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Archive d’étiquettes pour : enfants sacrifiés du covid

Actus, Articles, Littérature Médicale, Media, Publications, Une

Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle Zélande juillet 21, 2022

juillet 21, 2022

Par Dr Nicole Delépine

Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle Zélande – La vérité vous rendra libres (la-verite-rendra-libres.org)

 

 

ATTENTION MALGRÉ LA DISPARITION DE TOUT RISQUE COVID  LES MONDIALISTES VOUDRAIENT NOUS REIMPOSER LE MASQUE

« Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui, la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement lié à l’existence commune ». 

Soyons vigilants et diffusons toutes les informations qui démontrent son inefficacité, sa nocivité et sa toxicité.

LE MASQUE FAVORISE LES INFECTIONS COVID

Jacinda Ardern « déconcertée » par la montée en flèche des infections COVID en Nouvelle-Zélande, pays où le masque est obligatoire (anguillesousroche.com)

Il est bien triste que la première ministre néozélandaise 1ne soit pas informée de la littérature internationale sur le masque ou ne veuille pas en tenir compte

Etre plus royaliste que le roi ne mène qu’à des désastres, que Mr Ciotti se le dise ! Le populisme qui consiste à imposer ce qu’on croit être le vœu du peuple est toxique.

« Jacinda Ardern se dit « déconcertée » par le fait que la Nouvelle-Zélande enregistre le plus grand nombre de décès et d’infections par le virus Covid que tous les pays voisins sans masque, et ce malgré le fait que la Nouvelle-Zélande maintienne des obligations strictes de port de masque.. »

« Selon les rapports, les pays voisins sans masque, comme l’Australie, ne comptent qu’une infime partie des infections par rapport à la Nouvelle-Zélande.

Par coïncidence, Singapour est le seul autre pays où le port du masque est obligatoire et ce pays connaît également des niveaux records d’infections et de décès ».

UNE MUSELIÈRE NÉGATION DU RAPPORT A L’AUTRE, NÉGATION DE L’ÊTRE

Qui peut s’en étonner. Des dizaines d’articles ont déjà démontré depuis le début de la folie covid que le masque n’est qu’une muselière fort symbolique des pouvoirs désireux de mater leur population et qu’il est parfaitement incapable de limiter les contaminations covid..

Nous avions écrit à ce sujet en octobre 21 une petite tribune inspirée de Jean-Claude Paye et Tülay Umay (Mondialisation.ca, 01 octobre 2021)2 :

« Le port du masque supprime toute différence et exhibe la position « d’être un » avec l’intentionnalité du pouvoir. Il représente une technique d’introjection du discours sanitaire. Ses injonctions opèrent une suspension du visible, celui des objets de perception. Il s’agit d’être, sans médiation, avec la Chose même, avec l’invisible.

Grâce à des contraintes paradoxales, il n’y a plus, dans le discours, d’objet pensable. La conscience est mise en parenthèse. Les actes, dont le port du masque, ne seront pas jugés selon leurs conséquences, mais selon l’intentionnalité exhibée : la réalisation du Bien. Le masque est alors un nouage entre la jouissance et le non-sens. Il est le lieu où s’abolit le désir de l’Autre.

Le « covidisme » procède d’une jouissance placée au-delà de la loi et du principe de plaisir. C’est une loi inconditionnelle, un véritable impératif catégorique de se purifier de tout désir.

Dans toute la chorégraphie de la pandémie, le corps ne parle pas. Le masque est un bâillon. Fixé sur la bouche, il interdit la parole, le véhicule par excellence de la relation à autrui,(7) la parole étant, de toutes les fonctions du corps, la plus étroitement lié à l’existence commune. 

Le covidisme impose l’obligation de se taire. Le langage doit être vidé de sa fonction. Ce qui doit gouverner relève d’une mécanique mimétique. Le port du masque est alors un refus de ce qui fait de nous des êtres humains, c’est une négation du rapport à l’Autre. »

Malgré la disparition du virus de la covid remplacé par des variants de moins en moins contagieux, les gouvernements mondialistes imaginent de réimposer le masque obligatoire dès que possible. Objet de contraintes psychologiques qui isolent les personnes, bloquent de fait les conversations et enferment la population dans la peur, l’angoisse l’isolement.

Il FAUT REFUSER LE PORT DU MASQUE INUTILE (les virus passent allègrement les pores,( c’est écrit sur la boite) et toxique sur différents plans comme cela a été démontré à de nombreuses reprises par des auteurs de tous pays. Il favorise les surinfections bactériennes, les mycoses et diminue l’apport correct d’oxygène tout en favorisant sa propre intoxication par son CO2 mal expulsée.

Summit.news rapporte : Le taux de mortalité par habitant du COVID en Nouvelle-Zélande a également dépassé celui de l’Australie en mars, en dépit de ses obligations strictes en matière de masques, et est resté plus élevé depuis.

« À Singapour, les taux de mortalité sont passés sous la barre de l’Australie en avril après avoir fait la course en tête entre octobre et Noël, mais ils font maintenant une folle remontée et sont prêts à dépasser à nouveau l’Australie », rapporte le Daily Mail.

« Bien sûr, ce n’est que le dernier exemple en date qui montre que les masques ne font rien ou presque pour empêcher la propagation des virus en suspension dans l’air, et peuvent même aggraver les choses », écrit Will Jones.

La propre enquête du gouvernement britannique a révélé que les preuves de l’efficacité des masques faciaux pour arrêter la propagation du COVID-19 dans les écoles ne sont « pas concluantes »3.

Le conseiller SAGE du gouvernement britannique, le Dr Colin Axon, a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pratiquement rien, rappelant que la particule du virus COVID-19 est jusqu’à 5 000 fois plus petite que les trous du masque.

« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers », a déclaré M. Axon.

Une étude menée au Danemark auprès de 6 000 participants4 a également révélé qu’« il n’y avait pas de différence statistiquement significative entre ceux qui portaient des masques et ceux qui n’en portaient pas lorsqu’il s’agissait d’être infecté par le Covid-19 », rapporte le Spectator.

Malgré les données accablantes selon lesquelles les masques sont inutiles ou peuvent même exacerber le problème, certains pays se préparent déjà à les réintroduire. L’Allemagne est prête à réimposer son obligation de porter un masque en septembre, bien que la vague estivale de COVID ait déjà « perdu de son élan » . Ces règles seraient en passe de devenir permanentes si les citoyens ne s’y opposent pas de toutes leurs forces.

Rappelons notre revue récente de la littérature internationale 5 (toutes les références des articles ci-dessous insérées). Ce texte précise donc qu’il n’y a pas d’obligation réglementaire actuelle de port de masque même dans les structures ou locaux professionnels sanitaires, mais seulement la possibilité pour les responsables de ces établissements de l’imposer dans leurs locaux s’ils le désirent.

Le port généralisé du masque ne protège pas de la contamination

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 18/6/2022 est claire : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui.

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base d’études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre le virus grippal est incertaine et que ces études n’étaient pas nécessairement applicables au covid 19.

