« À TOUS CEUX QUI SONT MORTS SEULS », par le DR Alain COLLIGNON
« L’ordre se lave les mains pendant qu’on cloue Hippocrate sur sa croix »
Vidéo à ne pas manquer pour comprendre tout ce qui s’est passé depuis trois ans en ce qui concerne le Covid19.
Merci à Alain Colignon qui a fait cette belle vidéo et à Pascal Sacré qui la diffuse largement, médecins belges qui (avec quelques rares autres dans plusieurs pays du monde) ont sauvé l’honneur de notre profession.
PRENEZ LE TEMPS DE L’ÉCOUTER ET DE LA PARTAGER.
Les pieds nickelés font de la science, dixit le PR Raoult à juste raison.
Le « virage vers les ténèbres » de la Science contemporaine
Commentaire du film par le réalisateur le DR Colignon
« L’aphorisme par lequel Richard Horton, éditeur du Lancet, évoque est le mobile central du court-métrage que j’ai réalisé. Ce court-métrage s’articule sur 2 sujets principaux relatifs à la corruption des scientifiques :
Le premier traite de la véritable criminalité scientifique avec l’exemple du Professeur Mandeep Mehra de la Medical School de Harvard.
Le second traite de la corruption “politiquement correcte”, avec le docteur Nicolas Dauby, du CHU Saint-Pierre, archétype du mensonge scientifique “sincère” ou “naïf”, banalisé et admis aujourd’hui par une paradoxale “néo-coutume” médicale.
Cette corruption plus insidieuse et difficilement détectable résulte davantage de la façon dont on sélectionne les experts que de leur manque de loyauté ou de sincérité… Un labo pharmaceutique n’est plus confronté aujourd’hui, à la nécessité d’acheter un médecin pour qu’il mente, pour qu’il trahisse sa pensée ou pour qu’il en nuance les conclusions. Il suffit que ce labo soutienne les scientifiques dont l’avis va dans le sens de ses intérêts et qu’il ostracise ceux qui émettent des opinions dangereuses pour ses cibles commerciales. En raison de ce “Cherry Picking” opportuniste, un médecin dont les travaux ne sont pas favorables à l’utilisation d’un produit ou d’un dispositif médical, n’a aucune chance d’être invité à un congrès, d’être lu par des reviewers, d’être soutenu dans ses recherches, d’être engagé dans une institution financée par le secteur privé ou d’être interrogé par les grands Médias. Il est et reste “invisible”… On retrouvera dans les congrès et dans les institutions de recherche, des médecins sincèrement favorables aux objectifs de ses sponsors, et c’est sans arrière-pensée qu’ils les serviront, parfois au mépris volontaire ou involontaire de la vérité. Les truands qui traînent des valises de billets ne sont plus vraiment utiles à un secteur qui a fait main basse sur les Universités, sur les instituts de recherche et sur les organes officiels comme Sciensano et l’OMS.
Le Président de l’Ordre de Bruxelles et du Brabant Wallon a courageusement pris l’initiative d’un débat déontologique le 4 février au Château du Lac à Genval. Il serait raisonnable d’y aborder l’important sujet des conflits d’intérêts, souterrains, lointains, apparemment inoffensifs et pourtant si délétères pour la santé publique avec sagesse, avec raison, avec sérénité. Mettra-t-il à l’ordre du jour, l’analyse méticuleuse de cette corruption larvée qui laisse grandir son invisible mycélium sous nos vérités les plus sacrées ? Empêchera-t-il ce symposium de se transformer en messe basse servie sur l’autel de la bienséance ? Si le docteur Melot a le courage, en vertu d’une charge ordinale qui fait de lui le maître supérieur de nos consciences, d’engager une lutte décisive contre la tyrannie de l’argent, il laissera assurément une trace dans l’histoire de notre admirable métier, qui doit se mettre inconditionnellement et sans la moindre ambiguïté, à l’entier et unique service du patient ».
APPEL CONTRE LA CORRUPTION EN SCIENCE ET SANTÉ DE 2002
Une épidémie de corruption sévit dans notre profession.
N’a pas été entendu malgré tous ceux qui suivront.
Les mises en garde ne furent pas entendues et la situation ne fit que s’aggraver comme l’explique le DR A. Colignon dans son film. Les livres, vidéos, éditoriaux s’accumulèrent dans le silence médiatique complet. Les professionnels se soumettaient pour ne pas risquer les ennuis des quelques résistants (refus de nomination universitaire, refus de publication d’études dans les revues ou dans les congrès internationaux). Nous avons tous vécu ce que raconte si bien le Dr Colignon. Une anecdote (rigolote ?) : un article capital sur le sarcome d’Ewing vers 1999 nous fut refusé pour « mauvais anglais » mais de fait c’était un article commun avec le célèbre et trop vite disparu le Pr américain G Rosen… Combien de patients auraient-ils pu bénéficier plus tôt de la chimiothérapie préopératoire facile et efficace et bénéficié d’une chirurgie conservatrice si ce papier novateur n’avait pas été censuré ?
À QUAND LA GRANDE LESSIVE ?
Marcia Angel a démissionné en 2004 puis son successeur en 2007 pour dénoncer la corruption des revues médicales les plus prestigieuses. Le pire est que les patients largement avertis, s’ils le souhaitent, font majoritairement l’autruche et préfèrent croire les mensonges bien présentés que la triste vérité. De tout temps, semble-t-il…
Car la corruption en médecine ne touche pas seulement certains leaders d’opinion et quelques revues. Depuis plus de 20 ans, elle s’est emparée des agences sanitaires devenues « captives »1 des seuls intérêts de l’industrie pharmaceutique expliquant des décisions de plus en plus discutables et l’apparition récurrente de scandales sanitaires de plus en plus catastrophiques. Après le scandale du sang contaminé, de l’amiante, du chlordécone, de l’hormone de croissance, le médiator a causé quelques milliers de morts, le Vioxx 60000 à 500 000 morts2 aux USA et les opioïdes encore plus (actuellement100 000 morts chaque année depuis 2020)34.
LA CORRUPTION TUE LA SCIENCE ET AUSSI BEAUCOUP DE MALADES !
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2023/01/4eme-de-couv-.jpg655871Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2023-01-30 13:08:262023-01-30 13:08:59CORRUPTION ET MEDECINE : un drame qui date de plus de deux décennies
À l’heure où l’extrême toxicité potentielle de certains lots de « vax » anticovid (la roulette russe) déferle sur tous les médias mondiaux dont certains mainstream, ce que nous — médecins et soignants — recevons de la direction générale de la santé (DGS) nous invite à vous parler une nouvelle fois des risques des injections anticovid chez les enfants, de plus parfaitement inutiles pour une maladie curable par de simples médicaments et n’ayant aucun risque létal chez l’enfant tout particulièrement.
Courrier en date du jeudi 19 JANVIER 2023 alors que défilent des millions de personnes dans les rues de France pour s’opposer à la réforme des retraites et plus globalement s’opposer à la politique gouvernementale. « [COVID-19] DGS-Urgent n°2023_03 : Ouverture de la campagne de vaccination aux enfants de 6 mois à 4 ans à risque de formes graves de Covid-19 »
On peut y lire : (extraits) :
« La Haute Autorité de santé recommande, dans son avis du 15 décembre 2022, d’ouvrir la vaccination aux enfants âgés de 6 mois à 4 ans à risque de formes graves de Covid-19 ainsi qu’aux enfants de cette même tranche d’âge vivant dans l’entourage d’une personne immunodéprimée, avec le vaccin susmentionné.
La campagne de vaccination concerne les enfants âgés de 6 mois à 4 ans présentant au moins une comorbidité identifiée par la HAS.
La liste des comorbidités regroupe l’ensemble des comorbidités préalablement identifiées chez l’adulte comme pouvant comporter un risque de développer une forme grave de la maladie, ainsi que certaines pathologies particulièrement à risque pour cette classe d’âge, dont la liste est la suivante :
– Les cardiopathies congénitales ;
– Les maladies hépatiques chroniques ;
– Les maladies cardiaques et respiratoires chroniques (y compris l’asthme sévère nécessitant un traitement continu) ;
– Les maladies neurologiques ;
– L’immunodéficience primitive ou induite par médicaments ;
– L’obésité ;
– Le diabète ;
– Les hémopathies malignes ;
– La drépanocytose ;
– La trisomie 21.
À ces pathologies peuvent s’ajouter des situations où, au cas par cas, sur la base d’une évaluation stricte du rapport bénéfice/risque individuel, les médecins spécialistes d’organes et de maladies rares peuvent proposer la vaccination à des enfants du fait d’une vulnérabilité conférant un risque majeur de formes graves de Covid-19.
La campagne de vaccination concerne également les enfants âgés de 6 mois à 4 ans vivant dans l’entourage d’une personne immunodéprimée dans le cadre de la stratégie de cocooning.
La primo-vaccination des enfants âgés de 6 mois à 4 ans comprend l’injection de 3 doses de la forme du vaccin spécifique à cette tranche d’âge (3 µg/dose). Les deux premières doses doivent être administrées à 21 jours d’intervalle. La troisième injection doit être réalisée 8 semaines après la deuxième.
Même en cas d’infection au Covid-19 survenue avant le début du schéma vaccinal ou entre les différentes injections (exemple : infection survenant avant la 1re injection, ou entre la 1re et la 2e injection ou entre la 2e et la 3e injection), les trois doses devront in fine être réalisées, pour garantir une protection optimale.
En cas d’infection au Covid-19, un délai de 3 mois devra être respecté entre l’infection et l’injection. Il est important de compléter un schéma vaccinal entamé. En effet, la protection apportée par seulement deux doses pour cette classe d’âge est insuffisante. La protection est optimale après la troisième injection.
Il est par ailleurs possible de recevoir un autre vaccin du calendrier vaccinal concomitamment au vaccin COMIRNATY 6 mois 4 ans. Si ceux-ci ne sont pas administrés le même jour, aucun délai spécifique n’est à respecter entre les deux injections.
Les sages-femmes et les infirmiers diplômés d’État (IDE), notamment les IDE puéricultrices et puériculteurs, qui ont l’habitude de vacciner les enfants de cette tranche d’âge, sont autorisés à leur administrer le vaccin dès lors que celui-ci a été prescrit par un médecin.
Comme pour la vaccination des autres publics mineurs, la vaccination des enfants âgés de 6 mois à 4 ans nécessite l’autorisation des deux parents, sauf impossibilité pour l’un des deux parents de recueillir l’accord de l’autre parent. Il n’est en revanche pas nécessaire que l’enfant soit accompagné par un de ses parents. La personne qui l’accompagne doit pouvoir établir qu’elle détient l’accord parental et présenter un formulaire d’autorisation parentale dûment signé par les deux parents.
Le formulaire d’autorisation parentale est disponible ici, et devra être remis au personnel dans le lieu de vaccination. Les formulaires d’autorisation parentale sont à conserver durant 3 mois suivant la vaccination1.
La vaccination des enfants de 6 mois à 4 ans les plus à risque pourra débuter dès la semaine du 16 janvier 2023 dans les établissements de santé et services concernés. Afin de vacciner les autres enfants prioritaires, une offre de vaccination en ville est également proposée. À compter du lundi 23 janvier 2023, les officines pourront commander des flacons du vaccin Comirnaty® pédiatrique 6 mois — 4 ans (Pfizer-BioNTech) pour les médecins, sages-femmes et infirmiers diplômés d’État (IDE) qui leur en font la demande directement sur l’outil de commande de Santé publique France, en sélectionnant le libellé suivant : « VACCIN COVID 19 PFIZER PED 6M4A ».
COMMENT EN 2023 ENCORE INJECTER DES ENFANTS AVEC CETTE SUBSTANCE EXPÉRIMENTALE INEFFICACE ET DANGEREUSE ?
Rappelons une fois de plus les données de santé publique France que les enfants risquent beaucoup moins du Covid que de la grippe :
On nous invite à injecter les enfants de six mois à quatre ans « à risque » parce que porteurs de certaines pathologies. Mais ces petits ont souvent une immunité précaire qui rend les vaccins généralement inefficaces alors que les médicaments tels l’Ivermectine sans toxicité et l’hydroxychloroquine associée aux macrolides suffiraient à la guérir. Et il est maintenant bien démontré que les injections géniques anticovid baissent l’immunité et de plus en plus avec la multiplication des doses.
Comment imaginer que des médecins et sur leurs ordres des sages femmes et infirmiers vont prendre la lourde responsabilité de risquer la vie ou la qualité de vie d’enfants pour une maladie beaucoup moins dangereuse que la grippe pour eux et de plus presque disparue en Europe ?
Comment faire comprendre aux prescripteurs et injecteurs leur immense responsabilité par la confiance que leur font les familles et les dangers qu’ils font courir à leurs petits patients ?
LES TOXICITÉS SE MULTIPLIENT AVEC LE RECUL
Dernières nouvelles du VAERS au 30 décembre 2022 USA : 61 000 évènements indésirables et complications chez les enfants et bébés (6 mois — 17 ans) rapportés par l’agence dépendant de la FDA dont 179 enfants décédés à la suite des injections géniques
Selon le sénateur Ron Johnson
14 janv.
« The VAERS data for children aged 0-17 shows 179 deaths, 575 permanent disabilities and 61,983 adverse events. How many more will it take for
@CDCgov
to admit the truth? » quand le gouvernement américain va-t-il admettre la vérité ?
En UE on connaissait clairement le danger dès janvier 2022
EN UE, EN JUILLET 2022
Des décès chez les enfants après injection génique CONTINUENT à être signalés. Comment la Commission européenne en oct 2022 et à sa suite la HAS peuvent-elles oser recommander ces injections possiblement létales chez de jeunes enfants qui ne risquent rien du covid (même les enfants présentant une comorbidité sont très peu à avoir été véritablement impactés par le covid, moins de dix morts par an).
@El_Dic_TatoR 25 juil. 2022
Plus de 37 000 effets secondaires d’enfants en Europe après vaccination E.M.A (EudraVigilance)
Moderna 2 328
Pfizer 33 311
AstraZeneca 1 240
J&J 187
Le reste des effets secondaires des enfants est volontairement caché dans la catégorie « Âge non spécifié » : 106 304
Et les rapports s’accumulent s’ajoutant aux vécus quotidiens de nombreuses personnes : des parents dont les jeunes enfants ou adolescents décèdent lors d’un match de foot ou d’une compétition de boxe… Les sportifs du monde entier sont atterrés des crises cardiaques et/ou morts sur le terrain. Certains demandent des enquêtes afin que la tragédie s’arrête.
On pourrait multiplier les témoignages et les analyses et de nombreux livres sont en cours de rédaction, accumulant les observations et les déclarations en justice.
Mais nous n’avons pas le temps d’attendre. Ces injections doivent cesser MAINTENANT.
Ou encore ce médecin ému aux larmes :
@ONG_AHSI
17 janv. #STOPvaccincovid19
Pr Abdullah Al Abdulgader, éminent cardiologue, appelle toutes les nations à stopper les injections à ARNm, de toute urgence. #Cardio #myocardite #AVC
Alors écoutons pour une fois la pub du gouvernement sur nos antennes (payé par nos impôts) : « un geste bien répété finit toujours par payer ».
Prenons-les au mot et répétons encore et encore que les injections à ARN messager doivent être stoppées, interdites dès maintenant et singulièrement chez les enfants2.
Participons tous au sauvetage de l’humanité, car si trop d’enfants ou de jeunes adultes sont injectés, la baisse de la fertilité déjà constatée ne fera que s’aggraver3.
En France :
Comme en Italie :
Mais aussi en Hongrie :
Ou au Japon :
Informez par tous les moyens (conversations amicales, familiales, tracts et pourquoi pas réseaux sociaux, etc.) du terrible de danger de ces pseudovaccins. Chacun, même les pluri-injectés, s’il est sollicité par un petit caillou dans son déni pourra constater la véracité de nos propos, chez un ami, un proche, etc. perte de poids rapide, perte d’appétit complète et douleurs du dos et comme par hasard encore un cancer du pancréas… Ou une rechute brutale de cancer du sein en rémission depuis dix ans, ou encore une régression psychique rapide d’un parent qui perd son chemin et ne reconnaît plus ses proches.
