur d’agents pathogènes viraux ; compte tenu de l’environnement chaud et humide et de la source constante, où les tissus d’intérieur sont hydrophiles alors que les masques médicaux sont hydrophobes.
En bref, j’affirme : les articles d’opinion ne sont pas des “preuves”, la non-pertinence n’aide pas, et davantage de préjugés n’éliminent pas les préjugés.
Leur mantra d’“un ensemble croissant de preuves” est un stratagème intéressé qui entrave la bonne science et menace la sécurité publique.
Je prouve qu’il n’existe aucune preuve scientifique pour soutenir le port obligatoire du masque sur la population générale, et que toutes les preuves scientifiques de la dernière décennie indiquent le contraire : NE PAS recommander le masquage forcé de la population générale.
C’est pourquoi les politiques et les autorités sanitaires agissent sans légitimité et de manière imprudente. »
Gérald Kierzek déclarait dans le Figaro du 9 12 2022 :
« Le masque est un gadget politique et de communication qui permet aux autorités de montrer qu’elles ne sont pas passives face à une montée des contaminations et permet d’éclipser la crise générale du système de santé.
Ses bénéfices n’ont jamais été formellement démontrés pour endiguer une épidémie : les pays ayant maintenu l’obligation dans les transports comme l’Allemagne démontrent que les vagues de contamination n’ont pas été enrayées ; le masque ne remplace en rien des gestes barrières plus simples, comme le lavage des mains ou l’aération efficace, notamment dans les lieux clos familiaux ou professionnels, principaux lieux de contamination ; pire, le masque mal utilisé, enlevé et remis n’importe comment, donne un sentiment de fausse sécurité et de relâchement d’une hygiène minimale. »
Il aurait pu ajouter : comme lors du confinement, nous sommes devant une mesure généralisée, sans aucun discernement. Une mesure technocratique que seuls des Énarques peuvent prendre en vertu d’un principe de précaution poussé jusqu’à l’absurde. Le masque comme le confinement sont les conséquences de croyances infondées, d’une religion et non pas d’une doctrine qui reposerait sur de solides preuves scientifiques.
Aux USA l’administration Biden est actuellement suspectée de vouloir réintroduire le port obligatoire du masque depuis l’apparition du dernier variant surnommé depuis « variant électoral ».
De fait, le College Morris Brown d’Atlanta, la société cinématographique Lionsgate à Santa Monica et les Services de santé unis et l’Hôpital communautaire d’Auburn, l’Hôpital universitaire de Syracuse à New York, la compagnie Kaiser Permanente (dans son hôpital Santa Rosa) ont émis des obligations de port de masques. Honteux !
Ces décisions ont suscité des commentaires sans ambages du Dr Marc Siegel, professeur clinicien de médecine au NYU Langone Medical Center et contributeur médical de Fox News :
« les obligations n’ont pas fonctionné ; elles ont été étudiées à maintes reprises et elles n’ont pas diminué la propagation virale. »
« donc, rendre obligatoire le port du masque n’a aucun sens. »
« Si la bureaucratie essaye de rétablir des mesures tyranniques pour soi-disant lutter contre le covid, résistez de toutes vos forces. Refusez-les ! »
La propagande pour les trans par les « progressistes » leur nuit lourdement
Par les Drs G et N Delépine
La plupart des riches ont compris qu’ils ne doivent pas étaler leurs richesses pour ne pas exciter la convoitise des pauvres. Mais certains trans ignorent les avantages de la discrétion et s’étonnent de l’augmentation des actes transphobes depuis qu’ils affichent partout leur « fierté » et qu’elle s’adresse de surcroit aux enfants. Espérons que la modération future de leur affichage facilitera leur acceptation comme ont su le faire, avant eux, la plupart des homosexuels depuis des décennies. Faudrait-il que les progressistes idéologues dont certains actuellement au pouvoir cessent de les utiliser.
Faut -il être « d’extrêmedroaaate » pour refuser qu’on soumette de jeunes enfants à des spectacles incompréhensibles pour leur âge et choquants, traumatisants pour leur psychisme risquant d’être perturbés à long terme ? Tous ces donneurs de leçons ont -ils pesé ce qu’est l’éducation d’un bébé, puis d’un enfant et même d’un adolescent dont la sexualité selon tous les auteurs ont affirmé la phase silencieuse de la sexualité jusqu’aux débuts de la puberté ?
Les Français respectent les convictions politiques, religieuses et mœurs de chacun à condition qu’ils restent essentiellement dans la sphère privée et laissent de coté les enfants. « laissez nos enfants tranquilles » réclament des associations de parents, collectifs de tous pays du Canada et USA aux pays africains en passant par la France.
La multiplication des revendications trans via des manifestations de plus en plus gênantes (enfant fouettant un trans à quatre pattes quasiment nu) et la diffusion rapide des messages chez les enfants, couplées aux déclarations du ministre de l’éducation nationale « l’éducation sexuelle à l’école est ma priorité » ont entrainé une prise de conscience depuis quelques mois en France de faits dénoncés dans l’indifférence depuis plusieurs années[1].[2]
« L’Education nationale entend aborder les stéréotypes de genre dès la maternelle, avec la même neutralité que les chercheurs qui cherchent à donner au genre un statut théorique dénué d’idéologie au sein des sciences humaines. Le ministre de l’Education nationale a expliqué que l’enseignement de la théorie du genre à l’école permettrait de lutter contre les discriminations, les violences sexuelles et sexistes, les LGBTphobies et d’atteindre une meilleure égalité entre filles et garçons. »[3]
Le ministre est -il sincère ou naïf ? En tous les cas, c’est l’inverse qui arrive évidemment.