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, attitude tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté.

La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une métanalyse de simples études observationnelles qui conclue au conditionnel: « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour porter en toute sécurité une protection faciale.

Une personne peut en effet s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévient :

« le masque peut créer « un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais même dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque sont habituellement les mêmes qui réfutent l’utilisation de la chloroquine sous le (faux) prétexte qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elle est efficace. Or la seule étude prospective randomisée pourtant réalisée par des partisans du port du masque et publiée, Danmasq196 ne retrouve aucune différence significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas démontrant que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques habituées au masque seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens. Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations covid19 en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque) montre que le masquage généralisé de la population n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations par million d’habitants est près de deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

 

comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune preuve et, que de nombreux indices militent pour son inefficacité ? Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et tolérable, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux.

Et pourquoi ce masque est-il dangereux : l’effet FOEGEN

L’étude observationnelle – « The Foegen Effect: A Mechanism by Which Facemasks Contribute to the COVID-19 Case Fatality Rate »7(L’effet Foegen : Un mécanisme par lequel les masques faciaux contribuent au taux de mortalité des cas COVID-19) – a été publiée dans la revue Medicine en février 2022, sous la direction du médecin allemand Zacharias Fögen.8

Thenationalpulse.com rapporte : L’article a analysé « si le port obligatoire du masque a influencé le taux de mortalité par cas au Kansas » pendant la période allant du 1er août 2020 au 15 octobre. Le Kansas a été utilisé à des fins de comparaison parce que l’État a permis à chacun de ses 105 comtés de décider de mettre en œuvre ou non le port obligatoire du masque, 81 comtés ayant décidé de s’opposer à cette mesure.

« La conclusion la plus importante de cette étude est que, contrairement à la pensée admise selon laquelle moins de personnes meurent parce que les taux d’infection sont réduits par les masques, ce n’était pas le cas », résume l’article.

« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que les obligations de masques ont en fait causé environ 1,5 fois le nombre de décès ou ∼50% de décès supplémentaires par rapport aux mandats sans masque. »

« Une justification de l’augmentation du RR en rendant le masque obligatoire est probablement que les virions qui pénètrent ou ceux qui sont crachés dans les gouttelettes sont retenus dans le tissu du masque facial, et après une évaporation rapide des gouttelettes, les gouttelettes hypercondensées ou les virions purs (virions qui ne sont pas à l’intérieur d’une gouttelette) sont réinspirés à une très courte distance pendant l’inspiration. »

Baptisée « effet Foegen », cette théorie suggère que les virions du COVID-19 « se propagent (en raison de leur plus petite taille) plus profondément dans les voies respiratoires ». « Ils contournent les bronches et sont inhalés profondément dans les alvéoles, où ils peuvent provoquer une pneumonie au lieu d’une bronchite, ce qui serait typique d’une infection virale. »

Un autre article publié dans la revue Cureus9 et intitulé « Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe » (Corrélation entre le respect du port du masque et les résultats du COVID-19 en Europe) est arrivé à la conclusion étonnante que plus le taux de respect du masque est élevé, plus le taux de cas de COVID-19 est élevé.

Pour ceux qui ne sont pas très au fait des statistiques, c’est exactement le contraire de ce que les chercheurs devraient trouver si les masques étaient effectivement « efficaces ».

« Le masquage a été l’intervention non pharmaceutique la plus courante au cours de la pandémie de coronavirus 2019 (COVID-19) », indique l’article. « La plupart des pays ont mis en œuvre des recommandations ou des obligations concernant l’utilisation de masques dans les espaces publics. L’objectif de cette courte étude était d’analyser la corrélation entre le port du masque et les taux de morbidité et de mortalité au cours de l’hiver 2020-2021 en Europe. Les données de 35 pays européens sur la morbidité, la mortalité et l’utilisation de masques pendant une période de six mois ont été analysées et croisées. »

« Ces résultats indiquent que les pays ayant des niveaux élevés de respect des masques n’ont pas obtenu de meilleurs résultats que ceux ayant une faible utilisation des masques », écrit l’auteur Beny Spira, professeur à Sao Paolo.

« Pour cette analyse, tous les pays européens, y compris l’Europe de l’Ouest et de l’Est, comptant plus d’un million d’habitants ont été sélectionnés, ce qui représente un total de 602 millions de personnes. Tous les pays analysés ont connu un pic d’infection au COVID-19 pendant ces six mois », écrit le professeur avant de fournir l’ensemble des données.

« De manière surprenante, de faibles corrélations positives ont été observées lorsque le respect du masque a été rapporté à la morbidité (cas/million) ou à la mortalité (décès/million) dans chaque pays », note l’étude.

Le professeur montre un diagramme de dispersion de la conformité des masques par rapport aux cas et aux décès par million, ainsi qu’une ligne de régression ajustée. Comme on peut le voir, la relation est positive (pas bonne).

« Bien qu’aucune conclusion de cause à effet n’ait pu être déduite de cette analyse observationnelle, l’absence de corrélations négatives entre l’utilisation de masques et les cas et décès de COVID-19 suggère que l’utilisation généralisée de masques à un moment où une intervention efficace était la plus nécessaire, c’est-à-dire pendant le fort pic automne-hiver 2020-2021, n’a pas permis de réduire la transmission de COVID-19 », conclut l’étude. « En outre, la corrélation positive modérée entre l’utilisation des masques et les décès en Europe occidentale suggère également que l’utilisation universelle des masques peut avoir eu des conséquences néfastes involontaires. »

Les résultats de l’étude sur les masques sont similaires à ceux des chercheurs dirigés par Harvard lorsqu’ils ont constaté que plus les taux de vaccination d’une nation étaient élevés, plus les taux de cas étaient élevés. L’étude de Harvard, portant sur 68 nations et 2 947 comtés des États-Unis, a été publiée dans le European Journal of Epidemiology à la fin de 2021.

AUCUN GOUVERNEMENT JOURNALISTES ACADÉMIES OU AUTRES NE PEUVENT AFFIRMER UN EFFET BÉNÉFIQUE DU MASQUE

BIEN AU CONTRAIRE IL FAUT LES JETER (de surcroit ils polluent la planète qu’on oublie bizarrement !)10

Le port du masque est source de nombreuses complications11

Au 22 juin 2022, la base de données PubMed recense 1165 articles internationaux décrivant des complications du port de masques faciaux.

Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie perçue réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

L’étude clinique de Zhang, pourtant avocat du masque a signalé un taux plus élevé de maladies respiratoires parmi le personnel hospitalier portant un masque en tissu par rapport à l’absence de masque de protection au travail.

Complications cutanées

La macroanalyse des membres de l’American Contact Dermatitis Society met en évidence des cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente. Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI.12

Hypoxie et troubles respiratoires

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et all ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.

Kisielinski K et ses coauteurs  montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Problèmes de communication

Il existe de nombreuses complications logistiques, physiologiques, psychologiques, sociales et économiques associées au port du masque.

