Les libertés d’opinion et d’expression limitées drastiquement par les censures internationales et nationales

 

 

Depuis le début de la crise covid, les gouvernements n’ont cessé de restreindre, par tous les moyens, la liberté de parole et de diffusion susceptible de démentir leurs propagandes omniprésentes.

La liberté d’expression

Fait partie des droits fondamentaux conquis par la révolution et consacrée depuis par toutes les déclarations des droits fondamentaux. Elle est inscrite dans l’article 11 de la déclaration des Droits de l’Homme de 1789. « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi ». Droit fondamental repris par la déclaration de l’ONU de décembre 1948 « Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit. »

Pour le constitutionnaliste, Jean-Philippe Derosier, « c’est la liberté la plus fondamentale car elle conditionne l’exercice d’autres droits démocratiques. ».

Or depuis deux ans on assiste à une offensive gouvernementale, des médias et des géants d’internet sans précédent contre ce droit fondamental de l’homme qui constitue de plus un moteur fondamental de la connaissance scientifique.

Eloge du doute et des débats

Ce qui sépare la science de la religion est le doute. Les croyants en une religion révélée ignorent le doute, passent leur temps à fourbir le dogme qui est immuable et déclarent hérétique toute interrogation sur celui-ci. Les scientifiques tentent d’organiser de manière logique les faits avérés; ils doutent en permanence de leurs « consensus scientifiques » qu’ils savent éphémères et reconnaissent que les progrès naissent des contradictions entre les théories et les faits avérés. 

Niels Bohr se réjouissait de l’apparition de tout nouveau paradoxe qui constituait pour lui les prémices de nouvelle découverte scientifique. Pour ces raisons, la censure qui vise à supprimer le doute est profondément anti démocratique et aussi fondamentalement anti-scientifique.

Les médias et leurs prétendus « anti-fake news » 

Depuis le début de la crise covid, les médias subventionnées par le gouvernement se sont transformés en agences de diffusion de la vérité gouvernementale en répétant sans cesse les mensonges d’état, en donnant sans limite la parole aux médecins les plus liés aux laboratoires pharmaceutiques,  en n’invitant jamais les spécialistes d’opinion divergente qu’ils discréditent systématiquement. Ils ont en permanence adopté une attitude sectaire anti-scientifique tout en prétendant se référer à la science !

Elles ont créé des cellules pompeusement intitulées de « vérification de l’information » dans lesquelles des non-médecins, et non chercheurs, visiblement incapables comprendre les articles scientifiques en anglais se sont arrogés le droit de décider si une information médicale était juste (= confortant le discours officiel) ou fausse (= complotiste). 

Dans cette activité de propagande mensongère l’agence France presse (le blog Making Of), France info (L’instant Détox), le Monde, Libération (Desintox) et le Parisien se sont particulièrement illustrés. La technique de base est presque toujours la même : après avoir qualifié une information de fausse ou trompeuse, l’auteur discrédite l’auteur de l’information en le qualifiant de « controversé, complotiste, antisémite », n’examine pas les faits avérés concernés, mais cite les opinions de prétendus experts qui confortent le message officiel. Les mercenaires qui se livrent à cette activité recevraient entre 800 et 1000 euros pour chaque pige (passe ?) et le média qui le publie un financement annuel de nos impôts(aide gouvernementale directe au Monde en 2016 : plus de 5M€) et de fonds privés dont ceux de Bill Gates. La confusion entre opinions et faits avérés se répand comme une trainée de poudre, y compris à l’Education nationale. 

La censure des Gafas, Tweeter, Facebook, Linkedin, Instagram,  Google

Tweeter a été l’un des premiers à limiter la liberté de parole en supprimant les comptes de ceux qui ne confortaient pas la doxa officielle. Nous en avons été victimes alors que nous ne faisions que diffuser des faits que nous avions nous même soigneusement vérifiés. 

Facebook limite la diffusion des contenus prétendument « haineux ou contenant des fausses informations » sur le réseau en supprimant les ressources financières des sites qui les diffusent, en incitant les marques à retirer leurs publicités. Des organisations tierces autoproclamées détentrices de « La Vérité » vérifient les informations de nombreux sites et indiquent si celles-ci sont crédibles ou douteuses. Les prétendues « fake news » sont signalées à Facebook, qui bloque alors les publicités réalisées et les posts supposés déviants.

Facebook n’hésite pas à agir comme un intégriste religieux en proclamant fièrement ses injonctions.

 
 

et prétendent que l’hydroxy chloroquine ou l’Ivermectine sont inefficaces sans même prendre en compte les excellents résultats avérés des pays qui les utilisent (en Afrique, en Algérie ou en Inde).

Ou en Inde

Google a structuré un partenariat avec de nombreux médias dans le monde afin de promouvoir un outil collaboratif de “fact-cheking”: “CrossCheck” et a étendu son dispositif aux recherches réalisées sur son propre moteur de recherche. Lors de l’affichage des résultats d’une requête, le moteur de recherche indiquera si les articles ont été vérifiés et à quel point ils « sont fiables ». Pour le moment, le système de fact-checking de Google repose sur l’opinion de sites américains spécialisés comme Politifact, Snopes, ou sur les équipes de fact-checking opérant dans des médias comme le Washington Post qui représentent un des pires créateurs de fausses nouvelles. 

Une des techniques utilisées pour empêcher les internautes de consulter les sites hétérodoxes consiste à leur faire peur en déclarant ces sites dangereux ou « peu surs ». Google a aussi désindexé plus de 55 000 articles, donc pratiquement en a interdit l’accès Internet, ce qui montre incontestablement cette volonté de détruire tout ce qui pourrait s’apparenter à une contestation des pouvoirs en place et de leurs décisions.

Les procès du Conseil de l’Ordre contre la liberté de parole des médecins

Les plaintes contre les professeur Raoult et Perronne [2], les docteurs Nicole Delepine, Denis Agret [3] et de nombreux autres, ont été portées, non pas par des malades qui se seraient plaints de leurs traitements, bien au contraire, mais par les conseils régionaux ou le  Conseil National de l’Ordre pour l’expression de vérités médicales démontrées par les faits avérés qui lui déplaisaient, telles que l’efficacité des traitements précoces ou l’inefficacité du port généralisé du masque, la nocivité des confinements…

Il est invraisemblable que ce Conseil s’arroge le droit de poursuivre des médecins pour des opinions de plus scientifiquement étayées par des faits avérés, alors qu’il ne poursuit presque jamais les médecins de plateau télé qui ne mentionnent pas leurs liens d’intérêts violant ainsi totalement ainsi la loi transparence santé que ce même conseil est chargé d’appliquer.

Le Conseil de l’Ordre a ainsi rétabli le délit d’opinion [4] qui lui paraît constitué dès qu’un médecin dément un élément de propagande gouvernementale, et se comporte donc en grand inquisiteur de la Pensée Unique.

La guerre du gouvernement Macron contre la liberté d’expression des médecins

Une modification de l’Article R. 4127-19-1 du code de la santé publique décrétée par Jean Castex le 24 décembre 2020, (soit quelques jours après la plainte contre Raoult et Cie) interdit aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle [5] rappelée par le conseil de l’ordre . Il stipule que le médecin qui s’exprime «  formule ces informations avec prudence et mesure, en respectant les obligations déontologiques, et se garde de présenter comme des données acquises des hypothèses non encore confirmées. III. – Les communications mentionnées au présent article tiennent compte des recommandations émises par le conseil national de l’ordre. »

Depuis lors, le médecin, ne devrait s’exprimer que s’il conforte les affirmations, même mensongères de l’Etat !

La création d’une commission de certification en juillet 21

Apparemment inquiet des scrupules que pourrait avoir certains membres du Conseil de l’Ordre de sanctionner des praticiens pour s’être simplement exprimés, le gouvernement a créé par l’ordonnance n° 2021-961 du 19 juillet 2021 un nouvel organisme, « la commission de certification » ayant le pouvoir d’évaluer chaque médecin à tout moment de sa carrière, et de l’empêcher d’exercer s’il n’aligne pas ses propos et ses actes avec ceux que décidera le pouvoir politique. Cette mainmise de l’État sur une corporation qui jusque-là jouissait d’une indépendance du pouvoir politique dans l’exercice de son art témoigne une fois de plus de la tyrannie qui s’installe. Ces décisions ne devraient pas faciliter l’attrait pour la profession de médecin, ni résoudre le casse-tête des déserts médicaux,  car conduisant à de nombreuses démissions hospitalières et dépôt de plaques des libéraux.

La censure ultime : l’exclusion du travail des soignants vaccino prudents

L’exclusion des soignants non vaccinés n’a jamais eu pour but de protéger les malades, ni l’hôpital puisqu’elle a été imposée alors qu’il était déjà parfaitement établi que les pseudo vaccins n’empêchent ni d’attraper la maladie, ni de la transmettre. Actuellement des soignants testés positifs et même avec de légers symptômes sont autorisés à travailler dans certains services particulièrement déficitaires. Mais les non injectés restent conduits à la misère et pour certains au suicide.

 Cette insupportable atteinte à la liberté de travailler traduit en réalité la volonté d’empêcher les soignants vaccino prudents d’exprimer leurs doutes et leurs craintes auprès de leurs patients. Initialement très favorables au vaccin dans l’ensemble contre ce « fléau » qu’on leur avait vendu, ils ont été les premiers injectés et victimes rapidement des effets secondaires. Cela en a évidemment refroidi beaucoup et l’interdiction d’en parler les a achevés dans la démoralisation. La plupart des soignants vaccinés (comme les pompiers ou militaires) sont des « malgré nous » contraints d’accepter l’ukase pour continuer à payer leur maison et nourrir leurs enfants. Les suspendus vivent des restaurants du cœur et des aides de l’entourage depuis dix mois.

 Le manque de soignants ainsi créé a aggravé considérablement le naufrage de l’hôpital, en particulier celui des urgences et a augmenté le nombre des déserts médicaux. La surcharge de l’hôpital, le dégout du management, ont conduit à de nombreuses démissions et multiples arrêts de travail prolongés par burn out, aggravant l’effet des suspensions imposées. De nombreux médecins de ville ont cessé leurs activités.

 Mais pour les gouvernants, le contrôle de l’opinion vaut bien ces sacrifices..

Il n’y a plus que les médecins retraités qui peuvent dire des vérités et ne pas se soumettre. Dans un monde tyrannique où la corruption fait loi, l’argent et le pouvoir sont les deux mamelles de ceux qui se considèrent comme des élites.

La guerre du gouvernement Macron contre la liberté d’expression de ses citoyens

La création d’un ministère de la vérité (la commission Gérald Bronner).

En 2015, Gérald Bronner dans le numéro 449 de la revue Pour la science précisait sa définition du complotisme: «Par théorie du complot, il faut entendre simplement une interprétation des faits qui conteste la version officielle. » En nommant l’auteur d’une telle phrase à la tête d’une commission chargée de «formuler des propositions dans les champs de la prévention et de la judiciarisation des entrepreneurs de haine» l’Élysée a fait un choix révélateur. 

Comme l’est aussi la participation à cette commission du chirurgien Guy Valencien dont la probité est mise en doute par sa condamnation le 11 juin 2021 par l’Ordre des médecins pour usage de faux certificats médicaux [6], l’accusation par Irène Frachon d’avoir été l’un des « fers de lance d’une nébuleuse composée de médecins, de professeurs et d’académiciens, qui, depuis des années tentent de minimiser, voire de nier la gravité du drame humain causé par le Mediator » et son rôle de directeur du Centre du don des corps de l’université Descartes, de 2004 à 2014, structure devenue un véritable charnier qui défraye actuellement la chronique [7] ».

La commission propose d’engager la responsabilité civile des internautes qui rediffuseraient de mauvaise foi une nouvelle déclarée fausse selon son avis.

Censure des citoyen européens à la demande de la commission

Suivant à la lettre la proposition d’Ursula Van der Leyen, la Présidente de la Commission européenne (contestée -entre autres- pour son rôle dans la commande de 1 ,3 milliard de doses de Pfizer et dans le scandale du remdesivir de Gilead), le gouvernement français a décidé le 27 février 22 de fermer les télévisions et radio russes RT France et Sputnik sans plus d’explication, ni de procès. Les médias qui ne s’autocensurent pas sont fermés par le gouvernement.

Mais Ursula Van der Leyen vient d’annoncer une nouvelle loi imposant des conditions plus dures aux plateformes numériques, sommées de priver les prétendues sources d» infox » de revenus publicitaires.

Le code précédent (de 2007) reposant sur l’autorégulation aurait donné des résultats insuffisants selon la Commission. L’adhésion au code reste volontaire, mais pour les « très grandes plateformes » (atteignant 45 millions d’utilisateurs dans l’UE), il permet de répondre aux obligations fixées par le règlement sur les services numériques (Digital Services Act, DSA).

La directive européenne, en voie d’adoption, contraint ces plateformes à déployer des efforts pour « réduire les risques » de désinformation et prévoit des amendes pouvant aller jusqu’à 6% de leur chiffre d’affaires mondial.

Plutôt que d’ouvrir un débat démocratique avec les opposants, la commission européenne préfère leur interdire de s’exprimer « pour le bien de la démocratie ». Quand vont-ils brûler les livres déclarés conspirationnistes ?

Les menaces contre la démocratie

C’est la marque des régimes autoritaires d’imposer une pensée unique qu’il est interdit de commenter et encore plus de critiquer. Et les réactions comme celles de Twitter ou Facebook, qui ont osé suspendre le président des États-Unis et lui interdire toute expression sur leurs réseaux, montrent l’orientation que nos sociétés sont dangereusement en train de prendre, bien que tous nos gouvernants et les médias aux ordres nous répètent tous les jours que nous sommes encore en démocratie.

En instaurant la panique, la peur de la maladie, la peur de sortir, la peur de la guerre, la peur du réchauffement climatique, en favorisant la suppression des liens sociaux, en interdisant les échanges de point de vue, les critiques, les discussions, tout débat scientifique et en décrédibilisant ceux qui osent tenter de faire baisser cette peur, le gouvernement a mis quasiment les Français en état d’hypnose permettant leur soumission aux injonctions gouvernementales même manifestement ridicules (ne pas sortir seul en forêt ou sur la plage, ne pas faire du bateau en solitaire). Ils ont permis des violations injustifiées des droits des citoyens en limitant leurs libertés fondamentales dont celles de circuler, de se réunir, de travailler, de s’exprimer, d’exercer son culte, de manifester, de voir sa famille, d’enterrer dignement ses morts.

Les libertés, la démocratie ne persistent que tant que nous les défendons. La crise du Covid révèle la fragilité de notre démocratie mise à bas sous le prétexte d’une menace sanitaire supposée sans qu’une opposition politique ne se soit clairement exprimée en France à l’exception de Florian Philippot et plus récemment de Nicolas Dupont Aignan et Francois Asselineau.

Pourtant dès le 21 avril 2020 l’éditorial du Dagens Nyheter mettait les Suédois en garde: « si on abandonne une partie de la démocratie maintenant, on ne sait jamais vraiment quand on la récupérera » faisant preuve d’un courage qu’aucun journal français n’a montré à l’exception de France Soir.

Rajat Khosla, d’Amnesty International a déclaré : “Au fil de la pandémie, les gouvernements ont lancé une offensive sans précédent contre la liberté d’expression, restreignant fortement les droits des populations. Les moyens de communication sont pris pour cibles, les réseaux sociaux censurés et des médias fermés, ce qui a de graves répercussions sur la capacité des citoyens à accéder à des informations vitales sur la manière de réagir face au COVID-19”. 

« Il est clair que les restrictions liées à la liberté d’expression ne sont pas seulement des mesures extraordinaires circonscrites dans le temps pour faire face à une crise ponctuelle. Elles s’inscrivent dans le cadre de l’offensive contre les droits humains que l’on voit à l’œuvre dans le monde depuis quelques années – les gouvernements ayant trouvé une nouvelle excuse pour intensifier leur attaque contre la société civile:”

Le 16 mars 2020 même l’ONU s’est inquiété des menaces contre la démocratie dans un communiqué commun des experts indépendants des droits de l’homme exhortant les États à éviter d’outrepasser les mesures sécuritaires dans leur réponse à l’épidémie de coronavirus et leur ont rappelé que le recours aux pouvoirs d’exception ne doit pas être utilisé pour étouffer la dissidence.  « Les États ne doivent pas abuser des mesures d’urgence pour supprimer les droits humains ».

Des évêques nous donnent de l’espoir :

Nous sommes tous appelés à évaluer les faits actuels conformément à l’enseignement de l’Évangile. Cela implique de choisir son camp : avec le Christ, ou contre le Christ. Ne soyons pas intimidés ou effrayés par ceux qui nous font croire que nous sommes une minorité : le Bien est beaucoup plus répandu et puissant que ce que le monde veut nous faire croire. Nous nous trouvons en train de lutter contre un ennemi invisible, qui sépare les citoyens entre eux, les enfants des parents, les petits-enfants des grands-parents, les fidèles de leurs pasteurs, les étudiants des enseignants, les clients des vendeurs. Ne permettons pas que des siècles de civilisation chrétienne soient anéantis sous le prétexte d’un virus, en laissant s’établir une tyrannie technologique haineuse dans laquelle des personnes anonymes et sans visage peuvent décider du sort du monde en nous confinant dans une réalité virtuelle. « Les portes des Enfers ne prévaudront pas » (Mt 16, 18) ».

« Le ventre est encore fécond d’où nait la bête immonde » (Bertolt Brecht)

Cette idéologie totalitaire, qui limite drastiquement le droit d’expression et sépare les citoyens selon leur volonté de faire respecter l’intégrité de leur corps, fait résurgence d’une époque que l’on croyait révolue, mais qui renaît dans les esprits allumés de l’État-Macron et de l’UE avec les pass et les obligations vaccinales.

A la mi-juin 2022, alors que l’épidémie ne pose plus de problème sanitaire réel avec seulement 72 malades Covid pour 100000 habitants. 

7 944 patients hospitalisés avec Covid-19, 1027 personnes sont en réanimation ( le pic du 8 avril 2020 atteignait 7.019 )et un nombre de décès au plus bas.  Mais les médias recommencent  après les élections, avec le gouvernement et le nouveau ministre de la Santé à affoler la population sans diffuser l’information majeure : les traitements précoces sont efficaces et vos médecins habilités à les prescrire. 

 Le nouveau projet de loi qui sera examiné à l’Assemblée nationale, puis au Sénat vise pourtant à prolonger la suppression de droits élémentaires des citoyens. « Réglementer ou interdire la circulation des personnes et des véhicules », ainsi que « l’accès aux moyens de transport et les conditions de leur usage » avec le port du masque conseillé alors qu’aucune preuve scientifique de son utilité n’existe.

Et le fichage de la population qui n’a jamais permis de limiter l’épidémie risque de continuer si la loi est adoptée, avec le maintien des fichiers informatiques Si-DEP (les résultats des tests de dépistage) et Si-VAC (le schéma vaccinal) jusqu’au 31 mars 2023.

Un deuxième article donne la possibilité au gouvernement sans consulter le parlement (via un décret du premier ministre Mme Borne ) de rétablir un pass sanitaire aux frontières, pour les déplacements entre l’hexagone, la Corse et les territoires d’Outre-mer. Ce pass sanitaire concernerait tous les voyageurs de 12 ans et plus, ainsi que les personnels des services de transport concernés.