L’organisation de collectifs régionaux afin de lutter contre les exhibitions de drag Queen par exemple dans des jardins d’enfants ou dans des spectacles scolaires se développe rapidement : « laissez les enfants tranquilles ».
L’augmentation des actes transphobes est le revers de leur plus grande visibilité imposée partout
Depuis quelques années on assiste à une propagande permanente en faveur des minorités (dont les minorités sexuelles) dont certains membres sont persuadés que leur visibilité croissante leur permettra d’être mieux acceptés. Les médias aux ordres des politiques « progressistes » donc de la gauche au pouvoir imposent les figures trans à toute occasion, films, feuilletons, spot publicitaires, sujets des émissions d’échanges, comme si les trans ( personnes respectables comme individus) représentaient une large communauté alors qu’ils ne sont que quelques milliers en France (0,03 à 0,1% de la population selon le rapport de Dr Hervé PICARD et Simon JUTANT en janvier 2022), et que leurs problèmes ne résument pas les énormes sujets d’inquiétude des Français : (retraites, pouvoir d’achat, niveau scolaire, chômage, sécurité, immigration etc.. ). La propagande trans est utilisée pour détourner l’attention de la population des vrais problèmes « parlez-moi d’autre chose » …
Pour l’essayiste Éric Naulleau, invité du «Figaro La Nuit», la pensée progressiste s’organise «autour de la figure du transsexuel». «Le transsexuel et la drag queen sont passées de figures marginales à des figures presque centrales de l’imaginaire progressiste», relève-t-il. (tweet du 21 06 23). Adoption par la gauche des pires travers du capitalisme. On change de corps comme de forfait téléphonique. La vie liquide.
« le transsexuel est devenu la grande idole du wokisme » vieux travers du progressisme de vouloir faire de la marge, le centre (d’où la fascination de la gauche pour les délinquants, exemple de Battisti).[4]
En les instrumentalisant pour des visées politiques et leur idéologie, les progressistes nuisent aux trans.
Les TRANS victimes de leur utilisation manipulatrice par les militants dits « progressistes »
Depuis que leur propagande se généralise, les actes, manifestations et les lois anti-trans se multiplient dans la plupart des pays du monde où elle a été active.
En France entre 2016 et 2022, les actes anti-LGBT+ ont connu une augmentation significative : +129% pour les crimes et délits, et +115% pour les contraventions. En 2018, le ministère de l’intérieur avait recensé 1 380 infractions à caractère homophobe ou transphobe (soit une augmentation de 33 % par rapport à 2017). En 2019, 1 870 cas « C’est une hausse tendancielle et progressive, qu’on observe depuis trois ans ». En 2022, avec plus de 4000 faits le nombre de déclarations augmente en particulier pour les actes transphobes constituant “le revers de la plus grande visibilité des personnes trans”.
Les guerres de religion nous ont appris que la tolérance sociétale pour les minorités va de pair avec leur discrétion publique et une pratique cantonnée à la sphère privée. On ne peut que conseiller aux trans sexuels d’adopter une pratique semblable pour être mieux inclus. Ils devraient résister aux politiques qui tentent de les utiliser.
Les associations féministes et homosexuelles se désolidarisent des manœuvres des extrémistes trans
De violentes polémiques dans le mouvement féministe mettent en lumière tensions et désaccords sur l’identité de genre. Ainsi le mouvement féministe #NousToutes cesse de relayer le décompte des féminicides conjugaux , car le collectif « Féminicides par compagnon ou ex » est accusé d’avoir tenu des propos transphobes, car il critiquait « les aspects toxiques » de la « masculinité antérieure » de certaines femmes transgenres.
Les féministes effacées
« Lisa », membre du groupe, précise « Ce n’est pas de la transphobie, c’est une réalité scientifique que les femmes trans étaient des hommes avant » et accusent les extrémistes trans de faire passer les personnes trans avant les femmes et d’invisibiliser ces dernières !
Des militantes féministes rapportent des faits de violence exercés par les extrémistes trans. « On a reçu des œufs dans le visage, on a été frappé parce qu’on tient cette position de dire qu’être une femme n’est pas un sentiment, c’est une réalité biologique matérielle« , témoigne Marguerite Stern, créatrice des Collages contre les féminicides. Nos opposants nous qualifient d’ « anti-trans », et détournent totalement notre pensée. Ils reposent sur des interprétations erronées de notre discours, nous qualifiant « d’essentialistes » et nous associant à l’extrême-droite, dans le but de compromettre notre réputation plutôt que de répondre à nos arguments.