Tsantanie et ses coauteurs montrent que la perception des émotions intentionnelles (celles que l’acteur désire transmettre) est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère.

La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise, ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique. L’orthophoniste joue un rôle distinct dans la facilitation de la communication afin de garantir la fourniture, l’accessibilité et l’efficacité des services.

Les enfants sont particulièrement victimes du port de masques

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage des émotions et de la parole est particulièrement menacé.

Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ? Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge ou ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.

Les troubles psychologiques et psychiatriques

Le port du masque est un facteur favorisant la survenue de stress et de morosité. Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui.

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées qui décompenseront. Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux de lits de psychiatrie générale à l’hôpital, atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS. De plus l’augmentation des moyens en ville, où les centres médico-psychologiques sont saturés n’ont pas suivi. Les psychiatres ont fui l’hôpital public, où 30 % des postes de titulaires sont vacants.

Le recul montre qu’effectivement les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé.

L’augmentation de l’anxiété, de la dépression et du stress, d’abord constatée en Chine s’est diffusée partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes.

Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province.

D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.]

Il n’est pas éthique de refuser d’examiner un malade

Le serment d’Hippocrate considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale rappelle qu’un médecin ne peut refuser d’examiner un malade.

Dans sa version française:

Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité.

Ou dans sa version internationale du serment de Genève :

JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, de nationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient

D’ailleurs même au temps de la peste (qui tuait près de 40 % des malades) les médecins accomplissaient leur devoir sans exiger des malades qu’ils portent un masque.

Il est donc particulièrement choquant d’apprendre que certains confrères violent leur serment d’Hippocrate en refusant d’examiner des malades au prétexte qu’ils ne portent pas de masque.

L’ordre a rappelé que la non-vaccination ne fait pas partie des raisons justifiant un refus de soins. Un docteur ne peut donc pas déontologiquement refuser de soigner un patient parce qu’il n’est pas vacciné contre le Covid. On peut espérer que le non-port du masque sera prochainement le sujet d’un même rappel à la déontologie.

Il faut espérer que sans attendre ce rappel éthique, de nombreux médecins supprimeront ces exigences infondées du port de masque pour les consulter.

Et s’ils craignent encore qu’ils se rappellent que lors de la première vague (avant tout vaccin) les Indiens ont utilisé avec succès la chloroquine pour prévenir les contaminations du personnel soignant et des proches des malades et que l’Inde compte 15 fois moins de cas par millions que la France adepte des masques.

 

L’Algérie qui a largement utilisé le protocole Raoult compte 75 fois moins de cas par millions que la France

 

Pour se protéger, les médecins inquiets devraient plutôt se prescrire chloroquine ou Ivermectine que de porter un masque! Il faut rester méfiant car le pouvoir veut nous faire prescrire du Paxlovid à la rentrée inefficace toxique et cher

Et AVEU DE FAUCI 13

« C’est plus une question de principe de savoir où se trouve l’autorité. »

Lors de son passage récent sur Fox News, Anthony Fauci a semblé admettre que les efforts de l’administration Biden pour rétablir l’obligation de porter un masque dans les avions et les trains visaient à préserver l’« autorité » sur les décisions de santé publique, et non à assurer la sécurité des personnes.

Auteur : Dr Nicole Delépine

Notes et références :

1 femme d’État néo-zélandaise, Première ministre depuis le 26 octobre 2017. Membre de la Chambre des représentants depuis 2008, elle devient chef du Parti travailliste de Nouvelle-Zélande le 1er août 2017 et à ce titre, se trouve dès lors à la tête de l’opposition1. Après les élections législatives du 23 septembre 2017 où son parti obtient 35,7 % des suffrages, elle parvient en octobre à un accord avec le parti Nouvelle-Zélande d’abord et avec le Parti vert pour former un gouvernement de coalition. Serait une des personnes les plus influentes au monde…..

2 Le masque, bâillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) Coronavirus. https://reseauinternational.net/le-port-du-masque-un-mimetisme-sacrificiel/

3 https://www.bbc.com/news/health-59895934

4 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32829745/

5 Masques inutiles et dangereux : refusons cette nouvelle mascarade – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

6 Henning Bundgaard Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersFREE A Randomized Controlled Trial Annals of Internal Medicine https://www.acpjournals.org/doi/full/10.7326/M20-6817?s=09&journalCode=aim

7 Fögen Z. The Foegen effect: A mechanism by which facemasks contribute to the COVID-19 case fatality rate. Medicine (Baltimore). 2022 Feb 18;101(7 https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35363218/ .

8 L’obligation de porter un masque a causé plus de décès COVID, conclut une étude (anguillesousroche.com)

9 Cureus | Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe avril 22

10 Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne ! – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

11 Ibid réf 5 avec l’ensemble des références

12 L’étude coréenne de Choi SY précise la symptomatologie qui varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %). Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques.

Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.

13 Vidéo : Fauci admet ouvertement que le mandat de Biden sur les masques vise à préserver son « autorité » (anguillesousroche.com)

23 juillet 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/03/CovidMascarade.jpg 2120 1337 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-07-23 18:47:162022-07-23 18:47:16Les masques sont inutiles et dangereux : l’expérience désastreuse de la Nouvelle Zélande juillet 21, 2022
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REFUSONS TOUTE OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID le point le 8 mai 2022

Refusons l’obligation vaccinale prévue

8 mai 2022 Nicole Delépine DICTATURE SANITAIRE 

RAPPELER CHAQUE JOUR À NOS CONCITOYENS INEFFICACITÉ ET DRAMES LIÉS AU VAX COVID POUR REFUSER ENSEMBLE L’OBLIGATION D’INJECTIONS EXPÉRIMENTALES ET DANGEREUSES

Le président réélu l’avait annoncé, il imposerait l’obligation vaccinale à tous et même aux bébés. Le choix évoqué du sénateur Malhuret comme remplaçant de Veran va dans ce sens. Ce sénateur a été un des plus violents dans ses discours contre les non-vaccinés.

Quelques réactions sur Twitter concernant le potentiel nouveau ministre de la Santé

@Spotlight29 « Claude Malhuret est pressenti pour devenir ministre de la Santé. Au-delà de ses positions quasi dictatoriales sur la vaccination obligatoire, il a également été directeur du développement de l’éthique chez Korian (quelle réussite !). Enfin, ce mal luné a quand même 72 ans ! » 6:23 AM · 4 mai 2022

@Tily2601 4 mai @Spotlight29

Co fondateur de Doctissimo avec Laurent Alexandre. Quand on connaît les idées et les relations de Mr Alexandre et les propos de Mr Malhuret. »

Et il contrôle les procurations du vote des Ephads à travers les directeurs 10 h 50 · 4 mai 2022 (à vérifier…)

DEPUIS LA PUBLICATION IMPOSÉE PAR LA JUSTICE AMÉRICAINE DES DOCUMENTS PFIZER, LA PROPAGANDE MÉDIATIQUE NE CHANGE PAS

Pourtant Les documents Pfizer révèlent un scandale immense à l’échelle planétaire

« et les médias se taisent. Ne les appelez plus jamais des journalistes. Ce sont des courtisans. #pfizerdocuments

Procureur Décitoyennisé @menalahy2 “Soyez avertis : La nouvelle que vous n’auriez pas dû voir était que Pfizer a publié 80 000 pages informant le public que leur médicament Covid n’est efficace qu’à 12 % et est extrêmement nocif pour les bébés à naître”.