Or en France comme ailleurs les pass ont partout échoué à limiter l’infection

Les oppositions doivent jouer leur rôle de contrôle permanent de l’action gouvernementale en refusant cette loi qui les dépossède de leur rôle constitutionnel. Ne pas le faire serait trahir leurs électeurs.

Dr Gérard Delépine

Notes :

1 https://ripostelaique.com/oui-mme-kadri-une-hecatombe-post-vaccinale-a-bien-eu-lieu-en-grande-bretagne.html 

2 Covid-19 : le conseil de l’Ordre des médecins porte plainte contre les professeurs Perronne et Raoult (lefigaro.fr)  le CNOM a décidé le 10 décembre de porter plainte contre six médecins, dont plusieurs ont été très présents dans les médias depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Il s’agit des professeurs Raoult, Perronne et Joyeux, ainsi que des docteurs Delépine, Zeller et Rezeau-Frantz. 

3 INFO MIDI LIBRE Montpellier : trois ans d’interdiction d’exercer pour le médecin antivax Denis Agret – Profession Gendarme (profession-gendarme.com) 

4 https://nouveau-monde.ca/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion/ 

5 https://www.francesoir.fr/amp/article/opinions-tribunes/delit-de-blaspheme-medical-sous-controle-inquisiteur-du-conseil-de-lordre-des?__twitter_impression=true 

6 https://www.marianne.net/societe/sante/le-pr-guy-vallancien-lurologue-des-stars-sanctionne-par-lordre-des-medecins 

7 Charnier de Descartes, révélations sur le business de l’innommable 7 juillet 2022 https://fr.news.yahoo.com/charnier-descartes-r%C3%A9v%C3%A9lations-business-linnommable-155237167.html 


 

Exigeons son arrêt immédiat et définitif pour tous !

10/07/2022 (2022-07-10)

Et si l’ annulation du concert d’Amsterdam de Mick Jaggers  en juin 22 pour un covid (malgré sa malveillance pour les non vax  et ses injections répétées),   avait pu réveiller les plus âgés, et la terrible noyade de la nageuse artistique coulant au fond de sa piscine en compétition mondiale et sauvée in extremis réveillait les plus jeunes ?

Les puissants ne pourraient pas poursuivre ce massacre et en particulier ne pas sacrifier nos enfants dès la rentrée (qui ne risquent RIEN du covid et ne transmettent pas le virus)Les puissants ne pourraient pas poursuivre ce massacre et en particulier ne pas sacrifier nos enfants dès la rentrée (qui ne risquent RIEN du covid et ne transmettent pas le virus)[1] en imposant de fait l’injection. en imposant de fait l’injection.

Une seule solution, informer encore et encore et tenter de faire prendre conscience à nos proches et amis que les symptômes qu’ils présentent ne sont pas des « coïncidences » (troubles menstruels, AVC, sensations neurologiques bizarres, fatigue extrême, flambée du cancer du papa, Alzheimer précoce, etc.) mais bien des effets secondaires de l’injection.

Et surtout qu’ils regardent à deux fois avant la troisième ou quatrième dose dont la toxicité globale est supérieure. L’accumulation des doses aggrave les effets du poison. Et il y a certainement beaucoup moins de placebos que dans la première ou deuxième dose…

Une vidéo récente récapitule des décès ou souffrances majeures de célébritésPlus efficace que de longs discours ? Diffusons-la !

Des célébrités souffrent d’effets indésirables et meurent après avoir été injectées (odysee.com)

Il faut la voir avec courage, car cette énumération est terrible et la diffuser largement en tentant de joindre des naïfs, vaccinés ou non. Nous sommes tous dans le même bateau. Plusieurs illustrations en sont extraites. Plus que de longs articles savants sur les raisons de cette hécatombe liée aux injections expérimentales à ARN messager qui ne touchent que certains d’entre nous, la diffusion de ces FAITS AVÉRÉS ouvrira peut-être d’autres yeux et ainsi de suite…

Des concerts annulés

Après s’être fait vacciner, Jane Birkin, (AVC), Mick Jagger (covid post vaccinal), Céline Dion (graves troubles neurologiques), Justin Bieber (paralysie faciale)[2] reportent leurs concerts, ainsi que de nombreux autres artistes.

D’autres meurent…

Des compétitions interrompues

Emma Raducanu avait dû abandonner Wimbledon en 21. Comment n’avaient-ils pas tous compris ce à quoi ils s’exposaient et que Djokovic mettait en lumière par son refus inébranlable de s’injecter le poison.

En 2022 des tennismen forcés d’abandonner en pleine compétition découvrent l’ampleur de la toxicité des injections. Raphael Nadal arrive à Wimbledon avec des sensations nerveuses étranges en juillet 2022.

Footballers, basketteurs, nageurs, hockeyeurs, entraîneurs, meurent brutalement sur le terrain ou sont obligés d’abandonner leur carrière et passion.

La nageuse artistique Anita Alvarez, double championne olympique a perdu connaissance après avoir senti des engourdissements dans les doigts, puis tout est devenu noir. Elle est restée sous l’eau deux minutes et a pu être réanimée, car sa coach a réussi à la remonter à temps.

D’autres voient leurs pathologies comme des cancers, s’aggraver et flamber

Certains meurent de cancers aggravés par la vaccination ou développés rapidement à sa suite, comme cette belle gymnaste de 16 ans.

Des journalistes n’échappent pas aux complications, voire au décès en direct

Énormément de sites ou de pages Telegram, etc. recensent ces FAITS AVÉRÉS

Et si vous voulez d’autres témoignages, ils s’accumulent entre autres sur COVID VACCINE INJURIES

Ou sur Telegram : https://t.me/covidvaccineinjuriesdotcom

Et en français :

  • 💉 #29ans #ErranceMedicale #EffetsSecondaires #VaccinsCovid19 #Covid19 #Temoignage #VVC19 #Victime
  • 🗣 #Victime11 — Témoignage vidéo d’effets secondaires des vaccins Covid-19
  • « 📣 Pour que les victimes soient reconnues, pour que les enfants ne se fassent pas vacciner, pour ne pas être contraint à recevoir une dose de plus, toi aussi témoignes des effets secondaires dont tu es victime en nous envoyant un mail à :
  • 📧 victimes-vaccins-covid19@proton.me
  • Tu peux témoigner anonymement ou à visage découvert 👍 Nous avons besoin de toi 🙂
  • ✅ Pour contourner la censure, rejoins-nous sur nos Chaînes Odyssée et Telegram 🚀
  • 🔗 Odysée : https://odysee.com/@VVC-19
  • 🔗 Télégram : https://t.me/VVC_19
  • Pour protéger tes proches qui pensent que ces vaccins sont sûrs, partage-leur ce témoignage 🔥 »
  • Ensemble nous sommes plus fort 💪

Ne regardez pas ailleurs : la vie de vos proches, amis, relations en dépend, même s’ils ont déjà reçu l’injection. Chaque dose aggrave le risque actuel et à long terme. Le sort de l’Humanité dépend de nous tous. INFORMONS.

 

Quelques chiffres récents

 

 

  1. [1] Les enfants sacrifiés du covid : génération meurtrie à travers isolement, masque et vax extorqué | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation[]
  2. [2] https://www.globalizacion.ca/los-tragicos-destinos-de-estrellas-mundiales-como-celine-dion-y-justin-bieber-abriran-los-ojos-de-sus-fans/
    https://www.globalresearch.ca/will-the-tragic-fate-of-world-stars-like-celine-dion-and-justin-bieber-open-the-eyes-of-their-fans-impacts-of-covid-19-vaccine/5783700
    Justin Bieber & Céline Dion victimes du « vaccin » Covid ? avec Michel Chossudovsky et Nicole Delépine | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation[]

Lettre ouverte à Mr Le Député Fabien Roussel et à ses collègues : le pseudovaccin antiCovid est dangereux et inutile, il faut l’interdire

09/07/2022 (2022-07-09)

Par les Dr Gérard Delépine et Nicole Delépine

Non, Monsieur le Député, le pseudo vaccin ne réduit ni le risque de porter le virus (ce qui n’a aucune incidence), ni les contaminations, ni les formes graves. Il faut écouter les vrais scientifiques, ceux qui ne sont pas liés aux laboratoires pharmaceutiques et qui basent leurs conclusions sur les seuls faits établis au lieu de croire en des simulations biaisées.

Ce graphique publié par l’OMS sur https://Covid19.who.int/ montre que les vaccinations n’ont pas réduit les contaminations, mais ont au contraire été suivies par une accélération de l’épidémie :

D’ailleurs, comme nous, vous devez connaître parmi vos proches de nombreuses personnes totalement vaccinées et qui ont été malades du Covid parfois même à plusieurs reprises.

De plus, cette injection expérimentale est à l’origine de nombreux effets secondaires, dont des décès rapides, des maladies neurologiques comme certaines maladies de la vache folle, de perturbations hormonales majeures et de risque d’atteinte de la fertilité à plus ou moins long terme. La diminution de l’immunité personnelle qui s’aggrave avec les doses successives entraîne une fragilité des personnes sources d’infections répétées et d’augmentation du nombre de cancers.

Les collègues médecins du monde entier, dont de grands scientifiques et chercheurs, multiplient les appels pour un moratoire mondial auxquels vous ne pourrez rester indifférent, si comme nous le pensons, vous ne voulez que le bien de l’Humanité et singulièrement des électeurs qui vous ont fait confiance.

Votre tweet[1] témoigne d’une désinformation dont vous avez été victime comme tant d’autres et que nous tentons de combattre comme beaucoup en publiant les FAITS AVÉRÉS, malgré la censure qui rend leur accès difficile et malgré la propagande permanente répétant les opinions de médecins trop liés aux laboratoires pharmaceutiques.

La réponse d’Antoine Léaument à votre tweet est justifiée. Espérons qu’il sera entendu :

« J’ai interpellé aujourd’hui le ministre de la Santé. Je lui ai dit qu’il FAUT réintégrer les soignants suspendus. Puisqu’être vacciné n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus, à quoi bon continuer avec cette absurdité ? »

@ALeaument · 5 juil.

Quelques rappels parmi les démonstrations quotidiennes de l’inefficacité des pseudo vaccins :

La vaccination n’a pas évité aux Péruviens de mourir de Covid

La propagande vaccinale prétend que la vaccination protégerait des formes graves et de la mort. Mais à la lumière des chiffres de l’OMS, l’exemple du Pérou montre qu’une telle affirmation est mensongère. La mortalité Covid cumulée a doublé au Pérou depuis la vaccination qui a pourtant concerné plus de 85 % des habitants, dont plus de 95 % des personnes à risques. Au 15 juin 2022, le nombre de morts attribuées au Covid dépasse les 200 000, infligeant à ce pays le plus vacciné d’Amérique du Sud le taux de mortalité le plus élevé de tous les pays du monde (6700 par million).

À l’opposé, les pays africains qui ont traité précocement par antipaludéens et très peu vacciné ont quasi complètement évité les formes graves et les morts Covid. Leurs mortalités cumulées ne dépassent pas les 200 par million !

Mais le vax inutile est aussi dangereux

Il augmente les fausses couches de façon drastique tant en UE comme la dia en témoigne qu’aux USA :

Les cancers augmentent de façon spectaculaire, comme les médecins militaires américains l’ont signalé depuis des mois demandant eux aussi un arrêt de ces injections expérimentales :

Mr Le Député, ne prenez pas le risque d’envoyer vos concitoyens à l’injection de trop, car vous en supporteriez au moins la responsabilité morale. L’histoire tragique de Céline Dion et de Justin Bieber, entre autres vedettes qui avaient exigé la preuve des injections pour assister à leur concert, est terrible.[2]

« Céline Dion et Justin Bieber, mêmes destins tragiques après injections anti-Covid. Quelle tristesse, quelle erreur, quelle aberration ! Comment des artistes, loin de la vraie médecine et probablement trop proches des délires journalistiques imposés par les labos avides de vendre, peuvent-ils entrer dans cette manipulation au point finalement d’y laisser leur vie, en tous cas d’ores et déjà leur vie d’artiste ?

Le jeune Justin Bieber avait, comme Céline, demandé à ses spectateurs en concert une triple vaccination antiCovid. Rappelons qu’il s’agit d’une pop star de 28 ans — qui compte 539,2 millions de followers sur les réseaux sociaux. On imagine la capacité d’influence de ces stars elles-mêmes manipulées par Big Pharma et/ou affidés.

Il avait déjà vécu une alerte concernant les injections, après les complications de sa femme Hailey qui malgré son jeune âge avait souffert d’un accident vasculaire cérébral possiblement post vaccinal. » (…)

Dre Nicole Delépine
Extrait de l’article : Les destins tragiques de stars mondiales comme Céline Dion et Justin Bieber vont-ils ouvrir les yeux de leurs fans ? Mondialisation.ca, le 12 juin 2022.

Et que direz-vous de la hausse de la mortalité globale constatée et publiée par l’Office National des Statistiques anglais beaucoup plus transparent que nous ?

Cette augmentation de la mortalité hors Covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse globale d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancer.

Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)[3], aux USA[4] en Allemagne[5][6] et plus globalement en Europe[7].

Cette surmortalité des vaccinés, tant Covid que non Covid, apparaissant quelques mois après les injections nécessite en urgence des analyses approfondies et, en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid.

La négation de ce paradoxe prépare un scandale bien plus grave que celui du médiator, du Vioxx, ou du sang contaminé…

Lisez l’appel du conseil mondial de la santé :

Vaccins antiCovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)


 

 

  1. [1] « @AvecRoussel
    Le vaccin fonctionne. Le vaccin réduit le risque de porter le virus. Le vaccin permet de réduire la contagiosité. Il faut écouter les scientifiques ». sous réserve que ce tweet soit authentique.[]
  2. [2] Entretien avec le Pr Chossudovsky : les stars qui ont promu le vax et qui en sont victimes devraient aider à la campagne pour stopper cette injection dangereuse — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  3. [3] https://www.zinfos974.com/Mortalite-38-par-rapport-a-2019-la-plus-forte-augmentation-de-France_a184422.html[]
  4. [4] https://resistance-mondiale.com/un-rapport-de-la-fda-revele-que-la-mortalite-toutes-causes-confondues-est-plus-elevee-chez-les-vaccines
    https://www.epochtimes.fr/pourquoi-le-nombre-de-deces-a-t-il-augmente-de-40-aux-etats-unis-par-rapport-a-lannee-derniere-1932664.html
    Il y a eu une augmentation inattendue de 40 % des « décès toutes causes » en 2021 :
    https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/[]
  5. [5] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/22/des-medecins-allemands-confirment-a-nouveau-la-correlation-entre-vaccin-et-surmortalite/[]
  6. [6] L’expérience anglaise démontre l’augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés antiCovid — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  7. [7] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/19/explosion-de-la-surmortalite-hors-Covid-19-en-europe/[]

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

 

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé

16/06/2022 (2022-06-16)

Par Nicole Delépine

Rapport de pharmacovigilance du Conseil Mondial de la Santé sur la sécurité des injections anticovid : ce signal d’alerte fort doit faire stopper les injections

Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org)[1]

Nous rapportons ici le travail du Conseil Mondial de la Santé qui s’est constitué en 2021 pour combattre la censure et le manque d’informations des citoyens concernant les injections géniques.

QUE REPRÉSENTE LE CONSEIL MONDIAL DE LA SANTÉ ?

C’est une organisation à but non lucratif pour le peuple, informée et financée par le peuple, coalition mondiale d’organisations axées sur la santé et de groupes de la société civile, plus de 130 organisations dans 40 pays, qui cherche à élargir les connaissances en santé publique et la création de sens grâce à la science et à la sagesse partagée.

Ils s’engagent à protéger les droits de l’homme et le libre arbitre tout en donnant aux gens les moyens de prendre le contrôle de leur santé et de leur bien-être. Fondé en 2021, le Conseil mondial de la santé est une initiative à but non lucratif soutenue par EbMCsquared CiC, organisation d’intérêt communautaire.[2]

« La liberté est le droit de dire, de penser et de faire ce que vous voulez faire sans être limité. Tout le monde a ce droit humain inné. Il est de notre responsabilité de l’utiliser à bon escient ».[3]

RECHERCHE DE PREUVES SUR LA SÉCURITÉ OU NON DES VAX ANTICOVID

Ce rapport a été conçu pour voir s’il existe ou non suffisamment de preuves sur les bases de données de l’OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellowcard pour établir un signal de sécurité sur les vaccins Covid-19.

« Dans des circonstances ordinaires, les essais de phase 3 et 4 établiraient l’innocuité et l’efficacité d’un produit pharmaceutique. Cependant, ces essais ne sont pas terminés pour les produits Covid-19. Les produits ont été administrés à une large population qui n’est pas surveillée par les essais cliniques. Il est donc nécessaire d’examiner toutes les preuves disponibles pour établir l’innocuité de ces produits et leur impact sur ceux qui ont pris le produit, mais qui ne sont pas surveillés par les essais cliniques. »

Le développement d’un vaccin contre le Covid-19 dans le cadre de l’opération Warp Speed a été précipité. Traditionnellement, la mise au point d’un vaccin prend 10 ans ou plus avant la production et la distribution à grande échelle à une large population. Avec les vaccins contre le Covid-19, le produit est passé d’essais précliniques exploratoires à une fabrication à grande échelle en seulement 10 mois. Les données sur leur sécurité sont incomplètes. Ce rapport tend à combler le vide sur les informations post injection.

Il s’agit d’un rapport d’information créé par le Conseil mondial de la santé pour aider les professionnels de la santé, les scientifiques et les citoyens à prendre des décisions éclairées sur les vaccins contre le Covid-19. La sécurité des produits Covid-19 n’a pas été établie à l’issue des essais cliniques de phase 3 et de phase 4. Les produits Covid-19 n’ont pas l’efficacité des vaccins utilisés jusqu’ici. (ils n’empêchent pas une personne de contracter le virus, ni de tomber malade, ni de propager la maladie)

Les produits Covid-19 sont utilisés sur des milliards de personnes, y compris des enfants, alors que la phase d’essai clinique n’est pas terminée. La grande majorité de ces personnes injectées ne sont pas surveillées.

« Les données d’essai de 6 mois de Pfizer (qui faisaient suite aux données préliminaires d’essai originales sur lesquelles les produits ont été autorisés) n’ont pas montré de réduction de la mortalité toutes causes confondues dans le groupe vacciné. Cela pourrait indiquer que tout bénéfice obtenu grâce à la vaccination peut être annulé par des événements indésirables, y compris le décès ».

 

Les vaccins contre le Covid-19 font l’objet d’essais de phase 3 et leur innocuité et leur efficacité n’ont pas encore été établies.

ABSENCE DE SUIVI DES INJECTÉS, AU MOINS OFFICIELLEMENT

La majorité de ceux qui ont reçu l’injection (plusieurs milliards de personnes) ne sont pas surveillés par les vaccinateurs, (du moins à leur connaissance). Quid du suivi via les codes-barres injectés ? Mystère.

Dans ce rapport, le WCH vise à utiliser les bases de données de pharmacovigilance établies pour détecter s’il existe un signal de sécurité préoccupant chez les « vaccinés ». Ce rapport rassemble les données sur les événements indésirables sur les vaccins contre la COVID-19 à partir des bases de données de pharmacovigilance internationales.

Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 recueillies dans chaque base de données de pharmacovigilance sont comparées aux données sur les événements indésirables de produits pharmacologiques similaires (autres vaccins courants) dans les mêmes bases de données, dans la mesure du possible. Ce rapport examine les paramètres par lesquels d’autres vaccins et médicaments ont été rappelés dans le passé.

Méthode

Les auteurs ont examiné chaque base de données — OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card Scheme — et documenté combien d’événements indésirables étaient liés aux vaccins Covid-19.

Rapports d’événements indésirables

Les données de pharmacovigilance sont généralement recueillies par le biais de la déclaration des événements indésirables. En règle générale, les rapports d’événements indésirables sont établis par :

  • Une personne qui a subi un événement indésirable
  • Un professionnel de la santé qui soupçonne un événement indésirable chez un patient
  • Organisations qui créent des rapports à partir de programmes de soutien aux patients
  • Sociétés pharmaceutiques sous forme d’études cliniques ou post-commercialisation
  • Revues de littérature
  • Reportages dans les médias
  • Études
  • Les données de pharmacovigilance peuvent également être recueillies dans le cadre d’autres études, notamment :
    • Études rétrospectives
    • Études de cohorte
    • Études cliniques
    • Études post-commercialisation
    • Revues de littérature

Les données de pharmacovigilance établissent des signaux

Les rapports établis sur les bases de données de pharmacovigilance n’établissent pas le lien de causalité. Une relation causale possible établie par ce processus est connue sous le nom de « signal ». Si un signal est détecté, une enquête plus approfondie est nécessaire.

Bases de données sur la déclaration des effets indésirables ou des réactions vaccinales

Les vaccins contre le Covid-19 sont un nouveau type de thérapie. Il est particulièrement important de signaler les effets secondaires graves. Selon l’endroit où vous vous trouvez dans le monde, il existe différentes bases de données mises en place pour enregistrer les réactions indésirables aux médicaments.[4]

OMS VigiAccess

Lancé en 2015 par l’OMS, VigiAccess base de données internationales des événements indésirables potentiels signalés liés aux médicaments, pour « analyser les rapports de dommages présumés causés par les médicaments, trouver des “signaux” de réactions indésirables potentielles aux médicaments ». Créés en 1968, 170 pays collaborent pour surveiller et identifier les dommages causés par les médicaments. Cette collaboration couvre environ 99 % de la population mondiale.

Les rapports sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 sur VigiAccess englobent tous les vaccins Covid-19

Vaccin Nombre d’effets indésirables Pourcentage d’enfants de 1 an qui ont été vaccinés dans le monde depuis
Vaccin contre la tuberculose 37 335 88 % 1968
Vaccin contre la poliomyélite 123 732 86 % 1968
Vaccin contre la diphtérie 1914 85 % 1979
Vaccin contre le tétanos 15 381 85 % 1968
Vaccin contre la coqueluche 2259 85 % 1972
Vaccin contre l’hépatite B 106 761 85 % 1984
H. Vaccin contre la grippe B 90 044 72 % 1986
Vaccin contre la rougeole 6231 71 % 1968
Vaccin contre la rubéole 2640 71 % 1971
Vaccin Contre le Covid-19 3 777 652 65,7 %*** 2020

Pour les vaccins courants qui ont été distribués à la grande majorité de la population mondiale, gamme de rapports d’événements indésirables au nombre de 2000 à 100 000 sur VigiAccess.

Pour les vaccins Covid-19, qui ont actuellement été administrés à environ 65 % de la population mondiale, il y a plus de 3,7 millions de rapports d’événements indésirables sur VigiAccess.

VigiAccess montre un nombre d’événements indésirables sans précédent dans la base de données de tout autre produit pharmaceutique ou vaccin.

Dans le tableau suivant, 37 335 événements indésirables sont rapportés après environ 4 milliards de vaccins contre la tuberculose (moins de 1/100000) et plus de 3,7 millions de rapports provenant d’environ 5,1 milliards de personnes ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 (environ 72/100000).

En corrigeant la différence dans le nombre de personnes qui ont reçu les deux vaccins, on constate une augmentation de 77 fois du nombre d’événements indésirables signalés à VigiAccess pour le vaccin Covid-19 par rapport à celui contre la tuberculose

Compte tenu de l’objectif déclaré de VigiAccess — analyser les rapports de dommages présumés causés par des médicaments, trouver des « signaux » d’effets indésirables potentiels des médicaments — une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part de l’Organisation mondiale de la santé.

CDC VAERS

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a été créé en 1990 et cogéré par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des USA et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis : système conçu pour être un système d’alerte précoce pour les problèmes de sécurité liés aux vaccins homologués aux États-Unis. VAERS saisit et analyse les rapports d’événements indésirables qui se produisent après une vaccination.

Toute personne qui a subi un événement indésirable à la suite d’un vaccin peut le signaler au VAERS. En outre, les professionnels de la santé sont tenus de signaler les événements prescrits qui se produisent chez leurs patients après la vaccination, et les fabricants de vaccins sont tenus de signaler tous les événements indésirables qui sont portés à leur attention. Il s’agit d’un système de déclaration qui repose sur les individus pour s’auto-déclarer ou sur les fournisseurs de soins de santé pour faire rapport en leur nom. C’est une infraction fédérale aux États-Unis de soumettre un faux rapport VAERS

Les rapports VAERS recensent les événements indésirables de 1990 à nos jours. Les données sur les vaccins Covid-19 sur VAERS englobent les vaccins Moderna, Pfizer et Jansen depuis leur autorisation de mise sur le marché.

Données VAERS : Pourcentage du nombre total de déclarations d’événements indésirables par type de vaccin[5].Plus de 50 % du total des rapports d’événements indésirables faits sur VAERS, c’est-à-dire les rapports faits pour TOUS les vaccins depuis 1990, sont attribués aux vaccins COVID-19.

À partir de 2020 et jusqu’en 2022, nous assistons à une augmentation spectaculaire et sans précédent des décès signalés au VAERS. Actuellement, sur les plus de 37 000 décès signalés au VAERS depuis 1990, 27 968 sont liés aux produits Covid-19. Un décès à proximité d’un vaccin indique une relation causale plus probable. Or la grande majorité des rapports sont faits dans les 3 jours suivant l’administration du vaccin.

Rapports VAERS Covid-19 par âge

https://worldcouncilforhealth.org/wp-content/uploads/2022/06/2022-05-25-3.png

https://wonder.cdc.gov/controller/datarequest/D8;jsessionid=F9E61FE2A2B457AD46D5FC21F667

ALERTE CONCERNANT LES ENFANTS

Il y a 209 rapports d’événements indésirables sur VAERS pour les enfants de moins de 2 ans.

Ces vaccins n’ont pas été autorisés pour ces groupes d’âge. Il y a 1499 rapports supplémentaires dans le groupe des 2 à 5 ans, dont beaucoup concernent probablement des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé. Celles-ci peuvent être liées à une exposition au produit in utero, par l’allaitement ou à l’administration à des enfants pour lesquels le produit n’est pas autorisé.

Les données du VAERS montrent une proportion écrasante d’événements indésirables liés au vaccin Covid-19, plus de 50 % du total des rapports depuis 1990 étant attribués au vaccin.

Nous constatons une différence de 10 fois dans le nombre de rapports d’événements indésirables pour le vaccin ROR et le vaccin Covid-19. En outre, il y a une augmentation de 169 fois des décès signalés au VAERS après la vaccination contre le Covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe et une augmentation de 56 fois des rapports d’événements indésirables sur le VAERS après la vaccination covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe.

La plupart des décès et des événements indésirables sont survenus quelques jours après la vaccination, ce qui rend une relation de cause à effet plus probable. Étant donné que les vaccins contre le Covid-19 sont nouveaux et sont encore en cours d’essais cliniques, les données VAERS sont suffisantes pour établir un signal de sécurité préoccupant.

Les rapports sur les VAERS qui se sont produits chez les enfants de groupes d’âge qui n’ont pas été autorisés à recevoir le vaccin sont extrêmement préoccupants. Cela indique la possibilité d’événements indésirables obtenus in utero, de l’allaitement ou de l’administration du vaccin à des groupes d’âge pour lesquels il n’a pas été autorisé.

Compte tenu des objectifs énoncés par le VAERS — détecter les événements indésirables nouveaux, inhabituels ou rares, évaluer l’innocuité des vaccins nouvellement homologués et fournir un système national de surveillance de l’innocuité qui s’étend à l’ensemble de la population pour répondre aux urgences de santé publique, telles que les programmes de vaccination contre la grippe pandémique à grande échelle — une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part du CDC et de la FDA.

EudraVigilance

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés dans EudraVigilance est le suivant :

  • Vaccin Moderna – 294 772 ;
  • Vaccin Pfizer-BioNTech (Tozinameran) – 956 913 ;
  • Vaccin Astrazeneca – 488 769 ;
  • Vaccin Janssen – 59 751 ;
  • Vaccin Novavax — 756.

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés pour tous les vaccins Covid-19 sur EudraVigilance est supérieur à 1,8 million.

Comme dans le VAERS, plus d’un millier de cas ont été signalés dans la catégorie des 0 à 2 ans, un groupe d’âge pour lequel les vaccins ne sont pas autorisés. Cela indique potentiellement que les nourrissons et les enfants subissent des événements indésirables liés à l’exposition in utero, à l’allaitement maternel et/ou administrés à des personnes pour lesquelles les produits ne sont pas autorisés.

Le nombre total de personnes vaccinées dans les pays de l’UE/EEE est de 341 628 772, soit environ 75,4 % de la population.

En 2018, environ 90 % des enfants européens ont été vaccinés contre la rougeole dans le cadre du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Environ 90 % des Européens ont été vaccinés contre la rougeole. Sur les quelque 673,2 millions de personnes qui ont reçu le vaccin contre la rougeole en Europe, EudraVigilance a reçu un total de 48 913 rapports d’événements indésirables sur EudraVigilance.

Environ 341 millions d’Européens ont été vaccinés contre le Covid-19. Parmi ceux-ci, 1,8 million de rapports d’événements indésirables ont été effectués sur EudraVigilance.

Il y a une augmentation de plus de 70 fois du nombre d’événements indésirables individuels signalés à EudraVigilance pour le vaccin Covid-19.

Étant donné que les vaccins Covid-19 sont en cours d’essais cliniques, les données d’EudraVigilance sont suffisantes pour établir un signal de sécurité alarmant pour ces produits.

Les plus de 1000 rapports d’événements indésirables survenus chez des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé indiquent la nécessité d’une action immédiate et urgente.

SYSTÈME DE CARTON JAUNE DU ROYAUME-UNI

Les rapports sont faits au programme de carton jaune volontairement par les patients, les parents ou les soignants et par les professionnels de la santé. Les fabricants sont légalement tenus de signaler les problèmes liés aux produits de santé à la MHRA.

Au Royaume-Uni, plus de 53 millions de personnes ont reçu au moins une dose du vaccin contre le Covid-19. Le système britannique de carton jaune documente actuellement plus de 450 000 rapports d’effets indésirables.

Les données sur les cartes jaunes pour d’autres vaccins ne sont actuellement pas disponibles sur le site Web de la carte jaune. Cependant, le paracétamol est l’un des médicaments les plus couramment utilisés au Royaume-Uni. Des millions de personnes au Royaume-Uni ont pris ce médicament pendant plusieurs décennies. Le rapport ci-dessus montre 25 158 réactions et 585 décès associés à son utilisation depuis 1964. Le programme de carton jaune affiche plus de 450 000 rapports de carton jaune liés aux vaccins Covid-19 — une action immédiate et urgente est nécessaire.

SYNTHÈSE

Nombre et types d’événements indésirables signalés sur l’ensemble des bases de données[6]

Leur gravité varie de mineure telle que la douleur au site d’injection à des événements majeurs comme l’arrêt cardiaque, les accidents vasculaires cérébraux, la myocardite et la mort.

Dans VigiAccess, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 1 500 000
  • Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif — ~ 1 000 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 691 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 477 000
  • Troubles vasculaires — ~193 000

Dans EudraVigilance

  • Troubles du système nerveux — ~ 746 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 543 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 344 000
  • Infections et infestations — ~ 220 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 213 000

Dans le système de carton jaune du Royaume-Uni, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 285 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 175 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 135 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 101 000
  • Troubles du système reproducteur et du sein — ~ 57 000

Résultats courants des effets indésirables du vaccin contre le Covid-19 : VAERS

Source : wonder.cdc.gov/

Nombre de rapports sur les VAERS[7]

  • Myocardite/péricardite 22 000
  • Crises cardiaques 6 400
  • Guillain-Barre 2 600
  • Thrombocytopénie 6 000
  • Convulsions/Convulsions 16 000
  • Anaphylaxie 49 000
  • Paralysie de Bell 15 000
  • Thromboembolie veineuse 25 000
  • Arthrite et arthralgie/lésion articulaire 78 000
  • Mort 28 000

Plus de 54 % des événements indésirables signalés au VAERS sont attribués au vaccin Covid-19, y compris le décès, les blessures potentiellement mortelles, l’invalidité permanente, les anomalies congénitales/malformations congénitales, les hospitalisations, les visites aux urgences, les visites chez le médecin et autres.

Il y a plus de 28 000 décès, soit plus de 75 % de tous les décès signalés au VAERS depuis 1990, associés au vaccin Covid-19.

Les événements indésirables dans les bases de données de pharmacovigilance sont sous-déclarés.

Dans une étude comparant la surveillance active et passive des événements indésirables, 8,8 % des personnes sous surveillance active ont signalé un événement indésirable, tandis que seulement 0,1 % de ceux sous surveillance passive.

C’est une différence de 88 fois dans le nombre de rapports pour cette étude particulière. L’OMS note également que la surveillance passive « rend difficile l’exhaustivité et l’actualité de la collecte des données ». Le nombre réel d’événements indésirables survenus dans le temps en relation avec les vaccins Covid-19 serait beaucoup plus élevé que ce qui est révélé par les données de ces bases de données de pharmacovigilance.

Un rapport d’événement indésirable n’indique pas que le vaccin a causé un événement, mais simplement qu’il était lié. Les données VAERS révèlent une relation temporelle étroite entre l’administration du vaccin Covid-19 et l’événement indésirable ultérieur, la majorité des événements indésirables se produisant dans les 2 jours suivant la réception du vaccin. Cela indique une relation causale plus probable.

Le cas unique des vaccins contre le Covid-19 Opération Warp Speed

Lorsque le Covid-19 est apparu comme un nouveau virus en 2019, on savait peu de choses sur sa virulence et sur ses impacts sur la population en général. Les premiers modèles ont surestimé la morbidité et la mortalité de la maladie et, par conséquent, l’opération Warp Speed a été introduite pour accélérer le développement d’un vaccin et d’autres traitements contre le nouveau virus.

TOUS les vaccins contre le Covid-19 sont en phase 3 d’essai. Aucun n’a terminé ses essais phase 3.

L’efficacité et l’innocuité des vaccins contre le Covid-19 n’ont donc pas été établies. Les taux d’efficacité (95-97 % !) et de tolérance allégués par les gouvernements et les agences sanitaires diffusent sans aucune vérification les chiffres fournis par les services de communication des laboratoires pharmaceutiques.

La grippe porcine de 1967 : un cas de campagne de vaccination de masse précipitée

En février 1967, une enquête a été lancée sur la mort mystérieuse d’un soldat américain décédé lors d’un exercice d’entraînement de base. Les tests du CDC ont révélé que le soldat David Lewis avait contracté une souche de grippe porcine. Par la suite, 11 autres soldats ont été testés positifs pour le virus tandis que des centaines d’autres ont été testés positifs pour les anticorps.

Le CDC et le président de l’époque, Gerald Ford, ont adopté une approche « mieux vaut prévenir que guérir » et ont lancé une campagne de vaccination de masse contre la grippe porcine. Des rapports ont fait état d’effets indésirables présumés, notamment de crises cardiaques, du syndrome de Guillain-Barré et de 53 décès signalés. La pandémie ne s’est pas matérialisée, le gouvernement a interrompu le programme de vaccination de masse le 16 décembre.

Une approche « mieux vaut prévenir que guérir » est injustifiée et dangereuse car les preuves n’existent pas pour affirmer qu’une vaccination précipitée est plus sûre que l’exposition à un virus dont on sait peu de choses.

Les rapports faisant état de seulement 50 décès liés à la vaccination contre la grippe porcine ont suffi à mettre définitivement fin au programme.

Les réponses à toute pandémie présumée doivent s’aligner sur les meilleures preuves disponibles sur la nature de la menace et ne pas être guidées par la politique, les médias, leurs liens d’intérêts avec l’industrie ou les émotions du grand public soumis à une intense propagande de terreur.

Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit.

Le vaccin contre la poliomyélite a été rappelé en moins d’un an après 10 décès signalés, le vaccin contre la grippe porcine a été rappelé en moins de 1 an après 53 décès signalés. Le vaccin contre le Covid-19, avec plus de 28 000 rapports de décès associés, n’a pas été rappelé.

Il existe un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19 détectés dans toutes les bases de données examinées dans ce rapport.

Conclusion

Ce rapport visait à examiner les données de pharmacovigilance de VigiAcess, VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card pour les vaccins Covid-19. L’objectif était de déterminer si les données de ces bases de données étaient suffisantes pour établir un signal de sécurité sur ces produits.

Toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport révèlent un nombre de rapports d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 qui sont entre 10 et 169 fois plus que ce qui est observé dans d’autres produits couramment administrés

Il y a plusieurs milliers de rapports d’événements indésirables chez les enfants pour lesquels le produit Covid-19 n’a pas été approuvé

Il existe suffisamment de preuves sur toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport pour établir un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19.

Les bases de données sur la pharmacovigilance, telles que celles examinées dans le présent rapport, reposent sur la surveillance passive. Les événements indésirables sont sous-déclarés.

Les produits Covid-19 sont uniques en ce sens qu’ils ont été développés rapidement et administrés à de grandes populations alors qu’ils étaient encore en phase 3 d’essais cliniques.

Il existe suffisamment de preuves d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 pour indiquer qu’un rappel de produit est immédiatement nécessaire.

Références

AstraZeneca. (May 2022). Case Series Drug Analysis Print: Covid-19 AstraZeneca Vaccine
Analysis Print. Gov.uk.
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1080309/COVID-19_AstraZeneca_Vaccine_Analysis_Print_DLP_25.05.2022.pdf

Connor Stewart. (May 2022). COVID-19 vaccination rate in European countries. Statista.
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Elflein, John. (May 2022). Vaccinations in the U.S.—Statistics & Facts. Statista.
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EudraVigilance. (May 2022). European database of suspected adverse drug reaction reports.

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European Centre for Disease Prevention and Control. (May 2022). COVID-19 Vaccine Tracker.

European Centre for Disease Prevention and Control.
https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/covid-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

European Medicines Agency. (May 2022). Human regulatory: EudraVigilance. European Medicines Agency.