« Nous ne sommes pas anti-trans, nous sommes pro-femmes. De la même façon que critiquer l’islam n’est pas islamophobe, critiquer l’idéologie transgenriste n’a rien de transphobe. Être transphobe, c’est le fait de discriminer ou d’appeler à la haine des personnes trans. Tel n’est pas notre cas. Dire que les femmes sont des femelles adultes humaines est incompatible avec l’essentialisme : c’est ce qu’on appelle philosophiquement du matérialisme. Nous disons que les femmes sont des femelles et qu’il n’y a pas de distinction entre les deux. Pour nous le mot femme décrit la sexuation ; le féminisme vise à ce que les spécificités biologiques des femmes soient reconnues dans la société. Nous ne résumons pas les femmes à leurs corps, mais disons que ce corps est ce qui permet de les définir. »
En Grande-Bretagne, certaines féministes traditionnelles, rebaptisées « Terfs » pour “Trans-Exclusionary Radical Feminists” (féminisme excluant les femmes trans), adoptent cette même position et se battent pour conserver l’indexation de la catégorie femme sur le sexe biologique, afin de « combattre efficacement le patriarcat »
J.K.Rowling, qui en fait partie est harcelée par les extrémistes trans depuis qu’elle s’est moquée du titre d’un article de devex.com : « Créer un monde post-Covid plus égalitaire pour les personnes ayant leurs règles ». « Cela avait un nom autrefois. Aidez-moi. Fummes ? Fommes ? Fammes ? », avait réagi l’auteur femme, « refusant de s’incliner devant un mouvement trans qui cause un tort aux luttes féministes en cherchant à effacer le mot “femme” en tant que classe politique et biologique, et en « offrant une couverture à ses prédateurs ».
Aux USA, l’association « Gays Against Groomers » est une coalition d’homosexuels qui s’opposent à la tendance récente d’endoctriner et de sexualiser les enfants sous le couvert de « LGBTQIA+ » et dénonce les pratiques « destructrices » de certains mouvements trans extrémistes qui utilisent la communauté LGBT comme bouclier pour encourager la « mutilation », la « stérilisation » et l’« endoctrinement » des mineurs.
David Leatherwood a expliqué le 21 février 2023 devant le Comité de la santé et des services sociaux de la Chambre des représentants de la Floride que la communauté LGBT a obtenu une certaine tolérance et acceptation dans la société américaine, mais que cette avancée est remise en question par des extrémistes trans qui portent préjudice aux gays.
Dans les compétitions sportives, l’équité prime maintenant sur l’inclusivité
Le sexe est déterminé dès la fécondation par la loterie génétique qui attribue à l’embryon deux chromosomes sexuels soit XX (caryotype féminin) ou la paire XY (caryotype masculin). Le caryotype dirige l’élaboration du phénotype, ensemble des caractères anatomiques, morphologiques, physiologiques et éthologiques des individus. A l’adolescence la sécrétion des hormones accentue chez l’individu de sexe masculin, les développements squelettique et musculaire conduisant à une différence de force physique entre hommes et femmes, l’élargissement des épaules, un poids moyen plus élevé et une différence de taille moyenne d’environ 10 %.
Cette musculation plus développée chez l’homme post pubertaire explique des performances sportives supérieures. La comparaison des records mondiaux des hommes et des femmes dans différentes disciplines l’illustre avec une différence moyenne de 10% à 20% en faveur des hommes : lancer de javelot (94m/72m), 50 m nage libre (46 /51s), sprint de 100 m (9”58 / 10”49), lancer de poids (23,37/22,63), course de 200 mètres (19,19 sec / 21,34 sec), lever de poids (488 kg /332KG), marathon (2h 1mn 9sec/2 h 14 min 4 s)…
Ces différences démentent l’idéologie du genre qui voudrait nous faire croire que le sexe serait un « construit social» qu’on peut changer selon son bon plaisir ou son « sentiment ». Elles imposent de séparer hommes et femmes lors des compétitions sportives de haut niveau.
Lorsque les personnes ayant fait leur puberté comme homme ont obtenu le droit de concourir avec les femmes en se déclarant femmes trans, elles ont bénéficié d’un avantage important en termes de performances, même si leur taux de testostérone était bas, l’ensemble des caractéristiques corporelles génétiques et acquises étant toujours présent.
L’exemple d’Halba Diouf qui, en se « déclarant » femme, est passé de la 980e place nationale à la 58e place mondiale, est démonstratif. Mais aussi les cas de Valentina Petrillo, née Fabrizio, qui a remporté une course de 200 m pour femmes, du leveur de poids Laurel Hubbard, de la nageuse Liz Thomas …
L’inclusion des hommes trans (nées femmes) dans les compétitions masculines ne soulève pas de problème d’équité, vu les possibilités réelles inférieures des hommes trans nées femmes. De fait, les hommes trans ne veulent guère y participer.
Marguerite Stern, militante a résumé la question dans une tribune de Marianne « Sous couvert de lutte contre les discriminations, les différents amendements concernant l’identité de genre sont un crachat jeté au visage des femmes, car si j’en comprends bien le sens, ils sous-tendent la possibilité que sur simple déclaration des individus de sexe masculin puissent participer à des compétitions sportives féminines. ». De nombreuses autres militantes féministes perçoivent l’intégration des personnes transgenres dans les espaces réservées aux femmes comme une nouvelle forme de l’oppression masculine systémique et de l’ « invisibilisation des femmes ».
Martina Navratilova, militante de la première heure des droits des homosexuels a aussi déclaré : « Je suis heureuse de m’adresser à une personne transgenre de la manière qu’elle le souhaite, mais je n’aimerais pas avoir à concourir contre elle. Ce ne serait pas juste« .
Accepter l’inclusion des hommes qui s’affirment femmes dans les compétitions sportives féminines lèse gravement le respect de l’égalité femmes/hommes et l’équité générale, et les droits des sportives de haut niveau qui ont beaucoup travaillé pour y parvenir.
Le 23 mars 2023, le président de la Fédération Internationale d’athlétisme (WA), Sébastian Coe, a annoncé l’exclusion des compétitions nationales et internationales des athlètes transgenres « qui ont connu une puberté masculine ». Sebastian Coe a expliqué vouloir privilégier « l’équité à l’inclusion » « Ma responsabilité est de protéger l’intégrité du sport féminin« .