ET NE LAISSEZ PAS INJECTER LES PETITS ! C’EST VOTRE DEVOIR D’HUMAIN DE PROTÉGER NOTRE AVENIR.
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpg00Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2023-01-24 19:37:232023-01-24 19:37:23Refusez l’injection génique pour les enfants innocents du Covid19 !
Après trois ans de coma mondial, hypnotique, lié à l’instrumentalisation dramatique du covid19, certains scientifiques se réveillent et critiquent le fonctionnement du circuit du médicament. Tel le papier de Claude Janvier dans mondialisation.ca qui attire fort justement l’attention sur les excès de consommation1 inadaptés aux besoins sanitaires réels.
De fait, la réalité est gravissime depuis les années 2000, avec suppression de l’autorisation d’utiliser des schémas thérapeutiques qui ont prouvé leur efficacité en plus de trente ans d’expérience avec des médicaments devenus peu chers depuis qu’ils sont génériquables. Sur ordre de l’INCa, ces traitements rodés sont remplacés par des essais thérapeutiques systématiques de nouvelles drogues à prix non limités.
Les réunions pluridisciplinaires instaurées par les plans cancer de 2003 permettent l’illusion d’un choix pour les patients qui se croient bien entourés, mais imposent de fait les molécules choisies par les autorités administratives et leurs complices adoubés par Big Pharma.
Cette situation qui a fait chuter la qualité des soins en France a été signalée depuis les années 2000 par de nombreuses tribunes et de nombreux ouvrages (tels ceux du Pr Even,2 ancien doyen de l’hôpital Necker-Enfants malades, de Marcia Engels3 ancienne rédactrice en chef du NEJM démissionnaire après le scandale du VIOXX4, de Peter Goetsche5 éminent fondateur de la fondation Cochrane récemment rachetée par Bill Gates qui a évincé son créateur). Les auteurs de tous ces livres sur l’impact de la capture des agences sanitaires par Big Pharma et sur l’extension autoritaire de leurs pouvoirs sur la pratique médicale n’ont pas été entendus. Nous avons traité dans « soigner ou obéir »,6 en 2016, des conséquences dramatiques des ingérences de la bureaucratie (ARS, HAS, INCa et x observatoires) dans les prescriptions médicales. Le système de santé ne pourra renaître qu’en limitant fortement l’influence des politiques et de la bureaucratie sur l’activité médicale jusque dans les prescriptions.
La population a été témoin de la dérive pendant la crise covid quand les politiques ont interdit aux médecins d’aller soigner leurs malades et de leur prescrire les médicaments efficaces, peu chers et non toxiques.
Un essai remplace l’autre
Il n’est plus possible en France, du moins en cancérologie, d’appliquer un schéma connu aux résultats publiés depuis des lustres, tant le monopole des traitements imposés à tous les centres du cancer est hégémonique. Ainsi, des maladies curables à plus de 80 % pour l’ostéosarcome ostéogénique par des traitements individualisés datant des années 80 et de la grande révolution thérapeutique en cancérologie voient leur pronostic global chuter à 60 % dans le meilleur des cas. Les exemples sont légion dans le domaine de cancers autrefois largement curables comme le cancer du sein.
Les malades concernés par le monde du cancer ont vite appris les termes récurrents de « protocoles », de réunions obligatoires qui décident du traitement sans que ni eux ni leur médecin traitant ne soient entendus. En pratique, les protocoles sont identiques de Lille à Marseille en passant par Lyon et Brest et il est devenu impossible d’obtenir un traitement adapté à la personne et à ses choix, même en faisant le Tour de France.
Ils ont vite aussi entendu les qualificatifs de « ringards », dépassés quand ils proposent d’envisager sur proposition d’un collègue ouvert une chimiothérapie classique comme le CMF par exemple pour le cancer du sein. Ces femmes malades auxquelles on a dit qu’il ne restait que « les soins palliatifs » (et bientôt l’euthanasie), après trois essais de « drogues nouvelles » sont horrifiées de découvrir que leur jeune oncologue ne leur propose pas ces schémas anciens et souvent efficaces (souvent il ne connaît pas même leur existence) et les envoie à la mort sans se battre avec les moyens connus. Effectivement, les prix des vieux médicaments sont ridicules (quelques dizaines d’euros) comparés aux milliers d’euros des nouvelles drogues.
Big Pharma fait la loi à l’hôpital public et privé (tous administrés par les ARS) et les médicaments de ville sont soumis à la même loi du marché.
Nouveau moyen complémentaire, le rôle des influenceurs du web est justement mis en exergue par Claude Janvier.
Mais le drame de la surconsommation de médicaments inutiles et dangereux (et en conséquence de l’abandon de traitements efficaces) ne date pas de la croissance des réseaux sociaux, mais bien de la détermination des puissants, décideurs officiels et leurs amis de Big Pharma à imposer les nouvelles drogues à prix délirants par le monopole des décisions et des autorisations ARS de traiter entre autres des patients cancéreux.
Feront-ils à leur tour l’objet d’une plainte en justice comme vont l’être Marc Blata et sa compagne Nadé7 installés à Dubaï, accusés par le collectif AVI (Aide aux victimes d’influenceurs) d’« escroquerie en bande organisée et abus de confiance » ?
À l’hôpital et en ville, l’argent est ROI
L’exemple de « Ozempic » antidiabétique. (ibid 1)
« Son concepteur, le laboratoire Danois Novo Nordisk, aimerait bien le hisser en haut du podium des jeux du même nom ou presque. Sa substance active est la Sémaglutide. Des “influenceurs” dans les réseaux sociaux n’hésitent pas à vanter ses mérites pour la perte de poids. Dans un article de “Trust my Science du 8 juin 2021”, ayant pour titre : “Un traitement contre le surpoids et l’obésité ultra-efficace approuvé par la FDA”, le traitement miraculeux coûte une “blinde”, — 1300 $ par mois —, et les effets secondaires sont des nausées, des diarrhées et des douleurs abdominales ».
« Depuis plusieurs mois, les propriétés coupe-faim de l’antidiabétique Ozempic (Sémaglutide) font l’objet d’une communication virale, et son détournement à des fins amaigrissantes sauvagement promu sur les réseaux sociaux provoque des tensions d’approvisionnement délétères pour les patients diabétiques. Le phénomène n’épargne plus la France »
Selon Claude Janvier :
« L’univers de la communication et de la propagande est à géométrie variable. Tout est permis quand vous êtes du “bon côté”. Pas de censures, pas de risques d’exclusions des réseaux sociaux, pas de plaintes déposées par les labos, pas de mise en garde des GAFAM.
Même la publicité pour “Copenhague Pride” est vantée dans la page Facebook de Novo Nordisk. Extrait : “20 août 2022 : plus de 500 collègues se joignent au défilé de Copenhague Pride pour célébrer la diversité, l’inclusion et l’amour. Tant de joie dans les rues. Souvenons-nous de cela tous les jours et transformez-le en action pour tous.”
Il y aurait à peu près 100 000 influenceurs en France. Mais qu’est-ce qu’un influenceur ? Ce terme désigne toute personne qui dispose d’une notoriété sur une thématique spécifique au travers du web et notamment dans les réseaux sociaux. »
En laissant le champ libre ou presque à leurs influenceurs VRP, Novo Nordisk, comme d’autres laboratoires pharmaceutiques, peuvent mettre en danger la vie d’autrui, tout en empochant des bénéfices juteux. Comme trop souvent, le risque est minimisé et le dividende est roi ».
Si le rôle d’influenceurs est néfaste, il faut se demander qui ont été les principaux « influenceurs » et créateurs de fake news pendant cette période covid si ce n’est le gouvernement via les publicités (mensongères) sur la conduite à tenir (ne pas aller voir votre médecin, et appeler le 15 si aggravation) et surtout les litanies sur l’intérêt de l’injection pour protéger les grands-parents… (tous vaccinés tous protégés, vaccins efficaces à 95 %, sans risques…)
Aujourd’hui encore alors que chacun sait que cette piqûre dangereuse ne protège de rien, même pas des contaminations, la DGS tente de nous faire injecter les enfants de 6 mois à 4 ans qui seraient dans l’entourage d’une personne immunodéprimée !
Qui est donc le plus gros influenceur en France en ce moment ?
Quelques exemples du détournement du rôle des médicaments par la loi du marché au service de la finance et non de la santé
Le blog du pharmacien François Pesty donne de nombreux exemples de la dérive depuis les années 2000.
Extraits : « 15/09/20179 — Comment 8 firmes ont-elles triché, avec la complicité de rhumatologues et la crédulité des agences, pour faire croire à la supériorité de leurs nouvelles biothérapies sur HUMIRA® dans le traitement de fond de la polyarthrite rhumatoïde après échec du méthotrexate ?
Nous connaissions les médicaments “me-too”, il faudra désormais aussi composer avec les essais cliniques “me-too”…
Dans l’ordre alphabétique, Bristol-Myers-Squibb, Janssen Biologics (Groupe Johnson & Johnson) en partenariat avec GSK, Lilly, Pfizer, Roche (en co-promotion avec Chugaï Pharma France), et Sanofi, sont les 8 firmes pharmaceutiques tricheuses. »
Dans l’ordre chronologique de la tricherie répétée, organisée, voire concertée, voir directement le tableau du site de François Pesty et les commentaires :
Illustration avec OLUMIANT®, bariticinib, de la firme américaine Lilly :
En effet, ce mardi 12 septembre 2017, le JO publiait 3 textes réglementaires concernant les 4 présentations de cette toute nouvelle spécialité pharmaceutique :
— Un arrêté du 8 septembre 2017 d’inscription sur la liste des médicaments remboursés aux assurés,
— Un arrêté du 8 septembre 2017 d’inscription sur la liste des médicaments remboursés aux collectivités
— Un avis relatif au prix d’OLUMIANT®, JO du 12 septembre 2017
« Les prix étant applicables 4 jours après la publication au JO, nul doute que des rhumatologues vont se ruer pour prescrire cette nouvelle biothérapie, à plus de 9 000 € de coût de traitement annuel ».
LE SYSTÈME INFLATIONNISTE DE LA LISTE EN SUS ET DE LA T2A
La liste en sus qui ne devait qu’être transitoire ou au moins limitée, toujours en cours, permet toutes les dérives. Voici ce qu’en disait le pharmacien François Pesty10 en 2011
« La liste des médicaments onéreux (prévue à l’article L.162-22-7 du Code de Sécurité Sociale), qui avait originellement vocation à faciliter l’accès pour tous les patients aux innovations thérapeutiques forcément coûteuses, représente aujourd’hui 40 % à 60 % de la dépense totale en médicaments des grands centres hospitaliers, universitaires ou non. Une dépense totale qui a plus que doublé en à peine dix ans, en grande partie avec la création de cette liste.
Cette liste dispendieuse qui devait être remaniée, supprimée, limitée, est apparemment toujours en cours.
« Note en juillet 2022 11: Notice d’information relative à la procédure d’inscription et de radiation d’une spécialité pharmaceutique dans une ou plusieurs indications thérapeutiques d’une des listes mentionnées à l’article L. 162-22-7 ou L162-23-6 du code de la sécurité sociale.
Résumé : Cette notice d’information a pour objet de décrire la procédure de demande d’inscription ainsi que la procédure de radiation d’une spécialité pharmaceutique dans une ou plusieurs indications thérapeutiques d’une des listes mentionnées à l’article L. 162-22-7 ou L. 162-23-6 du code de la sécurité sociale, dites listes “en sus”, en application des articles R. 162-37 à R. 162-37-5 ou R. 162-34-12 à R. 162-34-15 du même code. »
« En 2017, la dépense pour les médicaments et dispositifs médicaux figurant sur la liste des produits et prestations pris en charge par l’assurance maladie obligatoire en sus des prestations de séjour et d’hospitalisation, dite “liste en sus”, s’élève à 5,4 milliards d’euros. Cette dépense a augmenté de 8,5 % par rapport à 2016, et de 30 % en cinq ans, bien plus rapidement que l’ensemble de la consommation des soins hospitaliers (+9,8 % depuis 2012) »
« Elle représente 5,8 % de la consommation hospitalière et se concentre sur un faible nombre de médicaments et de dispositifs médicaux ».12
Les traitements anticancéreux et pour les maladies auto-immunes représentent 80 % des remboursements de la liste en sus.
Deux classes thérapeutiques de médicaments comptent pour 80 % de la dépense totale : les antinéoplasiques (L01, médicaments anticancéreux), pour un peu plus de 60 %, et les immunosuppresseurs (L04, traitements pour les maladies auto-immunes), pour un peu moins de 20 %.
La classe des antinéoplasiques augmente fortement en 2017 (+21 %), s’élevant à 2,1 milliards d’euros. La dépense pour les immunosuppresseurs recule légèrement en 2017 (-1 %), pour s’établir à un montant de 640 millions d’euros. D’autres classes ont un poids non négligeable sur la dépense en 2017 : — les sérums immunisants et immunoglobulines (J06) : 8 % de la dépense — les autres produits liés au tractus digestif et au métabolisme (A16) : 5 % ; — les antihémorragiques (B02) : 4 % ; — les antimycotiques (J02) : 3 %.
AGENCES, AUTORISATIONS
Le drame est bien sûr l’autorisation du remboursement de médicaments au service médical rendu nul (ASMR V) ou faible, via les très probables conflits d’intérêts multiples et dénoncés depuis tant d’années.
« L’objet social des firmes pharmaceutiques est, comme pour toute entreprise, de réaliser des profits en vendant un produit. Et elles y excellent : la pharmacie est de loin le secteur industriel le plus rentable. La marge sur les médicaments phares (“blockbusters”) atteint ainsi 80 % (1), selon l’enquête sectorielle réalisée par la Commission Européenne. De surcroît, c’est un secteur peu sensible aux cycles économiques, moins risqué que la plupart des secteurs industriels. Ainsi la valorisation boursière de Roche a augmenté de 8,1 milliards d’euros en 2013, en pleine crise économique. Les actions des firmes pharmaceutiques figurent systématiquement dans les portefeuilles des gestionnaires de fonds, en tant que valeurs “défensives”.
« Cette économie de rente a été rendue possible grâce à la conjonction de deux stratégies : l’évitement du risque de recherche, en chargeant la recherche publique et les PME de tous les risques de recherche fondamentale, et l’éviction du risque réglementaire en capturant les autorités chargées de réguler le secteur (Agence Européenne du Médicament, ANSM notamment).
Le marketing, dont l’essentiel consiste en l’établissement de liens d’intérêts avec les professionnels de santé, est une activité indispensable pour servir efficacement cet objectif. Cette activité est tellement stratégique qu’elle engloutit en France 3 milliards d’euros par an selon un rapport de l’IGAS (Inspection générale des affaires sociales) de 2007. Un chiffre à comparer au déficit de la branche maladie de la Sécurité Sociale, de 4,6 milliards la même année, et qui représente en moyenne pour un laboratoire le double de son investissement en recherche.
Grâce à l’établissement de liens étroits au sein même des autorités de santé — Agence européenne du médicament (EMA) ou Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) pour la mise sur le marché, Comité Économique des Produits de Santé (CEPS) pour la fixation du prix, Direction Générale de la Santé (DGS) pour le remboursement (cf. chapitre 3) — le contrôle réglementaire n’est plus qu’une formalité sans surprise : 95 % des demandes d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) déposées auprès de l’EMA sont accordées. En France, la procédure de dépôt de prix permet à une firme de fixer unilatéralement son prix, même pour une innovation mineure (ASMR IV) ».
D’après la revue Prescrire, entre 2002 et 2016, les nouveaux médicaments : 1 % apportent une avancée réelle, 6 % présentent un avantage, 56 % n’apportent rien de nouveau, 15 % ne devraient pas être autorisés.