  1. [1] Ce rapport a été rédigé par Adele Paul et finalisé et approuvé par le Comité de la santé et de l’humanité du WCH.[]
  2. [2] « Nous croyons en un monde sain, où chacun bénéficie de la transparence de l’information, de l’accès à des médicaments éprouvés et d’une action réelle face à la maladie — tout en respectant les décisions personnelles de chaque individu en matière de santé, sans crainte de discrimination ou de persécution. Nous croyons en un monde où nous gardons notre eau et notre air propres, la nourriture non contaminée et les familles ensemble ».[]
  3. [3] La force du Conseil mondial de la santé réside dans son approche de la collaboration. Nous sommes presque entièrement alimentés par des bénévoles dans notre nombre croissant de comités composés de scientifiques, de médecins, d’avocats, d’activistes et de patients. Nous travaillons au-delà des frontières à éliminer les obstacles grâce à des partenariats de coalition internationale unis pour la protection de l’humanité.[]
  4. [4] Royaume-Uni le Medicines and Healthcare products Regulatory Advisory (MHRA) utilise le système de carton jaune pour surveiller les rapports, et toute personne qui soupçonne un effet indésirable peut le signaler directement sur son site Web : https://coronavirus-yellowcard.mhra.gov.ukÉTATS-UNIS Système de déclaration des effets indésirables des vaccins (VAERS) Aux États-Unis, les Centres for Disease Control (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) gèrent la base de données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), qui permet aux individus d’envoyer des rapports via le site Web :
    https://vaers.hhs.gov/reportevent.htmlCanada vous pouvez signaler un événement indésirable sur le site Web du gouvernement du Canada :
    https://www.canada.ca/en/health-canada/services/drugs-health-products/medeffect-canada/adverse-reaction-reporting.html. Il existe également la Base de données en ligne sur les effets indésirables de Vigilance Canada :
    https://cvp-pcv.hc-sc.gc.ca/arq-rei/index-eng.jspAustralie la Therapeutic Goods Administration (TGA) surveille les événements indésirables et un rapport peut être déposé ici :
    https://aems.tga.gov.au

    France Signalement-sante.gouv.fr
    https://solidarites-sante.gouv.fr/soins-et-maladies/signalement-sante-gouv-fr/

    Afrique du Sud https://thj-africa.org.za/ a un lien avec le VAERS sud-africain.
    Nouvelle-Zélande les professionnels de la santé, le public et les « autres » peuvent signaler les effets indésirables ici —
    https://report.vaccine.covid19.govt.nz/s/

    Amérique centrale Système de reporting Noti-FACEDRA
    http://www.notificacentroamerica.net/n/Pages/mapa.aspx#no-back-button

    Les Philippines VARR-PH
    https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSezImFX8-euM35Oc_UsSuhv6nql0J0iWRT0NM9Syyf4FAZrlA/viewform?fbclid=IwAR2zQ-CPYb4bnnvd713w1ICwECHm_UA8cRB8z8rmFApkpHmtqIPSzcWGKEQ[]

  5. [5] https://wonder.cdc.gov/controller/datarequest/D8;jsessionid=CB19840534D33730BADDAAEB1AE0[]
  6. [6] Source : wonder.cdc.gov/[]
  7. [7] Source : vaersanalysis.info/2022/05/14/vaers-summary-for-covid-19-vaccines-through-5-6-2022/[]
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Que nous a appris l’Angleterre sur la crise covid et les vaccins ?

04/07/2022 (2022-07-04)

Par le Dr Gérard Delépine

L’Angleterre est la championne européenne des injections anti-covid. C’est aussi un pays beaucoup plus transparent que le nôtre dans lequel les données sanitaires brutes sont publiées sur internet par l’Office National des Statistiques. Chacun peut ainsi les analyser permettant d’apprécier les effets des pseudo vaccins avec le plus long recul européen connu.

Les données officielles du gouvernement britannique montrent qu’après six mois la vaccination anti-covid augmente le risque de décès par covid 19 et hors covid.[1]

Rappel de la politique vaccinale anti-covid anglaise

La première injection de Covid-19 a été administrée en Angleterre le 8 décembre 2020. La campagne d’injection a ciblé en priorité les personnes les plus âgées (>80 ans) puis très rapidement les autres groupes par âge décroissant.

La flambée d’épidémie et de mortalité post vaccinale

Les injections ont été immédiatement suivies par une augmentation franche des contaminations et de la mortalité covid pendant 6 à 8 semaines réalisant une véritable « hécatombe post vaccinale » semblable à celle observée dans tous les autres pays[2] qui ont injecté rapidement leurs populations.

Les données officielles du gouvernement britannique montrent que le nombre de nouveaux cas a alors considérablement augmenté.

Les chiffres et la courbe publiés par l’OMS montrent que la mortalité a également fortement augmenté après les injections, les mois de janvier et février 2021 battant les records mensuels du moment et totalisant à eux deux autant de décès covid que les dix mois d’épidémie d’avant les vaccins.

L’hécatombe post vaccinale a été suivie pendant plusieurs mois par une accalmie observée en Europe en même temps dans les pays vaccinés comme dans les pays non injectés

Le surrisque des vaccinés d’attraper la maladie, d’être hospitalisés et de mourir de covid

Six mois après le début des injections, partir de mai 2021, les doubles vaccinés ont progressivement souffert d’un surrisque d’attraper le Covid et cette augmentation de risque s’est confirmé au fil des mois atteignant au total 100 % à 200 % en mars 2022.

Cette augmentation de risque de contracter la maladie des vaccinés s’est traduite par l’envolée du nombre total de cas en Grande-Bretagne alors qu’elle n’a pas été observée au Nigéria ni à Madagascar qui ont préféré les traitements précoces aux vaccins.

La différence est d’autant plus démonstrative que le nombre de cas dépend peu de l’âge et très peu du climat (ainsi que le prouve la comparaison de l’Afrique et de l’Amérique du Sud).

Au bout de quelques mois, les Anglais vaccinés ont été hospitalisés plus que les non-vaccinés pour covid sévère :

Et aussi davantage de risques de mourir de covid :

Au total, en juillet 2022 la stratégie tout vaccin de la Grande-Bretagne a abouti à une mortalité cumulée soixante fois plus élevée qu’au Nigéria (20 fois plus élevée après correction selon la population à risque).

La vaccination augmente-t-elle la mortalité globale ?

Depuis mai 2021, les Anglais vaccinés ont commencé à souffrir d’une augmentation de mortalité toutes causes confondues. Cette tendance s’est aggravée progressivement.

Elle est d’abord apparue chez les Anglais, les plus âgés qui ont reçu les injections de Covid-19 en premier (dès décembre 2020). Ainsi en mai 2021, les vaccinés de 70-79, 80-89 et les 90 ans et plus avaient un taux de mortalité plus élevé que les non-vaccinés du même âge.

Le graphique suivant montre les taux de mortalité standardisés selon l’âge pour 100 000 années-personnes par statut vaccinal et groupe d’âge pour le mois de mai 2021

En juin 2021 les 60-69 ans, vaccinés un mois plus tard, rejoignaient le groupe à mortalité le plus élevé :

Et en juillet celui des 50-59 ans rejoignait le club du taux de mortalité le plus élevé :

Ces données indiquent que les injections de Covid-19 prennent environ 5 mois pour augmenter la mortalité des vaccinés toutes causes confondues

Les plus récentes publications de l’ONS (juin 2022) confirment qu’en décembre 2021 et janvier 2022 la mortalité toutes causes confondues des vaccinés est nettement supérieure à celle des non-vaccinés à l’exception de ceux qui ont reçu 3 injections, mais dont le recul beaucoup plus faible ne permet pas une comparaison significative.

Cette augmentation de la mortalité hors covid des vaccinés n’a pas de cause établie avec certitude pour l’instant, mais reflète certainement, au moins en partie, les conséquences des complications vaccinales connues (myocardite, accidents vasculaires, thromboses…) et de la baisse globale d’immunité qui augmente le risque d’infections et de reprise évolutive de cancer.

Cette augmentation de la mortalité des vaccinés est d’autant plus inquiétante qu’elle a aussi été constatée dans de nombreux autres pays : en France (+38 %)[3], aux USA[4][5][6] en Allemagne[7]

Cette surmortalité des vaccinés, tant covid que non covid, apparaissant quelques mois après les injections nécessite en urgence des analyses approfondies et, en attendant un moratoire sur la pseudo vaccination Covid. La négation de ce paradoxe constitue, non pas une erreur, mais une faute de nos agences et de nos dirigeants et prépare un scandale bien plus grave que celui du médiator.


  1. [1] New UK Gov. report confirms COVID Vaccination significantly increases the risk of Death and kills hundreds of thousands after five monthsBY THE EXPOSÉ ON JUNE 2, 2022
    https://expose-news.com/2022/06/02/uk-gov-confirms-covid-vaccination-kills-thousands-after-5-months/[]
  2. [2] https://michelledastier.com/hecatombe-post-vaccinale-dans-le-monde-dr-gerard-delepine/[]
  3. [3] https://www.zinfos974.com/Mortalite-38-par-rapport-a-2019-la-plus-forte-augmentation-de-France_a184422.html[]
  4. [4] https://resistance-mondiale.com/un-rapport-de-la-fda-revele-que-la-mortalite-toutes-causes-confondues-est-plus-elevee-chez-les-vaccines[]
  5. [5] https://www.epochtimes.fr/pourquoi-le-nombre-de-deces-a-t-il-augmente-de-40-aux-etats-unis-par-rapport-a-lannee-derniere-1932664.html[]
  6. [6] Il y a eu une augmentation inattendue de 40 % des « décès toutes causes » en 2021
    https://www.kusi.com/there-was-an-unexpected-40-increase-in-all-cause-deaths-in-2021/[]
  7. [7] https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/11/22/des-medecins-allemands-confirment-a-nouveau-la-correlation-entre-vaccin-et-surmortalite/[]
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La baisse de la fertilité chez les vaccinés est de plus en plus probable

26/06/2022 (2022-06-26)

L’excellente Interview d’Alexandra Henrion Caude, généticienne spécialisée dans la recherche sur l’ARNm, sur sud radio par André Bercoff précise les avancées sur les études en cours sur le risque sur la fertilité des injections anticovid. Elle évoque les risques pour les enfants vaccinés à long terme, impossibles à évaluer sans recul suffisant.

https://m.youtube.com/watch?v=dhXQQqUdqMM

Interview d’Alexandra Henrion Caude — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) avec tweets sur le sujet

On avait fini par admettre que la dépopulation était au programme des mondialistes sous influence de Bill Gates et de transhumanistes comme Laurent Alexandre. Mais au-delà des suspicions légitimes vu le mécanisme de l’injection ARNm qui a prédilection pour les organes reproducteurs, les preuves scientifiques commencent à tomber via Israël, précurseur des injections et donc des effets secondaires.

Déjà depuis plusieurs mois des articles scientifiques apparaissaient dans la base de données PUBMED sur le sujet, les premiers portant sur de très faibles nombres d’injectés et voulant innocenter l’injection, contrairement aux alertes déjà anciennes des banques de données officielles.

D’autres traduisent mieux notre inquiétude comme Les risques de la Covid-19 (et des vaccins) sur les organes sexuels et la fertilité (infodujour.fr) dans un entretien avec le Dr Jean-Marc Sabatier.[1]

« Chez l’homme, le SARS-CoV-2 peut s’attaquer aux testicules, au pénis et à la prostate. Chez la femme, le virus peut s’attaquer à l’utérus (endomètre) et aux ovaires. Pourquoi ces attaques sont-elles possibles ? Parce que le SARS-CoV-2 reconnaît le récepteur cellulaire ECA2 (enzyme de conversion de l’angiotensine-2) qui lui sert de site de fixation lui permettant d’infecter les cellules ; le récepteur ECA2 est très présent au niveau des cellules des organes reproducteurs masculin et féminin, ce qui les rendent très vulnérables au virus. Il est notable que le récepteur ECA2 — en parallèle des organes reproducteurs, dont les gonades (testicules et ovaire) — se retrouve également dans de nombreux autres organes et tissus de l’organisme (ceux-ci sont en conséquence ciblés par le virus), tels que le cœur, les poumons, les reins, le foie, le pancréas, la rate, le système vasculaire (vaisseaux sanguins), la peau, le cerveau, les intestins, les glandes surrénales, et autres. »

Un papier récent de juin 2022 démontre l’altération au moins temporaire de l’état du sperme et des spermatozoïdes.[2]

Extraits :

«  Ils ont étudié chez des donneurs de sperme l’effet du vaccin covid-19 BNT162b2 (Pfizer) sur les paramètres du sperme. 37 donneurs de trois banques de sperme ont fourni 220 échantillons, et ont été inclus dans cette étude de cohorte longitudinale multicentrique rétrospective. La vaccination BNT162b2 comprenait deux doses, et la vaccination était prévue 7 jours après la deuxième dose. L’étude comprenait : contrôle de base pré-vaccination, et évaluations à court, intermédiaire et long terme.

Chacun comprenait 1 à 3 échantillons de sperme par donneur fournis 15 à 45, 75 à 120 et plus de 150 jours après la fin de la vaccination, respectivement. Les critères d’évaluation principaux étaient les paramètres du sperme.

Résultats : Des mesures répétitives ont révélé une diminution de la concentration de spermatozoïdes de -15,4 % sur le deuxième échantillon entraînant une réduction du nombre total de mobilité des spermatozoïdes de 22,1 % par rapport au prélèvement initial.

De même, l’analyse du premier échantillon de sperme uniquement et de la moyenne des échantillons par donneur a montré des réductions de la concentration — baisse médiane de 12 millions/ml et 31 millions de spermatozoïdes mobiles, respectivement lors de la première évaluation de l’échantillon et déclin médian de 9,5×106 et 27,3 millions de spermatozoïdes mobiles (p = 0,004 et 0,003, respectivement) sur l’examen moyen des échantillons.

L’évaluation à trois mois a démontré un rétablissement global. Le volume de sperme et la motilité des spermatozoïdes n’ont pas été altérés. Cette étude longitudinale axée sur les donneurs démontre une concentration sélective temporaire de spermatozoïdes et une détérioration trois mois après la vaccination, suivie d’un rétablissement ultérieur vérifié par diverses analyses statistiques ».

L’étude est limitée en nombre de donneurs et de paramètres du sperme, ce qui ne résume pas les conditions de la fertilité efficace, mais a le mérite de prouver déjà une action directe sur le sperme. D’autres études toujours basées également sur un faible nombre de donneurs se veulent rassurantes. Néanmoins le recul est toujours faible de deux à trois mois, après l’injection ne permettant en aucun cas de prévisions raisonnables pour l’avenir d’autant que la durée de fabrication de la protéine spike par l’organisme injecté reste inconnue et s’allonge au fur et à mesure des études (au moins trois mois actuellement).

Les alertes officielles cachées par les médias

Par ailleurs vu le nombre de fausses couches déclarées sur le VAERS ou sur EudraVigilance on peut s’étonner de l’absence d’articles référencés sur ce sujet sur PubMed. On peut supposer le refus des éditeurs soumis à Big Pharma.. Rappelons ces chiffres[3]:

Trop de médias qui dépendent en partie de l’état pour équilibrer leur budget se sont transformés en organe de propagande du gouvernement et ont abandonné leur mission d’information objective de la population. Leur refus de publier les données rapportant les complications post injections en témoigne une fois de plus.

DÉPOPULATION VIA LES VACCINS STÉRILISANTS CONCEPTUALISÉE DEPUIS 1930

Depuis des décennies, les puissants ont décidé de réduire la population mondiale au lieu de regarder comment les nourrir. Par exemple cesser de leur interdire d’utiliser leurs semences paysannes et de favoriser les échanges locaux.

Ici, rappelons l’article de Jurriaan Maessen dans ExplosiveReports.Com qui démontre l’obsession des riches milliardaires de contrôler les naissances sans l’accord des personnes concernées.

La Fondation Rockefeller a admis un financement pour le développement de vaccins antifertilité destinés à une « distribution à grande échelle ». — Vigilance Pandémie (vigilance-pandemie.info)

Déjà dans les années 1930 une obsession des milliardaires était de stopper la natalité.

La Fondation Rockefeller a conceptualisé le vaccin « antihormonal » dans les années 1920 et 1930.

Le serviteur de la Fondation Rockefeller, Max Mason, agissant en tant que président au milieu des années 1930, a exprimé à plusieurs reprises le désir de son maître d’avoir une « antihormone » qui réduirait la fertilité dans le monde entier. La Fondation n’a néanmoins mentionné le financement de « vaccins antifertilité » dans les rapports annuels qu’à partir de 1969.

Extrait :

« Dans son examen de 1997 des vaccins antifertilité, le Centre international de génie génétique et de biotechnologie basé en Inde n’a pas oublié de reconnaître son principal bienfaiteur :

« Les travaux sur les vaccins LHRH et HCG ont été soutenus par des subventions de recherche de la Fondation Rockefeller (…) »

Dans les années 1990, les travaux sur les vaccins antifertilité ont pris de l’ampleur, en particulier dans les pays du tiers-monde, tout comme le financement octroyé par la Fondation Rockefeller. Dans le même temps, la population cible des mondialistes — les femmes — commençait à se sentir mal à l’aise avec tout ce discours ouvert sur la réduction de la population et des vaccins comme moyen d’y parvenir.

Betsy Hartman, directrice du programme Population et développement au Hampshire College, Massachusetts est « quelqu’un qui croit fermement au droit des femmes à une contraception et à un avortement volontaires et sûrs », n’est pas partisane du vaccin antifertilité, tel que créé par le Fondation Rockefeller. Elle explique dans son essai Population control in the new world order (le contrôle de la population dans le nouvel ordre mondial) :

« Bien qu’un vaccin n’ait été testé que sur 180 femmes en Inde, il y est présenté comme “sûr”, dépourvu d’effets secondaires et complètement réversible »

La communauté scientifique sait très bien que de telles affirmations sont fausses — par exemple, de nombreuses questions subsistent quant à l’impact à long terme du vaccin sur le système immunitaire et le cycle menstruel. Il existe également des preuves filmées de femmes se voyant refuser des informations sur le vaccin lors d’essais cliniques. Néanmoins, le vaccin est en cours de préparation pour une utilisation à grande échelle. »

Le Réseau mondial des femmes pour les droits reproductifs basé à Amsterdam, aux Pays-Bas, a cité un chercheur de premier plan en matière de contraception qui disait :

« Les méthodes de contrôle des naissances immunologiques seront une “arme antigénique” contre le processus de reproduction, qui, laissé sans contrôle, menace d’inonder le monde. »

Militante des droits des animaux Mademoiselle Sonya Ghosh a également fait part de ses préoccupations concernant le vaccin antifertilité financé par Rockefeller et sa mise en œuvre :

« Au lieu de donner aux femmes plus d’options pour prévenir la grossesse et se protéger contre le SIDA et les maladies sexuellement transmissibles, le vaccin antifertilité est conçu pour être facilement administré à un grand nombre de femmes en utilisant le moins de ressources. S’il est administré à des populations analphabètes, les problèmes de contrôle de l’utilisateur et de consentement éclairé sont une autre source de préoccupation. »

Pour éviter de tels débats, la Fondation a eu recours, au cours des deux dernières décennies, à ses méthodes appliquées depuis longtemps et très efficaces consistant soit à mentir effrontément, soit à utiliser un langage trompeur pour cacher le fait qu’elle continue à œuvrer sans relâche pour atteindre sa mission de longue date ».

Doit-on rappeler des tentatives de vaccin anti-conception au Kenya ?[4]

En 2014 le vaccin contre le tétanos, suspecté de contenir une hormone empêchant les femmes d’avoir des enfants a suscité une polémique entre les évêques et le gouvernement Kenyan.