Dans les compétitions sportives de haut niveau, l’équité pour les femmes prime maintenant sur l’inclusivité des trans.
Et pour ne pas brimer les trans qui veulent concourir, certaines fédérations sportives ont proposé d’organiser, en parallèle avec les compétitions féminines et masculines des compétitons ouvertes ou les trans pourront se mesurer aux cis. Pourquoi pas !
Dans les écoles
En France, comme dans de nombreux pays occidentaux la loi permet aux élèves trans de se faire appeler par le prénom qu’ils désirent sans même l’autorisation des parents. La circulaire de Jean-Michel Blanquer, parue au Bulletin officiel du 30 septembre 2021 demande aux enseignants de l’école maternelle jusqu’au lycée (premier et second degré), « d’écouter, accompagner et protéger les enfants transgenres ou qui s’interrogent sur leur identité de genre ». Elle ajoute qu’il est également pleinement envisageable d’accepter les élèves trans dans les vestiaires, dortoirs et autres équipements genrés, selon l’identité de genre de l’élève, y compris avant qu’il ait pu effectuer des changements sur son état-civil ou suivi des traitements [elle prescrit donc d’admettre les hommes qui se prétendent femmes dans les vestiaires et dortoirs et toilettes des filles !]. Et le ministre de l’éducation actuel déclare en 2022, priorité nationale l’éducation sexuelle à l’école dès la maternelle et sous prétexte de « lutter contre les discriminations » et autorise des associations trans à faire leur propagande à l’école et à présenter aux enfants des spectacles de drag queens.
Lorsque l’école, socle de nos institutions, demande aux enseignants d’« accompagner » la démarche de transition des élèves, elle se fourvoie. Elle n’est ni dans son rôle, ni dans sa mission. La démarche du Ministère a le tort d’imposer aux enfants qui ne peuvent pas en appréhender tous les aspects, un débat de société concernant les adultes et de fracturer inutilement la société et pire le cerveau des jeunes enfants soumis à propagande inintelligible pour leur degré de maturation.
En avril 2023, un atelier organisé par l’association OUTrans a fait scandale à l’Ecole alsacienne de Paris. Selon le Figaro les intervenants, transsexuels, ont « accusé les enfants d’être transphobes » pour avoir protesté contre l’affirmation selon laquelle des hommes peuvent être “enceints”. Ils auraient de plus affirmé aux enfants que « si un adolescent n’est pas bien dans sa peau, c’est qu’il est peut-être trans » ou encore que « dire qu’il y a seulement deux sexes, c’est une représentation datée et c’est faux ».
Le Syndicat de la famille – a appelé au retrait immédiat des subventions publiques versées à OUTrans et HandsAway, et réclame que « ces associations ne puissent plus jamais intervenir dans les écoles, collèges et lycées. »
Le département d’ile et Vilaine et la Région Bretagne ont subventionné une sortie scolaire pour faire assister Le 20 mars 2023 des enfants de l’école Jean Rostand de Rennes à « fille ou garçon » un spectacle vantant les transformations sexuelles, gaspillant ainsi impôts et temps scolaire pour propager une théorie qui menace gravement l’équilibre psychologique des enfants.
Plus récemment la volonté de projeter Tomboy film de 2011 retraçant l’histoire d’une petite fille de 10 ans, Laure, qui se fait passer pour un garçon auprès d’élèves de sixième du Séminaire des jeunes de Walbourg, a tourné à l’affrontement entre parents et direction.
Déprogrammé à la suite de plaintes de parents puis de l’évêché puis reprogrammé ; les parents en colère n’ont eu que la possibilité de garder leur enfant chez eux.
Et la pression du ministère étonne et scandalise :
Cf bd voltaire : « les drags se présentent aux enfants sous une forme hypersexualisée, Monsieur Escots ne pourrait le nier. Par ailleurs, 60.000 euros de subventions ont été versés en deux ans au Girofard (un collectif de plusieurs associations LGBTI+). Le Girofard est un lieu d’accueil, de rencontre et d’échanges qui veut promouvoir la santé et le bien-être des personnes LGBT, mais aussi dénoncer toutes les discriminations et promouvoir la culture LGBT, par l’organisation, entre autres, de la Marche des fiertés de Bordeaux. »[5]
Pour les enfants, la difficulté réside dans la nature très partisane de l’information donnée, mais surtout dans leur difficulté à comprendre et évaluer ces informations et à concevoir la portée de décisions qui feront d’eux des patients prenant des médicaments à vie et sacrifiant leur fertilité avec des mutilations irréversibles de leur corps (émasculation, hystérectomie, ovariectomie) .
Comme pédiatre, nous avons appris qu’après la petite enfance et la découverte des différences entre le corps du petit garçon et celui de la petite fille, venait une période dite de latence pendant laquelle les problèmes de sexe ne sont pas à l’ordre du jour, entre environ trois et douze ans. Et voilà que selon le bon vouloir de quelques activistes trans parvenus aux postes de responsabilité, ou de leurs affidés intéressés ou convaincus, il faudrait perturber cette période de construction silencieuse ?
En Amérique du Nord (USA et Canada) de nombreuses manifestations de parents ont régulièrement lieu pour protester et empêcher la propagande trans dans les écoles qu’essaient d’imposer les autorités.