ÉVIDEMMENT LES SCANDALES SE SONT MULTIPLIÉS
Mais sans le moindre effet, comme le démontre chaque jour un peu plus le drame des effets secondaires dissimulés des injections géniques Pfizer, laboratoire déjà tellement condamné avant ces pseudovaccins !
Quelques exemples :
En 2007, Merck a sciemment dissimulé les complications cardiovasculaires du Vioxx (rofécoxib) et a payé 4,85 milliards de dollars pour éteindre les actions collectives en justice aux États-Unis.14
En 2012, GSK (GlaxoSmithKline) a payé une amende de 3 milliards de dollars pour avoir notamment dissimulé les effets indésirables de la rosiglitazone (Avandia) à la FDA (Food and Drug Administration).
En avril 2014, une enquête de l’EMA a montré que la firme Roche avait dissimulé des dizaines de milliers d’effets indésirables de plusieurs de ses médicaments.
Récemment, la crise des opioïdes, qui correspond à l’augmentation rapide de l’usage d’opioïdes a déjà fait des centaines de milliers de victimes par overdose, aux États unis principalement et au Canada15.
Le scandale a été sanctionné financièrement : le laboratoire Johnson & Johnson et trois gros distributeurs américains de médicaments ont accepté de payer 26 milliards de dollars pour solder des milliers de litiges16, le cabinet Mac Kinsey 573 millions de dollars pour solder des poursuites judiciaires, mais aussi pénalement avec une peine de cinq ans et demi de prison de John Kapoor, fondateur d’Insys Therapeutics, Reconnu coupable d’association de malfaiteurs17.
ALORS SI LES RESPONSABLES POLITIQUES AVAIENT ÉTÉ EN CHARGE DE LA SANTÉ DES POPULATIONS ET NON PAS DE LA FINANCE MONDIALE, AURAIENT-ILS LAISSÉ FAIRE PFIZER OU MODERNA ?
Le passif judiciaire de PFIZER, c’est un poème à lui tout seul !
La seule solution pour sortir vraiment de la destruction du système de la santé en France (et en Occident) est de lutter contre les conflits d’intérêts et les liens funestes entre industrie pharmaceutique, lobbies auprès des assemblées nationales ou européennes, ONU, etc.. , bureaucratie et dirigeants du monde.
Regardez qui était à Davos et n’a d’ailleurs pas répondu aux questions de journalistes ?
Et qui met en exergue ces conflits d’intérêts dans toutes les manifestations afin que le peuple SACHE ENFIN ?
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2023/01/4eme-de-couv-.jpg655871Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2023-01-24 13:48:142023-01-24 13:48:14QUI SONT LES INFLUENCEURS MODERNES EN SANTE ?
« Est-ce bien la Terre qui est en danger ? Depuis plus de quatre milliards d’années, notre planète poursuit, imperturbable, son tournoiement sur elle-même et son parcours en ellipse autour du Soleil ; pour elle, les seules influences venues de l’univers qui soient immédiatement décelables sont les liens gravitationnels qui la rendent solidaire du Soleil et de la Lune ; le premier, par sa masse énorme, la maintient rigoureusement sur son orbite, la seconde, par sa proximité, la stabilise et ralentit peu à peu son mouvement de toupie. Vue de Sirius, son histoire actuelle ne comporte guère d’événements marquants »1
Par contre l’humanité est-elle condamnée si on n’y prend garde ? Pendant que les bobos qui veulent sauver la planète refusent l’extrême bonheur d’avoir un tout petit à élever, câliner, aimer (le sel de la vie), les chutes actuelles de la natalité couplées aux effets précoces connus des injections géniques cumulées (la moitié des femmes injectées aurait déjà des troubles menstruels) et inconnues à long terme font craindre le pire. Les fausses-couches et enfants mort-nés se multiplient même si le mot « coïncidence » a fleuri sur les réseaux… (et pas sur les médias mainstream qui sont muets…)
« Cherchez le coupable » disait Columbo. « Je ne crois pas aux coïncidences, demandez à ma femme ».
En juillet 2022, l’ONU constatait qu’en 2021 la fécondité moyenne de la population mondiale était de 2,3 naissances par femme au cours de la vie. Elle était de 5 dans les années 1950. Pour l’ONU, elle devrait encore baisser d’ici à 2050 pour atteindre 2,1, soit le taux supposé stabiliser la population. Mais selon la tendance récente observée, le recul pourrait être plus important et plus rapide.3
Ainsi, pour les Échos, la population mondiale risque de diminuer de moitié d’ici à 2100
Au rythme actuel de baisse du taux de fécondité (avant les pseudovaccins covid), la population mondiale pourrait être diminuée de moitié à la fin du siècle à un peu plus de 4 milliards d’habitants. Le pic pourrait être atteint au milieu du siècle avant un déclin certain. L’Europe se verrait amputer de 400 millions d’habitants en quelque 80 années4.
La population chinoise pourrait reculer à 1,17 milliard d’habitants en 2050 au regard de la tendance observée du taux de fertilité du pays. (metamorworks/Shutterstock).
Et encore probablement cet article ne tenait-il pas compte de la baisse importante de la natalité observée depuis l’utilisation à échelle mondiale des injections expérimentales anticovid dont l’effet est dissimulé dans les médias, malgré les évidences statistiques.
Décembre 2022 : la natalité en chute libre en Union européenne et dans le monde :
ET SI LA NATALITÉ CHUTAIT ENCORE PLUS À LA SUITE DU PSEUDOVACCIN ANTICOVID ?
Les effets délétères des injections anticovid géniques expérimentales sont de plus en plus difficiles à cacher même si les chiffres des agences sont éminemment variables. En tous cas il est difficile de ne pas s’inquiéter du taux important de mortalité néonatale et de fausses couches dans les pays hautement « vaccinés ».
Il paraît donc légitime de se demander quel est l’état de la natalité dans nos pays et dans le monde après ces trois ans de délire collectif. D’autant plus que l’ONU prévoyait déjà une descente de la natalité. Nous étions déjà inquiets de l’effet des dégâts environnementaux du fait de la baisse du nombre de spermatozoïdes depuis plusieurs décennies chez nos jeunes hommes (alimentation, rejets hormonaux en masse dans nos eaux, etc. pesticides et modificateurs hormonaux des cosmétiques…).
Les attitudes alarmistes et sectaires de certains d’écologistes peu instruits de la réalité qui essayent de mettre dans la tête de nos enfants l’idée de ne pas faire d’enfants pour « sauver la planète » sont choquantes. Inculture, prétention et vanité vont de pair. Elles conduisent à refuser la paternité ou maternité ; poussent certains à la vasectomie ou à la ligature de trompes ?. Quel manque d’humilité de la part de ces « humains »… D’autres n’hésitent pas à écrire que le changement climatique serait responsable de cette baisse de natalité, mais le mensonge est bien sûr la chose du monde la plus répandue… avec la lâcheté et la bêtise.
PAS DE BABY-BOOM POST CONFINEMENT
Les confinements imposés pendant de longues périodes dans les pays occidentaux et asiatiques avaient conduit certains à prédire un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, la consolation de la couette remplaçant les vidéos lassantes. Manifestement il n’en fut rien et les explications fusent, plus ou moins logiques, ou probables.
La dépression collective induite par la succession de peurs suscitées puis répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée via les médias aux ordres y est sûrement pour quelque chose. L’angoisse d’une guerre nucléaire, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries organisées (pas de moutarde en France et des rayons pleins en Italie) la hausse du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité, bref le pouvoir ne manque pas d’idées pour maintenir l’angoisse dans la population…
La dépendance aux écrans remplaçant de plus en plus les relations humaines joue aussi un rôle. Une banale observation de clients d’un restaurant conduit à cette désespérante évidence : les gens, couples, familles, ne se parlent plus qu’à travers leurs portables et une réponse même à table est plus vite obtenue via un SMS qu’une conversation normale. La vie virtuelle imposée par nos gouvernants remplacerait-elle la vie réelle ?Des analystes japonais blâment les divertissements nippons, tels que certains mangas ou des jeux vidéo, qui proposent à leurs utilisateurs tout un panel de plaisirs virtuels et les éloigneraient des formes de plaisirs réels.5
Bref les multiples explications se bousculent, dont certaines ne datent pas de l’affaire covid, mais de mauvais esprits (complotistes d’extrême droite… ?) ont osé évoquer le rôle possible des injections géniques dans une probable chute de la natalité.
Quels sont les faits avérés ?
En France, l’INSEE vient de publier des chiffres très alarmants
L’INSEE confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudovaccination.
2 décembre 2022 :
« En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte des 85 % de taux de vaccination dans la population, est devenue catastrophique depuis le mois d’août, c’est-à-dire depuis les premiers effets de la troisième dose. Pour l’instant, l’INSEE ne donne aucune explication à ce trou d’air inquiétant pour l’avenir démographique du pays ».
Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2.100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de COVID. Ils n’ont été que 2.000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Pour l’instant, l’INSEE ne donne aucune explication à ce phénomène très inquiétant…
« Entre 2000 et 2019, le nombre de naissances quotidiennes a diminué en moyenne de 0,39 % par an. Le rythme de la baisse s’est accéléré entre 2010 et 2019, lorsque le nombre de naissances quotidiennes a diminué en moyenne de 0,96 % par an. Mais la baisse a été beaucoup plus forte en 2020 : le nombre moyen de naissances quotidiennes était inférieur de 4,06 % à celui de 2019 ».
Et en 2022, aggravation probable.
VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports
Ces tableaux issus du VAERS de recueil des données américaines pour les CDC et la FDA montrent une augmentation considérable des fausses couches et de la mortalité néonatale depuis la période des vaccins covid.
La même constatation peut se faire sur le tableau des troubles menstruels et hémorragies depuis le début de l’expérimentation.
Selon Brighteon.TV :
« La seule chose qui a changé au début de l’année 2021, c’est que Donald Trump a pleinement lancé l’opération Warp Speed, libérant des milliards d’injections chimiques expérimentales sur le monde. Et environ neuf mois plus tard, les taux de natalité dans le monde entier ont plongé.
Le Dr Naomi Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins qui vont bien au-delà du simple échec de la reproduction. Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme, la fonction de la prostate et donc la fertilité.
La FDA a été informée à ce sujet le 1er avril 2021, sans aucune réponse. Des problèmes de fertilité féminine, qui ont également été ignorés par les régulateurs fédéraux. Des échographies montrant une inflammation et une calcification anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection. Mais aussi des lésions péniennes dont Pfizer reconnaît l’existence dans ses propres documents internes. Des fausses couches avec un taux variable selon l’âge de la grossesse, mais qui peut atteindre 87,5 %. »
AUTRES EXEMPLES DE BAISSE DE LA NATALITÉ DANS LE MONDE
L’Australie enregistre une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés7.
Information publiée par le Bureau australien des statistiques (ABS) depuis le lancement des « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. De novembre à décembre 2021, soit un mois plus tard seulement, le nombre de naissances a diminué de 63 %.
« Décembre était environ neuf mois après le lancement des vaccins COVID », note David James de LifeSiteNews à propos de la période difficile entre la conception et la naissance.
« La Therapeutic Goods Administration (la FDA australienne) a commis des meurtres de masse contre des citoyens.
Il y a vraiment de fortes chances que personne dans la politique australienne, à l’exception peut-être de quelques individus “marginaux”, ne dise un mot de ces données accablantes. C’est parce qu’elles exposent les vaccins contre la grippe de Fauci comme un outil de dépeuplement. »
La Therapeutic Goods Administration (TGA), la version australienne de la FDA, a-t-elle pris la peine d’examiner tout cela lorsqu’elle a autorisé, approuvé, puis rendu obligatoires les vaccins contre la grippe de Fauci pour ses citoyens ? Si elle l’a fait, comment la TGA est-elle parvenue à la conclusion que ces vaccins sont sans danger pour tout le monde, et encore moins pour les femmes enceintes ?
Le Dr Luke McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patients après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed, le taux de fausses couches chez les patients de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes « vaccinées », il a atteint 74 %.
« Il faudra du temps pour répondre aux premières interrogations, mais elles doivent être posées : “Pourquoi la baisse du taux de fécondité se produit-elle ? Pourquoi le taux de mortalité en Australie a-t-il bondi ? » 8
Taiwan a connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.
La Suisse
a connu un recul inouï (-3,4 écart-types de la moyenne à long terme) de sa natalité, exactement neuf mois après le début de la vaccination anti-Covid de ses citoyens âgés de 20 à 49 ans9
BAISSE DU NOMBRE DE NAISSANCES D’UNE AMPLEUR JAMAIS VUE EN 150 ANS — EST-CE DÛ À LA VACCINATION CONTRE LE COVID-19 ?
Les données fournies par l’Office fédéral de la statistique (OFS) permettent d’établir que, depuis janvier 2022, le nombre de naissances vivantes s’est abaissé comme jamais auparavant en Suisse et dans le canton de Berne1. En février 2022, seules 628 naissances vivantes ont été enregistrées.
D’après nos calculs, cette valeur s’écarte de 3,4 écarts-types de la moyenne à long terme (de janvier 2015 à juin 2022). Il s’agit de la plus forte baisse depuis que l’OFS récolte les données relatives aux naissances vivantes (1872).
« Il est urgent de déterminer les causes précises de cette baisse ». Certes il est impossible de conclure à une causalité sur la base d’une simple corrélation temporelle, mais les observations exposées ci-dessous sont tout de même inquiétantes.
« Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. Ensuite, en comparant entre les régions, on constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %) ».
Les données ne permettent pas de faire de rapprochement entre la dénatalité et le nombre de cas de COVID-19 ou d’hospitalisations liées au COVID-19.
Les graphiques suivants sont tirés du document de 66 pages intitulé « Geburtenrückgang in den Schweizer Kantonen » [Recul de la natalité dans les cantons suisses] publié le 13 août 20222:
D’après Konstantin Beck, professeur à l’Université de Lucerne et conseiller spécialisé en économie de la santé, cette méthode ne permet pas de prouver formellement qu’il y a un lien entre la baisse du nombre de naissances vivantes et l’accroissement de la couverture vaccinale3.
Néanmoins il suppute :
« Au vu des données dont nous disposons concernant les naissances en Suisse, nous pouvons supposer que la vaccination est à l’origine du surprenant et considérable recul du nombre de naissances vivantes »4.
Israel a publié les conséquences néfastes de l’injection génique sur la mortalité périnatale, les fausses couches spontanées, etc.
Les chiffres officiels d’Israël (02/2022) sur la mortalité périnatale, fausses couches et avortements chez les femmes vaccinées et non vaccinées10 CHD.TV Israël — « Vaccins et allaitement » : un sujet peu paru dans les médias… et pourtant déjà vieux de plusieurs mois » 11
L’Allemagne et la Suède
L’Espagne
Au cœur de la réserve naturelle des Arribes del Duero Fermoselle l’exemple d’une Espagne qui se dépeuple12
Si l’Espagne a enregistré le plus faible taux de natalité de ces 20 dernières années, Fermoselle un triste record : c’est la plus grande municipalité d’Espagne (1131 habitants recensés en 2021) parmi celles qui n’ont pas eu une seule naissance ces deux dernières années. « Nous sommes la capitale d’une Espagne qui se vide », se vantent les habitants, comme s’ils avaient été choisis pour accueillir les Jeux olympiques.
En 2018, il n’y a eu aucun nouveau-né dans le village, et cette année, une fillette est morte quelques jours après sa naissance. « À ce rythme-là, nous allons finir par disparaître », déplore le maire, de retour d’une réunion de la Junta [gouvernement de la région autonome] de Castille et Léon, au cours de laquelle 3,5 millions d’euros de fonds européens ont été débloqués pour protéger les oiseaux du Parc naturel d’Arribes de Duero.