@KattousM. “12 % d’efficacité après des tests sur une dizaine de souris, aucune idée des impacts sur les femmes enceintes, 9 pages recto verso d’effets secondaires notoires”. »

Par Romain Doyer (@Marc_Doyer @verity_france)

le 5 mai 2022 qui a cruellement perdu sa maman il y a deux jours

« Voici une des neuf pages de la notice #pfizerdocuments concernant les #effetssecondaires du vaccin, sous 👇 la flèche noire vous pouvez apercevoir la pathologie de ma maman #jesuismauricette.#Pfizermatue ».

Alors que certains continuent à nier le lien du Creutzfeld Jacob avec l’injection malgré la publication de Luc Montagnier et Henrion Caude.

Le document de 700 pages « FORM 20-F » de BioNtech devrait nous réveiller :

« le produit expérimental à injection conçu par BioNTech et Pfizer, abusivement appelé vaccin, ne serait pas concluant durant les essais cliniquesà échelle mondialeet ne permettrait pas une mise sur le marché définitive. »

document interne à l’entreprise, axé principalement sur la finance et la rentabilité de cette société allemande. Mais dès la page 8, l’information est sans équivoque :

« Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de démontrer l’efficacité ou l’innocuité suffisante de notre vaccin COVID-19 et/ou des formulations spécifiques aux variantes pour obtenir une approbation réglementaire permanente aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Europe, Union européenne ou d’autres pays où il a été autorisé pour une utilisation d’urgence ou a obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle. »[1]

https://phmpt.org/pfizers-documents/ Plus que 1 % de protection 7 jours après l’injection ! tout ça pour ça… allez lire vous-même.

VAERS — LE POINT DES ACCIDENTS AU 22 AVRIL 2022

Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 15 avril 2022.[2]

pour les enfants de 5 à 11 ans

  • 10 290 événements indésirables, dont 248 qualifiés de graves et 5 décès signalés.
  • 19 rapports de myocardite et de péricardite (inflammation du cœur).
  • Les CDC utilisent une définition restreinte de la « myocardite », qui exclut les cas d’arrêts cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux ischémiques et de décès dus à des problèmes cardiaques qui surviennent avant que l’on ait la possibilité de se rendre aux urgences !
  • 40 rapports de troubles de la coagulation sanguine.

pour les jeunes de 12 à 17 ans

  • 31 113 événements indésirables, dont 1 796 qualifiés de graves et 43 décès.
  • 65 rapports d’anaphylaxie chez des jeunes de 12 à 17 ans, dans lesquels la réaction mettait en danger la vie du patient, nécessitait un traitement ou entraînait la mort — 96 % des cas étant attribués au vaccin de Pfizer.
  • 651 rapports de myocardite et de péricardite, dont 639 cas attribués au vaccin de Pfizer. 166 rapports de troubles de la coagulation sanguine, tous les cas étant attribués à Pfizer.

Tous groupes d’âge confondus :

Les données VAERS américaines du 14 décembre 2020 au 15 avril 2022

  • 20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques.
  • 54 % des personnes décédées étaient des hommes, 41 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’indiquaient pas le sexe de la personne décédée. L’âge moyen du décès était de 73 ans.
  • Au 15 avril, 5 429 femmes enceintes ont signalé des effets indésirables liés aux vaccins contre la COVID, dont 1 701 cas de fausse couche ou de naissance prématurée.
  • 3 633 cas de paralysie de Bell signalés, 52 % attribués aux vaccins de Pfizer, 40 % à Moderna et 8 % à J&J.
  • 861 syndromes de Guillain-Barré, avec 42 % des cas attribués à Pfizer, 30 % à Moderna et 28 % à J&J.
  • 2 355 rapports d’anaphylaxie où la réaction a mis en danger la vie du patient, a nécessité un traitement ou a entraîné la mort.
  • 1 672 infarctus du myocarde.
  • 13 733 troubles de la coagulation sanguine aux États-Unis. Parmi ceux-ci, 6 166 attribués à Pfizer, 4 914 à Moderna et 2 653 à J&J. 4 131 cas de myocardite et de péricardite dont 2 532 cas attribués à Pfizer, 1 408 cas à Moderna et 181 cas au vaccin contre la COVID de J&J.

Les troubles cardiaques représentent 20 % des 1,2 million d’accidents signalés après la vaccination COVID, selon les données du VAERS. | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

Sur les 12 304 décès signalés aux États-Unis au 1er avril 22, 17 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 21 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 59 % chez des personnes dont les symptômes sont apparus dans les 48 heures suivant la vaccination.

Aux États-Unis, 561 millions de doses de vaccin COVID avaient été administrées au 1er avril, dont 331 millions de doses de Pfizer, 211 millions de doses de Moderna et 19 millions de doses de Johnson & Johnson (J&J). on peut néanmoins supposer que les accidents graves et les décès survenus plus tard dans les semaines suivant la vax n’ont pas été répertoriés pour insuffisance de preuve sur la cause à effet, sans l’argument de poids de la chronologie rapprochée. Mais les auteurs de l’article regrettent l’absence de prise en compte et d’enquête sur des cas plus tardifs

Un homme de 34 ans meurt deux semaines après avoir été vacciné par Pfizer, les CDC n’ont pas enquêté

Un homme de 34 ans est décédé subitement, deux semaines seulement après avoir reçu sa première dose du vaccin COVID de Pfizer, des suites d’une dissection aortique aiguë qui touche habituellement les hommes âgés de 60 à 70 ans.

Au The Defender, la mère de Victor Castillo Simoes, Henrietta, a déclaré que le seul symptôme de son fils était la douleur thoracique qu’il a ressentie peu avant sa mort.

Après sa mort, Henrietta a déclaré que les tests avaient permis d’exclure les facteurs génétiques susceptibles d’avoir causé la maladie cardiaque, et qu’un chercheur prestigieux travaillant avec la famille partageait sa conviction que le vaccin avait déclenché l’événement.

Dans le cas de nombreuses histoires de blessures liées aux vaccins rapportées par The Defender — y compris celle de Simoes — les dossiers médicaux ne sont pas disponibles pour les personnes qui meurent soudainement après avoir reçu un vaccin COVID et qui ne se sont pas rendues à l’hôpital pour y être soignées.

Selon le site web VAERS, cela signifie que le CDC ne donne pas suite à ces décès signalés.

Les conseillers de la FDA en matière de vaccins discutent de la diminution de l’efficacité des vaccins et ignorent les personnes souffrant de complications post vaccinales.