Certains trans réclament « des toilettes non genrées » permettant aux garçons qui se déclarent filles d’accompagner aux toilettes les filles aux dépens de la sécurité sexuelle de ces dernières. Et si une adolescente dit qu’elle ne veut pas d’hommes trans dans les toilettes de filles, elle se fait traiter de transphobe ! Pourtant le fait de s’affirmer femmes trans n’empêche pas les pulsions de viol ni le passage à l’acte comme l’a montré l’écossais « e » Isla Bryson. Combien faudra-t-il recenser de viols pour que ce risque soit pris en compte et que la sécurité de l’immense majorité des jeunes filles prime sur les désirs d’une infime minorité de trans qui se sent mal dans leur peau et se prétend traumatisée de devoir aller aux toilettes de leur sexe biologique ?
Dans les prisons
En France, d’après le ministère de la Justice, il y aurait une trentaine de personnes transgenres sur plus de72000 détenus (0,04%). Elles doivent faire face à de nombreuses difficultés : placées à l’isolement, des relations tendues avec les surveillants, un accès difficile aux médecins. En 2021 Dominique Simonnot a déclaré : en cas d’incarcération, les personnes transgenres sont plus vulnérables que le reste des détenus invitant à « adapter le principe général d’égal respect de la dignité à la situation particulière de ces personnes« .
Mais l’inclusivité des femmes trans dans les prisons pour femmes a révélé ses limites dans les pays voisins qui avaient opté pour ce choix avant la France.
Au Danemark, la Haute Cour a estimé que la présence d’une détenue trans qui a fait modifier son état civil d’homme à femme pendant son incarcération pour un viol aggravé doit purger sa peine dans un établissement pour hommes. Son séjour dans une prison pour femmes « poserait un risque de sécurité non insignifiant pour les femmes détenues » et que le fait qu’elle soit « fouillée nue par des hommes » et doive « fournir un échantillon d’urine » sous la surveillance d’hommes n’enfreignait pas la loi sur l’exécution des peines, car la référence au genre dans la loi doit être « comprise en tant que sexe biologique.
En Ecosse, la loi écossaise Gender Recognition Reform Bill, votée fin 2022, permet de faciliter l’acquisition par des personnes trans d’un certificat de reconnaissance de genre établissant que leur genre « n’est pas celui qui [leur] a été assigné à la naissance. Avant son adoption elle avait été combattue par beaucoup d’associations féministes qui craignaient qu’elle soit détournée par des prédateurs sexuels se déclarant femmes pour mieux approcher les femmes dans les espaces qui leur sont réservés – vestiaires, refuges, toilettes, prisons. L’incarcération temporaire de femmes trans condamnés pour viol dans des établissement pour femmes a suscité l’indignation dans la population et la classe politique écossaise et britannique obligeant les autorités à décider qu’elles purgeraient leur peine dans une prison pour hommes.
Une fois de plus, la sécurité de la majorité prime progressivement sur les désirs d’une infime minorité sur représentée chez nos dirigeants ou du moins dans leurs décisions.
Pour les entreprises, la propagande pro trans se révèle souvent contre-productive
Aux USA, certaines entreprises grand public ont cru que la promotion transgenre augmenterait leur clientèle et s’en sont mordus les doigts.
Un des premiers exemples est celui de la bière Budweiser dont l’entreprise a lancé le 1er avril 2023 une campagne publicitaire avec une influenceuse transgenre Mulvaney déguisé(e) en Audrey Hepburn tenant une cannette à son effigie annonçant sur Instagram sa collaboration avec la marque Budweiser, pour promouvoir la Bud Light.
Après cette campagne de publicité, sur les réseaux sociaux, des insultes contre la marque ont fusé, des internautes se sont filmés en train de détruire des bières Budweiser, des packs de bières ont été détruits en masse et le Kid Rock dans une vidéo publiée le 4 avril 23 a fusillé des packs entiers de Bud Light avec une mitraillette. Dans le mois qui a suivi cette campagne de publicité, les ventes de Bud Light ont chuté entre 11 et 26%, Bud Light a perdu en mai sa place de leader des ventes aux Etats-Unis et son cours en bourse a chuté de 11%.
La capitalisation boursière d’Anheuser-Busch, groupe gérant de Budweiser, est passée de 132,06 milliards de dollars à 108,96 milliards de dollars entre le 3 avril et le 2 juin 23. La société mère de Bud Light a finalement préféré revendre la marque à ses fondateurs d’origine.
En juin 2023, mois des fiertés LGBT+, la société Target a sorti une collection aux couleurs arc-en-ciel qui a fortement déplu à sa clientèle. Celle-ci a boycotté l’enseigne, causant la chute brutale des ventes et provoquant l’arrêt de la commercialisation en ligne. Cette déroute commerciale a été suivie d’une chute drastique de la valorisation boursière de Target de 72,52 milliards de dollars à 58,61 milliards[6] de dollars entre le 1er mai et le 10 juin 2023.
Netflix et Disney multiplient les projets avec des personnages trans en espérant ainsi augmenter leur audience et leur rapporter de l’argent. Si ce n’est pas le cas, voir même l’inverse, ils annuleront les films teintés de propagande trans.
Ce « pinkwashing » à visée mercantile pourrait être catastrophique sur le plan commercial et boursier si les opposants boycottent régulièrement les entreprises qui le pratiquent.