« C’est très bien que l’aigle de Bonelli ou le percnoptère ne s’éteignent pas, je ne dis pas non, mais il ne faudrait pas qu’on s’éteigne nous aussi, fait-il valoir. Qu’est-ce qu’ils vont faire quand on ne sera plus que 4 habitants dans le village ? Nous cloner ? »
José Manuel Pilo a remporté les élections municipales en mai sous les couleurs d’une plateforme citoyenne créée après les incendies qui ont ravagé le village en 2017. Il a mis fin aux 30 ans de règne du Parti populaire (PP, conservateur) et détient la majorité absolue [au conseil municipal]. Il a autant de conseillers municipaux qu’il y a d’enfants inscrits à la garderie municipale : cinq.
Le taux de natalité est au plus bas en Angleterre et au Pays de Galles
En 2018, le taux de natalité a atteint un niveau historiquement bas en Angleterre et au pays de Galles, représentant une baisse de 46 % par rapport au record historique de 1947.
Depuis le début du recensement des naissances en Angleterre et au pays de Galles, le nombre de nouveau-nés n’a jamais été aussi bas, rapporte The Guardian. Le record de naissances avait eu lieu en 1947. Comparé à cette date, le nombre de naissances a chuté de 46 % l’an dernier.
En 2018, 657 076 naissances ont été enregistrées. Cela représente une baisse de 3,2 % par rapport à l’année précédente, et de 10 % par rapport à 2010. Le taux s’est élevé à 11,1 naissances pour 1 000 habitants. « Les chiffres, fournis par l’Institut national des statistiques [l’Office for National Statistics (ONS)], montrent également que le pourcentage de bébés vivants dont la mère n’est pas née au Royaume-Uni a diminué pour la première fois depuis 1990, passant de 28,4 % à 28,2 % », détaille The Guardian.
Le taux de fécondité global a lui aussi baissé. Il était de 1,7 enfant par femme en 2018, soit une baisse de 3,4 % par rapport à l’année précédente. Citée par le quotidien britannique, Ann Berrington, professeure de démographie et de statistiques sociales à l’Université de Southampton, explique ces données par l’évolution des aspirations, l’éducation, mais également l’accès à la contraception.13 Qu’en sera-t-il après les ravages de l’injection génique ?
Beaucoup s’interrogent : @elonmusk
« Ces faibles poids à la naissance et ces malformations du génome humain après le développement du vaccin covid sont tout simplement épouvantables, comment la Terre prévoit-elle de réparer cette erreur d’interprétation génétique créée par l’homme ? »
Et concluons par une belle citation de Victor Hugo :
« Seigneur, préservez-moi, préservez ceux que j’aime, frères, parents, amis, et mes ennemis mêmes dans le mal triomphant, de jamais voir, Seigneur, l’été sans fleurs vermeilles, la cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, la maison sans enfants ! »
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2021/11/le-pape--e1641638874165.png704750Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-12-14 18:50:432022-12-14 18:50:43L’Humanité est-elle condamnée à la disparition ?
Depuis quelques jours le gouvernement et les médias tentent de raviver la peur à l’aide d’une épidémie de tests et de réimposer le port de masques alors que l’expérience des 30 mois d’épidémie a prouvé :
1°) Que chez les asymptomatiques les tests ne servent à rien ;
2°) Que le port généralisé du masque n’empêche pas les contaminations.
Rappelons que l’évolution d’une épidémie se mesure seulement aux nombres de malades et de morts et que les masques sont incapables de limiter la progression des épidémies virales.
Il n’y a plus d’épidémie Covid menaçante en France
Pour surveiller objectivement l’évolution d’une épidémie, il faut se fier uniquement au nombre de malades (personnes qui souffrent de symptômes) et au nombre de décès quotidiens occasionnés par la maladie.
Dans le monde, l’épidémie covid est en voie d’extinction : le premier décembre 2022 d’après l’OMS moins de 800 décès lui ont été attribués (0,4 % de la mortalité toutes causes confondues) :
Le ministre tente d’effrayer la population en agitant l’augmentation des cas, personnes asymptomatiques qui ont eu le malheur de faire un test PCR revenu positif. Mais un test positif ne signifie pas que l’on est malade du covid, ni porteur de virus, ni contaminant12.
Chez les asymptomatiques, les tests PCR réalisés avec plus de 30 séquences d’amplification sont des faux positifs dans 97 % des cas34.
Le réseau sentinelle5 estime l’incidence des malades covidà 57 cas pour 100 000 très loin des seuils d’alerte6 alors qu’elle dépasse les 300/100000 pour la grippe actuellement en poussée épidémique saisonnière.
De même, la mortalité covid pourtant largement surestimée diminue depuis plus de 6 mois et atteint à peine le quinzième de ce qu’elle était en mars 2020 :
Le 2 12 2022 le directeur de l’OMS a déclaré7 « L’OMS estime qu’au moins 90 % de la population mondiale présente actuellement une certaine forme d’immunité face au virus SARS-CoV-2 ».
Ne craignez pas l’épidémie de tests PCR faux positifs que nos gouvernants et les médias agitent ! En France comme partout dans le monde la maladie ne tue presque plus.
Le masque est incapable d’empêcher les contaminations virales89
Le Dr Colin Axon, membre du conseil scientifique britannique (Scientific Advisory Group for Emergencies ou SAGE)10 a jugé les masques comme des « couvertures de confort » qui ne font pas grand-chose pour freiner la propagation du covid, rappelant que la taille du virus COVID-19 est 5 000 fois plus petite que les trous des masques et précisant :
« Les petites tailles ne sont pas faciles à comprendre, mais une analogie imparfaite serait d’imaginer des billes tirées sur des échafaudages de constructeurs, certaines pourraient toucher un poteau et rebondir, mais la plupart passeraient évidemment au travers ».11
Le port généralisé du masque ne protège donc pas de la contamination virale. L’analyse des 3365 articles de la littérature internationale référencés sur PubMed le 1/12/2022 sous la dénomination « facial mask for Covid » confirme ce fait : aucune étude clinique ne prouve que le port généralisé du masque en population générale protégerait son porteur de la maladie ou diminuerait la transmission du covid19 autour de lui et beaucoup démontrent le contraire12.
L’exemple du Brigham and Women’s Hospital de Boston qui a souffert d’une forte poussée de covid-1913, malgré l’emploi systématique des équipements de protection dont les masques, est révélateur.
L’exemple du Meir Medical Center 14 est encore plus frappant, car, outre le port de masques, 92 % des contaminés avaient reçu deux doses de Pfizer. De même le port du masque chez 30 074 athlètes du Visconsin15 s’est révélé inefficace.
« Il n’y a pas eu de réduction de la mortalité quotidienne par population, des lits d’hôpital, des lits de soins intensifs ou de l’occupation des ventilateurs des patients positifs au COVID-19 attribuable à la mise en œuvre d’une obligation de port de masques ».
L’étude de Zacharias Fögen, comparant au Kansas (États-Unis) les 17 districts qui imposaient le port du masque aux non masqués (88) entre le 1er août et le 15 octobre 2020, conclut :
« Les résultats de cette étude suggèrent fortement que le port du masque a en réalité augmenté le nombre de décès de 50 % par comparaison avec les comtés qui n’ont pas adopté cette mesure. »
et envisage le mécanisme par lequel le port du masque agit. 17
Initialement l’OMS avait recommandé de ne pas porter de masques dans la vie courante en raison d’un manque de preuves sur son efficacité, conclusion tirée de 10 études randomisées sur la transmission de la grippe et d’autres coronavirus humains dans la communauté1819202122.
La révision de ses recommandations s’est appuyée sur une revue de simples études observationnelles qui concluaient au conditionnel : « l’utilisation d’un masque facial pourrait entraîner une réduction importante du risque d’infection (faible certitude) ». En recommandant le masque, l’OMS reconnaissait d’ailleurs :
« À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée de masques par des personnes en bonne santé dans le cadre de la communauté n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes de haute qualité ».
Les nouvelles directives OMS précisent comment laver et entretenir un masque en tissu et énumèrent les précautions d’usage à prendre pour éviter de s’infecter en ajustant son masque, en l’enlevant ou en le mettant à plusieurs reprises, sans se laver les mains entre chacun de ces gestes. De plus, l’OMS prévenait :
« Le masque peut créer un faux sentiment de sécurité amenant à négliger des mesures telles que l’hygiène des mains et la distanciation physique ».
Le port du masque se justifie lorsqu’on est malade (qu’on tousse ou qu’on crache) et pour les personnes au contact de personnes malades, c’est pour le moins plus agréable. Mais, même dans ces conditions particulières à haut risque, il n’existe pas d’étude clinique publiée qui démontre qu’il diminue réellement le risque de contamination23.
La seule étude prospective randomisée évaluant l’utilité du port du masque généralisé contre le covid, Danmasq192425, pourtant réalisée par des partisans du port du masque, ne retrouve aucune baisse significative de risque de contamination entre les porteurs de masque et ceux qui n’en portent pas : le masque ne protège pas celui qui le porte.
Le Dr Fauci, interrogé sous serment le 23 novembre 2020, n’a pu présenter aucune étude qui plaiderait pour l’utilité des masques26. Le procureur général du Missouri, Éric Schmitt, présent lors de la déposition dans le Maryland, a confirmé sur les médias sociaux que le Dr Fauci « ne pouvait pas citer une seule étude » pour étayer son affirmation selon laquelle les masques étaient efficaces contre le Covid-19.
Les articles qui défendent l’obligation généralisée du port de masque se basent sur non pas sur des études cliniques en population réelle, mais sur des simulations discutables (hypothèses très incertaines), des expériences sur des hamsters, sur l’extrapolation d’études de concentration virale réalisées en réanimation ou en laboratoire, et sur l’avis d’experts « qui croient » en l’efficacité sans en apporter aucune preuve scientifique concrète.
Un des arguments classiques des partisans du masque est que les populations asiatiques, habituées au masque, seraient moins menacées de poussées de contaminations virales que les Européens.
Pourtant la comparaison des nombres quotidiens de nouvelles contaminations Omicron par million d’habitants en Suède (non masquée) et à Hong Kong (championne du port du masque interdit seulement lors des manifestations27) montre que le masquage généralisé de la population asiatique n’est pas efficace, voire contre-productif, car le taux journalier de nouvelles contaminations est deux fois plus élevé à Hong Kong qu’en Suède !
Même constatation lorsqu’on compare la Biélorussie et la Corée du Sud :
Comment des professionnels de santé peuvent-ils encore croire honnêtement en l’efficacité de l’obligation généralisée du port du masque alors qu’il n’en existe aucune démonstration scientifique, et que de nombreux faits avérés, militent pour son inefficacité ?
En réalité le masque, parfaitement incapable de limiter les contaminations covid, ne constitue qu’une muselière symbolique des pouvoirs désireux de contrôler leur population28.
Si les obligations de port du masque ont été si largement imposées par les politiciens, c’est que le masque représente une forme visible du théâtre d’hygiène, qu’il véhicule un sentiment intuitif de sécurité et transfère la responsabilité du contrôle de la pandémie sur la population.
La surpopulation des unités de soins intensifs peut être ainsi imputée au mauvais comportement des « anti-masques », plutôt qu’à l’allocation insuffisante et mal ciblée des ressources par les gouvernements et les bureaucrates des hôpitaux. Lorsque les cas et les décès augmentent, c’est la faute des citoyens, pas des dirigeants.
Que ceux qui ont peur et croient qu’un masque peut les protéger veuillent en porter est compréhensible et doit être respecté, mais il n’existe aucune raison scientifique d’imposer aux autres un grigri inefficace dont les effets secondaires sont nombreux et particulièrement nocifs chez les enfants innocents du covid.
Le port généralisé du masque est source de nombreuses complications29
Au 5 décembre 2022, la base de données PubMed recense 1118 articles décrivant des complications du port de masques faciaux. Même les défenseurs du port du masque reconnaissent certains de ses inconvénients : inconfort fréquent, dégradation de la peau du visage, difficulté accrue à communiquer clairement, et une empathie réduite des prestataires de soins par ceux dont ils s’occupent.
Une rapide revue des articles publiés303132333435 met en évidence les cas de dermatite professionnelle secondaire aux équipements de protection faciale. Le port quotidien de masques était significativement associé à une dermatite de contact d’apparition récente. La dermatite decontact irritante (DCI) est la dermatose liée au masque la plus fréquente.
Elle atteint principalement les joues et l’arête nasale et s’observe surtout après port prolongé du masque (>6 heures). Sa sévérité dépend de la chronicité de l’exposition. Les personnes atteintes de dermatite atopique, qui ont déjà une barrière cutanée défectueuse, sont particulièrement à risque de développer une DCI. La symptomatologie varie d’une plaque discrète, sèche et squameuse à un œdème et des vésicules, des érosions et une ulcération. Les démangeaisons étaient le symptôme le plus fréquent, affectant principalement les joues. La dermatose la plus fréquente était la dermatite de contact d’apparition récente (33,94 %), suivie de l’acné d’apparition récente (16,97 %) et de l’aggravation d’une acné préexistante (16,97 %).
Plus de la moitié des patients ayant des problèmes de peau préexistants ont vu leur maladie s’aggraver lorsqu’ils portaient des masques. Une plus longue durée de port et l’utilisation de masques en coton ont augmenté les poussées d’acné. Les travailleurs de la santé avaient une incidence plus élevée de maladies de la peau.
En dépit de certains articles mensongers qui prétendent que le port du masque ne diminuerait pas la saturation en oxygène, la littérature internationale des grandes revues médicales établit formellement que le port prolongé du masque entraîne une augmentation de la résistance nasale et une hypoxie chez les personnels soignants, souvent associée à des maux de tête.
Beder et coll.36 ont observé chez les chirurgiens masqués pratiquant de longues interventions une diminution de la saturation en oxygène et une légère augmentation de la fréquence du pouls par rapport aux valeurs préopératoires chez les chirurgiens, la diminution étant plus importante chez les chirurgiens de plus de 35 ans. Kisielinski K et ses coauteurs37 montrent que les masques N95 sont plus mal tolérés que les masques chirurgicaux et évaluent la fréquence des symptômes : syndrome d’épuisement, chute et fatigue, cooccurrence groupée d’insuffisance respiratoire et de diminution de la saturation en oxygène (67 %), augmentation de celle en gaz carbonique (82 %), maux de tête (60 %), troubles respiratoires et échauffement (88 %), mais aussi chaleur et humidité (100 %) sous les masques.
L’utilisation du masque N95 pendant plus de 4 heures par les soignants aggrave des maux de tête antérieurs. Une durée plus courte du port du masque facial peut en réduire la fréquence et la gravité. Ils concluent que le port prolongé du masque par la population générale peut entraîner des effets et des conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux en particulier chez les personnes fragiles (asthmatiques, insuffisants respiratoires chroniques…).
Les complications physiologiques, psychologiques et sociales associées au port du masque sont nombreuses. La perception des émotions est réduite par la présence d’un masque pour toutes les expressions à l’exception de la colère. La capacité du personnel de santé à communiquer avec succès avec les patients et avec les collègues est compromise ce qui peut nuire à l’efficience, à l’efficacité, à l’équité et, plus particulièrement, à la sécurité de l’intervention thérapeutique.
Les enfants en sont particulièrement victimes3839.
Chez les plus petits, le contact avec la mère et tous les intervenants (crèche, etc.), l’apprentissage de la reconnaissance des émotions et de la parole est particulièrement menacé. Dans les classes primaires, les professeurs ont plus de mal à se faire comprendre de leurs élèves qui ne peuvent plus se référer aux mimiques de l’enseignant.
Il provoque également une prosopagnosie (la non-reconnaissance des visages) et une difficulté à reconnaître les émotions d’autrui. En secondaire, l’apprentissage oral des langues étrangères est saboté : comment expliquer la position de la langue et de la bouche pour reproduire l’accent juste ?
Les enseignants doivent parler plus fort, ce qui les fatigue inutilement, et ils peuvent difficilement évaluer ce que les élèves comprennent. Les orthophonistes sont débordés40.
La brimade inutile du masque a suscité le mouvement « Saturnay burning » (« brûlez les masques ») qui a enflammé l’Idaho41.
Les adolescents souffrent des mêmes difficultés en cours, mais la gêne à l’expression des sentiments est encore plus pénible à l’âge où ils nouent leurs amitiés et leurs relations amoureuses.