En 2015 c’est au tour du vaccin contre la malaria de se trouver sous le feu de la critique des évêques kenyans obligés devant le refus du gouvernement de demander à l’ensemble des structures de santé qui relèvent de l’Église catholique — et elles sont nombreuses — de s’abstenir d’employer le vaccin incriminé.

LE PSEUDOVACCIN ANTI COVID19 S’INSCRIT DANS LA CONTINUITÉ DE CES RECHERCHES CONTRE LA FERTILITÉ

Malheureusement remis dans le contexte de la volonté à tous crins de vax encore et encore contre le covid19, y compris les enfants, malgré l’indéniable accumulation des effets secondaires graves, cette Histoire des volontés eugénistes et transhumanistes, en marche depuis le début du XXe siècle et fin du XIXe) permet de comprendre le but ultime des vaccins : diminuer le nombre d’humains sur terre et de réserver à l’élite et ses élus la jouissance exclusive de la planète bleue.

Ces hommes imbus d’eux-mêmes semblent bien naïfs, car même s’ils se sont dispensés des injections morbides, il est infiniment peu probable qu’ils échappent aux conséquences toxiques des injections si les milliards de terriens sont vaccinés.

Un « rapport d’avancement » de février 1934 rédigé par Warren Weaver (directeur de la division des sciences naturelles de la Fondation Rockefeller) avait souligné le but ultime.

« L’homme peut-il acquérir un contrôle intelligent de son propre pouvoir ? Pouvons-nous développer une génétique si solide et étendue que nous pouvons espérer élever, à l’avenir, des hommes supérieurs ? Pouvons-nous obtenir une connaissance suffisante de la physiologie et de la psychobiologie du sexe pour que l’homme puisse contrôler rationnellement cet aspect omniprésent, très important et dangereux de la vie ? »

Écrit en 1934 !

On croirait entendre le Dr Laurent Alexandre dont beaucoup ont été étonnés de le voir parler à x reprises sur les chaînes officielles et à l’école Polytechnique, en toute liberté. Oui il ne fait que poursuivre cette politique eugéniste que l’application rigoureuse de l’injection met en musique.

Il est temps de dire les mots de la vérité : les injections anticovid sont une tentative de plus de réduire la population mondiale.

C’est d’ailleurs la seule explication crédible sur le fait que les morts accumulés ainsi que les accidents graves n’aient pas fait stopper cet essai thérapeutique de ce médicament sans AMM définitif et que, bien pire encore, la FDA vient d’autoriser l’injection des tout petits en ce 14 juin 2022.

Ainsi le modèle de stérilisation des vaccins a été conceptualisé pour la première fois dans les années 1920 et 1930 par des spécialistes des sciences sociales de la Fondation Rockefeller.

Plus tard le langage eugénique (« vaccin anti-fertilité ») a été peaufiné à l’aide d’une « chirurgie plastique linguistique » inventant le terme « contraceptif immunologique », le but ultime reste le même. Entre-temps, Orwell et les mensonges du langage ont été améliorés. « La paix, c’est la guerre », etc.

Une offensive sur les fœtus proches de la naissance

Il paraît difficile de conclure sans dénoncer la mystification qui envahit nos antennes sur la décision de la Cour suprême des USA qui remet à chaque État américain le droit de statuer sur l’avortement.

On se doit tout de même de rappeler que le droit à l’avortement institué en France par la loi Veil s’est progressivement élargi dans le délai d’application et même la suppression du délai de réflexion et l’attaque du droit des médecins à ne pas pratiquer cet acte. La décision la plus choquante est celle de la loi dite de bioéthique votée en août 2021 à l’Assemblée nationale qui autorise un soi-disant « avortement » jusqu’à la naissance en cas de souffrance maternelle…

ATTENTION ! À CETTE DATE DE LA GROSSESSE, CE N’EST PLUS UN AVORTEMENT, C’EST UN INFANTICIDE.

Au nom de « mon corps est mon choix », on peut tuer un bébé à terme, déjà une autre personne dont le choix importe peu. Un humain oublié qui sent, qui réagit, qui interfère, qui vit, qui bouge et réagit aux stimulations extérieures (musique, voix du papa, etc.) qui peut souffrir. C’est un infanticide.

Il me semble devoir exhorter nos concitoyens à ne pas tout mélanger, à ne pas tout confondre. Non l’avortement avant trois mois de grossesse ne doit pas être confondu avec l’infanticide à neuf mois.

Le droit à l’avortement n’a pas été interdit aux USA par la décision de la Cour suprême, ce droit à l’avortement relève maintenant de chaque État et de son gouverneur démocratiquement élu.

Et pourtant l’OMS insiste pour ce droit élargi. « L’Organisation mondiale de la santé (OMS) appelle les gouvernements à supprimer la limite de temps légale pour l’avortement, même après 24 semaines », comme le rapporte le Daily Mail. Elle déclare que les lois qui visent à empêcher l’interruption de grossesse à tout moment risquent de violer les droits des « femmes, des jeunes filles ou des autres personnes enceintes ».

L’OMS propose donc l’avortement sans limitation de temps et sans obligation de justification médicale.

C’est un document de 210 pages que l’OMS publie. Il détaille de nouvelles consignes sur la prise en charge de l’avortement. Parmi la multitude de recommandations faites aux gouvernements, on peut notamment lire qu’elle préconise :

  • — d’autoriser l’avortement en toutes circonstances — en excluant les lois interdisant les interruptions de grossesse parce que le fœtus est du « mauvais » sexe.
  • — de cesser d’exiger que les femmes aient besoin de l’approbation d’un médecin ou d’une infirmière pour avoir une interruption de grossesse.
  • — d’établir des systèmes de « pilules par la poste » afin que les femmes puissent recevoir des médicaments abortifs après un appel téléphonique.
  • — de limiter le droit des professionnels de santé à refuser de participer à des avortements pour des raisons de conscience.

Les Nations unies, qui supervisent l’OMS, se sont félicitées de la suppression suggérée de ce qu’elles ont appelé « des obstacles politiques inutiles à l’avortement sans risque », notamment « des limites quant au moment où un avortement peut avoir lieu ».[5]

ON EST LOIN DE LA LOI VEIL CITÉE COMME MANTRA

« Je le dis avectoute ma conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. »,

 déclarait Simone Veil en présentant la loi relative à l’interruption volontaire de grossesse. 

Poursuivant son discours, elle ajoutait :

« Mais comment le tolérer sans qu’il perde ce caractère d’exception, sans que la société paraisse l’encourager ? Je voudrais tout d’abord vous faire partager une conviction de femme — je m’excuse de le faire partager une conviction de femme — je m’excuse de la faire devant cette assemblée presque exclusivement d’hommes : aucune femme ne recourt de gaieté de cœur à l’avortement. Il suffit d’écouter les femmes ».

https://youtu.be/45MOc6PYoY8  

L’avortement reste un drame pour le plus grand nombre de celles qui l’ont subi. L’avortement n’est pas une méthode de contraception « normale » il n’est d’ailleurs pas sans danger pour la femme elle-même pour son risque éventuel de cancer hormonal, etc.. Le nier est malhonnête. Pour limiter le plus possible le recours à cet acte de désespoir, il faut davantage promouvoir l’information honnête et la contraception qui respecte davantage le corps des femmes.

Il ne faut pas s’étonner qu’à force de pousser l’avortement trop loin surtout dans l’avancement de la grossesse, il y ait des réactions boomerangs en retour.

NON À LA TRANSFORMATION DES HUMAINS EN OGM !

Nous serons heureux d’entendre toutes les bonnes âmes qui hurlent que « leur corps est leur choix », de le défendre aussi, et aussi fort pour toutes les femmes qui souhaitent refuser une injection génique sans aucun bénéfice possible pour elle et pour leurs proches et qui risque de les transformer en humain OGM. Comment oser accepter la mise au rancart des soignants libres pour refus de transformation de leur patrimoine génétique et « en même temps » demander l’inscription dans la Constitution de l’avortement (en général.) et bientôt de l’euthanasie.

Sommes-nous entrés dans une culture de la mort ? Est-ce bien ce que nous voulons ou est-ce une nouvelle soumission aux puissants qui nous manipulent ?

NON À LA CULTURE DE LA MORT !


  1. [1] Jean-Marc Sabatier est directeur de recherches au CNRS et docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, affilié à l’Institut de Neuro Physiopathologie (INP) à l’université d’Aix-Marseille.[]
  2. [2] La vaccination Covid-19 BNT162b2 altère temporairement la concentration de sperme et le nombre total de motifs chez les donneurs de sperme (nih.gov) Andrology. 2022 Jun 17. doi : 10.1111/andr.13209. étude israélienne par Itai Gat et al[]
  3. [3] Voir la totalité du diaporama sur nicole.delepine.fr
    Complications des pseudovaccins anticovid au 31 mai 22 selon base de données officielles — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  4. [4] https://www.famillechretienne.fr/politique-societe/sante/vaccins-contraceptifs-le-boycott-de-l-eglise-d-afrique-181815[]
  5. [5] L’avortement sans condition jusqu’à neuf mois préconisé par l’OMS | FranceSoir[]
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Rapport de pharmacovigilance du Conseil Mondial de la Santé sur la sécurité des injections anticovid : ce signal d’alerte fort doit faire stopper les injections

 

 

 

 

Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org)[1]

Nous rapportons ici le travail du Conseil Mondial de la Santé qui s’est constitué en 2021 pour combattre la censure et le manque d’informations des citoyens concernant les injections géniques.

QUE REPRÉSENTE LE CONSEIL MONDIAL DE LA SANTÉ ?

C’est une organisation à but non lucratif pour le peuple, informée et financée par le peuple, coalition mondiale d’organisations axées sur la santé et de groupes de la société civile, plus de 130 organisations dans 40 pays, qui cherche à élargir les connaissances en santé publique et la création de sens grâce à la science et à la sagesse partagée.

Ils s’engagent à protéger les droits de l’homme et le libre arbitre tout en donnant aux gens les moyens de prendre le contrôle de leur santé et de leur bien-être. Fondé en 2021, le Conseil mondial de la santé est une initiative à but non lucratif soutenue par EbMCsquared CiC, organisation d’intérêt communautaire.[2]

« La liberté est le droit de dire, de penser et de faire ce que vous voulez faire sans être limité. Tout le monde a ce droit humain inné. Il est de notre responsabilité de l’utiliser à bon escient ».[3]

RECHERCHE DE PREUVES SUR LA SÉCURITÉ OU NON DES VAX ANTICOVID

Ce rapport a été conçu pour voir s’il existe ou non suffisamment de preuves sur les bases de données de l’OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellowcard pour établir un signal de sécurité sur les vaccins Covid-19.

« Dans des circonstances ordinaires, les essais de phase 3 et 4 établiraient l’innocuité et l’efficacité d’un produit pharmaceutique. Cependant, ces essais ne sont pas terminés pour les produits Covid-19. Les produits ont été administrés à une large population qui n’est pas surveillée par les essais cliniques. Il est donc nécessaire d’examiner toutes les preuves disponibles pour établir l’innocuité de ces produits et leur impact sur ceux qui ont pris le produit, mais qui ne sont pas surveillés par les essais cliniques. »

Le développement d’un vaccin contre le Covid-19 dans le cadre de l’opération Warp Speed a été précipité. Traditionnellement, la mise au point d’un vaccin prend 10 ans ou plus avant la production et la distribution à grande échelle à une large population. Avec les vaccins contre le Covid-19, le produit est passé d’essais précliniques exploratoires à une fabrication à grande échelle en seulement 10 mois. Les données sur leur sécurité sont incomplètes. Ce rapport tend à combler le vide sur les informations post injection.

Il s’agit d’un rapport d’information créé par le Conseil mondial de la santé pour aider les professionnels de la santé, les scientifiques et les citoyens à prendre des décisions éclairées sur les vaccins contre le Covid-19. La sécurité des produits Covid-19 n’a pas été établie à l’issue des essais cliniques de phase 3 et de phase 4. Les produits Covid-19 n’ont pas l’efficacité des vaccins utilisés jusqu’ici. (ils n’empêchent pas une personne de contracter le virus, ni de tomber malade, ni de propager la maladie)

Les produits Covid-19 sont utilisés sur des milliards de personnes, y compris des enfants, alors que la phase d’essai clinique n’est pas terminée. La grande majorité de ces personnes injectées ne sont pas surveillées.

« Les données d’essai de 6 mois de Pfizer (qui faisaient suite aux données préliminaires d’essai originales sur lesquelles les produits ont été autorisés) n’ont pas montré de réduction de la mortalité toutes causes confondues dans le groupe vacciné. Cela pourrait indiquer que tout bénéfice obtenu grâce à la vaccination peut être annulé par des événements indésirables, y compris le décès ».

Les vaccins contre le Covid-19 font l’objet d’essais de phase 3 et leur innocuité et leur efficacité n’ont pas encore été établies.

ABSENCE DE SUIVI DES INJECTÉS, AU MOINS OFFICIELLEMENT

La majorité de ceux qui ont reçu l’injection (plusieurs milliards de personnes) ne sont pas surveillés par les vaccinateurs, (du moins à leur connaissance). Quid du suivi via les codes-barres injectés ? Mystère.

Dans ce rapport, le WCH vise à utiliser les bases de données de pharmacovigilance établies pour détecter s’il existe un signal de sécurité préoccupant chez les « vaccinés ». Ce rapport rassemble les données sur les événements indésirables sur les vaccins contre la COVID-19 à partir des bases de données de pharmacovigilance internationales.

Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 recueillies dans chaque base de données de pharmacovigilance sont comparées aux données sur les événements indésirables de produits pharmacologiques similaires (autres vaccins courants) dans les mêmes bases de données, dans la mesure du possible. Ce rapport examine les paramètres par lesquels d’autres vaccins et médicaments ont été rappelés dans le passé.

Méthode

Les auteurs ont examiné chaque base de données — OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card Scheme — et documenté combien d’événements indésirables étaient liés aux vaccins Covid-19.

Rapports d’événements indésirables

Les données de pharmacovigilance sont généralement recueillies par le biais de la déclaration des événements indésirables. En règle générale, les rapports d’événements indésirables sont établis par :

  • Une personne qui a subi un événement indésirable
  • Un professionnel de la santé qui soupçonne un événement indésirable chez un patient
  • Organisations qui créent des rapports à partir de programmes de soutien aux patients
  • Sociétés pharmaceutiques sous forme d’études cliniques ou post-commercialisation
  • Revues de littérature
  • Reportages dans les médias
  • Études
  • Les données de pharmacovigilance peuvent également être recueillies dans le cadre d’autres études, notamment :
    • Études rétrospectives
    • Études de cohorte
    • Études cliniques
    • Études post-commercialisation
    • Revues de littérature

Les données de pharmacovigilance établissent des signaux

Les rapports établis sur les bases de données de pharmacovigilance n’établissent pas le lien de causalité. Une relation causale possible établie par ce processus est connue sous le nom de « signal ». Si un signal est détecté, une enquête plus approfondie est nécessaire.

Bases de données sur la déclaration des effets indésirables ou des réactions vaccinales

Les vaccins contre le Covid-19 sont un nouveau type de thérapie. Il est particulièrement important de signaler les effets secondaires graves. Selon l’endroit où vous vous trouvez dans le monde, il existe différentes bases de données mises en place pour enregistrer les réactions indésirables aux médicaments.[4]

OMS VigiAccess

Lancé en 2015 par l’OMS, VigiAccess base de données internationales des événements indésirables potentiels signalés liés aux médicaments, pour « analyser les rapports de dommages présumés causés par les médicaments, trouver des “signaux” de réactions indésirables potentielles aux médicaments ». Créés en 1968, 170 pays collaborent pour surveiller et identifier les dommages causés par les médicaments. Cette collaboration couvre environ 99 % de la population mondiale.

Les rapports sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 sur VigiAccess englobent tous les vaccins Covid-19

Pour les vaccins courants qui ont été distribués à la grande majorité de la population mondiale, gamme de rapports d’événements indésirables au nombre de 2000 à 100 000 sur VigiAccess.

Pour les vaccins Covid-19, qui ont actuellement été administrés à environ 65 % de la population mondiale, il y a plus de 3,7 millions de rapports d’événements indésirables sur VigiAccess.

VigiAccess montre un nombre d’événements indésirables sans précédent dans la base de données de tout autre produit pharmaceutique ou vaccin.

Dans le tableau suivant, 37 335 événements indésirables sont rapportés après environ 4 milliards de vaccins contre la tuberculose (moins de 1/100000) et plus de 3,7 millions de rapports provenant d’environ 5,1 milliards de personnes ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 (environ 72/100000).

En corrigeant la différence dans le nombre de personnes qui ont reçu les deux vaccins, on constate uneaugmentation de 77 fois du nombre d’événements indésirables signalés à VigiAccess pour le vaccin Covid-19 par rapport à celui contre la tuberculose

Compte tenu de l’objectif déclaré de VigiAccess — analyser les rapports de dommages présumés causés par des médicaments, trouver des « signaux » d’effets indésirables potentiels des médicaments — une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part de l’Organisation mondiale de la santé.

CDC VAERS

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a été créé en 1990 et cogéré par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des USA et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis : système conçu pour être un système d’alerte précoce pour les problèmes de sécurité liés aux vaccins homologués aux États-Unis. VAERS saisit et analyse les rapports d’événements indésirables qui se produisent après une vaccination.

Toute personne qui a subi un événement indésirable à la suite d’un vaccin peut le signaler au VAERS. En outre, les professionnels de la santé sont tenus de signaler les événements prescrits qui se produisent chez leurs patients après la vaccination, et les fabricants de vaccins sont tenus de signaler tous les événements indésirables qui sont portés à leur attention. Il s’agit d’un système de déclaration qui repose sur les individus pour s’auto-déclarer ou sur les fournisseurs de soins de santé pour faire rapport en leur nom. C’est une infraction fédérale aux États-Unis de soumettre un faux rapport VAERS

Les rapports VAERS recensent les événements indésirables de 1990 à nos jours. Les données sur les vaccins Covid-19 sur VAERS englobent les vaccins Moderna, Pfizer et Jansen depuis leur autorisation de mise sur le marché.

Données VAERS : Pourcentage du nombre total de déclarations d’événements indésirables par type de vaccin[5].Plus de 50 % du total des rapports d’événements indésirables faits sur VAERS, c’est-à-dire les rapports faits pour TOUS les vaccins depuis 1990, sont attribués aux vaccins COVID-19.

À partir de 2020 et jusqu’en 2022, nous assistons à une augmentation spectaculaire et sans précédent des décès signalés au VAERS. Actuellement, sur les plus de 37 000 décès signalés au VAERS depuis 1990, 27 968 sont liés aux produits Covid-19. Un décès à proximité d’un vaccin indique une relation causale plus probable. Or la grande majorité des rapports sont faits dans les 3 jours suivant l’administration du vaccin.

Rapports VAERS Covid-19 par âge

https://worldcouncilforhealth.org/wp-content/uploads/2022/06/2022-05-25-3.png

https://wonder.cdc.gov/controller/datarequest/D8;jsessionid=F9E61FE2A2B457AD46D5FC21F667

ALERTE CONCERNANT LES ENFANTS

Il y a 209 rapports d’événements indésirables sur VAERS pour les enfants de moins de 2 ans.