Le Dr Peter Marks, directeur de la division vaccin de la FDA, le Center for Biologics Evaluation and Research, a admis au cours de la réunion que la quatrième dose de vaccin approuvée la semaine dernière était une « mesure palliative » — en d’autres termes, une mesure temporaire à mettre en œuvre jusqu’à ce qu’une solution adéquate soit trouvée à l’avenir.

Pourtant Tedros Adhanom Ghebreyesus directeur général de l’OMS a prévenu[3]:

« Aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de dose de rappel… Des programmes de rappel sans discernement ont toutes les chances de prolonger la pandémie, plutôt que d’y mettre fin ».

Pfizer a secrètement engagé plus de 600 personnes pour traiter les rapports de blessures liées aux vaccins

Des documents récemment publiés, obtenus par le biais d’une demande au titre de la loi sur la liberté d’information, ont révélé que Pfizer a embauché environ 600 employés supplémentaires à temps plein pour traiter les rapports d’événements indésirables au cours des trois mois qui ont suivi l’autorisation d’utilisation d’urgence de son vaccin COVID-19.

La société a déclaré qu’elle prévoyait d’embaucher un total de 1 800 personnes supplémentaires d’ici la fin juin 2021, selon les documents.

L’analyse de documents de 10 000 pages publiée le 1er avril 2022 par la FDA montre qu’au 28 février 2021, 42 086 rapports de cas (25 379 confirmés médicalement et 16 707 non confirmés médicalement) contenant 158 893 événements indésirables ont été reçus de 63 pays.

La plupart des effets indésirables signalés concernaient les « classes de systèmes d’organes »

les événements de réactogénicité comprenant les troubles généraux et les anomalies au site d’administration (51 335), les troubles du système nerveux (25 957), les troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif (17 283) et les troubles gastro-intestinaux (14 096).

« Malgré ces résultats, Pfizer a déclaré à la FDA que son vaccin était “sûr et bien toléré chez des adultes en bonne santé âgés de 18 à 55 ans, sans aucun résultat inattendu en matière de sécurité”. »

Pfizer savait que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin COVID

Comme l’a rapporté The Defender le 6 avril, les documents de Pfizer publiés le 1er avril confirment également que Pfizer savait que l’immunité naturelle était aussi efficace que le vaccin COVID de la société pour prévenir les maladies graves.

Lors d’une discussion avec les co-animateurs de “Rising” Robby Soave et Ryan Grim, Kim Iversen a identifié ce qu’elle a appelé la “première bombe” dans les documents : le fait que “l’immunité naturelle fonctionne, et Pfizer le sait”.

Iversen a déclaré que les données des essais cliniques ont montré que les personnes ayant déjà été infectées par la COVID ne présentaient aucune différence de résultats par rapport à celles qui avaient été vaccinées.

Dans l’essai limité, aucun des vaccinés ou des personnes ayant déjà été infectées n’a souffert d’une maladie grave telle que définie par le CDC ou la FDA.

Les données ont également montré que les taux d’infection étaient “statistiquement identiques” chez les personnes vaccinées et celles présentant une immunité naturelle.

Children’s Health Defense demande à toute personne ayant subi un effet indésirable, quel que soit le vaccin, de remplir un rapport en suivant ces trois étapes.

La source originale de cet article est The Defender

Copyright © Children’s Health Defense, The Defender, 2022

Nicole Delépine
https://nouveau-monde.ca/refuser-lobligation-vaccinale-prevue-informons-chaque-jour/
  1. [1] « We may not be able to demonstrate sufficient efficacy or safety of our COVID-19 vaccine and/or variant-specific formulations to obtain permanent regulatory approval in the United States, the United Kingdom, the European Union, or other countries where it has been authorized for emergency use or granted conditional marketing approval »[↩]
  2. [2] 21 % des décès signalés au VAERS après les injections contre la COVID sont survenus dans les 48 heures suivant la vaccination. (mondialisation.ca)
    La source originale de cet article est The Defender Copyright © Children’s Health Defense, The Defender, 2022[↩]
  3. [3] https://www.france24.com/fr/sant%C3%A9/20211222-l-oms-affirme-que-les-doses-de-rappel-ne-mettront-pas-fin-%C3%A0-la-pand%C3%A9mie[↩]
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31 mai 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/03/NV8LIVRE.png 1887 1290 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-05-31 16:13:272022-05-31 16:14:25REFUSONS TOUTE OBLIGATION VACCINALE ANTICOVID le point le 8 mai 2022
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Fév 22 : réflexions sur la crise covid19 et la catastrophe des confinements

diaporama confinement du 27 2 22

 

à l’occasion d’une réunion de l’association AMETIST  chez sa présidente, nous avons fait le point sur différents aspects de la crise covid19 ET de ses conséquences particulièrement chez les enfants et les jeunes

 

ici se trouve le diaporama à propos des conséquences délétères des confinements  (cliquez sur le lien)

 

et les développements et la bibliographie détaillée dans nos livres sur le sujet

 

 

Delépine, Les enfants sacrifiés Covid

1 mars 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/01/enfant-sacrifies-quatrieme.jpg 2539 1594 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-03-01 12:46:042022-03-01 12:46:04Fév 22 : réflexions sur la crise covid19 et la catastrophe des confinements
Articles, Evénements, Littérature Médicale, Livres, Media, Publications, Une

Les enfants sacrifiés du Covid – N et G Delepine éd Fauves janvier 2022

 

 

 

Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

Propos recueillis par Pierre Cassen pour RL

C’est avec grand plaisir que nous accueillons ce jour Nicole Delépine qui, avec son mari Gérard, depuis le début de cette crise, fait profiter nos lecteurs, sur la crise sanitaire, d’une vision rationnelle et plutôt rassurante, aux antipodes du discours angoissant véhiculé par le pouvoir et, hélas, nombre de confrères de Nicole et Gérard. 

Nicole nous présente le nouveau livre qu’elle vient de publier…

Toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants

RL : Vous publiez ce jour votre dernier livre, intitulé « Les enfants sacrifiés du covid », et vous sous-titrez « Isolement, masques et vaccins ». Considérez-vous que la France a vraiment plus mal traité ses enfants que les autres pays européens, ou dans le monde ?

Nicole Delépine : Il est évident que la France a considérablement plus maltraité ses enfants que certains pays européens comme la Suède ou la Biélorussie qui n’ont jamais fermé leurs écoles, ni imposé des masques, ni tests aux enfants. Ni inventé des pass limitant la pratique des sports, ni restreint l’accès aux lieux de culture et de spectacle, etc…

Et ces pays ont pourtant un bilan Covid moins mauvais que le nôtre. Comme quoi il apparait que ce que nous évoquions dès les premiers mois du coronacircus, toutes les mesures coercitives n’ont fait qu’aggraver la situation des enfants et adolescents dont ils paient un lourd tribu.