Les troubles psychologiques et psychiatriques sont favorisés par le port du masque, facteur de stress et de morosité..
Depuis l’instauration des prétendues mesures sanitaires, les psychiatres avaient précocement mis en garde sur les effets pervers de l’enfermement et du port de masque.
Ces inquiétudes étaient d’autant plus pertinentes que la diminution générale des lits hospitaliers en 20 ans a particulièrement touché la psychiatrie : fermeture de nombreux lits de psychiatrie générale à l’hôpital (atteignant 60 % entre 1976 et 2016 selon l’IGAS) et fuite des psychiatres de l’hôpital public (30 % des postes de titulaires sont vacants).
Les dépressions et les urgences psychiatriques ont explosé partout où les dirigeants ont créé la panique et imposé des mesures contraignantes. Les enfants ont été particulièrement touchés et les urgences pédopsychiatriques ont été dépassées à Paris tant à l’hôpital Robert Debré (demandes d’admission accrues de 20 %.) qu’à la Pitié-Salpêtrière et dans bien d’autres structures en Province. D’après santé publique France, 3 millions de nos compatriotes souffrent de troubles psychiques sévères.
Les masques usagés constituent aussi un fléau pour la planète et les animaux4243
Les masques à usage unique sont jetés sur les trottoirs, dans les rivières et sur les plages de tous les pays où ils ont été rendus obligatoires dans les espaces publics. Fabriqués à base de polyester et polypropylène, ils peuvent mettre plusieurs centaines d’années avant de se décomposer et menacent l’environnement et les animaux.
Avoir imposé une telle mesure si totalement inutile, si inconfortable, si toxique en particulier pour les jeunes est une véritable barbarie. Et s’être inspiré pour notre stratégie Covid de celle de la Chine est malheureusement révélateur des valeurs démocratiques de nos dirigeants.
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/12/CHIEN-MUSELIERE.jpg960860Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-12-09 10:12:332022-12-09 10:12:33Les masques sont des baillons inutiles et dangereux pour la santé mentale et physique
Dans une tribune trompeuse de l’AFP1 Mme V. De Marval prétend que « la spécificité des tests PCR rendraitrarissimes les résultats faux positifs ».
Certes on ne peut pas reprocher à cette personne, probablement non-médecin, de ne pas savoir ce qu’est un faux positif, mais il est dommage que cette « fast checkeuse » embauchée par l’AFP claironne de manière si péremptoire une telle désinformation. Si elle avait effectué un travail de journaliste et consulté la littérature internationale au lieu de répéter de simples avis de fabricants de tests ou de virologues liés à l’industrie des vaccins, elle aurait certainement été plus prudente.
Car la littérature internationale (consultable par tous et gratuitement sur Pubmed) et les avis récents de l’OMS confirment que les tests PCR faux positifs sont très fréquents.
Qu’entend-on par « test PCR faux positif » ?
On définit comme faux positif un test positif alors que la personne testée ne porte pas le virus, et ne peut donc ni donner des cultures virales actives ni excréter le virus, donc ni contaminer personne ni devenir malade dans les jours qui suivent.
Dans le cas où le résultat est utilisé pour avertir du danger de contamination (détection des personnes contaminantes), un faux positif est une fausse alarme2 dont les conséquences sont lourdes tant pour la personne testée (mise en quarantaine ou en arrêt de travail) que pour le fonctionnement de la société (privée inutilement d’une personne active) et les proches inutilement inquiétés.
Or de nombreux articles signalent la fréquence des faux positifs :
« Jusqu’à 54 % des patients COVID-19 peuvent avoir une RT-PCR initiale faussement négative »3 dès 2020.
Un trop grand nombre de séquences d’amplification crée des faux positifs
Une étude parue en 20204 a montré que la prédiction de l’infectiosité, affirmée par la capacité à récupérer le virus en culture selon le postulat de Koch, est considérablement altérée lorsque les valeurs du seuil de cycle (Ct) sont supérieures à 24.
AVIS DE L’OMS
« L’OMS rappelle d’ailleurs5 dans son document d’orientation sur les tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 que « les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence. La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente… »
L’étude de 3790 tests positifs chez des asymptomatiques6 a montré qu’un test positif obtenu avec le nombre trop élevé de cycles d’amplification, supérieur à 30 (comme cela est habituellement pratiqué en France) est faux dans 97 % des cas. Cette étude de Jafar and co de juin 2021 aurait dû clore le débat…
ÉTUDE DE WUHAN SUR DIX MILLIONS DE TESTÉS
Le dépistage réalisé autour de Wuhan (10 millions de testés)7 a démontré que les tests de dépistage chez les asymptomatiques étaient médicalement inutiles : 300 personnes asymptomatiques ont été testées PCR positives. Leurs cultures de virus, systématiques, ont toutes été négatives ; aucun de ces cas n’a été malade et aucun n’a contaminé quiconque. La Chine n’inclut d’ailleurs pas les cas asymptomatiques dans son décompte des infections confirmées. Tous ces articles ont été largement diffusés de par le monde et la France n’en tient toujours aucun compte. Pourquoi ?
LA FDA VIA LES CDC ORGANISMES OFFICIELS DES USA DEMANDE DE RENONCER AUX TESTS À PARTIR DE DÉCEMBRE 2021
Nous sommes fin 2022 !
Le CDC lui-même a déclaré en juillet 2021 que les tests PCR classiques ne devaient plus être utilisés au-delà du 31/12/2021.
« Après le 31 décembre 2021, le CDC retirera la demande d’Autorisation d’Utilisation d’Urgence (EUA) auprès de la Food and Drug Administration (FDA) du kit de diagnostic RT-PCR en temps réel du nouveau coronavirus (2019-nCoV), le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement. Le CDC fournit cet avis préalable afin que les laboratoires cliniques disposent de suffisamment de temps pour sélectionner et mettre en œuvre l’une des nombreuses alternatives autorisées par la FDA ».89
La cour d’appel de Lisbonne avait d’ailleurs rappelé dès 2020 dans un jugement10 qui fait jurisprudence dans ce pays que « le diagnostic de Covid ne pouvait en aucun cas être affirmé sur la positivité d’un test PCR, mais devait être établi par un médecin après examen clinique éventuellement complété par des examens complémentaires » ordonnant la libération immédiate de touristes allemands mis en quarantaine sur un la foi d’un test PCR faussement positif.11
En l’absence de symptômes les tests PCR sont trompeurs et rendent donc les dépistages généralisés inefficaces, trompeurs, voire nuisibles. Ils ne servent qu’à créer et à entretenir la peur d’une épidémie fantôme dans la population et leur instrumentalisation a causé d’énormes dommages à la société (tant économiques que psychologiques en particulier).
Quand la maladie est rare, les faux positifs sont légion
Or quand ce que l’on recherche est rare, et que le test utilisé n’est pas parfaitement spécifique, il est généralement beaucoup plus probable qu’un cas déclaré positif soit en réalité un faux positif.
En médecine, plus une maladie est rare, plus le risque de surdiagnostic est élevé. Ainsi, si l’on teste 1000 personnes au hasard avec un test produisant 5 % de faux positifs, on annonce à 50 personnes que le test est positif. Si la maladie ne touche que 1 personne sur 1 000 dans la population générale, on peut montrer par le théorème de Bayes que la personne n’a en moyenne que 2 % de chances d’être effectivement atteinte (donc on l’annonce à 51 personnes dont une seule est atteinte).
Dans l’avis précédemment cité, l’OMS a attiré l’attention sur la fréquence des faux positifs lorsque la prévalence de la maladie est faible.
« L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente12. Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test. »
Cet appel à la prudence est rappelé dans beaucoup des 783 articles référencés par Pubmed le 3/12/2022 en réponse à la recherche « false positive covid test » dont nous citerons quelques conclusions :
« Les tests disponibles doivent être interprétés à la lumière de l’incidence de fond de l’infection par le SRAS-CoV-2 dans les communautés dans lesquelles ils sont utilisés, afin de minimiser le nombre de faux cas positifs. »13
« On ne sait pas s’ils sont contagieux, car un test positif de transcriptase inverse – réaction en chaîne par polymérase (RT-PCR) n’indique pas nécessairement la présence de virus réplicatif et transmissible »14.
« La validité incertaine des tests de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse combinée à une population à faible prévalence prédispose à des résultats faussement positifs »15.
Or dans le monde l’épidémie s’éteint, représentant au 1/12/22 moins de 0,05 % de la mortalité globale (800 morts de covid sur les 1,8 million de décès mondiaux quotidiens).
Fin novembre 2022, l’incidence du Covid19 en France était faible : le réseau sentinelle officiel l’estimait la semaine dernière (2022s47) à 57 cas pour 100 000 habitants. Pour une spécificité de 97 % dépister par tests PCR 100 000 habitants aboutirait à annoncer à 3057 personnes qu’elles sont positives (3000 tests faussement positifs et 57 malades) avec des conséquences directes pour 88 % des testés et indirectes pour le reste de la population à laquelle la propagande annoncerait une incidence de 3057 pour 100 000.
Les faux positifs sont responsables de dommages individuels et sociétaux importants16
Pour l’individu
Complications sanitaires lors de tests effectués avant des procédures ou des chirurgies électives : annulation ou report inutile du traitement ou lors d’admissions urgentes à l’hôpital 17: exposition potentielle à une infection suivant une mauvaise voie en milieu hospitalier en tant que patient hospitalisé. Mais aussi : pertes financières liées à la mise autoritaire en quarantaine ou à l’auto-isolement, aux pertes de revenus et aux voyages annulés, ou dommages psychologiques dus à un diagnostic erroné ou à la peur d’infecter les autres, à l’isolement ou à la stigmatisation.
Pour la société
Gaspillage de l’argent public et des ressources humaines employées pour les tests et la traçabilité, coût des remplacements en milieu de travail, pertes commerciales diverses,
Mauvaise performance épidémiologique : surestimation de l’incidence de la COVID-19 et de l’étendue de l’infection asymptomatique ainsi que le souligne Kumleben 18
« Donner de fausses assurances sur lesquelles des décisions personnelles ou sociétales pourraient être fondées pourrait être préjudiciable pour les individus, saper la confiance du public et favoriser de nouvelles épidémies. » 19 « Nous démontrons la valeur de la déclaration de la probabilité de résultats faux positifs, de la probabilité de résultats faux négatifs et des coûts pour les patients et les soins de santé. »
Performances de diagnostic trompeuses, pouvant conduire à des décisions d’achat ou d’investissement erronées si un nouveau test montre des performances élevées en identifiant des échantillons de référence négatifs comme positifs (c’est-à-dire, s’agit-il d’un faux positif ou le test montre-t-il une sensibilité plus élevée que les autres tests de comparaison utilisés pour établir la négativité de l’échantillon d’essai ?)
Mauvaise orientation des politiques concernant les confinements, les diverses restrictions d’activité et les fermetures d’écoles avec leurs conséquences délétères.
Augmentation de la dépression et de la violence domestique (par exemple, en raison du confinement, de l’isolement et de la perte de revenus après un test positif).
Non Mme de Marval, et l’AFP, les résultats faux positifs ne sont pas rarissimes, mais au contraire de plus en plus nombreux et ont causé des dommages sanitaires et économiques considérables aux individus et à la société.
Avant d’affirmer une telle contre-vérité, vous auriez dû faire un travail de journaliste défini par Charte mondiale d’éthique des journalistes20 : enquêter à charge et à décharge, consulter la littérature internationale et interroger ceux qui ont publié des articles démentant vos croyances dans des revues à comité de lecture.
En Californie, l’échec du gouvernement et des associations provax à faire vacciner les enfants malgré toutes leurs pressions et leur propagande nous réjouit. Le mythe covid commence à ne plus fonctionner, même dans les pires États comme la Californie ou New York qui réintègre et indemnise les suspendus, soignants et autres.
« Contrairement aux prévisions de Rochelle Walensky, directrice du centre de prévention et de lutte contre les maladies (CDC), il semblerait que la vaccination des enfants suscite peu d’engouement. À ce jour, près de 70 % des enfants américains âgés de 5 à 11 ans ne sont toujours pas vaccinés. En Californie, l’Association médicale de Californie, l’Académie américaine de pédiatrie, l’Académie californienne des médecins de famille et la Coalition californienne pour l’immunisation ont demandé à tous les prestataires de services pédiatriques de recommander la vaccination contre le Covid-19 et la grippe pour protéger les enfants. Pourtant jusqu’à ce jour, aucun variant agressif pour les enfants n’est apparu. Aussi est-on en droit de s’interroger sur les raisons réelles de cette propagande pour la vaccination, qui soulève de nombreuses questions. »1
Des chiffres d’origine incertaine sans mise en perspective pour effrayer les parents : « Selon l’Association médicale de Californie et ses partenaires, même si les cas de Covid-19 grave sont rares chez les enfants, la maladie a causé 122 000 hospitalisations et 1500 décès aux États-Unis. On aimerait connaître la source de ces données, car parmi les 0-17 ans, malgré de fortes incertitudes2 au 1/12/2022, le CDC recensait moins de 1000 décès attribués au covid3.
Pour illustrer le faible risque vital que courent les enfants avec le covid19 le Dr Daniel Rauch, chef du service pédiatrique au Tufts Children’s Hospital de Boston prend en exemple la coupe du monde :
« Pensez-y en termes de stades de football : sur 100 000 enfants, l’un d’eux ne s’en sortira pas avec COVID. Tous les autres qui sont entrés vont sortir. »
De plus, on aimerait aussi vérifier les dossiers médicaux pour voir si ces petits sont morts malades du covid ou le plus souvent morts d’une autre cause avec seulement avec un test PCR positif comme la Société française de pédiatrie a pu le démontrer en France :
« Pour 21 décès avec une investigation qui a pu être menée à son terme, il a été retrouvé pour 17 enfants des comorbidités très sévères »… “dans certains cas, l’infection était de découverte fortuite et le décès était en lien avec un accident ou une autre pathologie ».
Enfin, ce chiffre étonnamment élevé de 50 morts d’enfants par mois brandi par l’association médicale de Californie doit être comparé aux autres causes de décès d’enfants aux USA : par arme à feu : 358 par mois4, par accident de la route : 325 par mois. La troisième cause de décès est la mort par surdose et empoisonnement et en 2021, le National Cancer Institute estime que 15 590 enfants et adolescents âgés de 0 à 19 ans ont souffert de cancer et que 1800 en sont morts,5 permettant de chiffrer à 150 le nombre mensuel moyen de décès d’enfants par cancer.
Chacun avertit, mais il y a encore trop de sourds et aveugles au danger encouru par l’Humanité.
👉IMPARDONNABLE – 125 enfants morts, 1 000 handicapés et 50 000 lésés à cause de la vaccination Covid-19 aux USA au 3 juin 2022
« Les derniers chiffres publiés par les Centres américains de contrôle des maladies révèlent que 50 000 enfants ont été affectés par la vaccination contre le Covid-19 aux États-Unis. Malheureusement, 1 112 de ces enfants ont souffert d’une complication mettant leur vie en danger ou d’un handicap permanent, tandis que 125 autres enfants ont malheureusement perdu la vie. »6
LES PARENTS OUVRENT LES YEUX 7 ET LES MENSONGES ACCUMULÉS SUR L’INJECTION COVID JETTENT LE TROUBLE SUR LES AUTRES VACCINS
« On a ouvert la boîte de Pandore et les gens examinent tous les vaccins avec attention. Et nous comprenons le sens d’essais de contrôle appropriés. Nous voyons maintenant des vaccins administrés pour des maladies facilement traitables comme la coqueluche ou la diphtérie et nous assistons maintenant à une attaque incroyable ! Nous voyons maintenant des enfants recevoir plus de 17 injections. Quand j’étais petit, il n’y en avait que 3 ! Et il y a probablement eu une attribution inappropriée du succès de ces vaccins.