Ces vaccins n’ont pas été autorisés pour ces groupes d’âge. Il y a 1499 rapports supplémentaires dans le groupe des 2 à 5 ans, dont beaucoup concernent probablement des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé. Celles-ci peuvent être liées à une exposition au produit in utero, par l’allaitement ou à l’administration à des enfants pour lesquels le produit n’est pas autorisé.

Les données du VAERS montrent une proportion écrasante d’événements indésirables liés au vaccin Covid-19, plus de 50 % du total des rapports depuis 1990 étant attribués au vaccin.

Nous constatons une différence de 10 fois dans le nombre de rapports d’événements indésirables pour le vaccin ROR et le vaccin Covid-19. En outre, il y a une augmentation de 169 fois des décès signalés au VAERS après la vaccination contre le Covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe et une augmentation de 56 fois des rapports d’événements indésirables sur le VAERS après la vaccination covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe.

La plupart des décès et des événements indésirables sont survenus quelques jours après la vaccination, ce qui rend une relation de cause à effet plus probable. Étant donné que les vaccins contre le Covid-19 sont nouveaux et sont encore en cours d’essais cliniques, les données VAERS sont suffisantes pour établir un signal de sécurité préoccupant.

Les rapports sur les VAERS qui se sont produits chez les enfants de groupes d’âge qui n’ont pas été autorisés à recevoir le vaccin sont extrêmement préoccupants. Cela indique la possibilité d’événements indésirables obtenus in utero, de l’allaitement ou de l’administration du vaccin à des groupes d’âge pour lesquels il n’a pas été autorisé.

Compte tenu des objectifs énoncés par le VAERS — détecter les événements indésirables nouveaux, inhabituels ou rares, évaluer l’innocuité des vaccins nouvellement homologués et fournir un système national de surveillance de l’innocuité qui s’étend à l’ensemble de la population pour répondre aux urgences de santé publique, telles que les programmes de vaccination contre la grippe pandémique à grande échelle une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part du CDC et de la FDA.

EudraVigilance

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés dans EudraVigilance est le suivant :

  • Vaccin Moderna – 294 772 ;
  • Vaccin Pfizer-BioNTech (Tozinameran) – 956 913 ;
  • Vaccin Astrazeneca – 488 769 ;
  • Vaccin Janssen – 59 751 ;
  • Vaccin Novavax — 756.

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés pour tous les vaccins Covid-19 sur EudraVigilance est supérieur à 1,8 million.

Comme dans le VAERS, plus d’un millier de cas ont été signalés dans la catégorie des 0 à 2 ans, un groupe d’âge pour lequel les vaccins ne sont pas autorisés. Cela indique potentiellement que les nourrissons et les enfants subissent des événements indésirables liés à l’exposition in utero, à l’allaitement maternel et/ou administrés à des personnes pour lesquelles les produits ne sont pas autorisés.

Le nombre total de personnes vaccinées dans les pays de l’UE/EEE est de 341 628 772, soit environ 75,4 % de la population.

En 2018, environ 90 % des enfants européens ont été vaccinés contre la rougeole dans le cadre du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Environ 90 % des Européens ont été vaccinés contre la rougeole. Sur les quelque 673,2 millions de personnes qui ont reçu le vaccin contre la rougeole en Europe, EudraVigilance a reçu un total de 48 913 rapports d’événements indésirables sur EudraVigilance.

Environ 341 millions d’Européens ont été vaccinés contre le Covid-19. Parmi ceux-ci, 1,8 million de rapports d’événements indésirables ont été effectués sur EudraVigilance.

Il y a une augmentation de plus de 70 fois du nombre d’événements indésirables individuels signalés à EudraVigilance pour le vaccin Covid-19.

Étant donné que les vaccins Covid-19 sont en cours d’essais cliniques, les données d’EudraVigilance sont suffisantes pour établir un signal de sécurité alarmant pour ces produits.

Les plus de 1000 rapports d’événements indésirables survenus chez des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé indiquent la nécessité d’une action immédiate et urgente.

SYSTÈME DE CARTON JAUNE DU ROYAUME-UNI

Les rapports sont faits au programme de carton jaune volontairement par les patients, les parents ou les soignants et par les professionnels de la santé. Les fabricants sont légalement tenus de signaler les problèmes liés aux produits de santé à la MHRA.

Au Royaume-Uni, plus de 53 millions de personnes ont reçu au moins une dose du vaccin contre le Covid-19. Le système britannique de carton jaune documente actuellement plus de 450 000 rapports d’effets indésirables.

Les données sur les cartes jaunes pour d’autres vaccins ne sont actuellement pas disponibles sur le site Web de la carte jaune. Cependant, le paracétamol est l’un des médicaments les plus couramment utilisés au Royaume-Uni. Des millions de personnes au Royaume-Uni ont pris ce médicament pendant plusieurs décennies. Le rapport ci-dessus montre 25 158 réactions et 585 décès associés à son utilisation depuis 1964. Le programme de carton jaune affiche plus de 450 000 rapports de carton jaune liés aux vaccins Covid-19 — une action immédiate et urgente est nécessaire.

SYNTHÈSE

Nombre et types d’événements indésirables signalés sur l’ensemble des bases de données[6]

Leur gravité varie de mineure telle que la douleur au site d’injection à des événements majeurs comme l’arrêt cardiaque, les accidents vasculaires cérébraux, la myocardite et la mort.

Dans VigiAccess, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 1 500 000
  • Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif — ~ 1 000 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 691 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 477 000
  • Troubles vasculaires — ~193 000

Dans EudraVigilance

  • Troubles du système nerveux — ~ 746 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 543 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 344 000
  • Infections et infestations — ~ 220 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 213 000

Dans le système de carton jaune du Royaume-Uni, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 285 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 175 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 135 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 101 000
  • Troubles du système reproducteur et du sein — ~ 57 000

Résultats courants des effets indésirables du vaccin contre le Covid-19 : VAERS

Source : wonder.cdc.gov/

Nombre de rapports sur les VAERS[7]

  • Myocardite/péricardite 22 000
  • Crises cardiaques 6 400
  • Guillain-Barre 2 600
  • Thrombocytopénie 6 000
  • Convulsions/Convulsions 16 000
  • Anaphylaxie 49 000
  • Paralysie de Bell 15 000
  • Thromboembolie veineuse 25 000
  • Arthrite et arthralgie/lésion articulaire 78 000
  • Mort 28 000

Plus de 54 % des événements indésirables signalés au VAERS sont attribués au vaccin Covid-19, y compris le décès, les blessures potentiellement mortelles, l’invalidité permanente, les anomalies congénitales/malformations congénitales, les hospitalisations, les visites aux urgences, les visites chez le médecin et autres.

Il y a plus de 28 000 décès, soit plus de 75 % de tous les décès signalés au VAERS depuis 1990, associés au vaccin Covid-19.

Les événements indésirables dans les bases de données de pharmacovigilance sont sous-déclarés.

Dans une étude comparant la surveillance active et passive des événements indésirables, 8,8 % des personnes sous surveillance active ont signalé un événement indésirable, tandis que seulement 0,1 % de ceux sous surveillance passive.

C’est une différence de 88 fois dans le nombre de rapports pour cette étude particulière. L’OMS note également que la surveillance passive « rend difficile l’exhaustivité et l’actualité de la collecte des données ». Le nombre réel d’événements indésirables survenus dans le temps en relation avec les vaccins Covid-19 serait beaucoup plus élevé que ce qui est révélé par les données de ces bases de données de pharmacovigilance.

Un rapport d’événement indésirable n’indique pas que le vaccin a causé un événement, mais simplement qu’il était lié. Les données VAERS révèlent une relation temporelle étroite entre l’administration du vaccin Covid-19 et l’événement indésirable ultérieur, la majorité des événements indésirables se produisant dans les 2 jours suivant la réception du vaccin. Cela indique une relation causale plus probable.

Le cas unique des vaccins contre le Covid-19 Opération Warp Speed

Lorsque le Covid-19 est apparu comme un nouveau virus en 2019, on savait peu de choses sur sa virulence et sur ses impacts sur la population en général. Les premiers modèles ont surestimé la morbidité et la mortalité de la maladie et, par conséquent, l’opération Warp Speed a été introduite pour accélérer le développement d’un vaccin et d’autres traitements contre le nouveau virus.

TOUS les vaccins contre le Covid-19 sont en phase 3 d’essai. Aucun n’a terminé ses essais phase 3.

L’efficacité et l’innocuité des vaccins contre le Covid-19 n’ont donc pas été établies. Les taux d’efficacité (95-97 % !) et de tolérance allégués par les gouvernements et les agences sanitaires diffusent sans aucune vérification les chiffres fournis par les services de communication des laboratoires pharmaceutiques.

La grippe porcine de 1967 : un cas de campagne de vaccination de masse précipitée

En février 1967, une enquête a été lancée sur la mort mystérieuse d’un soldat américain décédé lors d’un exercice d’entraînement de base. Les tests du CDC ont révélé que le soldat David Lewis avait contracté une souche de grippe porcine. Par la suite, 11 autres soldats ont été testés positifs pour le virus tandis que des centaines d’autres ont été testés positifs pour les anticorps.

Le CDC et le président de l’époque, Gerald Ford, ont adopté une approche « mieux vaut prévenir que guérir » et ont lancé une campagne de vaccination de masse contre la grippe porcine. Des rapports ont fait état d’effets indésirables présumés, notamment de crises cardiaques, du syndrome de Guillain-Barré et de 53 décès signalés. La pandémie ne s’est pas matérialisée, le gouvernement a interrompu le programme de vaccination de masse le 16 décembre.

Une approche « mieux vaut prévenir que guérir » est injustifiée et dangereuse car les preuves n’existent pas pour affirmer qu’une vaccination précipitée est plus sûre que l’exposition à un virus dont on sait peu de choses.

Les rapports faisant état de seulement 50 décès liés à la vaccination contre la grippe porcine ont suffi à mettre définitivement fin au programme.

Les réponses à toute pandémie présumée doivent s’aligner sur les meilleures preuves disponibles sur la nature de la menace et ne pas être guidées par la politique, les médias, leurs liens d’intérêts avec l’industrie ou les émotions du grand public soumis à une intense propagande de terreur.

Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit.

Le vaccin contre la poliomyélite a été rappelé en moins d’un an après 10 décès signalés, le vaccin contre la grippe porcine a été rappelé en moins de 1 an après 53 décès signalés. Le vaccin contre le Covid-19, avec plus de 28 000 rapports de décès associés, n’a pas été rappelé.

Il existe un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19 détectés dans toutes les bases de données examinées dans ce rapport.

Conclusion

Ce rapport visait à examiner les données de pharmacovigilance de VigiAcess, VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card pour les vaccins Covid-19. L’objectif était de déterminer si les données de ces bases de données étaient suffisantes pour établir un signal de sécurité sur ces produits.

Toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport révèlent un nombre de rapports d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 qui sont entre 10 et 169 fois plus que ce qui est observé dans d’autres produits couramment administrés

Il y a plusieurs milliers de rapports d’événements indésirables chez les enfants pour lesquels le produit Covid-19 n’a pas été approuvé

Il existe suffisamment de preuves sur toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport pour établir un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19.

Les bases de données sur la pharmacovigilance, telles que celles examinées dans le présent rapport, reposent sur la surveillance passive. Les événements indésirables sont sous-déclarés.

Les produits Covid-19 sont uniques en ce sens qu’ils ont été développés rapidement et administrés à de grandes populations alors qu’ils étaient encore en phase 3 d’essais cliniques.

Il existe suffisamment de preuves d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 pour indiquer qu’un rappel de produit est immédiatement nécessaire.

Dre Nicole Delépine

Références

AstraZeneca. (May 2022). Case Series Drug Analysis Print: Covid-19 AstraZeneca Vaccine
Analysis Print. Gov.uk.
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1080309/COVID-19_AstraZeneca_Vaccine_Analysis_Print_DLP_25.05.2022.pdf

Connor Stewart. (May 2022). COVID-19 vaccination rate in European countries. Statista.
https://www.statista.com/statistics/1196071/covid-19-vaccination-rate-in-europe-by-country/

Elflein, John. (May 2022). Vaccinations in the U.S.—Statistics & Facts. Statista.
https://www.statista.com/topics/3283/vaccinations-in-the-us/#topicHeader__wrapper

EudraVigilance. (May 2022). European database of suspected adverse drug reaction reports.

European Medicines Agency.
https://www.adrreports.eu/en/eudravigilance.html#

European Centre for Disease Prevention and Control. (May 2022). COVID-19 Vaccine Tracker.

European Centre for Disease Prevention and Control.
https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/covid-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

European Medicines Agency. (May 2022). Human regulatory: EudraVigilance. European Medicines Agency.


 


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Stop aux pass, chantages inefficaces sur la maladie et sources de méfiance contre la vaccination

24/06/2022 (2022-06-24)

Par Gérard Delépine

Le gouvernement s’est félicité de l’efficacité des pass et rêve de les prolonger. Pourtant dans le monde réel, les pass sanitaires se sont révélés sanitairement contre-productifs et économiquement et sociologiquement désastreux. Les chiffres publiés par l’OMS montrent en effet que les pass favorisent les contaminations. Une quinzaine de pays ont instauré des pass. Partout leur installation a été suivie d’une augmentation des cas et d’une épidémie échappant à tout contrôle.

Israël a été le pionnier du pass et y a renoncé

Lors de la première vague, le pic de nouveaux cas journaliers atteignait 6000. Depuis la campagne massive d’injection et l’instauration du pass sanitaire, puis vaccinal, les contaminations ont été de plus en plus nombreuses. Fin janvier 2022 le nombre de contaminations quotidiennes a dépassé les 100000 et en juin 2022 le total des contaminations cumulées dépassait 4,2 millions six fois plus qu’avant l’instauration des pass.

La comparaison des nombres de cas cumulés par million en Israël et en Palestine suggère que la stratégie du tout vaccinal et des pass pourrait peut-être même favoriser les contaminations.

Nadav Davidovitch, expert conseillant le gouvernement israélien constate « maintenir le pass vert sous sa forme actuelle peut créer de fausses assurances ».. Constatant cet échec, le gouvernement israélien a mis fin au pass.[1]

Le sévère échec du pass en Grande-Bretagne a justifié sa suppression

La Grande-Bretagne a suivi la même politique vaccinale et restrictive des libertés qu’Israël. Depuis Omicron, l’échec est patent.

Constatant l’échec sanitaire et les lourdes conséquences économiques et sociales des pass, le gouvernement britannique en a lui aussi décidé la suppression dès le 28 janvier 2022.

Partout en Europe le même constat d’inefficacité des pass s’est imposé. Le Danemark, l’Irlande, l’Islande, Malte, la Tchéquie, la Roumanie, la Hongrie, le Portugal, la Belgique, l’Autriche, l’Espagne, la Grèce, la Suisse, la Suède, la Finlande, L’Estonie, la Lettonie, la Lituanie et l’Italie ont observé l’échec total du pass contre l’épidémie avec l’arrivée d’Omicron.

Et la quasi-totalité de ces pays (Suisse, Suède, Slovénie, Slovaquie, Royaume-Uni, Roumanie, République tchèque, Pologne, Pays-Bas, Norvège, Autriche) a abandonné cette mesure inefficace.

En France aussi les pass ont démontré leur totale inefficacité contre Omicron. Nous n’avons jamais été aussi « vaccinés », aussi soumis à autant de mesures sans justifications scientifiques (pass vaccinal dans les hôpitaux et obligation vaccinale pour les soignants et pompiers) et compté autant de contaminations !

Avant l’instauration des pass, en dix-sept mois d’épidémie, nous avions recensé un peu moins de 6 millions de contaminés. Depuis les pass en 12 mois ce chiffre est passé à plus de trente millions. Il faut être vraiment négationniste des faits établis pour croire encore que cette mesure puisse être bénéfique contre l’épidémie.

Tout dirigeant objectif reconnaîtrait l’échec de cette stratégie et abandonnerait toutes ses mesures inefficaces et mortifères qui démolissent notre jeunesse et notre économie. Mais comme toujours depuis le début de la crise nos dirigeants refusent de considérer les faits avérés et persistent dans leur autoritarisme religieux médicalement stupide et socialement tragique tant pour les professionnels concernés[2] que pour la population privée de leurs compétences avec plus de 20 % des lits fermés faute de soignants, des urgences incapables d’assurer leurs missions et des déserts médicaux qui se multiplient partout.

Même l’INSERM reconnaît la nocivité du pass qui aggrave la méfiance contre la vaccination

Le 25 janvier 2022 sur LCI après avoir réduit unilatéralement la validité de l’immunité « naturelle » de 6 à 4 mois, Olivier Véran annonçait avec gourmandise que des millions de Français allaient bientôt « perdre le bénéfice du pass vaccinal » confirmant ainsi qu’il ne s’agissait pour lui que d’un chantage brutal pour imposer la pseudo vaccination pourtant sans intérêt médical.

Mais même dans ce but les pass sont contre-productifs ainsi que vient de l’affirmer l’étude récente de l’INSERM parue dans Nature[3] :

« Le laissez-passer sanitaire a encouragé la vaccination de nombreuses personnes hésitantes ou réticentes, mais il n’a pas réduit l’hésitation elle-même. Une enquête de septembre 2021 a révélé que 42 % des personnes vaccinées étaient encore réticentes ou avaient des doutes sur le vaccin au moment de leur première dose[4]. Plus important encore, la part des personnes vaccinées ayant des doutes sur le vaccin est passée de 44 % à 61 % après la mise en place du pass santé. Les leçons tirées du laissez-passer sanitaire COVID-19 en France suggèrent que des mesures coercitives telles que la vaccination obligatoire peuvent être efficaces pour augmenter les taux de vaccination, mais ne résolvent pas tous les problèmes qui affectent l’adoption. La vaccination obligatoire contre le COVID-19 risque de politiser davantage la vaccination et de renforcer la méfiance à l’égard des vaccins ».

« Rien ne laisse penser que le laissez-passer sanitaire a convaincu de nombreux sceptiques quant aux avantages de cette vaccination, et il reste une proportion faible, mais considérable (environ 5 à 10 % de la population) qui a décidé de ne pas se faire vacciner contre le COVID-19. La vaccination des personnes hésitantes ou réticentes a des conséquences potentiellement négatives, qui peuvent renforcer la méfiance à l’égard des institutions et du système de santé ».

Ces constatations publiées dans Nature par l’INSERM sont d’autant plus remarquables que l’institut national de la santé et de la recherche en médecine, est un fervent partisan des vaccinations tous azimuts.

Pour sortir de cette situation ubuesque et retrouver la confiance de la population, il est nécessaire que l’état cesse de suivre les recommandations sanitaires de cabinets de conseils trop liés aux industriels du vaccin, qu’il supprime les censures, qu’il reconnaisse ses erreurs, qu’il pratique la transparence totale sur les données sanitaires réelles au lieu de publier des analyses de pure propagande et qu’il base enfin ses décisions sur l’examen des faits réels au lieu de croire en des simulations biaisées.

Dans l’immédiat, il faut supprimer toutes les mesures restrictives des libertés et en premier lieu le pass sanitaire dans les hôpitaux et réintégrer les pompiers et soignants injustement exclus. Mesures qui ne coûteraient pas grand-chose et qui permettraient au système de santé de souffler un peu.