Les 11 vaccins imposés aux enfants en 2017 furent une répétition générale

R L: Dès l’arrivée de Macron au pouvoir, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a fait passer les vaccinations obligatoires de trois vaccins (diphtérie, tétanos, poliomyélite) à onze (rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B…). Des spécialistes ont estimé qu’on mettait en danger les enfants. Pourtant, apparemment, cette vaccination accrue n’a pas créé de problèmes nouveaux, quatre ans après. Pensez-vous que ces nouvelles dispositions étaient légitimes ?

Nicole Delépine : Effectivement les onze vaccins imposés aux nouveau-nés qui posent un problème majeur pour la santé des enfants ont été acceptés dans l’indifférence de trop de Français, comme à un autre bout de la vie l’abandon des vieux dans les EHPAD et leur euthanasie forcée dès mars 2020.

Dire qu’il n’y a pas de conséquences est bien sûr impossible tant il faudrait évaluer l’impact de ces charges d’aluminium entre autres imposées aux bébés très supérieures à ce que nous avons reçu dans toute notre vie de boomer. La fragilité des enfants très vaccinés aux infections, allergies etc., relève aussi de l’analyse nécessaire qu’ont déjà abordé d’autres auteurs.

Quant aux jeunes parents, ils continuent à vivre dans la terreur de ces injections multiples dont Mme Buzyn avait promis le caractère temporaire d’autant que les organisations consultées avaient voté en défaveur de ce projet. Certains retardent leur projet d’enfant en raison de ces contraintes absurdes et dangereuses destinées à satisfaire Big pharma et l’UE.

En fait, 2017 fut une répétition pour tester la tolérance des citoyens à accepter n’importe quel ukase sans aucune justification médicale et en urgence. Voici ce que nous écrivions en novembre 2017 évoquant le code de Nuremberg, avant ce vote cruel des vaccinations obligatoires :

«  Pourtant il semble que le nœud de la question du vote parlementaire siège à ce niveau. En effet, personne n’a probablement l’intention de transformer en quelques minutes de débat, à l’Assemblée ou au Sénat, nos parlementaires en vaccinologues de haut rang. Seraient-ils capables d’assimiler en peu de temps (puisque le vote est une urgence pour le gouvernement !) l’épidémiologie, l’histoire des vaccins et de l’hygiène, et de leurs rôles respectifs ou complémentaires, l’efficacité clinique des vaccins en passe d’être imposée sur la mortalité à long terme, et pas seulement sur la montée d’anticorps chez les vaccinés , et surtout les effets secondaires attendus, sans parler des côtés économiques – que la justification de leur vote sur l’obligation ne pourrait y trouver ses racines.

Quel devrait-être en démocratie le rôle du Parlement pour la santé, si ce n’est de mettre à la disposition du citoyen les meilleures conditions de soin, sans interférer dans son libre choix de personne pensante, ni dans celui des professionnels, les médecins. Bref, je n’avais pas compris que l’assemblée se devait de réécrire les traités de médecine, et les imposer aux robots médecins et aux patients-citoyens objets ».

Et la loi fut votée très vite dans le silence assourdissant des médias et des associations, en dehors de quelques exceptions.

Nous écrivions déjà :

« Ne doit-on pas suffoquer lorsque le président du conseil de l’Ordre ou des médecins connus  se permettent d’affirmer haut et fort que « la vaccination ne se discute pas » et que ceux qui oseraient élever une objection se verraient soumis aux foudres de l’ordre des médecins, vieille institution fondée sous Vichy ? »

Le professeur Holland a évoqué les droits civils liés qui élimineraient le droit au consentement éclairé de refuser les vaccinations. Elle a rappelé que « l’histoire nous a montré les résultats d’une intrusion du gouvernement dans les droits médicaux… »

Relisant cette tribune vous ne serez pas étonné de ce qui nous arriva depuis 2020, du comportement de l’ordre des médecins, foulant au pied le consentement éclairé des patients et le libre choix du médecin à donner les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science, diffamant et poursuivant les docteurs osant soigner leurs patients.

Le Pr Holland  avait pourtant insisté à la tribune de l’ONU :

« Les Nations Unies, ainsi que la communauté internationale ont l’obligation de respecter les droits humains liés à la vaccination ».
 « Le Code de Nuremberg stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques a repris cette interdiction contre toute expérimentation involontaire, dans son texte de 1966 qui stipule : nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique. » Cette interdiction est maintenant si universellement reconnue que certains tribunaux et chercheurs ont considéré ce droit au consentement éclairé comme une question de droit international coutumier. (….). »

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables

Riposte Laïque : On est passé du masque obligatoire à l’école à partir de 11 ans, au masque obligatoire à partir de 6 ans. On est passé de la vaccination à partir de 12 ans, avec 90 % de vaccinés, à celle à partir de 5 ans. Pourtant, les associations de défense des droits de l’enfant ont été fort discrètes. Les associations de Parents d’élèves et les Syndicats d’enseignants n’ont pas protesté, si ce n’est pour réclamer encore plus de mesures restrictives. Et rares ont été, sur les plateaux de télévision, mis à part Marie-Estelle Dupont, les chroniqueurs à protester contre ce que certains appellent la maltraitance des enfants. Comment expliquez-vous cela ?

Nicole Delépine : La crédulité à la propagande gouvernementale, la peur, fille de l’ignorance, la censure, le conformisme, et la corruption ont réussi à fait croire que les enfants pouvaient être dangereux.

Les mensonges d’Etat ont d’emblée désigné les enfants comme coupables, en fermant les écoles puis en leur imposant des mesures soi-disant sanitaires alors que les toutes les études épidémiologiques mondiales montraient pourtant que les enfants sont innocents du covid et l’ont toujours été depuis le début.

Le ministère a honteusement diffusé une pub dans laquelle un enfant était accusé d’avoir envoyé sa grand-mère en réanimation.

Quelle violence cruelle intégrée dans la tête des enfants ? Combien de temps mettront-ils à effacer ces images, malgré nos explications réitérées de mensonge médiatique et de manipulation ?

Les médecins honnêtes ont été exclus des grands médias et seuls les alarmistes invités et pour bon nombre corrompus et en tous cas manipulés et manipulateurs .

Une fois la peur des enfants installée, parents et enseignants ont accepté les mesures pourtant absurdes. Des associations se sont montées progressivement dans les provinces, tentant chacune d’obtenir une amélioration ponctuelle sur le port insupportable du masque par exemple, mais avec bien des difficultés.

Mais ce sont les syndicats de l’éducation nationale qui sont le plus à blâmer, répétant à loisir les mensonges de leur administration, comme si leur seule obsession était de poursuivre un combat purement syndical sans tenir une seule seconde compte des tragiques conséquences tant scolaires que psychologiques sur les enfants, mais aussi sur les professeurs.

On parle de décrochage des élèves et étudiants, mais ne faut-il pas insister aussi sur celui des profs ?

37.000 décès, et ils continuent l’injection expérimentale !

Riposte Laïque : Pouvez-vous nous faire le point sur les effets secondaires du vaccin, en France et dans le monde ?