Ainsi, même certains des premiers succès jamais revendiqués par les vaccins sont probablement davantage attribuables à l’assainissement ou à d’autres formes de soins médicaux.
Donc, ce qui se passe maintenant, c’est qu’ils avaient l’habitude de recenser un taux de réticence à la vaccination ce qu’on appelle : ‘l’hésitation aux vaccins’ aux États-Unis. Ce taux était d’environ 2,5 % de la population avant. Actuellement, du fait des mensonges permanents constatés par la population, la confiance en la parole de l’état a fortement chuté et l’hésitation aux vaccins dépasse les 25 %.
Moi je suis un médecin entièrement vacciné et elle est un médecin entièrement non vacciné, elle n’a jamais pris un seul vaccin de sa vie !
Nous avions donc deux perspectives différentes, mais ce sur quoi nous nous sommes mis d’accord, c’est que les vaccins, comme toute thérapie médicale, méritent une réévaluation dans le temps.
Rien n’a de permanence, rien n’a de talisman, rien n’a une existence basée sur la foi. Tout a un état dans le temps. Les médicaments que nous utilisons maintenant ne sont pas les mêmes que ceux que nous utilisions l’année dernière. Et si les médicaments sont retirés, les vaccins devraient être retirés. Tout doit faire l’objet d’une évaluation critique.
Et la catastrophe du vaccin Covid-19 a ouvert la boîte de Pandore et maintenant, selon des estimations récentes, environ 30 % des parents sont maintenant très préoccupés par l’ensemble du calendrier vaccinal. »8
MORTINAISSANCES AVOUÉES EN AUSTRALIE
Voici un graphique intéressant sur les mortinaissances australiennes. Pourquoi y aurait-il un bond aussi astronomique des mortinaissances à partir de 2021-2022 ?
AUX USA, FAUSSES COUCHES ET MORTALITÉ PÉRINATALE IMPORTANTES
Même si VAERS est connu pour avoir supprimé de grandes quantités de données rapportées, celle-ci affiche encore suffisamment de chiffres pour susciter de sérieuses inquiétudes.9
VAERS COVID Vaccine Reproductive Health Related Reports
LA DUPERIE COMMENCE À ÊTRE RÉVÉLÉE : SCOOP !
Les remarques du Dr Bourla sur le vaccin des enfants étaient « honteusement trompeuses » et « de nature extrêmement promotionnelle » 10
ET LA MORTALITÉ GLOBALE AUGMENTE
🔵🌍Nos enfants meurent du vaccin covid
Les données recueillies dans 24 pays montrent le dépassement de surmortalité.
Dépassement du pic hebdomadaire des enfants de 0 à 14 ans :
215 morts en 2020
Autorisation vaccinale des enfants de 12 à 5 ans de l’EMA.
481 morts
2022 : Vaccinations et rappels des enfants
+ de 807 morts
C’est un record absolu.
ET POURTANT pour les enfants de 0 à 14 ans, la probabilité de mourir du covid est très proche de zéro.11
EUDRAVIGILANCE POUR UE
EudraVigilance data updates
Data status 19/11/2022
– EMA data update (Cf. z. data status 11/14/2022):
→ 2,120,667 cases (+13,852)
→ 26,870 deaths (+32)
→ 610,753 serious adverse events (+3,248).
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/12/essai-pigeon.jpg327408Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-12-04 13:05:252022-12-04 13:05:25RIEN NE JUSTIFIE L’INJECTION DANGEREUSE DES FEMMES ENCEINTES NI DES BEBES
Par le Dr Gérard Delépine, chirurgien cancérologue
« Un conflit d’intérêts naît d’une situation dans laquelle une personne employée par un organisme public ou privé possède, à titre privé, des intérêts qui pourraient influer ou paraître influer sur la manière dont elle s’acquitte de ses fonctions et des responsabilités qui lui ont été confiées par cet organisme ».
(Service central de prévention de la corruption, Rapport 2004)
Depuis trente ans la mondialisation a permis l’émergence de très grandes entreprises mondiales qui utilisent leur puissance financière considérable pour créer des liens financiers et extra financiers avec les scientifiques, les fonctionnaires et les politiques pour favoriser leurs intérêts. Cette corruption croissante atteint un tel degré, et dans tant de domaines qu’elle menace la science, la médecine, l’information et la possibilité de s’exprimer et ainsi la démocratie.
Dans cette tribune, nous décrirons quelques dégâts de la corruption sur la science et la médecine, car la liste en est longue…
La corruption de la science menace les progrès de la connaissance
Les liens d’intérêts financiers entre les chercheurs, médecinset industrie sont extrêmement fréquents dans la recherche biomédicale. Les essais cliniques sont majoritairement initiés et financés par l’industrie et consistent principalement en des études pilotes privilégiant l’innovation plutôt que les études comparatives des médicaments nouveaux aux médicaments anciens qui ont prouvé leur efficacité1.
Il existe une hiérarchie des rétributions selon l’utilité des intervenants : quelques centaines d’euros pour un médecin, quelques milliers pour un investigateur qui inclue des malades dans un essai thérapeutique, quelques dizaines ou centaines de milliers pour le promoteur d’un essai important ou un leader d’opinion.
En France, un médecin peut être à la fois : chef de service hospitalier, professeur des universités et donc enseignant, consultant rémunéré par l’industrie pharmaceutique, membre d’une agence gouvernementale régulant le marché du médicament, interviewé par les médias sur les avantages et inconvénients d’un médicament en oubliant de préciser ses liens avec la firme qui le commercialise (acte contraire à la loi transparence-santé de 2011, mais que le conseil de l’ordre des médecins, qui en est légalement, chargé ne poursuit que très exceptionnellement.)2
Ce cumul des fonctions, caricature des conflits d’intérêts est extrêmement rentable. Des sommes de 10 000 euros par mois ne sont pas exceptionnelles et l’Inspection Générale des Affaires Sociales a révélé qu’un leader d’opinion peut toucher plus de 600 000 euros pour un seul contrat de consultant, bien plus que son traitement annuel d’hospitalo-universitaire pendant 5 ans !
Selon les recherches effectuées par l’AFP sur Euros for Docs, près de 195 000 euros ont été déclarés par des industriels à la Pr Karine Lacombe, ce qu’elle a généralement omis de mentionner lors de ses prises de parole concernant les médicaments sur les plateaux TV alors que la loi transparence santé l’exige.
France Soir a établi un top 13 des « revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique » à des médecins3 en vue :
Pr François Raffi4 de Nantes aurait touché 541 729 €, dont 52 812 € de Gilead.
Le Pr Jacques Reynes de Montpellier. 291 741 €, dont 48 006 € de Gilead et 64 493 € d’Abbvie.
Le Pr Jean Michel Molina co-auteur d’un article publié dans Médecine et Maladies Infectieuses, journal officiel de la SPILF, sur quelques cas, pour dire que l’hydroxychloroquine ne marche pas. 184 034 €, dont 26 950 € de Gilead et 22 864 € d’Abbvie.
Le Pr Gilbert Deray, néphrologue très présent sur les plateaux télé 160.649 €.
Le Pr Jean-Paul Stahl, de Grenoble. 100 358 €, dont 4 552 € d’Abbvie. À noter que cette somme n’a pas été déclarée sur sa DPI et que Jean-Paul Stahl, rédacteur en chef du journal Médecine et Maladies Infectieuses a comparé le Plaquénil au papier toilette.
Le Pr Christian Chidiac, président de la Commission Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique qui a rendu le fameux avis interdisant l’hydroxychloroquine aurait touché 90 741 €, dont 16 563 € de Gilead.
Le Pr Bruno Hoen, de l’Institut Pasteur : 82 610 €, dont 52 012 € de Gilead. Qui a attaqué l’équipe de Marseille dans un courriel du 18 mars 2020, partagé avec tous les infectiologues.
Le Pr Pierre Tattevin, de Rennes, président de la SPILF : 79 956 €, dont 15 028 € de Gilead. Le Pr Vincent Le Moing de Montpellier. 68 435 €, dont 4 776 € de Gilead et 9 642 € d’Abbvie. Le Dr Alain Makinson de Montpellier. 63 873 €, dont 15 054 € de Gilead.
Pour la seule année 2018, Transparence CHU a montré5 que la base Transparence Santé liste plus de 2,5 millions de déclarations des entreprises représentant près de 1,36 milliard d’euros qui irriguent le système de santé français.
Aux USA, les sommes sont plus importantes et la psychiatrie est l’une des spécialités les plus corrompues. Ainsi entre 2000 et 2007, le Dr Biederman, psychiatre, a reçu au moins 1,6 million de dollars pour promouvoir l’utilisation de médicaments antipsychotiques pour les enfants, pour lesquels ils n’avaient pas été approuvés.
Deux de ses collègues ont reçu des montants similaires. Le Dr Alan F. Schatzberg, président du département de psychiatrie de Stanford et président de l’American Psychiatric Association contrôlait plus de 6 millions de dollars d’actions dans Corcept Therapeutics, une société qu’il a cofondée et qui teste la mifépristone comme traitement de la dépression psychotique, tout en étant le chercheur principal bénéficiaire d’une subvention de l’Institut national de la santé mentale qui comprenait des recherches sur la mifépristone pour cette utilisation et co-auteur de trois articles sur le sujet vantant les mérites de médicament abortif (RU-486).
« Entre les déjeuners, les dîners, les hébergements à l’hôtel, les frais de transport et les honoraires, les industriels ont payé pour 449 389 euros d’avantages à neuf experts du conseil scientifique placé auprès d’Emmanuel Macron ainsi que du Comité analyse et expertise (Care) chargé de l’éclairer sur les questions purement scientifiques liées au Covid-19. »
De tous les membres du Conseil scientifique, c’est Yazdan Yazdanpanah, qui a touché 134 684 euros, suivi de Denis Malvy et Bruno Lina7.
Pour le médecin très lié aux labos les avantages ne s’arrêtent pas à l’argent, aux flatteries et aux beaux voyages et hôtels payés. Il bénéficie aussi habituellement d’une amplification de sa renommée par le réseau de communication rodé des labos, d’une aide à sa carrière académique, et d’une capacité accrue à obtenir des fonds de recherche. Les firmes assurent aux « leaders d’opinion » qu’elles choisissent, la reconnaissance professionnelle grâce à leur puissante logistique événementielle (congrès, symposiums, colloques, agences de presse), l’appartenance à un groupe « reconnu », l’acceptation des communications en congrès et des articles dans les grandes revues…
Ces conflits d’intérêts non financiers, plus difficilement mesurables, sont tout aussi responsables que les conflits financiers, en termes de dommages systémiques qu’ils causent à la science et ne paraissent pas correctement pris en compte en tant que risques dans le cadre de la recherche universitaire.
Les chercheurs ayant des liens d’intérêts avec l’entreprise qui fabrique le produit étudié sont plus susceptibles d’arriver à des conclusions positives, que ce soit par le financement préférentiel des projets susceptibles de réussir, par la conceptionbiaisée de l’étude, par la minoration ou la suppression de résultats négatifs, ou d’une interprétation tendancieuse des résultats. La signature initiale d’un contrat limitant la liberté de publier du contractant en est le moyen le plus caché et le plus efficace du contrôle de la firme sur le consultant.
Toutes les études comparant les résultats présentés par des auteurs liés aux firmes et ceux publiés par des auteurs indépendants démontrent que les premiers favorisent les produits ou appareils que produisent leurs sponsors. Le phénomène bien connu pour le tabac8, affecte tous les domaines de la médecine : traitement des cancers9, du glaucome10, le bronzage11, du diabète12, de l’hypertension, de l’hypercholestérolémie, des coronaropathies…, tous ceux où un candidat traitement pourrait ouvrir un marché prometteur.
Ces liens d’intérêts expliquent pourquoi la majorité des résultats de recherche publiés sont faux13 exagèrent l’utilité des nouveaux médicaments et dissimulent leurs toxicités.
Des auteurs du réseau Cochrane14 ont analysé des essais cliniques inclus dans des méta-analyses et prouvé que les essais cliniques financés par les firmes sont cinq fois plus favorables aux médicaments testés que ceux financés par des organismes indépendants des firmes.
Voir aussi le livre du Professeur Goetsche, un des fondateurs du réseau Cochrane :
Les sociétés savantes corrompues par l’industrie lui servent de porte-parole, voire de bras armé.
Aujourd’hui, beaucoup de sociétés autrefois savantes ne vivent plus des cotisations de leurs membres, mais essentiellement de la générosité des entreprises de leur spécialité. Les sommes allouées peuvent être considérables.
Aux États-Unis, la transparence plus grande permet de mieux les connaître1516. Ainsi l’American Society of Clinical Oncology a bénéficié de 54 millions de dollars et l’American College of Cardiology, 21 millions de dollars. Des paiements importants, regroupant des frais de conseil, des rémunérations pour prise de parole, des redevances d’hospitalité ont également été versés aux dirigeants de la North American Spine Society pour 9,5 millions de dollars et de l’Orthopedic Trauma Association pour 4,7 millions.
En France le site transparence santé gouv, de consultation très difficile, ne permet pas d’obtenir le montant précis des sommes allouées aux sociétés savantes, car leur montant est le plus souvent affublé de la mention « non renseigné ».
L’exemple de la Société de pathologie infectieuse de langue française (Spilf), qui a porté plainte contre le professeur Raoult est démonstratif.
D’après son site cette société regrouperait 500 membres actifs dont le montant de la cotisation s’élève à 100 euros soit 50 000 euros annuels de ressources indépendantes des firmes. Elle en reçoit plus de 20 fois plus de l’industrie (Dont 800 000 euros de Gilead d’après M Wonner17 et plus 100 000 annuels de Pfizer).
L’application du proverbe « Dis-moi qui te paie, je te dirai qui tu es » permet de supposer que cette société aurait agi contre Didier Raoult comme le bras armé de ses sponsors et en l’occurrence de Gilead fabricant du Remdesivir. Car Gilead voulait empêcher l’utilisation de tout traitement ancien et bon marché tel que la chloroquine pour imposer son poulain Remdesivir qui lui a rapporté près de 2 milliards de dollars lors du seul 3e trimestre 2021, alors qu’il est fortement déconseillé par l’OMS et que son l’utilisation sans consentement éclairé fait actuellement l’objet de plusieurs plaintes pénales aux USA.18
La plupart des autres sociétés savantes françaises dont nous avons analysé le financement se sont révélées extrêmement dépendantes de l’industrie qui représente leur principale source de financement. Lorsqu’elles traitent d’un produit rentable pour leurs partenaires industriels, les recommandations thérapeutiques qu’elles émettent reproduisent trop souvent la propagande des services de communication de ceux-ci sans grand égard pour les données scientifiques réelles.
La corruption des revues scientifiques et des médias les transforme en outils de propagande
Depuis l’arrivée d’Internet, les revues médicales jadis prestigieuses ont perdu un grand nombre d’abonnés et sont également devenues extrêmement dépendantes de l’industrie pharmaceutique qui les maintient en vie par les publicités de médicaments et des numéros spéciaux qu’elle leur commande pour vanter leurs produits.
Marcia Angell, l’ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, a fait publiquement part de son écœurement19 :
« Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des publications de la recherche clinique, ni de compter sur le jugement des médecins expérimentés ou les directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à formuler cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur lors de mes deux décennies passées au poste de rédacteur en chef du New England Journal of Medicine. »
Le Dr Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet, a déclaré :
« Un nombre scandaleux de publications d’études sont au mieux, peu fiables, quand elles ne sont pas complètement mensongères, en plus de frauduleuses. »
« Quelque chose est pourri dans l’état de la recherche biomédicale. Tous ceux qui travaillent dans ce domaine le savent à un certain niveau. Nous applaudissons les présentations de nos collègues lors de conférences, en espérant qu’ils nous feront preuve de la même courtoisie, mais nous savons dans notre cœur que la majorité, voire la grande majorité de nos affirmations en matière de recherche sont fausses. »
En Allemagne, la corruption des revues financées par l’industrie a été démontrée par Annette Becker, de l’université de Marburg en Allemagne, et ses collaborateurs après analyse des recommandations de prescription faites par onze revues allemandes dédiées à la Formation Médicale Continue. Les auteurs concluent que les recommandations visant à l’utilisation ou non d’un médicament dépendent de la source de financement des revues.