 

 

  1. [1] https://www.rtbf.be/article/coronavirus-pionnier-du-pass-sanitaire-israel-annonce-son-abandon-10937556[]
  2. [2] Rappelons le sort inhumain imposé aux pompiers et soignants vaccino prudents qui ont eu l’honnêteté (le tort ?) de ne pas se faire de faux certificat de vaccination alors qu’ils pouvaient probablement facilement les obtenir aussi facilement que les politiques, et qui se retrouvent sans travail, sans chômage, obligés de changer de profession pour ne pas devenir SDF. Une pareille brutalité n’avait jusqu’ici réservée qu’aux citoyens juifs par Hitler.[]
  3. [3] Jeremy K. Ward, Fatima Gauna, Amandine Gagneux-Brunon, Elisabeth Botelho-Nevers, Jean-Luc Cracowski, Charles Khouri, Odile Launay, Pierre Verger and Patrick Peretti-Wate The French health pass holds lessons for mandatory COVID-19 vaccination.[]
  4. [4] Ward, J. K. et al. http://www.orspaca.org/sites/default/files/Note-SLAVACO-Vague2.pdf (2021) []
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Le ridicule ne tue pas mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite

17/06/2022 (2022-06-17)

Par Nicole Delépine

[Photo : © iStock]

Le ridicule ne tue pas mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite

Ne l’oubliez pas, le vax tue. Il faut obtenir son interdiction mondiale comme le réclament les membres du conseil mondial de la santé après leur analyse rigoureuse de toutes les banques de données internationales officielles :

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le dernier tableau de l’article ci-dessus montre que jusqu’au temps délirant (depuis 2020) on retirait du marché un médicament ou vaccin qui tuait quelques personnes

« Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit. »

LA FOLIE PROGRESSE : PLUTÔT QUE D’ADMETTRE QUE L’INJECTION GÉNIQUE TUE, ILS INVENTENT UN » NOUVEAU SYNDROME D’ORIGINE INCONNUE ».

ON EN EST À INVENTER UN « NOUVEAU SYNDROME : LE SYNDROME DE LA MORT SOUDAINE DE L’ADULTE ».

Bravo ! On n’arrête pas le progrès ou bien sa nouvelle définition wok, la bêtise sans limite, la déconstruction de ce qui est beau, instructif, apaisant, pour aller vers quoi ? Le néant ?

Les candidats au bac ne sauraient pas ce que veut dire « ludique », mais on leur donnera le bac quand même. Il ne faut s’étonner de rien et surtout comme l’avait souhaité le patron de télé Patrick le Lay dans les années 2000, la capture du cerveau humain via les temps d’antenne a révélé sa grande efficacité.

Et comme dit l’auteur de la fabrique des crétins, Brighelli, « on les a voulus, on les a créés, maintenant il va falloir les supporter et leur payer un salaire. » Le but ultime atteint, le crédit social.

LA RÉALITÉ : L’EXPLOSION DE MORTS SUBITES EST LIÉE AUX INJECTIONS ARNM

Très tôt dans l’histoire des pseudovaccins ARNm, les médecins israéliens témoins les premiers de l’injection en masse de la population ont signalé ces morts subites, brutales qui les ont particulièrement choqués lorsqu’ils les observaient chez les jeunes qui ne risquaient rien du covid.[1][2]

Alors aujourd’hui devant ce déni de réalité, n’hésitant pas à inventer une « maladie inconnue » pour innocenter les pseudo vaccins, on croit à un cauchemar.

Avant le Covid étaient décrites d’exceptionnelles « morts subites » (et encore plus rarissimes chez les jeunes) correspondant le plus souvent après les explorations post mortem biologiques et autopsiques à des troubles cardiaques congénitaux et/ou infarctus, AVC, ruptures d’anévrisme, sur des terrains à risque familiaux ou personnels, etc.. L’autopsie et les examens ne revenaient pas négatifs comme ce pseudo nouveau syndrome australien les décrit. On ne trouve rien ![3] On ne trouve aucune allusion au statut vaccinal des sujets concernés dans l’article.

Une augmentation forte d’incidence depuis la vaccination devrait leur mettre la puce à l’oreille si le déni et l’omerta sur les inconvénients de cette injection génique ne les empêchaient pas d’ouvrir les yeux.

Le Dr Cole (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/5822) affirme que les décès « soudains » chez les jeunes sont causés par les injections covid[4].

Extrait de sa vidéo :

Dr Ryan Cole :

« Ces “morts soudaines” ? Quelle blague.

Il y a des gens qui sont venus avec un nouvel article l’autre jour et un nouveau syndrome : le syndrome de la mort soudaine de l’adulte (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6742).[5]

Ce syndrome SADS arrive parce que des personnes reçoivent une injection d’une toxine qui enflamme leur cœur.

Il y a eu des études précoces avec ces injections d’ARNm qui montrent qu’elles font gonfler le cœur, entraînant un manque de circulation, il n’y a plus assez d’oxygène dans le sang et donc cela entraîne une insuffisance cardiaque et la mort. (…)

Et maintenant on voit des centaines d’athlètes mourir alors qu’ils sont à leur top physique.

Nous mettons une nanoparticule lipidique toxique et un ARN modifié dans le corps qui ne s’éteint pas.

(…)C’EST DE LA FOLIE DE CONTINUER À POUSSER LE PRODUIT MÉDICAL LE PLUS DANGEREUX ET MORTEL JAMAIS AUTORISÉ À PERSISTER DANS L’HUMANITÉ. » [6]

« Nous devons nous lever contre cette injection avant que notre nouveau gouvernement n’impose la vax obligatoire y compris aux jeunes enfants ! »

Même le Lancet reconnaît le risque de cette injection pour les cœurs des jeunes personnes : — 11 juin Lancet : « le risque de myocardite/péricardite lié au vaccin est plus élevé chez les moins de 25 ans »

Rappelons que ces jeunes sont à risque ZÉRO DU COVID !

COMMENT ADMETTRE LA COÏNCIDENCE —15 juin TIMES : « la FDA recommande l’autorisation d’urgence du vaccin #COVID19 de #Moderna pour les enfants âgés de 6 à 17 ans » si ce n’est une volonté claire de dépopulation ?

LE LANCET A ENFIN AVOUÉ LA DANGEROSITÉ DU PSEUDO VAX[7][8]

La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna juin 2015, 2022 :

une étude a conclu que le vaccin ARN anti-Covid de Pfizer et de Moderna présente un risque élevé de myocardite et de péricardite. On peut lire :

« un risque accru de myocardite et de péricardite a été noté après la vaccination contre la Covid et a été plus fort chez les hommes âgés de 18 à 25 ans après la prise de la seconde dose. Cependant, l’incident était rare ».

D’après The Lancet, sur 15 148 369 de personnes ayant reçu le vaccin, 411 cas de myocardite et de péricardite ont été notés.

Une étude similaire, menée en France a abouti aux mêmes conclusions. En effet, dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a pu consulter l’étude menée par l’institut EPI-PHARE (épidémie des produits de santé) dans sa version originale. Elle confirme que les vaccins Pfizer et Moderna présentent des risques de myocardite et de péricardite tout en précisant toutefois que le risque est peu fréquent.

« un total de 919 cas de myocardites (âge médian de 26 ans, 21 % de femmes) et 917 cas de péricardites (âge médian de 34 ans, 38 % de femmes) sont survenus parmi des personnes âgées de 12 à 50 ans en France pendant la période d’étude. Ces cas ont été appariés respectivement à 9190 témoins (pour la myocardite) et 9170 témoins (pour la péricardite). »

L’étude souligne que les jeunes hommes âgés de moins de 30 ans ont été les plus exposés :

« Globalement, la vaccination par les vaccins Pfizer BioNTech et Moderna était associée à une augmentation des risques d’hospitalisation pour myocardite et péricardite dans les 7 jours suivant la vaccination.

L’association avec le risque de myocardite apparaît particulièrement marquée chez les jeunes hommes de moins de 30 ans, en particulier au décours de la deuxième dose du vaccin Moderna conduisant à un excès de cas atteignant de l’ordre de 132 par un million de doses dans cette tranche de la population », révèle EPI-PHARE.

Un chirurgien cardiovasculaire japonais : Arrêtez dès maintenant les rappels de vaccins en raison des risques graves qu’ils présentent (anguillesousroche.com)

« Tout d’abord, le chirurgien cardiovasculaire rappelle à tous la nature décroissante de l’efficacité des vaccins. Au huitième mois, après l’administration de deux doses du vaccin COVID-19, l’immunité “était inférieure à celle des personnes non vaccinées”. L’Agence européenne des médicaments (EMA) suggère d’éviter les rappels fréquents, car ils pourraient “avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire et ne sont pas forcément réalisables.” Kenji Yamamoto a écrit un article de commentaire dans le Virology Journal, une revue en libre accès et évaluée par des pairs. Il est chirurgien au département de chirurgie cardiovasculaire de l’Okamura Memorial Hospital, au centre des varices de Shizouka, sur la côte centrale du Pacifique de Honshu et près du mont Fuji. Dans une lettre à la rédaction, le Dr Yamamoto déclare : “Par mesure de sécurité, il convient d’interrompre les vaccinations de rappel et de prendre plusieurs autres mesures pour les patients vulnérables.” Ce chirurgien cardiovasculaire respecté reconnaît que les médias censurent les blessures liées au vaccin COVID-19, y compris les décès. »

ET le débat s’invite ENFIN sur cnews 17/06/22 A QUAND BFM TV ?

Marie-Estelle Dupont psychologue (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/4510) lit une déclaration de pédiatres sur les effets secondaires des injections Covid sur les enfants

« Étant donné ce qu’on a rencontré comme effets secondaires rapportés par les centres de contrôle des maladies, il n’y aurait pas de bénéfice à vacciner les enfants.

Nous sommes d’accord avec la vaccination en principe, et nous avons confiance aux garanties réglementaires. Toutefois nous comprenons que les injections Covid-19 ne sont pas des vaccins traditionnels… Pas assez de recul.

Nous pensons que la confiance des fournisseurs de soins médicaux et du public a été violée.

Il y a clairement un débat à poser. »

(…)

Le CDC révèle qu’au moins 49 878 enfants de 0-17 ans ont subi un effet indésirable dû à la vaccination contre la Covid. »[9]

MÊME LE PR. DELFRAISSY, GRAND CHEF DES MANŒUVRES ANTICOVID ET DE LA GUERRE AU VIRUS, A RECONNU LE LIEN :

ET ON SAIT POURQUOI La protéine Spike provoque une réponse de l’interleukine 1B chez les enfants (pas autant chez les adultes), comme le prouvent des études chinoises.

L’IL-1B est associée à l’amyloïde A sérique entraînant une myocardite pouvant entraîner une mort subite.[10]

On peut être étonné par le surprenant dialogue du Pr Delfraissy et un étudiant de science à Sciences Po Lille, le 15 03 2022

Vidéo 1/2 https://twitter.com/i/status/1534955758382718976 (reproduction de l’échange de la vidéo par un aimable correspondant vigilant

L’étudiant :

« Bonsoir Mr Delfraissy

3.3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de données OMS

23 000 morts aux USA

36 000 morts dans l’UE

Imputables au vaccin

Et je dis le mot imputable

Parce que ces vaccins consistent à injecter le code génétique de la protéine spike

Et cette protéine a une toxicité

Elle se colle sur les récepteurs ACE2 sur les cellules endothéliales à l’intérieur des vaisseaux sanguins

Et on a observé des thromboses, des myocardites, des AVC… tout un tas de choses qui sont qui sont reliés à ces toxicités on a également observé des rechutes de cancers il y a de nombreuses études des autopsies des choses comme ça… in vitro également…

Et des maladies neurodégénératives ainsi que des réveils de maladies auto-immunes

Ma question

Mr Delfraissy c’est : pourquoi malgré une toxicité » qui est quand même importante pour un médicament pourquoi ces vaccins continuent de bénéficier de leur autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM conditionnelle) et étant donné finalement leur moindre efficacité… parce que finalement après quelques mois l’efficacité même sur les formes graves, baisse

Je voulais savoir si selon vous la balance bénéfices/risques est toujours suffisante pour permettre à ces vaccins de rester sur le marché ??? »

Pr Delfraissy :

« Euh… … je crois qu’honnêtement vous n’êtes pas très chaud pour les vaccins ! Si je vous entends.

Bien sûr qu’il y a des effets secondaires… mais dans la balance bénéfices/risques au niveau individuel chez en particulier les patients les plus âgés les plus fragiles ayant un déficit immunitaire oui je vous dis ce soir je suis très à l’aise pour vous dire que le rapport bénéfices/risques il reste en faveur d’un vaccin

Ça, c’est un premier point

Cependant, là où vous pouvez m’argumenter c’est en population plus générale c’est une vraie question que je n’ai pas totalement résolu dans ma tête qu’on vaccine pourquoi vacciner une population jeune qui a nettement moins de chances enfin moins de risques plutôt de développer une forme sévère et une forme grave »

…………………

Vidéo 2/2 https://twitter.com/i/status/1534957878884323334

Pr Delfraissy :

« On l’a fait parce qu’il y a un risque qui existe quand même qui n’est pas nul.

Deuxièmement parce qu’il y avait une vision de protection également contre l’infection.

Mais en effet — et je suis le premier à vous l’avoir dit que ces vaccins protègent modérément contre l’infection —, on ne peut pas dire qu’ils ne protègent pas. Ils protègent modérément, donc du coup plus on va vers la tranche d’âge des plus jeunes, plus en effet le bénéfice individuel est difficile à mettre en évidence.

D’où d’ailleurs les citoyens ont tranché et en France c’est très clair.

On est chez les enfants de 5 à 11 ans avec actuellement avec en gros 5 à 6 % d’enfants vaccinésEt je ne pense pas qu’on fera beaucoup bouger les lignes.

La Guadeloupe est finalement le seul vrai moment en France avec un tout petit peu au début sur l’est de la France lors de la première vague où on a vraiment trié du malade en réanimationLe reste on est à peu près passé sur du vrai triage.

Bien sûr, les personnes âgées, les plus âgées ont été moins prises en charge.

Mais il n’y a pas eu de vrai triage.

Sauf dans 2 zones — l’Alsace et la partie est de la France — lors de la première vague et la Guadeloupe au mois d’août 2021.

Donc ça montre bien vaccination plus, vaccination moins…

Bon après si vous ne voulezpas y croire…

Vous n’avez plus d’obligations. Là maintenant vous avez plus de pass vaccinal. Vous n’avez plus… Bon mais vous ne convaincrez pas de l’inverse. Voilà je suis très ferme sur mes positions.

Et vous faites ce que vous voulez et à vrai dire je m’en fous ! »

J’imagine que l’on va garder cette vidéo au cas où il prendrait à nos dirigeants la triste idée d’imposer l’injection et singulièrement aux enfants.

Alors pour conclure ces drames des dirigeants qui osent conclure qu’ils s’en foutent après avoir interdit d’exercice les soignants non vaccinés, ruinés, suicidaires pour un bon nombre, je vous propose un autre témoignage.[11]

Le père d’un fils tué par le vaccin Covid signale une incitation à la fraude par la FEMA[12]

par WorldTribune Staff, 9 juin 2022

« Non seulement Ernest Ramirez a perdu son fils de 16 ans à la suite d’une crise cardiaque quelques jours après avoir reçu le vaccin Pfizer Covid, mais lorsqu’il a commencé à en parler publiquement, la FEMA lui a offert des dizaines de milliers de dollars en prestations de décès s’il falsifiait le certificat de décès du gouvernement, a-t-il dit dans une interview.

Cinq jours après avoir reçu le vaccin Pfizer, Ernest Ramirez, Jr., un athlète du secondaire et membre du ROTC, s’est effondré en courant sur le terrain lors d’un match de basket-ball dans un parc. Il a été déclaré mort à l’hôpital. »

Ernest Ramirez et son fils Ernest Ramirez Jr.

L’hôpital ne voulait pas lui dire la cause du décès. « Il m’a fallu trois mois pour obtenir son autopsie », a déclaré Ramirez dans une interview avec John Davidson de Broken Truth. « Ils ne voulaient pas me le donner. »

Ce n’est qu’après avoir engagé un avocat que les autorités médicales ont rendu les résultats de l’autopsie : Ernest Ramirez, Jr., est décédé d’une crise cardiaque due à une myocardite attribuable au vaccin.

Connexe Ernest Ramirez, Jr. : L’histoire d’un père au cœur brisé, 3 juin 2022

« L’autopsie a été envoyée au cardiologue Dr Peter McCullough, MD, qui a vérifié que la cause du décès était due au vaccin, rapporte Ramirez. “Son cœur faisait plus du double de la taille normale, qu’il aurait dû être”, a déclaré Ramirez, “et il était recouvert de certains produits chimiques du vaccin. Dr John Witcher, MD,. . . l’a également vérifié”, tout comme le Dr Paul Marik, MD.

« Je veux dire que nous avons tous ces médecins qui le vérifient. Pourtant, ce n’est pas comme si cela faisait vraiment du bien », a déclaré Ramirez. « Maintenant, il y a tellement de centaines d’enfants qui souffrent de la même chose. S’ils ne meurent pas de myocardite ou de problèmes cardiaques, ils souffrent maintenant. Ils sont sous médication. Ils ne vont pas pouvoir trop s’exercer. Cela signifie : pas de baseball, pas de football, rien, parce qu’ils pourraient avoir une crise cardiaque. Où est-ce réellement sûr ? »

Ramirez avait élevé son fils, un joueur de baseball qui avait hâte de rejoindre l’armée de l’air, en tant que père célibataire. N’ayant pas d’assurance obsèques pour un enfant de cet âge, il a contacté le programme de prestations de la FEMA pour les décès de Covid-19. La FEMA a rejeté la demande. Un décès lié au vaccin Covid n’a pas été considéré comme un décès Covid. La FEMA n’a pas répondu à un WorldTribune. com demande de commentaire.

À cette époque, Ramirez a commencé à s’exprimer publiquement, gagnant une audience nationale en avertissant les parents des dangers du vaccin.

Dans une tournure inhabituelle des événements, rapporte Ramirez, la FEMA l’a ensuite recontacté avec une offre qui semble viser à la fois le piège criminel et un effort pour discréditer son message.

« En décembre, la FEMA m’appelle, me demandant plus de paperasse », a raconté Ramirez. » J’ai dit : « Regarde, tu as tous ses papiers. Tu m’as refusé. Alors, détruisez simplement cette application. Elle m’a mis en attente pendant 45 minutes et m’a demandé de changer le certificat de décès de mon fils pour qu’il indique Covid, et cela m’aiderait financièrement.

« J’ai dit : Non, je ne manquerai pas de respect à mon fils de cette façon. Et comme je l’ai dit, elle a juste fait des allers-retours. Je ne sais pas si elle parlait à quelqu’un d’autre, et elle n’arrêtait pas de me demander de changer le certificat de décès de mon fils », a déclaré Ramirez.

« J’ai dit, Madame, je vous l’ai déjà dit, je ne manquerai pas de respect à mon fils de cette façon. J’ai dit : Je ne falsifierai pas les documents du gouvernement à des fins financières », a-t-il raconté. Après une discussion plus approfondie, « elle a en fait baissé la voix jusqu’à un murmure et m’a dit : » Je suis vraiment désolée, Ramirez « et elle a raccroché. »

En janvier 2022, Ramirez rapporte qu’il a ensuite reçu un e-mail de la FEMA avec des documents similaires, qu’il a transmis publiquement à Steve Kirsch et à d’autres, « pour s’assurer qu’ils voient ce qui se passe ».