Nicole Delépine : Nous avons déjà, à de multiples reprises publié le point sur les effets secondaires officiellement reconnus sur les bases de données internationales, telle le Vaers américain, l’ANSM agence française, Eudravigilance pour l’EMA ou le MHRA pour la Grande- Bretagne.

L’augmentation exponentielle des effets rapportés n’a cessé de nous interpeller, en particulier par exemple le nombre de décès relaté par l’UE de plus de 37 000 en ce début janvier 22. L’interrogation majeure est de comprendre pourquoi les médecins ont accepté la poursuite de cette injection expérimentale (premiers résultats prévus en janvier 2023 selon clinicaltrials.gov ), devant un tel nombre de décès, alors que n’importe quel essai clinique a toujours été interrompu après quelques décès (par exemple le H1N1 a été stoppé après 53 décès).

Nous pouvons en ce jour donner les informations récentes fournies par la publication de lanceurs d’alerte militaires américains qui ont étudié les données militaires en comparaison aux années précédentes avant l’épisode covid.

« Outre le pic des diagnostics de fausses couches (avortements spontanés), on constate une augmentation de près de 300 % des diagnostics de cancer (d’une moyenne de 38 700 par an sur cinq ans à 114 645 au cours des 11 premiers mois de 2021). Il y a également eu une augmentation de 1 000 % des codes de diagnostic pour les problèmes neurologiques, qui sont passés d’une moyenne de base de 82 000 à 863 000 !

Voici d’autres chiffres donnés lors de l’interview :
⦁ infarctus du myocarde 269% d’augmentation
⦁ paralysie de Bell 291 % d’augmentation
⦁ malformations congénitales (pour les enfants de militaires) 156 % d’augmentation
⦁ infertilité féminine augmentation de 471%
⦁ embolies pulmonaires augmentation de 467%
Tous ces chiffres concernent les visites ambulatoires, car c’est là que se produisent la plupart des diagnostics dans l’armée. Cependant, Renz a dit que les augmentations étaient également indiquées chez les patients hospitalisés. J’ai vu l’une des déclarations sous serment de l’un des médecins militaires, qui dit ceci : « C’est mon opinion professionnelle que les augmentations majeures des incidences des cas de fausses couches, de cancers et de maladies susmentionnés sont dues aux « vaccinations » COVID-19″.

Nous pouvons aussi vous montrer les derniers tableaux de EudraVigilance qui résume les effets délétères reconnus par l’agence européenne qui même si tout le monde considère qu’ils sont sous-estimés restent très impressionnants.

Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure

R L  : Pourquoi avez-vous éprouvé le besoin d’écrire ce livre ?

Nicole Delépine : Il nous a semblé que la multiplication des articles, vidéos, interviews, manifestations, tracts etc.… tant en France qu’à l’étranger, pourtant de plus en plus nombreux et souvent de grande qualité n’ont pas encore suffi à ouvrir les yeux de tant de personnes hypnotisés par le discours initial gouvernemental permanent d’un message unique des médias, aboutissant à l’hypnose bien décrite par des psychologues de la manipulation comme Ariane Bilheran.

Nous espérons que le format livre atteigne des personnes différentes, éloignées des réseaux sociaux et que dans l’immédiat, cette synthèse du sacrifice des enfants pendant ces deux ans puisse ouvrir des yeux à temps pour éviter la sinistre « vaccination » que le pouvoir essaie encore d’imposer alors qu’il sait l’épidémie terminée, qu’il sait que les enfants ne risquent rien et ne contaminent pas. Il est urgent de protéger les petits de cette infâme piqure.

Si certains peuvent hésiter à injecter leurs petits, cela donnera le temps d’en sauver quelques-uns, de faire jour à cette sinistre plandémie dont le voile se déchire rapidement comme l’extraordinaire cortège vers Ottawa des routiers canadiens et américains et de la population le démontre depuis quelques jours. Espérons qu’ils gagneront et que l’effet domino permettra une libération rapide des autres peuples martyrs dans le monde.

R L : Que pensez-vous de l’attitude de certains de vos confrères, qui, sur les plateaux de télévision, multiplient les pressions sur le gouvernement pour qu’il accentue les mesures répressives contre les non-vaccinés ? Attribuez-vous cette attitude aux seuls conflits d’intérêt ?

ND : Le propre du régime totalitaire est d’arriver à dire 2 + 2 = 5 sans être choqué comme l’a bien démontré George Orwell. Il crée des conditions de manipulation de masse par un discours unique permanent, visible et subliminal, effaçant le reste et conduit à la capacité d’éliminer ce qu’on voit. On a vu, on refoule, et on voit quelqu’un qui dit ce qu’on a vu et celui-là on le diffame, on le maudit, on le maltraite.

Alors le comportement de nos confrères n’est pas homogène. Il y a les corrompus d’emblée, les employés de Big pharma qui n’ont fait que leur travail parmi lesquels des « grands professeurs » d’emblée sur les plateaux. Et puis il y a des situations plus complexes des niveaux intermédiaires.

La corruption pudiquement rebaptisée liens d’intérêts explique que beaucoup de ces confrères se comportent comme les représentants de commerce des marchands de vaccins ou de médicaments nouveaux hors de prix. Mais la corruption n’est pas uniquement financière; en disant ce que l’élite voulait les entendre dire, ils ont été invités sur les grands médias et se sont fait connaître sans que leurs travaux scientifiques, ni leur connaissances ne le justifient.

Le désir de reconnaissance médiatique parfois d’ailleurs relativement bien rémunéré en a conduit à la griserie des plateaux dans une société starisée et adepte de la téléréalité.

Une histoire antérieure de plusieurs décennies a conditionné les médecins

Mais n’oublions pas que la soumission de trop nombreux collègues a été conditionnée progressivement par la main mise de la sécurité sociale (vidée de son sens initial) et des agences régionales de santé sur les prescriptions via les références médicales opposables dès 1993, puis les recommandations rapidement imposées et les certifications, et le plan cancer qui a par exemple enlevé aux cancérologues tout pouvoir de prescription individualisée depuis les années 2000.
N’oublions pas non plus que dans les années 30 plus de 60% des médecins allemands étaient membres du parti nazi. Notre formation ne prépare guère à l’indépendance d’esprit.

RL : Nous sommes à moins de trois mois de l’élection présidentielle. Quel est votre regard sur la posture des principaux candidats, concernant la politique vaccinale des prétendants ?

ND: Il est évident que la posture des candidats sur la situation sanitaire permet de faire un tri rapide de ceux qu’il faut absolument éliminer de la sphère politique comme tous ceux qui les suivraient et convoiteraient des postes de députés ou conseillers municipaux ou autres. Tout candidat digne de ce nom doit clairement affirmer qu’il doit rendre aux médecins la liberté de pratiquer la médecine et qu’il faudra faire de plus un grand ménage dans l’organisation administrative du domaine de la santé. Notre ouvrage « soigner ou obéir » avait abordé ce sujet dans l’indifférence générale en 2016 lors de la précédente élection présidentielle. Ce travail est à reprendre et compléter. Nous sommes à leur disposition pour éclaircir ce domaine.