En France, en 2004 les firmes dépensaient en promotion 25 000 euros par an et par médecin d’après le rapport de l’IGAS. Elles consacraient plus d’un milliard d’euros par an aux visites médicales et 120 millions aux congrès.
Une étude du LEM21 estime qu’un euro supplémentaire investi dans la promotion des ventes auprès de l’ensemble des médecins libéraux d’une région pourrait rapporter un peu plus de 5,15 euros de ventes. L’effet est plus marqué pour les généralistes (1 euro supplémentaire rapportant 6,41 euros).
En outre, les laboratoires qui accordent les paiements les plus élevés (supérieurs au troisième quartile des paiements dans une région), augmentent significativement les montants de leurs ventes : +8 % des ventes grâce à la promotion auprès des salariés, +22 % grâce à celle auprès des spécialistes libéraux, par rapport à des laboratoires qui effectueraient une promotion de faible ampleur.
Pierre Frouard co-auteur d’une étude de l’Université Rennes 1 sur les prescriptions des médecins et leurs liens avec l’industrie rappelle que :
« Si ça n’était pas efficace, les firmes ne mettraient pas autant d’argent dans le lobbying ».
La formation continue des médecins, rendue obligatoire par la loi, est presque uniquement prise en charge par l’industrie pharmaceutique. Les médecins qui participent à ces sessions n’ont pas la possibilité d’entendre tous les points de vue, lors d’une formation supposée être libre de l’influence de l’industrie22. Ces formations réalisées, ou au moins sponsorisées par un laboratoire donnent droit à des points pour valider la formation continue obligatoire. Se faire acheter est devenu une obligation légale !
La corruption des agences sanitaires et des ministères menace la sécurité sanitaire de la population
L’ancien directeur de directeur de l’Agence de réglementation des médicaments et des produits alimentaires en Chine, Zheng Xiaoyu, qui avait rang de ministre, a été exécuté le 10 juillet 2007 pour corruption. Il avait été reconnu coupable d’avoir touché 6,4 millions de yuans (620 000 euros) de pots-de-vin d’entreprises pharmaceutiques.
En 1991, Le Président de SmithKline Beecham, fabricant du vaccin anti-hépatite B, a avoué avoir donné à Francesco de Lorenzo, ministre italien de la Santé, 600 millions de lires quelques mois avant que ce dernier rende la vaccination obligatoire dans son pays. Francesco de Lorenzo a été condamné à plusieurs années de prison ferme. Paolo Cirino Pomicino, ancien ministre du Budget, et le Pr Duilio Poggiolini, membre influent des instances européennes du Médicament, ont été également condamnés dans des affaires similaires.
En 2011 un rapport de l’IGAS concluait :
« L’Afssaps, agence de sécurité sanitaire, se trouve à l’heure actuelle structurellement et culturellement dans une situation de conflit d’intérêt. ».
Malgré quelques minimes efforts récents des agences pour améliorer leur transparence ou lutter contre les conflits d’intérêts, ceux-ci règnent toujours en maîtres.
Les procédures d’AMM23 facilitent les manipulations. Dans les pays démocratiques, les débats en justice sont publics et contradictoires. « À charge et à décharge ».
À l’inverse, les jugements actuels d’AMM sont secrets (ni le dossier d’AMM ni les débats ne sont publiés) et instruits uniquement par une partie (le laboratoire) dont personne ne remet les dires en doute. Dans tous les pays démocratiques, les juges sont payés par l’état et ne doivent en aucun cas avoir de lien quelconque avec l’une de parties qui se présentent devant eux « on ne peut pas être juge et partie ».
Dans la commission d’AMM, presque aucun expert n’est indépendant des laboratoires. Beaucoup en vivent et parfois très largement. Comment s’étonner alors de la facilité avec laquelle les médicaments soumis à la commission d’AMM sont déclarés « novateurs », « avec une balance efficacité/risque très positive » dont récemment les pseudo vaccins anti-covid pourtant manifestement incapables de prévenir d’attraper et de transmettre la maladie ni d’éviter les formes graves, comme le montre l’évolution de la mortalité covid publiée par l’OMS.
L’indépendance est également exceptionnelle dans la commission de fixation des prix et dans celle fixant le taux de remboursement.
Il en est de même pour la plupart de membres chargés de la pharmacovigilance dont la société scientifique est largement sponsorisée par l’industrie. Ces conflits d’intérêts expliquent en très grande partie les « incompréhensibles » défaillances du système de pharmacovigilance relevées par l’IGAS dans le scandale du Médiator.
L’AFSSAPS, agence chargée de délivrer les autorisations de mise sur le marché (AMM) aux médicaments et l’agence européenne (l’EMA) sont financées dans leur quasi-totalité par les firmes pharmaceutiques. Ceci est dénoncé par la commission d’enquête du Sénat sur le médicament, comme par la Cour des Comptes, qui use de la litote : « le mode de financement retenu n’est pas de nature à assurer l’indépendance de l’agence ».
Bernard Bégaud constate :
« C’est compliqué de considérer de façon très neutre une molécule alors que fondamentalement le choix aura une incidence (…) pas neutre sur quelqu’un qui, quelque part est un ami »
et conclut :
« il ne devrait pas du tout être possible, quand on a travaillé dans un labo, d’aller dans une administration publique tout particulièrement dans une agence d’évaluation. »
Quand la science, certains médecins, les revues médicales, les agences sanitaires et l’OMS sont corrompus, c’est la santé de l’humanité toute entière qui est menacée.
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/12/essai-business.jpg416491Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-12-03 10:18:412022-12-03 10:18:41La corruption détruit la médecine et la science
Si répéter est la base de l’enseignement, il est bien une technique que possèdent les gouvernants du Nouvel Ordre Mondial (et donc les nôtres), celui de ressasser encore et encore une propagande contraire aux faits avérés pour conduire les administrés à obéir et à se faire injecter ce poison inefficace et dangereux alors qu’elle est démentie par des milliers d’articles internationaux.
Il convient de répéter aux menteurs compulsifs (et grassement payés ?) des plateaux télé :
Non, le masque ne protège pas de ce virus contrairement aux dires et supplications de la ministre.1
Non, le pseudovax n’est pas un vaccin, malgré les changements de définition du Petit Robert et cette injection encore expérimentale en AMM provisoire ne protège ni des contaminations ni des formes graves sinon il n’y aurait pas plus de décès2 liés, reconnus par les agences de santé internationales, chez les vax que chez les non-vax. Les appels internationaux à stopper le désastre sont nombreux.3
REFUSEZ LE BOOSTER À CEUX QUE VOUS AIMEZ
Si vous aimez vos proches injectés (par confiance mal placée aux médias menteurs, ou par nécessité vitale pour vivre), protégez-les du booster proposé, car les effets s’accumulent avec les doses successives, et surtout le contenu de ces nouveaux pseudovax paraît de plus en plus riche en substances toxiques. Les premières doses contenaient beaucoup de placebos, mais les suivantes sont de plus en plus riches en ARNm et en graphène, dont une multiplication des complications que chacun peut constater dans son entourage s’il ne se voile pas la face.
Comme clinicienne, je veux attirer votre attention sur les flambées de cancer qui désolent les cancérologues pourtant taiseux.
En octobre dernier 2022, une étude suédoise a révélé que la protéine de pointe associée à la maladie COVID-19 et ses vaccins expérimentaux pénètre dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages à l’ADN, compromettant l’immunité adaptative d’une personne et encourageant peut-être la formation de cellules cancéreuses.
En mars 2021, le Dr Ryan Cole a signalé une « hausse » massive de diverses maladies auto-immunes et cancers chez les patients vaccinés contre la COVID.
« Depuis le 1er janvier 2021, en laboratoire, je constate une multiplication par 20 des cancers de l’endomètre par rapport à ce que je vois sur une base annuelle ». En ce qui concerne l’immunité adaptative globale, Cole décrit : « Après le vaccin, ce que nous voyons est une baisse de vos cellules T tueuses » qui « gardent tous les autres virus sous contrôle », laissant le patient vulnérable à une variété de maladies.
En janvier 2022 trois militaires décorés de haut rang, médecins et responsables de la santé publique aux USA, ont déclaré sous serment qu’à la suite de l’adoption du vaccin COVID dans l’armée américaine ils avaient constaté une augmentation des cancers de 296 %.4
Un post d’alexandra pour sensibiliser les humains au risque de cancer après injection anticovid5
« Je remarque que l’humain comprend mieux sur l’animal que sur lui-même. Alors je vous raconte l’histoire de Kimani, le petit gorille, né dans un zoo à Calgary. Il est né le 9 mars 2016 d’une mère Kioja, âgée de 15 ans (primipare) et d’un père illustre Kakinga, connu comme le “gentle giant” (le gentil géant), mort à 37 ans d’une déchirure dans l’aorte. Bénéficiant du nec plus ultra du traitement de l’humanité, le jeune Kimani âgé de 6 ans a été injecté début avril 2022 avec les premières doses anti-COVID19 disponibles au zoo. En moins de 2 mois, l’état de santé de Kimani s’est profondément dégradé. Il est dans un état critique, et seuls les soins palliatifs sont désormais envisagés. Il a été diagnostiqué d’un cancer du foie… Cancer pédiatrique du foie ». 6
Ces cancers foudroyants que médecins et vétérinaires n’essaient même pas de traiter, nous les appelons entre cancérologues les TURBO CANCERS. Merci d’en parler autour de vous, car il nous faut trouver un moyen pour les prendre en charge, mais aussi pour en limiter l’incidence, ce qui revient probablement à la sagesse de la déclaration du médecin en chef Dr @LeibowitzRaya : NE PLUS SE FAIRE INJECTER
Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontre. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.
Un des autres cancers les plus rapportés dans nos contacts récents est le lymphome chez de jeunes adultes…
Et tous ces articles qui fusent et disparaissent rapidement via la censure7.
« En tant qu’oncologue, je vois des personnes atteintes d’un cancer stable [qui a] progressé rapidement après avoir été forcées de recevoir un rappel ». Et suit une lettre du Dr Angus Dalgleish, professeur d’oncologie à l’Université St George de Londres, au Dr Kamran Abbasi, rédacteur en chef du BMJ.
Il écrit à l’appui de l’appel d’un collègue au Dr Abbasi pour que le BMJ fasse du consentement éclairé valide pour la vaccination Covid un sujet prioritaire.
« Cher Kamran Abbasi,
Covid n’a plus besoin d’un programme de vaccination étant donné que l’âge moyen de décès de Covid au Royaume-Uni est de 82 ans et de toutes les autres causes est de 81 ans et en baisse.
Le lien avec les caillots, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est maintenant bien accepté, tout comme le lien avec la myélite et la neuropathie. (Nous avons prédit ces effets secondaires dans notre article de juin 2020 Sorensenet al. 2020, l’analyse de l’explosion ayant révélé 79 % d’homologies avec les épitopes humains, en particulier PF4 et la myéline.)
Cependant, il y a maintenant une autre raison d’arrêter tous les programmes de vaccination. En tant qu’oncologue praticien, je vois des personnes atteintes d’une maladie stable progresser rapidement après avoir été forcées de prendre un rappel, généralement pour pouvoir voyager.
Même au sein de mes contacts personnels, je vois une maladie à base de cellules B après les rappels. Ils décrivent être nettement malades quelques jours à quelques semaines après le rappel — une leucémie en développement, deux collègues de travail lymphome non hodgkinien et un vieil ami qui a eu l’impression d’avoir eu le Covid long depuis qu’il a reçu son rappel et qui, après avoir eu une douleur osseuse intense, a été diagnostiqué comme ayant de multiples métastases d’une maladie rare des cellules B.
J’ai suffisamment d’expérience pour savoir que ce ne sont pas les anecdotes fortuites que beaucoup suggèrent, d’autant plus que le même schéma est observé en Allemagne, en Australie et aux États-Unis.
Les rapports d’immunosuppression innée après ARNm pendant plusieurs semaines conviendraient, car tous ces patients à ce jour ont un mélanome ou des cancers à base de cellules B, qui sont très sensibles au contrôle immunitaire — et c’est avant les rapports de suppression du gène suppresseur par ARNm dans les expériences de laboratoire.
Cela doit être diffusé et débattu immédiatement ».
Angus Dalgleish Professeur d’oncologie à St George’s, Université de Londres.
Quant aux mécanismes ils sont débattus par les chercheurs8, mais l’urgence pour chacun d’entre nous est de résister à l’injection poison dont les effets toxiques ne sont plus à démontrer.
https://twitter.com/JosefSa39957439
La relation possible avec les cancers du sang et les vaccins COVID-19 et les mécanismes scientifiques avérés qui peuvent l’expliquer… Mieux que quiconque, les scientifiques qui travaillent sur l’immunologie/pathologie peuvent l’expliquer et montrer comment la hausse des cancers depuis 2021 est désormais de 9-sigma…
Le cancer est à une hausse de 9 sigma. Les chiffres sont plus que clairs à ce sujet.
Le cancer est un navire difficile à tourner, lent à se déplacer 1-sigma. C’est un virage difficile pour le cancer, ce qui signifie que quelque chose est devant nous. Et le CDC a suffisamment paniqué à ce sujet pour risquer une fraude pour le dissimuler.
L’argument selon lequel l’épidémie de cancer serait due au retard dans les dépistages ne tient pas, car l’arrêt des dépistages et le retard aux traitements aboutissent à des formes plus évoluées de cancers et peut en augmenter la mortalité, mais est incapable d’en augmenter significativement l’incidence. De plus si c’était le cas il s’agirait des cancers classiques. Or ici ce sont de nouveaux types de cancer, à des âges inhabituels avec des comportements particuliers tels leur vitesse majeure de développement et leur résistance à tous les traitements habituels.
« Les dépistages différés n’ont pas produit cela. Nous voyons des cancers rares/bizarres et des augmentations hors saison. Les dépistages différés ne déclenchent pas une augmentation des cancers en une seule semaine. Il s’agit d’une intervention spécifique, intense et inédite » selon THE Random Dude ☀ @EthicalSkeptic sur twitter9
Et si vous n’y croyez toujours pas, pensez à ce voisin dont le cancer a flambé et lisez l’article suivant 10
Par exemple on comprend pourquoi les injections suivant la première sont plus toxiques :
« Lorsqu’il y a une stimulation du système immunitaire, la microglie ramifiée passe au stade de la microglie amorcée. Les pseudopodes sont rétractés et cela devient une cellule plus arrondie. À l’intérieur de la microglie amorcée, il y a une intense régulation à la hausse de la production de cytokines, de chimiokines et d’excitotoxines — mais elles ne sont pas libérées de la cellule, il peut donc y avoir une réaction immunitaire mineure, mais sinon il n’y a pas beaucoup de signes de réaction. C’est ce qui se passerait avec la première injection de cet injectable qu’ils appellent un “vaccin” », a déclaré le Dr Blaylock.
Il est important de noter que les chimiokines attirent les macrophages, ou globules blancs, vers le cerveau. Un macrophage dans le cerveau ressemble exactement à la microglie et peut également subir un amorçage.
« Avec la deuxième stimulation immunitaire, [qui serait la deuxième injection et] qui peut être des mois plus tard, cette microglie amorcée devient complètement activée. Et lorsque cela se produit, il libère tous ces composants toxiques… vous obtenez une microglie activée de manière chronique, [un] état suractivé et il y a une réaction inflammatoire 3 fois plus élevée que celle que vous obtiendriez normalement avec l’activation microgliale. »
Il insiste sur les dangers sur les fœtus et les risques prévisibles à long terme. « Chez le bébé, il y a le même processus qui se produit chez les adultes, l’amorçage et l’activation et une activation microgliale à long terme — par exemple, lors de l’examen de l’autisme adulte, après 40 ans, la microglie était toujours activée. Le Dr Blaylock a averti :
« Je pense que nous allons tout voir [comme conséquence des injections de Covid]. Nous allons assister à une augmentation considérable des troubles du spectre autistique. L’autre trouble dont on ne parle jamais est la schizophrénie. Ce que nous voyons, c’est que si nous stimulons le système immunitaire au cours du troisième trimestre, l’incidence de la schizophrénie augmente d’environ 6 fois. Mais ça n’arrive qu’à l’adolescence donc ça va être long avant qu’on le voie.