Dans de très nombreux pays, la propagande trans sans limites, suscite des lois finalement défavorables à leur communauté
En réponse à la propagande trans croissante de nombreux états américains (Floride, Texas, Oklahoma, Kansas, Missouri, Tennessee, Kentucky, Virginie occidentale…) ont récemment voté des lois, interdisant d’avoir une pièce d’identité avec un nom et sexe différent de celui de la naissance, d’aller dans des toilettes qui ne correspondent pas à leur genre de naissance, toute propagande trans à l’école et refusant la prise en charge par l’état des frais des traitements pour transformations sexuelles. A partir de septembre 23, la Floride et le Texas interdiront de prescrire des médicaments bloquant les hormones ou d’effectuer des actes de chirurgie pour modifier la sexualité de toute personne de moins de 18 ans.
En Europe, les états scandinaves et la Grande-Bretagne, longtemps pionniers de la théorie du genre et des transformations trans faciles, ont fortement limité l’accès aux traitements destinés à la modification médicamenteuse ou/et chirurgicale sexuelle pour les mineurs. En février 2023, la Suède a décidé de bloquer la thérapie hormonale pour les personnes de moins de 18 ans, sauf dans de rares cas.
En Russie, le parlement a interdit la promotion de relations sexuelles non traditionnelles chez les jeunes, et vient d’interdire la chirurgie de modification sexuelle, sauf pour les enfants atteint d’anomalies congénitales.
A Singapour les magazines ont l’interdiction de promouvoir les « modes de vie alternatifs » ; le permis de publication du magazine Vogue lui a été retiré pour « avoir fait la promotion de familles non traditionnelles » et le premier ministre a annoncé une prochaine modification de la constitution afin de « sauvegarder l’institution du mariage, union d’un homme et d’une femme. »
En Turquie, les manifestations des transsexuels sont interdites et certains manifestants qui ne respectaient pas l’interdiction ont été arrêtés.
Au Liban en 2022 une tentative de gay pride a été empêchée par des opposants et le premier ministre le ministère de l’Intérieur a ordonné aux forces de sécurité de « prendre immédiatement les mesures nécessaires pour empêcher tout type de célébration, de réunion ou de rassemblement » de personnes de la communauté LGBT. car « le prétexte de la liberté d’expression ne suffit pas à justifier la promotion de ces activités contraires aux principes divins« .
En Afrique, la propagande trans a exacerbé l’intolérance envers ce groupe avec le vote à l’unanimité d’une loi Ougandaise punissant jusqu’à dix ans de prison pour toute personne se livrant à des actes homosexuels ou se revendiquant comme LGBTQ+.
Le Cameroun vient de déclarer persona non grata Jean-Marc Berthon, nommé en octobre 2022 ambassadeur français pour les droits des personnes LGBT qui avait annoncé son arrivée à Yaoundé. Le ministre Lejeune Mbella Mbella a rappelé à cette occasion que « la position du gouvernement sur la question de définition du genre, de l’orientation et de l’identité sexuelle est claire et dénuée de tout débat au Cameroun » et que la promotion de la théorie du genre est « qualifiée de crime de droit commun »
La généralisation de la propagande pour la théorie du genre et la promotion outrancière de la transsexualité dans les écoles, dans les films subventionnés (avec quota obligatoire de représentants des minorités sexuelles) entraînent partout des clivages violents dans l’opinion et suscitent dans de nombreux pays des lois nocives pour la majorité des trans. Les extrémistes trans devraient méditer le vieux proverbe « pour vivre heureux, vivons cachés » et laisser vivre tranquillement tous les citoyens, minorités et autres y compris trans, leurs outrances aboutissant à des violences jusqu’ici inconnues chez des homosexuels, lesbiennes ou trans qui avaient choisi de vivre leur vie, à l’abri de la propagande.
Et d’ailleurs écoutons la parole d’une drag queen :[7] « pourquoi voudriez vous confier vos enfants à des personnes qui font des performances sexuelles pour adultes, et qui pour la plupart se droguent backstage »[dans les coulisses]. Enfin une Drag Queen honnête et courageuse !
Sexualiser les enfants fait partie de l’agenda 2030. Envoyez nos dirigeants se faire foutre ». Tweet du Dr. Anastasia Maria Loupis 12 06 23 »
[1] Lire Ariane Bilheran A. Bilheran : le déni sur la sexualisation des enfants – Juillet 2018 – YouTube
[2][2] Dangers de l’éducation à la seuxualité pour les enfants et adolescents sous la direction de maurice berger et eugénie izard 2018 Editions REPPEA
[3] L’Éducation nationale va-t-elle faire dispenser des cours sur les théories de genre ? | TF1 INFO
[4] https://twitter.com/Le_Figaro/status/1671224143331889152?s=20
[5] Lectures drag à Bordeaux : de l’accusation d’homophobie à la censure du débat – Boulevard Voltaire (bvoltaire.fr)
[6] « le terme de pinkwashing1 a été inventé par la Breast Cancer Action, association américaine de patientes souffrant du cancer du sein, en 2002 pour désigner les campagnes des entreprises qui utilisent le cancer du sein comme levier marketing
Il est aussi utilisé pour critiquer une technique de communication fondée sur une attitude bienveillante vis-à-vis des personnes LGBTQ+ par une entreprise ou par une entité politique, qui essaye de modifier son image et sa réputation dans un sens progressiste, tolérant et ouvert. Cette stratégie de « relations publiques » s’inscrit dans l’arsenal des méthodes d’influence, de management des perceptions et de marketing des idées ou des marques » (wikipédia.org).