Puis, dans la troisième semaine de mai 2022, plus d’un an après la mort d’Ernest Jr., « Je reçois un appel téléphonique et c’est la FEMA », a poursuivi Ramirez. « Ils m’appelaient pour me faire changer à nouveau le certificat de décès. La première fois qu’ils m’ont appelé, ils m’offraient 10 000 $ à 35 000 $ si je le changeais.

Ernest Ramirez Jr.Father of son killed by Covid vaccine reports enticement to fraud by FEMAWorldTribune.com

COMBIEN DE TEMPS LA POPULATION VA-T-ELLE ACCEPTER DE JOUER À L’APPRENTI SORCIER OU À LA ROULETTE RUSSE ?

EST-CE LUDIQUE ????


  1. [1] MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L’ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  2. [2] Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization
    Guy Witberg, M.D., Noam Barda, M.D., Ph.D., Sara Hoss, et all
    Myocarditis after Covid-19 Vaccination in a Large Health Care Organization | NEJM. Oct 21[]
  3. [3] https://www.health.com/condition/genetic-disorders/sudden-death-syndrome[]
  4. [4] [Transféré de ChrisInfos:Traductions,Trump & co] [Vidéo] 07/06/22[]
  5. [5] 08/06/22
    Australie (https://www.msn.com/en-au/news/australia/doctors-trying-to-determine-why-many-young-people-are-suddenly-dying/ar-AAYchZp)
    Des médecins tentent de déterminer pourquoi de nombreux jeunes meurent soudainement :
    « Les personnes âgées de moins de 40 ans sont invitées à faire vérifier leur cœur car elles peuvent potentiellement être à risque de syndrome de mort subite de l’adulte. »
    (https://en.m.wikipedia.org/wiki/Sudden_arrhythmic_death_syndrome) (Syndrome de mort subite par arythmie) a été mortel pour toutes sortes de personnes, qu’elles maintiennent ou non un mode de vie sain et en forme.
    Le SADS “terme générique pour décrire les décès inattendus chez les jeunes”, a déclaré le Royal Australian College of General Practitioners, survenant le plus souvent chez les personnes de moins de 40 ans.
    La Fondation SADS basée aux États-Unis a déclaré que plus de la moitié des 4 000 décès annuels SADS d’enfants, d’adolescents ou de jeunes adultes présentent l’un des deux principaux signes avant-coureurs.
    Ces signes incluent des antécédents familiaux de diagnostic de SADS ou de mort subite inexpliquée d’un membre de la famille, et des évanouissements ou des convulsions pendant l’exercice, ou lorsqu’ils sont excités ou surpris, a rapporté news.com.au. (…)
    Il y a environ 750 cas par an de personnes âgées de moins de 50 ans à Victoria dont le cœur s’arrête soudainement (arrêt cardiaque) “, a déclaré un porte-parole.
    Parmi ceux-ci, environ 100 jeunes par an n’auront aucune cause trouvée même après des investigations approfondies telles qu’une autopsie complète (phénomène SADS).”
    La cardiologue E. Paratz, a déclaré : “le registre de Baker était le premier du pays et l’un des rares au monde à combiner des informations sur les ambulances, les hôpitaux et la médecine légale.”
    “Cela vous permet de voir) que des personnes ont eu un arrêt cardiaque et qu’aucune cause n’a été trouvée à l’arrière”, a déclaré le Dr Paratz. Elle pense que le manque potentiel de sensibilisation peut être dû au fait que “beaucoup se déroulent en dehors des contextes médicaux traditionnels”
    (N.B: Sinon hormis le “SADS” il y a les injections Covid qui ont fait près de 30 000 morts officiels, plus d’un million d’effets secondaires et entraîné les décès de plus de 700 athlètes en 16 mois : source (https://openvaers.com/covid-data) et Source2 (https://t.me/ChrisInfosTrumpAndCo/6700)
    www.msn.com/en-au/news/australia/doctors-trying-to-determine-why-many-young-people-are-suddenly-dying/ar-AAYchZp[]
  6. [6] Source (https://www.bitchute.com/video/3tMs1qBTBvRi/) []
  7. [7] La revue scientifique The Lancet confirme le risque élevé de myocardite du vaccin Pfizer et Moderna — La vérité vous rendra libres (la-verite-vous-rendra-libres.org) []
  8. [8] https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-la-revue-scientifique-the-lancet-confirme-le-risque-eleve-de-myocardite-du-vaccin-pfizer-et-moderna/[]
  9. [9] https://mobile.twitter.com/MyriamHebuterne/status/1537513159665278979[]
  10. [10] ncbi.nlm.nih.gov Myocarditis: An Interleukin-1-Mediated Disease?[]
  11. [11] Father of son killed by Covid vaccine reports enticement to fraud by FEMA–World Tribune: U.S. Politics and Culture, Geopolitics, East Asia Intelligence, China, Geostrategy, Military, National security, Corporate Watch, Media Watch, North Korea, Iran, Columnists: Dennis Prager, Michelle Malkin, John Metzler, Jeffrey Kuhner, John McNabb, Joe Schaeffer, Bill Juneau, Alexander Maistrovoy, Donald Kirk (www-worldtribune-com.translate.goog) []
  12. [12] FEMA for Disasters assistance An official website of the United States Government. Agence fédérale de gestion des urgences[]
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Les masques sont inutiles et dangereux ! Stop aux mensonges médiatiques !

23/06/2022 (2022-06-23)

Par le Dr Gérard Delépine

Mise à jour de la bibliographie internationale sur les masques

Le spectacle affligeant du port de masques par des personnes seules en voiture, ou à vélo ou faisant seules leur jogging désole et témoigne de la persistance de la peur créée et entretenue par le gouvernement et les médias depuis deux ans, et de l’ignorance sur l’inefficacité anti-covid et sur les dangers propres du masque.

Mais le plus affligeant et éthiquement scandaleux est de constater que certains professionnels de santé refusent d’examiner des malades et de les traiter s’ils ne portent pas de masque et que certains n’hésitent pas à leur mentir en prétendant que c’est le gouvernement qui l’impose.

Rappelons les consignes officielles actuelles (18/6/2022) du gouvernement

consultable à Obligation de port du masque : quelles sont les règles ?

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F35351 :

« Depuis le 14 mars 2022, il n’y a plus d’obligation de port du masque en intérieur.

Néanmoins, il y a une exception pour les établissements de santé et établissement médico-sociaux.

En effet, le port du masque peut être imposé pour les personnes de plus 6 ans par les responsables des structures ou locaux professionnels lieux suivants :

  • Hôpitaux, cliniques, centres de santé
  • Cabinets des professionnels médicaux et des psychologues, ostéopathes, chiropraticiens et psychothérapeutes
  • Officines de pharmacie
  • Laboratoires d’analyses médicales
  • EHPAD
  • Domiciles des personnes âgées ou handicapées qui reçoivent des soins »

[Capture PDF de la page :]

 

Ce texte précise donc qu’il n’y a pas d’obligation réglementaire actuelle de port de masque même dans les structures ou locaux professionnels sanitaires, mais seulement la possibilité pour les responsables de ces établissements de l’imposer dans leurs locaux s’ils le désirent.

Le port généralisé du masque ne protège pas de la contamination

L’analyse exhaustive de la littérature internationale des articles publiés sur PubMed le 18/6/2022 est claire : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui.

Les recommandations sur le masquage de masse ont été faites sur la base d’études sur les épidémies de grippe, alors même que l’efficacité du masque contre le virus grippal est incertaine[1] et que ces études n’étaient pas nécessairement applicables au covid 19.

D’ailleurs initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité[2], attitude tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté.

La révision de ses recommandations[3] s’est appuyée sur une métanalyse de simples études observationnelles qui conclue au conditionnel : « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour porter en toute sécurité une protection faciale.

Une personne peut en effet s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévient :

« le masque peut créer « un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».

Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais même dans ces conditions, il n’existe aucune étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination.

Ceux qui prônent l’obligation généralisée du port du masque sont habituellement les mêmes qui réfutent l’utilisation de la chloroquine sous prétexte (faux) qu’il n’existerait pas d’études randomisées montrant qu’elle est efficace. Or la seule étude prospective randomisée pourtant réalisée par des partisans du port du masque et publiée, Danmasq19[4] ne retrouve aucune différence significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas démontrant que le masque ne protège pas celui qui le porte.

Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, sur l’avis « d’experts qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique réelle.

Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques habituées au masque seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens. Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations covid19 en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque) montre que le masquage généralisé de la population n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations par million d’habitants est deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !

Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :

comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune preuve et, que de nombreux indices militent pour son inefficacité ? Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et tolérable, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux.

Le port du masque est source de nombreuses complications

Au 22 juin 2022, la base de données PubMed recense 1165 articles internationaux décrivant des complications du port de masques faciaux.

Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients[5] : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie perçue réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.

L’étude clinique de Zhang, pourtant avocat du masque,[6] a signalé un taux plus élevé de maladies respiratoires parmi le personnel hospitalier portant un masque en tissu par rapport à l’absence de masque de protection au travail.

Complications cutanées

La macroanalyse des membres de l’American Contact Dermatitis Society[7] met en évidence des cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. La dermatite de contact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente[8]. Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI.

L’étude coréenne de Choi SY[9] précise la symptomatologie qui varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %). Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques.

Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.[10]

Hypoxie et troubles respiratoires

En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.

Beder et all[11] ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans.

Kisielinski K et ses coauteurs[12] montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.

L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).

Problèmes de communication

Il existe de nombreuses complications logistiques, physiologiques, psychologiques, sociales et économiques associées au port du masque.

Tsantanie et ses coauteurs[13] montrent que la perception des émotions intentionnelles (celles que l’acteur désire transmettre) est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère.

La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise[14], ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique. L’orthophoniste a un rôle distinct dans la facilitation de la communication afin de garantir la fourniture, l’accessibilité et l’efficacité des services.

Les enfants sont particulièrement victimes du port de masques[15]

Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage des émotions et de la parole est particulièrement menacé.

Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.

En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ? Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent.

Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge ou ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.[16][17]

Les troubles psychologiques et psychiatriques[18]

Le port du masque est un facteur favorisant la survenue de stress et de morosité. Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui19.

Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque chez les personnes fragiles et même chez de nombreuses autres personnes a priori équilibrées qui décompenseront. Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux de lits de psychiatrie générale à l’hôpital, atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS. De plus l’augmentation des moyens en ville, où les centres médico-psychologiques sont saturés n’ont pas suivi. Les psychiatres ont fui l’hôpital public, où 30 % des postes de titulaires sont vacants.

Le recul montre qu’effectivement les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé.

L’augmentation de l’anxiété, de la dépression et du stress d’abord constaté en Chine[19][20][21] s’est diffusée partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes.

Les enfants ont été particulièrement touchés[22] et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province.

D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.[23]

Il n’est pas éthique de refuser d’examiner un malade

Le serment d’Hippocrate considéré comme l’un des textes fondateurs de la déontologie médicale rappelle qu’un médecin ne peut refuser d’examiner un malade.

Dans sa version française[24]:

Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité.

Ou dans sa version internationale du serment de Genève :

JE NE PERMETTRAI PAS que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, de croyance, d’origine ethnique, de genre, denationalité, d’affiliation politique, de race, d’orientation sexuelle, de statut social ou tout autre facteur s’interposent entre mon devoir et mon patient

D’ailleurs même au temps de la peste (qui tuait près de 40 % des malades) les médecins accomplissaient leur devoir sans exiger des malades qu’ils portent un masque.

Il est donc particulièrement choquant d’apprendre que certains confrères violent leur serment d’Hippocrate en refusant d’examiner des malades au prétexte qu’ils ne portent pas de masque.

L’ordre a rappelé que la non-vaccination ne fait pas partie des raisons justifiant un refus de soins. Un docteur ne peut donc pas déontologiquement refuser de soigner un patient parce qu’il n’est pas vacciné contre le Covid. On peut espérer que le non-port du masque sera prochainement le sujet d’un même rappel à la déontologie.

Il faut espérer que sans attendre ce rappel éthique, de nombreux médecins supprimeront ces exigences infondées du port de masque pour les consulter.

Et s’ils ont encore peur qu’ils se rappellent que lors de la première vague (avant tout vaccin) les Indiens ont utilisé avec succès la chloroquine pour prévenir les contaminations du personnel soignant et des proches des malades et que l’Inde compte 15 fois moins de cas par millions que la France adepte des masques.

L’Algérie qui a largement utilisé le protocole Raoult compte 75 fois moins de cas par millions que la France

Pour se protéger, les médecins inquiets devraient plutôt se prescrire chloroquine ou Ivermectine !


  1. [1] Xiao J, Shiu E, Gao H, Wong JY, Fong MW, Ryu S, et al. Nonpharmaceutical Measures for Pandemic Influenza in Nonhealthcare Settings—Personal Protective and Environmental Measures. Emerg Infect Dis. 2020;26(5):967-975. https://doi.org/10.3201/eid2605.190994[]
  2. [2] Organisation Mondiale de la Santé. Conseils sur l’utilisation des masques dans le contexte de la COVID-19 : Orientations provisoires 6 avril 2020. :
    https://apps.who.int/iris/handle/10665/331693[]
  3. [3] https://www.un.org/fr/coronavirus/articles/recommandations-port-du-masque[]
  4. [4] Henning Bundgaard et al Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask Wearers: A Randomized Controlled Trial Ann Intern Med. 2021 Mar;174(3):335-343. doi: 10.7326/M20-6817. Epub 2020 Nov
    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/[]
  5. [5] hu DK, Akl EA, Duda S, Solo K, Yaacoub S, Schünemann HJ; COVID-19 Systematic Urgent Review Group Effort (SURGE)s. Physical distancing, face masks, and eye protection to prevent person-to-person transmission of SARS-CoV-2 and COVID-19: a systematic review and meta-analysis. Lancet. 2020 Jun 27;395(10242):1973-1987. doi: 10.1016/S0140-6736(20)31142-9. Epub 2020 Jun 1. PMID : 32497510 ; PMCID : PMC7263814.[]
  6. [6] Zhang R, Li Y, Zhang AL, Wang Y, Molina MJ. Identification de la transmission aérienne comme principale voie de propagation de la COVID-19. Proc Natl Acad Sci USA. (2020) 117 : 14857–63. 10.1073/pnas.2009637117[]
  7. [7] Yu J, Chen JK, Mowad CM, Reeder M, Hylwa S, Chisolm S, Dunnick CA, Goldminz AM, Jacob SE, Wu PA, Zippin J, Atwater AR. Occupational dermatitis to facial personal protective equipment in health care workers: A systematic review. J Am Acad Dermatol. 2021 Feb;84(2):486-494. doi: 10.1016/j.jaad.2020.09.074. Epub 2020 Oct 1. PMID : 33011325 ; PMCID : PMC7528888.[]
  8. [8] Rudd E, Walsh S. Mask related acne (“maskne”) and other facial dermatoses. BMJ. 2021 Jun 7;373:n1304. doi : 10.1136/bmj.n1304. PMID: 34099456.[]
  9. [9] Choi SY, Hong JY, Kim HJ, Lee GY, Cheong SH, Jung HJ, Bang CH, Lee DH, Jue MS, Kim HO, Park EJ, Ko JY, Son SW. Mask-induced dermatoses during the COVID-19 pandemic: a questionnaire-based study in 12 Korean hospitals. Clin Exp Dermatol. 2021 Dec;46(8):1504-1510. doi: 10.1111/ced.14776. Epub 2021 Aug 4. PMID: 34081799; PMCID: PMC8239570.[]
  10. [10] Echasatian L, Lebsing S, Uppala R, Thaowandee W, Chaiyarit J, Supakunpinyo C, Panombualert S, Mairiang D, Saengnipanthkul S, Wichajarn K, Kiatchoosakun P, Kosalaraksa P. The Effects of the Face Mask on the Skin Underneath: A Prospective Survey During the COVID-19 Pandemic. J Prim Care Community Health. 2020 Jan-Dec;11:2150132720966167. doi: 10.1177/2150132720966167. PMID: 33084483; PMCID: PMC7786409.[]
  11. [11] Beder A, Büyükkoçak U, Sabuncuoğlu H, Keskil ZA, Keskil S. Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery. Neurocirugia (Astur). 2008 Apr;19(2):121-6. doi: 10.1016/s1130-1473(08)70235-5. PMID: 18500410.[]
  12. [12] Kisielinski K, Giboni P, Prescher A, Klosterhalfen B, Graessel D, Funken S, Kempski O, Hirsch O. Is a Mask That Covers the Mouth and Nose Free from Undesirable Side Effects in Everyday Use and Free of Potential Hazards? Int J Environ Res Public Health. 2021 Apr 20;18(8):4344. doi : 10.3390/ijerph18084344.[]
  13. [13] Tsantani M, Podgajecka V, Gray KLH, Cook R. Comment la présence d’un masque facial chirurgical altère-t-elle l’intensité perçue des émotions faciales ?. PLoS One. 2022;17(1):e0262344. Publié le 13 janvier 2022. doi : 10.1371/journal.pone.0262344[]
  14. [14] Marler H, Ditton A. « I’m smiling back at you » : Exploring the impact of mask wearing on communication in healthcare. Int J Lang Commun Disord. 2021 Jan;56(1):205-214. doi: 10.1111/1460-6984.12578. Epub 2020 Oct 10. PMID : 33038046 ; PMCID : PMC7675237.[]
  15. [15] Et les complications psychologiques, sociales, scolaires, physiques sont légion. Voir « les enfants sacrifiés du covid » par G et N Delépine, éditions Fauves, janvier 2022.[]
  16. [16] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/confinement/il-ne-me-reconnaissait-plus-avec-le-masque-la-crise-du-covid-19-bouleverse-le-quotidien-des-services-pedopsychiatriques_4276445.html[]
  17. [17] Masques obligatoires, jeunesse et enseignement, des dangers sous-estimés — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  18. [18] Le masque, baillon qui interdit la parole, base de la relation à l’autre — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) []
  19. [20] Cao W., Fang Z., Hou G., Han M., Xu X., Dong J. L’impact psychologique de l’épidémie de COVID-19 sur les étudiants en Chine. Psychiatrie Res. 2020 [112934[]
  20. [21] Wang C., Pan R., Wan X., Tan Y., Xu L., Ho C. Réponses psychologiques immédiates et facteurs associés au stade initial de l’épidémie de maladie à coronavirus de 2019 (COVID-19) dans la population générale en Chine. Int J Environ Res Public Health. 2020[]
  21. [22] Zhang S., Wang Y., Rauch A., Wei F. Perturbation sans précédent de la vie et du travail : santé, détresse et satisfaction de vivre des adultes qui travaillent en Chine un mois après le début de l’épidémie de COVID-19. Psychiatrie Res. 2020 [112958[]
  22. [23] Port du masque et troubles chez les enfants : le constat édifiant de Marie-Estelle Dupont
    https://www.lactucitoyenne.fr/actualites/sante/port-du-masque-et-troubles-chez-les-enfants-le-constat-edifiant-de-marie-estelle-dupont[]
  23. [24] Santepubliquefrance.fr/dossiers/coronavirus-covid-19/enjeux-de-sante-dans-le-contexte-de-la-covid-19/articles/sante-mentale-et-covid-19[]
  24. [25] https://www.conseil-national.medecin.fr/medecin/devoirs-droits/serment-dhippocrate[]
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