“Mais je pense que tout — les malformations augmentent déjà de 300 à 400 %, les fausses couches — nous allons voir des choses que nous n’avons jamais vues auparavant. C’est la tragédie de tout cela.
Que les organisations pédiatriques approuvent les injections de Covid est monstrueux. »
Le Dr Ryan Cole a remarqué qu’il y avait une augmentation considérable des cancers agressifs après le déploiement de l’injection de Covid. Il a également remarqué que les personnes qui avaient des cancers bien contrôlés développaient des cancers incontrôlables et mouraient très rapidement.
De longues publications abordent maintenant ce sujet. L’important en urgence est de stopper ces injections et de les éviter à vos proches en attendant une suppression mondiale.
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/09/pub-a-lecole.png538756Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-12-01 19:35:182022-12-01 19:35:18Attention aux boosters des pseudovax covid19 : cancers du pancréas, lymphomes, utérus etc. se X
Jusqu’à récemment l’éthique en médecine semblait concerner le respect du serment d’Hippocrate, le respect des conventions signées par la France comme la convention d’Oviedo, le respect du consentement éclairé. L’académie de médecine nous avait déjà surpris en juillet 2022 en disant que ne pas CROIRE en la science ne serait pas éthique… La religion scientiste et son intolérance inquisitoriale pointaient déjà le bout de son nez…
Est-ce éthique de faire soigner les hospitalisés par des soignants malades sous prétexte qu’ils ont accepté une injection expérimentale qui ne les empêche pas d’être contaminants ? Ou bien de respecter la liberté de choix de tout citoyen y compris celle des Blouses blanches qui ne sont pas des antivax (ils ont tous été vaccinés dans le passé et ont, presque tous, largement vacciné leurs patients) et qui sont généralement mieux informés que nos dirigeants de la balance avantages/risques des médicaments mis à leur disposition ?
On est interloqué par la prise de parole du nouveau ministre sur la réintégration des soignants :
« Accepte-t-on que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles ? » Voilà la question soulevée par le ministre pour ce qui est de l’ordre sanitaire. « On meurt encore du Covid, tous les jours en France »
Lequel s’est ensuite longuement arrêté sur le second aspect, celui du « problème d’éthique professionnelle ».
Le même qui est « revenu » au ministre (une rumeur) « aussi par les soignants qui se sont fait vacciner », ont « tenu la ligne pendant deux ans » et ne comprendraient visiblement pas que leurs collègues non vaccinés puissent faire leur retour.
Pour démêler ce nœud, François Braun a expliqué avoir saisi la Haute Autorité de Santé, notamment sur la question des vaccinations obligatoires, ainsi que le Conseil national d’éthique. Ce n’est qu’en possession de ces deux avis que le ministre prendra sa décision, d’ici plusieurs mois.
Dans ce contexte, François Braun a aussi tenu à préciser que la situation ne concerne en vérité que « très peu de médecins » et « 1 050 infirmiers sur les 300 000 ». Il l’a donc assuré : ce n’est pas avec leur retour « qu’on va résoudre les problèmes de l’hôpital ».
Il est ahurissant de lire ces lignes semblant démontrer que le ministre est pour le moins mal informé1, en refusant l’hypothèse qu’il nous mentirait sciemment.2
Non, Mr le ministre, l’injection expérimentale ne protège pas du covid, voire rend plus fragile puisque tous les pays vaccinés sont beaucoup plus contaminés que ceux qui ont refusé la pseudovax de masse. Chacun en fait l’expérience avec ses proches injectés qui font un « covid » après chaque injection et le repasse généreusement à toute la famille. Non cette injection n’a jamais protégé personne comme la littérature internationale et les données officielles de l’OMS le démontrent abondamment.
Le même ministre qui prononce cette phrase : « Accepte-t-on que des gens qui ne sont pas suffisamment protégés soient à proximité des gens les plus fragiles ? » autorise les soignants injectés malades du covid « légèrement » à travailler… De qui se moque-t-on ? Les ARS n’en ont-elles pas averti le ministre ? Il est peu probable qu’un directeur d’hôpital autorise de son propre chef les soignants malades du covid même « légèrement » symptomatiques à approcher les patients, sans l’aval du directeur d’ARS, le grand manitou.
Le ministre a dit :
« On meurt tous les jours en France du covid ».
D’une part, les chiffres déclarés à l’OMS sont très bas avec une moyenne inférieure à 70 patients par jour déclarés covid, donc bien inférieurs par exemple à la mortalité des cancéreux de l’ordre de 500 par jour. De plus faudrait-il encore que ces morts affichés du covid ne soient pas simplement des morts d’autre chose AVEC le covid, et d’autre part que ce covid ne soit pas de fait un spike protéine syndrome, complication de plus en plus connue de l’injection et évidemment contagieuse3.
Pour affirmer ses dires, le ministre devrait exiger de ses services que soient communiqués au public les chiffres de mortalité covid19 chez les vaccinés en fonction du nombre de doses reçues, et chez les non vax. Pourquoi ce refus de transmission des résultats que communiquent les autres pays aux citoyens ?
On peut lire sur Telegram ce tweet hallucinant :
« Braun ment, il n’existe aucune statistique covid sur les morts :
Christine Cotton OFFICIEL (@StatChrisCotton) a tweeté à 4:14 PM on dim., nov. 20, 2022 :
Réponse EFFARANTE de la CADA commission accès aux doc administratifs au Pr Toubiana
Il n’existe aucune donnée relative au statut vaccinal covid des personnes décédées ?
Comment font-ils leurs études PROUVANT que le vaccin ⬇️la mortalité ?4
Mais Christine Cotton affirme :
« Une étude de plus qui prouve que le statut vaccinal des personnes décédées est bien disponible » 5
Le deuxième point abordé par le ministre est l’éthique. Parlons-en. Qu’est-ce que l’éthique médicale ?
On peut lire la définition du Larousse :
Les règles déontologiques, édictées dès le Ve siècle av. J.-C. (serment d’Hippocrate), en appellent aux notions de compétence, de générosité, de dévouement, de désintéressement et de secret médical. Les règles morales protègent le malade de la dérive que pourraient introduire en ce début de xxie siècle les grandes évolutions des sciences de la vie…6
Ou encore la mise au point du Pr Régis dans un journal féminin en juillet 2022 pour les citoyens 7 :
« Les lois permettent de maintenir des limites, des interdits, car ce qui est admissible pour un individu ne l’est pas forcément pour la société.
“On parle d’éthique médicale lorsque les acteurs de la santé sont confrontés à la question des limites du supportable, de la vie ou encore du savoir”, 8
Quels sont les principes de l’éthique médicale ?
L’éthique est fondée autour de quatre grands principes :
1. L’autonomie :le respect de la personne de son autonomie, sa capacité à être acteur et à décider de sa propre santé.
2. La bienfaisance : faciliter et faire le bien, contribuer au bien-être du patient. “Il est nécessaire de bien peser le rapport entre les bénéfices et les risques potentiels.”
3. La non-malfaisance : l’obligation de ne pas nuire. “Ne pas intervenir sur le corps du patient dans son accord libre et éclairé”.
4. La justice : apporter le même traitement de façon juste et/ou équitable à tous les patients. “Tout ce qui est possible d’être fait doit l’être pour tous et pas seulement pour certaines catégories de personnes.”
Qui doit respecter une éthique médicale ?
“L’ensemble des partenaires, qu’il s’agisse des professionnels de santé ou toute personne intervenant auprès de la personne malade, y compris le malade lui-même”, explique le membre du CCNE.
L’éthique appelle à réfléchir sur les valeurs autour d’un acte médical à l’inverse de la déontologie qui fixe des règles claires. (…)
La bioéthique concerne davantage les conflits de valeurs autour de l’avancée techno-scientifique dans le domaine du vivant comme la procréation médicalement assistée (PMA), la gestation pour autrui (GPA), le don d’organes… »
En bref, car la liste pourrait être longue. Qui a violé les règles d’éthique médicale depuis bientôt trois ans si ce ne sont les grandes organisations internationales qui ont imposé au monde des mesures coercitives, et des injections toujours expérimentales (jusqu’en 2023 au moins), et tous les gouvernements qui les ont diffusés dans les pays occidentaux essentiellement et tous les suiveurs muets comme en particulier, trop de médecins français, trop de journalistes incultes et soumis, associations, éditorialistes désinformés et/ou subventionnés par le pouvoir, etc..
Médecins muets ou, pire, assez fous pour critiquer les vrais savants du domaine à commencer par le PR Raoult, Montagnier, Henrion — Caude, Péronne, etc. Médecins violant la convention d’Oviedo et les principes éthiques de l’Association Médicale Mondiale en proposant aux citoyens un traitement expérimental sans le consentement libre et éclairé sanctifié par le code de Nuremberg après les drames des essais nazis dans les camps et qui devait garantir que jamais au grand jamais on ne referait dans les pays des essais sans consentement.
Le code de Nuremberg et toutes les conventions qui le rappelaient ont été violés par ceux qui ont « imposé » l’injection et tous ceux qui ont obéi en injectant ce produit génique aux citoyens en leur affirmant qu’il était sans danger ÉTHIQUE ? .
Les médecins et soignants qui ont injecté des résidents d’EHPAD par du Rivotril sur injonction des autorités sanitaires sous prétexte de symptômes compatibles avec un covid ont effectivement violé l’éthique la plus minimaliste et tué, en plus des 10 000 personnes non traitées, de nombreux soignants cassés à tout jamais après ce geste infâme.
L’éthique a été violée tout au long des 30 mois de ce faux récit covid sur l’absence de fiabilité des tests PCR fondés sur des taux d’amplification trompeurs, sur l’efficacité du confinement jamais démontrée depuis le Moyen-âge et de la fermeture des écoles, et pire encore sur la colossale exagération de la mortalité covid19 qu’un ministre a osé comparer à la peste pour affoler la population, sur l’interdiction faite aux médecins d’examiner et traiter leurs patients en les menaçant de sanctions de l’ordre instrumentalisé dans ce but.910
Des pages entières, et de nombreux livres 1112131415 ont été écrits avec d’innombrables références de travaux universitaires démontrant les mensonges répétés auprès des patients et la violation permanente de l’éthique médicale depuis bientôt trois ans.
LA RÉACTION DES AUTRES SOIGNANTS
Autre stupéfaction dans les propos de Mr Braun sur le prétendu refus des soignants injectés de recevoir du renfort des non injectés et du chiffre ridicule de mille soignants empêchés.
Comment un ministre peut — il être si mal informé par ses services ?
Voici les informations en direct du parlement européen :
Le chiffre annoncé par Michèle Rivasi est encore très en dessous de la réalité, mais il est devenu officiel !
Par Médecine du Sens Canal Info
« Une grave menace plane sur quiconque ne salue résigné, tête basse et dos voûté, les ignominies bavées par celui censé nous gouverner. Pris à la gorge, il a été décidé en haute instance que l’instinct de vie concourant à la sociabilité la plus primaire de chacun soit suspendu à la condition d’être vacciné et, pire encore, que soit humilié en son intimité et éloigné de la vie en société tout citoyen non vacciné ! Plus de 1 an ! Suspendu sans salaire, sans chômage ! Il est historique que des soignants soient suspendus pour leur refus d’un vaccin en phase d’expérimentation. Les gens ignorent-ils que des médecins, infirmières, soignants sont toujours suspendus, QUAND BIEN MÊME RIEN n’atteste de l’efficacité de leur mise à pied prolongée ? »
Plus de 240 témoignages dans ce film :
Les soignants sont en lutte pour la réintégration de leurs collègues
Courrier déposé à l’HAS par Huissier le 17/11/2022 : Pourquoi faut-il supprimer l’obligation de vaccination Covid des soignants et assimilés ? Par le Syndicat Liberté Santé
Et rappelons les mots du Dr Hodkinson ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa, spécialiste en pathologie, y compris en virologie, formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni
Pour mémoire, en août 2021, dans son débriefing FranceSoir BonSens.org, il revenait sur les discours de peur utilisés pour encourager la vaccination et évoquait entre autres, les différents scandales autour de Covid-19. « C’est scandaleux. C’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance. La Covid n’est rien d’autre qu’une mauvaise grippe saisonnière. Ce n’est pas le virus Ebola. Ce n’est pas le SRAS.
C’est de la politique qui joue à la médecine, et c’est un jeu très dangereux. LES VACCINÉS SONT DES INNOCENTS QUI VONT AU MASSACRE », disait-il…17
Des sénateurs s’engagent >
Soignants suspendus : des sénateurs accusent le gouvernement « d’obstination coupable » malgré « l’agonie » des hôpitaux (le 20 novembre 2022)18
« Les personnels concernés par cette mesure sont bien plus importants que vous ne le prétendez : à côté des personnels suspendus, combien de libéraux interdits d’exercice, non comptabilisés parmi les “suspendus” ? Combien de demandes de mise en disponibilité ou de démission de la fonction publique par suite de cette mesure non comptabilisées parmi les “suspendus” ? Combien d’étudiants en médecine empêchés de poursuivre leurs études ? », lit-on encore.
Le document, qui cite également les personnels interdits d’exercer en téléconsultation et même de trouver un remplaçant durant leur suspension, qualifie ces mesures de « punitives » et « d’humiliantes » et non pas de « sanitaires ».
Et terminons par ce témoignage de Betty Infirmière, qui est suspendue depuis 431 jours par suite de son refus de vaccination :
15 sept 2021 – 20 Nov 2022
« J’espère un jour pouvoir me dire que ce n’était qu’un cauchemar. »
Elle est syndiquée, Déléguée du Personnel, membre CSE, CHSCT (Comité Hygiène et Sécurité au Travail) et Commission de Soins Infirmiers. Refusant la vaccination covid, elle convient, avec sa direction, d’une rupture conventionnelle.
« En mars 2020, j’ai vu tous mes collègues s’organiser, se rendre disponibles, volontaires, ne comptant pas leurs heures.
Nous avons tout donné de nos personnes, de notre temps. Tous, nous sommes fatigués.
Alors quand cette obligation d’être vacciné pour avoir le droit de continuer à travailler nous est tombée dessus, alors que nous côtoyons quotidiennement de nombreux virus, de maladies, et que nous sommes conscients que nous devons garder tout le temps un système immunitaire au top, nous n’avons pas compris.
Perso, je n’ai pas compris non plus le refus catégorique de la médecine du travail de ne pas me recevoir. Alors que mon médecin lui-même, ainsi que mon employeur, l’ont réclamé.
J’ai rencontré de nombreux soignants suspendus, ou en arrêt maladie, ou qui ont démissionné.
À l’unanimité il en ressort une très grande souffrance, parce que oui, cette pression et cette culpabilité que l’on veut nous faire porter sont insupportables, inhumaines.
Comment peut-on accepter que la France “vire” des pompiers, Médecins spécialisés, Médecins généralistes, Kinés, Sage-femmes, Puéricultrices, Infirmiers, Aide-soignants, ASH, Secrétaires médicales, Techniciens, Aides médico-psychologiques, Éducateurs, Laborantin, Ophtalmo, Opticiens… Et on nous accuse d’être des personnes irresponsables ? C’est le monde à l’envers et ce monde-là je n’en veux pas.
J’espère un jour pouvoir digérer ce que la France fait à tous ces professionnels de santé. »
https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/11/delphes.jpg270268Delépinehttps://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2017/01/Logo-Nicole-Delepine-300x138.jpgDelépine2022-11-30 11:39:112022-11-30 11:39:11Médecine, croyance, religion-science, et soignants suspendus où est passée l’éthique ?