RL : Le passe vaccinal vient d’être mis en application, ce 24 janvier , en France. Castex a promis des allègements, dans trois semaines, si la situation sanitaire le permettait. Certains pays allègent le dispositif, comme la Grande-Bretagne ou l’Espagne, mais d’autres accentuent la pression, comme la Grèce et l’Autriche, qui veulent rendre la vaccination obligatoire, avec lourdes amendes pour les contrevenants. Pensez-vous, comme le dit régulièrement Florian Philippot, que c’est la mobilisation des Français, tous les samedis, qui empêche le régime d’aller plus loin ?

Nicole Delépine : Le pouvoir va rapidement être dépassé (y compris en Grèce ou en Autriche) puisqu’en quatre jours la situation est déjà complètement différente, et les mesures coercitives sont de plus en plus décalées avec la réalité qui nous entoure et en particulier le recul de tous les pays par rapport à leurs exigences initiales, y compris l’Autriche et l’Allemagne qui renoncent à imposer la vax obligatoire. Le gouvernement a déjà renoncé à faire appliquer le pass vaccinal en Guadeloupe.

Les manifestations hebdomadaires ont été évidemment d’une importance cruciale, démontrant une frange de population déterminée jamais prête à céder et se solidifiant par ces rencontres importantes en nombre et en symbolique. Il est évident qu’il va falloir passer à la vitesse supérieure et pourquoi pas, comme en Allemagne passer à des manifestations quotidiennes dans nombreuses villes de France en même temps, et pourquoi pas imaginer un convoi de la Liberté inspiré de nos amis canadiens.

Soyons sûrs que les résistants patriotes, gilets jaunes et autres s’unissent rapidement pour faire sauter TOUTES LES MESURES SANITAIRES devenues intolérables dans un monde où des pays voisins comme l’Espagne ou l’Angleterre revivent normalement et où la Suède n’a jamais abandonné cette vie normale d’antan.

A moins que le domino international n’aille encore plus vite ?

RL : Comment fait-on pour se procurer votre livre ?

N D : Dans toutes les bonnes librairies ou sur le site de FAUVES EDITIONS ou autres sites en ligne comme Amazon ou Fnac ou les sites de libraires en ligne

R L : Souhaitez-vous ajouter quelque chose ?

Oui, il faut rapidement sortir de cette tragédie, évitant les injections qu’on voudrait encore faire subir aux petits, mais aussi aux grands, puis passer à la reconstruction de notre système de santé, mais aussi de l’éducation nationale, etc…

Prendre soin de tous ceux que cette crise a abimés, en particulier les injectés hypnotisés ou les « malgré eux » qui ont accepté de se faire injecter pour sauver leurs revenus et nourrir leur famille etc. Les tentatives de traitement des effets secondaires vont se multiplier et il faudra en faire profiter nos amis, connaissances et surtout ne pas diviser, mais se réconcilier.

Remonter le moral des troupes dans un grand mouvement positif qui engagera chacun et lui redonnera des objectifs réparateurs permettant résilience et avenir ouvert et enthousiasmant. Une reconstruction post guerre mondiale de fait !

Bref pour nous tous du travail sur la planche et de nombreux projets de livres en ce qui nous concerne.

www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram

 

Couv Les enfants sacrifiés[43011]

7 février 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/01/enfants-sacrifies-image.jpg 499 314 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-02-07 17:25:522022-02-07 17:25:52Les enfants sacrifiés du Covid – N et G Delepine éd Fauves janvier 2022
Actus, Articles, Evénements, Littérature Médicale, Livres, Media, Publications, Une

INFO sortie du livre LES ENFANTS SACRIFIES DU COVID LE 24 JANVIER 22

Couv Les enfants sacrifiés[43011]

 

le 22 janvier 2022

SAUVEZ LES ENFANTS DE L’INJECTION INUTILE ET TOXIQUE

 

Bonjour  à tous

 

Nous avons pour beaucoup compris que la pression de tests aux petits y compris en crèche (!) vise à épuiser les familles et les faire consentir à l’injection souvent toxique.

 

Il est temps de sortir de l’hypnose et de faire échapper enfin les enfants de ce scénario tragique. Nous avons avec le Dr G Delépine tenter de résumer comment les enfants, adolescents et jeunes adultes ont été les SACRIFIES de cette plandémie. Nous espérons que ce petit livre synthétique pourra servir à quelques-uns pour sortir de ce scénario terrible et en aider quelques autres.

 

 

MERCI  de votre lecture, à votre disposition pour réponses aux questions par ce mail ou celui de gerard.delepine@bbox.fr   et merci à tous de votre aide pour sauver les petits, chacun par ses moyens.

 

Les courbes correspondant aux chapitres seront sur notre site  pour ne pas surcharger le livre. (voir article du 23 Janvier 22 sur le bilan sanitaire des pays utilisant les TAP (traitements précoces) versus le tout vaxx.

 

Continuons la résistance avec espoir car les yeux s’ouvrent même sur nos médias..

 

Delépine Les enfants sacrifiés du Covid

 

 

FAUVES

 

Le 24 janvier 2022

 

 

Nicole et Gérard DELÉPINE

Les enfants sacrifiés du Covid

Isolement, masques et vaccins

Essai

 

214 pages – 16 €

 

Le livre

Depuis deux ans se déroule – avec peu d’opposition – le scénario d’une pandémie mis au point par les puissants de ce monde, alimenté par la peur du SARS-CoV-2 et le matraquage quotidien d’un message unique, omniprésent dans tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger. » L’hypnose générale a occulté les dangers des atteintes aux libertés fondamentales imposées par un totalitarisme rampant.

 

Les enfants sont les premières victimes de cette guerre. Le confinement les a isolés du monde et de leurs camarades, remplaçant les échanges humains par des échanges virtuels. Les masques cachent le visage et les émotions d’autrui, le pass leur interdit les activités collectives salvatrices et, plus grave, la vaccination généralisée même aux tout-petits les menace. Cette injection expérimentale est d’autant plus injustifiée qu’ils sont à risque zéro et ne contaminent personne. De plus, elle met en péril leur avenir immédiat et à long terme, avec des effets secondaires connus et inconnus.

 

Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérément ses enfants ? Il est temps d’ouvrir les yeux.

 

 

Les auteurs

Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, et Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, se battent depuis plus de quarante ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.

 

FAUVES

 

 

 

 

 

 

 

Nicole Delépine Pédiatre,ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à Garches APHP

Gérard Délépine chirurgien orthopédiste et cancérologue, diplômé de statistiques médicales

 

Site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

https://t.me/DrDelepine  sur telegram

23 janvier 2022
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/01/enfants-sacrifies-image.jpg 499 314 Delépine https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg Delépine2022-01-23 15:07:162022-01-23 15:17:12INFO sortie du livre LES ENFANTS SACRIFIES DU COVID LE 24 JANVIER 22

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