[7] https://twitter.com/VictorSinclair3/status/1668146749322477571?s=20
Profession Gendarme – Page 2 – Le journal des gendarmes (profession-gendarme.com)
— delepine nicole (@NicoleDelepine) July 22, 2023
MERCI A LAURENCE BENEUX ET SERGE GARDE D AVOIR TENTE DEPUIS TANT D ANNEES -plus de vingt ans- DE DENONCER CETTE TRAITE SEXUELLE DES ENFANTS ET TENTER EN VAIN DE SE FAIRE ENTENDRE ET DE FAIRE CESSER CE TRAFIC alors comme dit laurence : ENFIN
« C’est un euphémisme de dire que le succès* aux États-Unis du film « Sound of Freedom » de Alejandro Gomez Monteverde me fait plaisir. Inspirée d’une histoire vraie, celle de Tim Ballard, cette œuvre cinématographique alerte sur le trafic sexuel d’enfants et sur l’ampleur du phénomène.
Je suis avec émotion, sur les réseaux sociaux, les réactions que suscite la sortie de ce film.
Les internautes indignés expriment leur sidération en découvrant que cet horrible marché qui brasse des milliards de dollars. Ceux qui n’ont pas pu voir le film exigent qu’il soit traduit et distribué dans leur pays. L’intervention de l’acteur Mel Gibson qui plaide pour une prise de conscience concernant l’existence de réseaux de traite humaine, et notamment d’enfants, et encourage à regarder « Sound of Freedom », y est sans aucun doute pour quelque chose.
Et je me dis : « ENFIN ! Même si le sujet est douloureux, le public accepte de voir… »
Parce que permettez-moi de vous le dire gentiment : vous en avez mis du temps !
Que la traite sexuelle des enfants est une criminalité qui engendre des milliards de dollars, je l’écrivais déjà en 2000 ! Je l’ai clamé sur tous les plateaux de télévision où j’étais invitée. Je n’ai jamais arrêté, à longueur de livres, d’articles, de magazines TV, d’interviews… J’ai même accepté de participer à des conférences.
Plus de 20 années passées à alerter sur l’existence de cette criminalité prédatrice, dont tout enfant peut se retrouver victime. Il suffit d’une mauvaise rencontre, au mauvais moment, au mauvais endroit.
Plus de deux décennies à dénoncer l’indifférence des pouvoirs publics, les dérapages des institutions en la matière, le manque de moyens mis en œuvre pour lutter contre ce fléau, des dysfonctionnements judiciaires parfois tellement énormes qu’il est permis de soupçonner, a minima une indulgence envers la pédocriminalité et un déni des ravages qu’elles causent chez les enfants qui y survivent, et au pire, dans certains cas, une réelle complicité.
Franchement, je commençais à désespérer !
Parlons de la pédopornographie. Je ne peux pas vous en vouloir de ne pas réaliser l’horreur de ce type de documents. Tant qu’on ne les pas vus, on ne peut pas se rendre compte. Comme l’avait dit Paul Moreira, rédacteur en chef de l’émission 90 minutes sur Canal Plus à l’époque où j’y travaillais, « il y a un avant et un après ». Au passage, le documentaire de 40 minutes sur la pédocriminalité, intitulé « La pièce qui accuse », fruit de ma collaboration avec ce magazine d’investigation, a totalement disparu des radars. On retrouve tout sur internet, sauf cette enquête pour laquelle nous avons pourtant reçu des prix.
Dans le cadre de mes enquêtes, j’ai eu la douleur de voir des photos et vidéos pédopornographiques. C’est atroce. J’ai vu des viols de bébés, oui de bébés, des nourrissons, des gosses torturés et d’autres images à vomir.
Ce n’est pas votre cas, je vous l’accorde bien volontiers. Mais enfin, il me semble qu’il ne faut qu’un élémentaire bon sens pour comprendre que, pour que de tels documents existent, il faut que des gosses souffrent ! Et il n’est pas besoin d’avoir étudié la question pour savoir que ces enfants sont en immense danger, qu’il faut les chercher, que les gens qui fabriquent ou se repaissent de tels documents sont extrêmement dangereux ! Or, vous savez qu’ils existent. Les médias parlent de temps à autre, de coups de filet où des pédocriminels se font arrêter, détenteurs de dizaines, voire des centaines de milliers de documents pédopornographiques.
Les milliers d’enfants qui disparaissent chaque année, les réseaux criminels qui récupèrent les mineurs isolés dans les camps de réfugiés, le tourisme sexuel de consommateurs d’enfants, la pédopornographie, tout ça est évoqué périodiquement dans des médias de masse.
Dans ce film, Tim Ballard explique que les plus gros clients des trafiquants d’enfants se trouvent aux États-Unis. Je pense pour ma part que l’on trouve ces clients prédateurs d’innocence dans tous les pays aisés, notamment les pays occidentaux, dont la France.
Dès 2000, Serge Garde et moi-même avons sorti ce qu’on a appelé « l’affaire de Zandvoort », du nom de la ville aux Pays-Bas où résidait un pédocriminel au cœur d’un trafic de pédopornographie. Ce dernier a fini assassiné. Sur les affreux documents saisis en Hollande, des enfants français ont été reconnus par leur famille. Et derrière l’affaire de Zandvoort, c’est tout un réseau international qui se cachait. Nous l’avons expliqué dans un ouvrage intitulé « Le livre de la honte. Les réseaux pédophiles » paru au Cherche-Midi. Comme il est épuisé, j’envisage de le mettre en accès gratuit sur internet, mais je ne suis pas la seule qui décide. Franchement, si peu de choses ont changé que la mise à jour ne me prendrait pas plus d’une journée !
Évidemment, à l’époque comme aujourd’hui, il y a eu des journaux pour affirmer d’autorité que tout ça n’était que « complotisme ». Hé oui, l’accusation de complotisme, quand on n’a pas d’argument à opposer, ne date pas d’aujourd’hui. Libération, Marianne et d’autres, se sont faits les porte-paroles d’officiels de mauvaise foi, et se sont empressés de bâcler des « contre-enquêtes », composées pour l’essentiel d’affirmations gratuites souvent contraire au bon sens.
Je me souviens d’un article de Marianne particulièrement indigent où le journaliste expliquait qu’il n’existait pas de réseaux pédocriminels organisés mais que… les pédocriminels avaient « des liens entre eux » et formaient des « sortes de cercles ». Il concluait : « Le vrai réseau, il est là sous notre nez : c’est Internet ». Comme si, derrière les ordinateurs reliés par internet, ne se trouvaient pas des êtres humains !
Quant à Libération, le quotidien s’était empressé d’expliquer que les carnets d’adresses saisis à Zandvoort, dont j’avais personnellement remis des copies à la Brigade des mineurs de Paris, ne contenaient que des commerçants, boulanger, coiffeur… Bref rien d’intéressant.
Trois fois rien : des correspondants au Crédit Lyonnais-Ukraine à Kiev, à la Banque nationale d’Ukraine, à la Banque mondiale, à la Comm Bank of Social Development, à l’Oschadny Bank, à l’Exim Bank, à la Berrents Group à Kiev, à la State Export Import Bank of Ukraine, à la BERD, à la ABN AMRO Private Banking, un compte au Crédit agricole de Garches et un compte joint en dollars dans une agence du Crédit Lyonnais à Paris… Sans parler de tarifs pour un service « d’escort » enfants. Les enfants occidentaux coûtaient beaucoup plus cher que ceux de pays du tiers-monde : plus risqué de se les procurer.
Quelques années plus tard, il n’y avait plus grand monde pour affirmer que les réseaux pédocriminels n’existaient pas, mais toujours pas grand monde non plus pour exiger qu’on se dote de moyens conséquents pour les combattre et pour protéger les enfants.
Depuis le livre de Camille Kouchner, il est permis d’envisager qu’il y ait des personnalités influentes parmi les pédocriminels, sans se faire immédiatement taxer de complotisme. Mais la route est encore longue pour en tirer les conclusions qui s’imposent… Quand des juges sont condamnés pour des affaires de pédocriminalité, les dossiers qu’ils ont traités ne sont pas inspectés.
On accepte qu’au sommet de l’État français, un couple envoie un regrettable message d’impunité. On polémique sur l’affaire Polanski, mais lui au moins a été poursuivi ! Brigitte Macron, même pas. Et pourtant elle aurait dû. Même Wikipédia le reconnait; c’est dire ! En invoquant le mauvais article du code pénal et donc en minorant la peine encoure, mais l’encyclopédie en ligne le reconnaît !
Des affaires où des institutions pour enfants placés servaient de viviers à des prédateurs sexuels ont été rendues publiques. Pourtant, les foyers ne font pas l’objet de contrôles fréquents. Et il faudrait en faire autant en ce qui concerne les adoptions à l’international.
Dans une affaire de réseau jugée en France, non seulement les pédocriminels voyageaient dans le monde, Thaïlande, Maroc…, mais ils avaient en projet l’achat d’un orphelinat en Roumanie ! Pour la petite histoire, une perquisition a été effectuée au palais de Justice de Paris dans le cadre de cette affaire: un membre du réseau avait tourné des films pédopornographiques dans le somptueux décor de la Cour de cassation, et il piquait des documents pédopornographiques dans les scellés pour les remettre dans le circuit !
Il y a pléthore de dossiers où des personnes sont condamnées pour viols sur mineurs, mais aussi pour proxénétisme, sans qu’on ne cherche les clients. Et je ne vous parle pas des dossiers où des pièces disparaissent… La loi, prévoyant que tout résident français abusant sexuellement des mineurs à l’étranger doit être poursuivi, est extrêmement rarement appliquée.
Tout ça a été publié. Tout est sous vos yeux, depuis des années !
Alors oui, je suis heureuse du succès rencontré par « Sound of Freedom ». Après toutes ces années à alerter sur la situation en ayant l’impression de prêcher dans un désert, sinon d’indifférence du moins de déni ou de refus de savoir, je nourris le grand espoir d’une prise de conscience, d’un début de réflexion collective.
Évidemment, l’étape d’après est d’exiger qu’une lutte efficace s’organise pour protéger les enfants, tous les enfants. J’espère qu’il ne faudra pas quelques décennies de plus… »
*Selon le classement du site spécialisé Boxofficemojo, le film a rapporté 96,2 millions de dollars (en date du 18/07). À ce jour, il est le 18e film le plus rentable de 2023 aux États-Unis et au Canada. Une vraie performance pour un film qui a connu un meilleur démarrage en salles que plusieurs blockbusters comme le dernier Indiana Jones.
Une avocate dénonce d’importants manquements judiciaires en matière de protection des enfants victimes
et le diaporama commenté dans cette conférence
Colloque 13/05/2023 à Paris, parrainé par la LNPLV dirigée par Jean-Pierre Eudier
La dérive totalitaire sur les enfants : diagnostic, causes et conséquences, solutions
Comment retrouver des principes vertueux ?
Notre contribution à ce colloque passionnant :
LE TOTALITARISME S IMPOSE AUX ENFANTS DANS TOUS DOMAINES V 13 MAI 2023